Articles

AU SOUFFLE DU VENT ( poésie n 264 )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1 AU SOUFFLE DU VENT Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage notre bonheur. Je détient cette bonne raison, De lancer vers tous les horizons, Les paroles propre a cette fusion. Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage notre bonheur. Pour faire circuler cette action, L'écrire ,avec une mission , Les diriger en bonne raison.  Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage notre bonheur. Le vent de la toile les traîne, , Sous forme d'ondes qui nous enchaîne , A la raison de vous séduire. Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage notre bonheur. Ils n'ont acquit de tempête, Dans le virtuelle du net, Toutes mes lignes honnêtes.  Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage

AIMER SANS DÉTOUR ( poésie n 276 )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1 AIMER SANS DÉTOUR Durant vingt quatre heures, Notre amour épouse la journée. Pendant 7 jours , on y pense, Pour ne point oublier. Quatre semaines fructifient, La valeur de nos pensées. Douze mois cultivent, Une année de clarté.     Notre amour a tout gagné, L'unité et la loyauté. Notre bonheur s'envole, Vers l’espace de la liberté. Celui de s'aimer a jamais. JJM auteur Jean Jacques Mutz A ce jour, 04 10 2011,  2978 lecteurs a ce jour, 31 05 2019,  111752 lecteurs.

FRANCHIR LES ENNUIES ( slam 95 )

Image
Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 FRANCHIR LES ENNUIES Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. Il y a des marques dans la vie, Qui nous tracent nos suivies, Pour cette raison que l'on écrit, A ce que l'avenir le lit aussi. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. La grâce c'est quant on les lit, Toutes ces phrases enchérie, Du passage dans cette vie, En poussant la porte de l"infinie. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. La promesse reste là, voila ? Dite moi pour qui, pour quoi ? Je pleure des larmes de valeurs, Comme une source de vapeur. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. Notre promesse eut les atouts,  Ceux qui conjuguent les sentiments,  Qui prédisent de bon moment, Avec plein d'arguments.  Je reste seule avec l'ennui Quant le temps égare l'oubli.  JJM Auteur ama

L’ABÎME ( poésie n 55 )

Image
mirage au dessus des nuages sage n 1 L'ABÎME Dans le fond de l'abîme il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Dans la tournure de ce monde il y a toi, Ce toi majuscule ,où l'on rencontre une virgule. Dans le fond de l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. La marque d'une interdiction te donne, Le droit qui efface  cette virgule avec une gomme Dans le fond de l’abîme, il y a  l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Une lumière guide tes écrits vers un suivi, Qui dit que ce que tu mimes  n'a pas de prix. Dans le fond de l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. La précision de tes suivi sont claire, Comme le charme de tes pensées  en chaire. Dans le fond se l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Te croire , c'est te suivre  comme un père, Pourtant tu me parais pas s'

VUE SUR LE LOT ( poésie n 53 )

Image
mirage au dessus des nuages sage n 1 VUE SUR LE LOT De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur,  Qui cherche chemin . Dire que les gens,  Me trouvent bien, Sur mon traçais , Que porte mon destin . De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur,  Qui cherche chemin. Je m'appelle lot,  Ça c'est certain , C'est écrit sur,  De vieux parchemins. De mon perchoir, Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son chemin.  Je traverse des villages,  Aux pierres chaudes,  Mâcone il y bien longtemps.  Je dirais plus de cent ans De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son chemin. Le pont de V alantre, Me montre sa face, Et le diable au centre,  Ne me fait pas menaces. De mon perchoir, Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son Chemin.  Cahors capital des gourmands,  Qui  nourri les visiteurs du lot, Comme des amants, avec des truf

DU BLÉS ( poésie n 154 )

Image
mirage au dessus des nuages sage n 1 DU BLÉS La couleur or,  Immonde les champs, Le blé a fini de mûrir,  Il faut le récolté. Venu de nul part,  On s'active dard-dard, Naissent des botes,  Qu'il faut charger. Sur de charrettes,  En bois ferré, Bien équilibré, Pour les déplacer.  Deux chevaux,  Y sont attelé, L 'orage gronde,  Il faut ce dépêcher.  L'humidité peut gagner, En risquant de gager, La récolte du blé, récolte.  Sans pouvoir l'engranger. On s'affaire et se bouscule,  Dans un rythme e freine,  Il n y a pas de doute,  La récolte doit être rentré.  La tempête gronde, Il faut accélère,  De rentrer notre gagne pain,  A la couleur doré.          JJM     Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 28 01 2010. Rémi à jour le 18 05 2019. A ce jour, 18 05 2019  ,111391 lecteurs.

LA DÉPRESSION ( poésie n 277 )

Image
Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 LA DÉPRESSION Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. C'est triste de se faire tirer de la sorte, Dans un cumul pour qui trotte une note. Une motte la stop comme un hôte, Qui se moque de la maintenir de la sorte.  Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Le destin devient fragile lorsqu'on importe, Une fragilité d'intention malpropre. La voila bloqué, maintenu dans sa cage, La où il n'y a plus de passage de nuages. Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Elle s'y décompose sans un présage, Avenir, de pourrir comme un grand mage. Mais l'image d'un vrai