La clarté de la nuit n 3/15 ( roman sentimental, La vie de ? )


Mirage au dessus des nuages sage n 1



















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 LA  CLARTÉ DE LA NUIT
   Dans le quartier, des démolissions suivent il y a
du changement. Le bâtiment des bains ne fait 
plus qu'un tas de grava. L'on peut apercevoir des
habitions inconnu a notre vue. Leur façade grise
laissent apparaître des fragments de briques rouge.
Qui aurait cru que la face caché de ces habitations
sont ci vétuste ? 
   Le quartier devient plus maussade. Par contre 
cette démolition nous donne une place de jeux où 
nous pouvons jouer au ballons et a autre 
divertissements.
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  Marguerite a trouvé de qui viennent les ananas. 
Comme elle travail a Bâle chez la tante Margrite 
comme cuisinière pendant 3 heures par jour dans 
son usine de verreries, elle eut expliqué a Margrite,
-  Margrite, nous recevons des coolies en provenance
   d'Afrique avec des ananas et je ne sais pas qui 
   pourrait nous les envoyer ? 
-  Mais, les collies viennent de ma sœur qui a une 
   plantation d'ananas en Cote d’Ivoire, ne t’inquiète
   pas , elle le fait en remerciement pour les cours de
   français que tu lui a donné durant ta présence 
   parmi nous.
     Je suis fasciné par les filmes de David Croquette 
qui passent a la télévision. La fourrure qu'il porte 
sur sa tête me nargue, j’aimerais posséder le même. 
Pour cela il me faut de la fourrure. Je me souviens 
que ma mère eut gardé le manteau de fourrure de 
Pauline et qu'elle a rangé dans un coin de notre 
grande armoire.
-  Maman, puis je avoir la fourrure que Pauline portait ?
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-  Que veux tu en faire Jean ? 
-  Un chapeau comme David Croquette avec une queue
   de renard. Comme je sais que tu as dit que tu ne le 
   mettrait pas j'aimerais le transformer en chapeau de 
   fourrure avec une queue comme un renard  ?
-  Oui tu peux la prendre.
  Quelle joie, je fais un essais avec du carton, pour 
avoir une idée. Je coupe la fourrure avec des ciseaux.
Quelle poise, il y a des poiles partout et je n'ai fait 
qu'une petite partie. Il faut que je m’applique autrement. 
Je retourne la peau pour la couper avec une lame de 
rasoir, puis je le coud a l'envers . Ma réalisation me va 
a merveille et j'en suis fière. Les copines et les copains 
trouvent que ma réalisation est parfaite.
   Les journées ont diminué et la fin de l'année se 
rapproche. Notre faible budget n’empêche la mis en
place d'un sapin de Noel. Ma mère et mon père, poseur, 
on fait de leur mieux pour que l'on n'a plus besoin de 
se cacher, la situation financière suit le bon sens.
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  1961 

  Mon parrain tombe malade, son état de santé devient
critique et son hospitalisation nécessite des soins 
important . Je lui rend visite a l’hôpital et la première
réponse a mes questions est,
- Je veux rentrer chez moi, je ne suis pas bien a l’hôpital.
  Je ne peu lui répondre et l'écoute avec attention 
comme ma mère. 
   Enfin, il peut retourner dans sa famille, ce qui me 
permet de lui rendre visite, comme bon me semble. Le
jour de ma visite, il me dit, 
-  Tu travailles bien en classe Jean ?
-  Oui parrain , j'arrive a suivre.
-  Lorsque tu auras ton certificat d'étude, je t’achète 
   une radio portatif.
  Je reste surprit par cette révélation et lui promet,
-  Je vais faire tout mon possible pour l’obtenir.
   Quelques jours plus tard, il nous quitte suite a un
arrêt cardiaque et laisse sa femme ma tante avec 
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9 enfants.
   En classe nous mâchons des boules de papier 
que l'on projette sur le plafond avec l'aide d'un 
élastique et de nos doigts. Lorsque La boule 
reste collé on marque un point. Le plafond a de
nombreux impactes .
  L'année scolaire se termine, je monte au C M 2.
Pour nos vacances nous élaborons un projet qui 
consiste d'explorer une montagne de cendre de
charbon provenant des haut fourneaux des 
usines de Mulhouse. 
  Cette montagne, appelé Kocrourie avait
une hauteur de 40 mètres, une longueur de 300 
mètres, et un largeur de bien 100 mètres. Dans 
son coeur serpente des souterrains construit
durant la seconde guerre mondiale et qui on 
servie a abriter les ouvriers quant il y eut des
alertes.
  Au pied de cette colline, une grande déchetterie
plonge dans un bras de la rivière, l'Ill. De l'autre
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coté le lit principale de l'Ill, ce qui fait de cette 
colline une île . Le bras du cour d'eau servent a 
alimenter les usines . 
     Du haut de cette colline on peut apercevoir 
tout Mulhouse d'un coté et de l'autre le début 
du Jura, avec a ses pieds le canal du 
Rhône au Rhin et entre les deux les Vogues .
L'on peut apercevoir l’hôpital civile et sa tour 
entouré de maisons huppé. L'un d'entre nous
dit, 
   - Découverte faite, allons de l'avant et  
     intéressons nous a cette rivière qui vient du 
    Jura et la région de Sundgau, que pensez 
    vous ?
  L'équipe bien une bonne part et ensemble 
l'on décide de construire un radeau pour 
remonter le cour d'eau. Je dis d'un air intéressé,
-   Pour cela, il nous faut un capitaine, qui veut 
    l’être ? 
  Plusieurs personnes se présentent mais pour
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connaitre la bonne, il faut passer un obstacle.
L'on décide que celui qui a ramené le plus 
grand nombre de bouchons de chambre a air 
de voitures, sera le capitaine. Je réussi avec 
l'aide de mon frère Christian de rassembler 
90 bouchons de chambre a air. Le suivant en 
a récolté 50  et tous les autres frôle les 30.
  Me voilà le chef de l équipe, je présente un
Plan qui consiste à récupérer des chambres 
a air dans les garages et des planches à
au dépotoirs. 
   Nous construisons cette embarcation dans 
la cour d'une habitation abandonné. Sa 
grandeur nécessite une remorque pour le 
déplacer. Certain font la remarque suivante,
-  Misse Cokrouri ( c'est une personne que 
   la société a rejeté et qui vit sur la rue ) a 
   aussi ses besoins journalier dans un 
   landau faisons la même chose. 
-  Oui , on fait la construction d'une remorque
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   avec l'aide de roues que l'on trouve dans 
   la dépotoir sauvage.
   Et dix jours plus tard, nous voila en route 
vers notre port de départ. Il se trouve sous 
la passerelle que l'on  appelé le chapeau 
Chinois. Nous y parvenons temps bien 
que mal et y amarrons notre bateau après 
des essais favorable.
  Le jeudi suivant, en retournant a son 
emplacement , il a disparu. Nous voila dans
de beau draps. Notre déception nous guide
vers  le bistro appelé ( Tous va bien ) situé 
a la place Kléber . On joue des parties de
baby foute. 
   Pour le jeudi suivant nous orientons 
notre action de découverte vers le dépotoirs.
là, des découvertes sont a faire malgré que
l'odeur et la fumée des matières en 
décomposition nargue nos narine. Une 
multitude les mouches, moustiques , oiseaux 
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et les ras prolifèrent. Nous ne somme pas seul
car d'autres personnes tentent leur chance 
dans les détritus. 
  Un collègue recherche des lampes a pétrole, 
et des cartes postale un autre des outils et moi
je récupère du bois pour nous chauffer en hiver.
  Une caisse en bois, bien fermé, attire notre
attention. Certainement qu'un trésor dois s'y
trouver ? Notre curiosité reste en éveille, il 
faut l'ouvrir pour connaitre son chargement.
Une croix gammée la marque sur le coté. 
Cette attention nous fait parler ,
-  Et ci des munitions se trouvent a l'intérieur ?
-  Peut être, il faut l'ouvrir pour en être certain. 
-  Il nous faut de l'outillage pour l'ouvrir, 
   revenons demain et cachons la caisse.
  On la tir du dépotoir pour l’emmener dans 
les souterrains du Cokrouri.
  Le lendemain après l'école, nous tentons 
d'ouvrir notre caisse en bois. Une personne doit
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faire la garde a l'entrée du souterrain pendant que
nous tentons de l'ouvrir. Notre marteau et notre
pied de biche entre en action. Un carton bitumé 
noir entour la caisse. On déchire celui ci puis 
on force sur le bois pour faire sauter les cadenas.
Une nouvelle couche de papier goudronné se 
présente. On le déchirant un métal jaune très
brillant, nous émerveille,
-  Viens voir ce que l'on a trouvé, ça brille comme
    de l'or.
  Celui qui garde l'entrée vient en courant,
-  Pas mal, mais les cartouches sont comme 
    neuve.
  Nous sortons les chaines de cartouche que 
nous enroulons autour du cou pour ressembler a 
des soldats. 
  - Que vas on faire de ces munitions ? 
  - On les ouvre pour en sortir la poudre, puis 
    l'étalons en une ligne que nous allumerons  par
    la suite.
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  Chose dit et réalisé, après notre mis a feux il 
nous reste un tas de douilles et des balles en 
cuivre. On pris ce tas de munition pour le 
dispatché a la volé dans la déchetterie. Mais 
la caisse renferme encore d'autres munitions.
   Le temps des vacances se termine et nous 
voila a la rentrée des classes. J'ai changé de 
rangé comme mes collègues et notre fierté 
nous met en admiration, pour les filles qui se
trouvent sur notre coté gauche de la cour.
  Le maître du CM2 a comme passion 
archéologique. Il nous raconte de belle 
histoires de découvertes faite dans le massif
Central. La peinture fait partie de ses 
attentions car, comme j'aime peindre, je 
récolte de bonne notes. Par contre pour les
fautes d’orthographe, il vous met en tenaille. 
Pour chaque faute, il vous prend par les favoris
jusqu'au tableau pour que l'on récrit le mot 
correctement.
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   Le Mardis après  midi, nous continuons de
rejoindre la piscine au centre de Mulhouse a
pied. Sur le parcours, des marchants exposent
leur fruits et légume contre le mur du trottoir
de l'épicerie. Quelques fruits disparaissent 
dans les poches de certains d'entre nous. 
Le mardi suivant, plus aucun fruit et légume 
sur le trottoir, tout fut rangé.
  Voila l'automne, le vert se marie avec le jaune
la couleur terre apparaît dans les feuillages 
des arbres. Les journées laissent leur place a
la nuit , au brouillard et a l'humidité. Il ne fait
pas chaud, a peine que le jour disparaît le 
froid nous enlace.
  Un copain de classe habite avec son grand 
père dans une ferme du Reberc, une colline 
sur laquelle un belvédère donne une vue 
imprenable sur Mulhouse et pas loin, le
zoo . Une grande foret entoure la ferme.
  Pour y accéder on s'arme d'arc, de notre
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fabrication, de couteaux et d'épées en bois 
ainsi que de nos déguisements. Pour partir
en exploration, il nous faut de quoi boire et 
dans la grange du grand père se trouve la 
réserve de bières, de limonades. Comme nous
somme au nombre de 8 explorateurs, il nous
faut, 4 bouteilles de bière et 4 bouteilles de 
limonade. On pénètre dans cette foret qui 
pour nous représente une découverte. La 
hauteur des arbres m’impressionne a t'elle 
point que j'ai l'impression de pénétrer dans
une toile d’araignée. De faible rayon de soleil
la traverse. L'impression de vivre dans un 
conte de fées m’impressionne. Lorsque nous
crions, notre voix résonne et le bruit de nos
pas sur le tapis de feuilles mortes brise le
silence. L'odeur de l’humus nargue nos narines
comme celui des champignons. Je connais 
cette foret car de temps a autre on y allais avec 
mes parents , mais la, sans leur présence je 
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suis une autre personne. Nous espérons 
rencontrer des animaux sauvage, aucune 
rencontre ne se fait, par contre les bouteilles de
bière et de limonade se sont vidé.
N’oublions pas de ramener les bouteilles vide
  elles sont consigné et mon grand père le 
  remarquera.
   Le lendemain a la récréation,  notre aventure
un peu déformé, devient le centre de notre 
discutions. Notre imagination a mille facettes
mais la description de la foret et de son odeur
a tous les mérite de la réalité.
   Le jeudi suivant nous reprenons le chemin 
de la foret. Le programme change car l'on se
dirige vers un village du nom de Bruebach. 
Une brume s’échappe du sol et le lointain ne 
se trouve pas loin. Le froid humide nous 
enlace. Mais notre intention suit son but rien
ne peut nous freiner.
  Pour y parvenir un passage dans les vergers 
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puis une traversé de champs avec une  terre 
instable car elle vient d’être retournée. Une 
montagne de betterave sucrière se trouve a 
coté d'un chemin. 
-  On peu en manger, mon grand père ne 
   dira rien.
  Comme des gloutons on remplie l'estomac.
malgré que nous nous somme déjà servie de 
poires, de pommes et de quetsches du verger. 
Notre estomac gloutonne de ce surplus de 
fruit et nous déposons notre billant dans les 
recoins sans tarder.
  Le lendemain en classe, plusieurs d'entre 
la perturbent par le vas et vient aux toilettes.
  Notre ambition met en place une épreuve 
qui consiste a faire valider notre courage. On
opte pour dormir une nuit dans la foret. 
   Pour avoir l’autorisation des parents on 
leur explique que les grands parents de notre
copain nous invite a dormir dans la ferme pour
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une nuit.
   Nous voila dans notre chambre a couché, 
improvisé. Les arbres paraissent plus haut que
dans la journée car leur cime ne sont plus 
visible. Je me sent tout petit comme une 
fourmis. 
   Au départ nos lampes de poche éclaire nos 
pas et au bout de 10 minutes leur aide devient 
inutile. Le silence prend le dessus, il nous
impressionne. De temps a autre des hulules
de chouettes nous effraye. 
    La sensibilité de notre écoute enregistre le 
moindre bruit. Chaque craquement cultive 
le décret de notre peur ce qui trouble notre 
présence. 
     Notre preuve de courage ne tient que 
jusqu’à 22 heures. L'on a comme excuse 
que le froid  devient le centre de notre 
décision.
   Le lendemain a la récréation on rajoute a
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notre aventure l'apparition de grands 
animaux qui prennent peur a notre 
présence et d'autres histoires qui créditent  
le courage.
   La semaine suivante une autre aventure
elle consiste a chevaucher la jument de la 
ferme, un cheval de trais . 
-  C'est une Franc-Comtois .
  Nous dit notre copain.
  Elle se trouve dans le pré entrain de paître.
Très docile, notre venu ne la perturbe pas 
au contraire a notre approche elle vient 
sans hésiter. Pour la monter, on la rapproche
des barrières en bois puis en la tenant a la
crinière , l'un après l'autre nous la montons.
Nous voila au nombre de 4 personnes sur
son dos. La brave bête ne fait le moindre pas
nous voila dans de beau draps ? Bref, on 
abandonne mais dans nos intentions nous
avons monté la jument. A la récréation nous
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improviserons en notre faveur.
   Noel approche et nous avons eut une 
invitation chez un oncle en Suisse. Il est 
marié a une sœur de mon père et possède
une ferme dans les alpes Suisse prêt de Ville.
Pour financer le déplacement en train, ma 
maman cherche a faire des heures de 
nettoyage le soir. Elle trouve une place prêt
d'un médecin de famille. Ses origine de ce
médecin vienne d'Algérie. Rejeté par la guerre 
il eut installé son cabinet au centre ville de 
Mulhouse. Au bout d'une semaine de travail 
ma maman demande son dut.
- Docteur pourrais je avoir mon dut ? 
- Bien entendu, voila un morceau de pain
  et 5 francs.
 ( les 100 francs sont devenu des francs 
flottant )
-  Monsieur le docteur ce que vous me donné
   n'est pas un salaire, c'est une aumône.
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-  La bas c'est le salaire d'une bonne et elle 
   ne réclament jamais, nous les pieds noir 
   on procède comme cela. La porte est  grande
   ouverte d'autres sont prête a vous remplacer.
  Ma mère , déchu, nous explique sa mis a la
porte et le fameuse salaire de lance pierre. 
Mon père lui répond,
- Cela ne m'étonne pas que l'Algérie demande
  sa liberté pour ne plus être exploité.
  Notre invitation chez ma tante dans la ferme 
en Suisse a tenu bon, mes parents ont réunie
l'argent nécessaire pour le voyage. Le premier
train en France, est une locomotive a vapeur.
A Bâle, nous prenons un train électrique, une 
nouveauté pour nous. Les bancs des wagons 
sont en lattes de bois et il y a 3 sortes de 
classe on occupe la troisième classe. 
   Ce jour la, la neige tombe a gros flocons et
tout autour de nous est blanc. Le froid fait 
partie de l'environnement . Nos pulls, les 
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bonnets, les gans et les chaussettes  sont 
tricoté par Marguerite. Malgré que nous 
somme enveloppé dans du jacquard, le froid 
nous domine. Enfin, arrivé dans les Alpes 
Suisse a Kirchberg ,  où se trouve la ferme.
L'oncle nous accueille dans une grande 
luge tiré par un cheval. La neige a bien 50
centimètres sur les cotés et reste sur la 
route car aucun salage la fait fondre.
  La ferme dénonce une ossature en colombage 
une ressemblance avec les ancienne maisons 
d'Alsace .
      L'étable accole l'habitation, un tas de fumier, 
éloigné de 30 mètres , laisse échapper une 
vapeur produite par sa décomposition . Le 
parfum que dégage l'étable. Nous pénétrons 
par la basse porte d' entrée où les grande 
personne sont obligé de se baisser. De la dans
un couloirs avec un fourneau en céramique vert
amande, tapisse le fond. Puis, sur notre droite 
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l'entrée de la cuisine . Le même fourneau 
céramique permet d'y fourrer son pain ou des
casseroles . Dans se couloir une porte en face
de la cuisine permet d'accéder dans l'étable.
L'ongle Erste, avec fierté dit,
-   C'est par ici que sont mes autres femmes, 
    elles sont au nombre de 8 et chacune a un
    nom.
 Une odeur de fumier sorte de cette porte et une
chaleur animalière envahit la maison. 
-  Pour les chambre a coucher il faut passer par
   les escaliers jusqu’à l’étage du dessus. On 
   verra cela plus tard. Pour demain, la veille de 
   noël ,je vous propose de faire une monté en 
   traîneau puis de redescendre vers la fin de 
   journée en flambeau .
  Tout les projets me réjouies je me régale 
d'avance.
  Le lendemain, jour de noël, pour le repas, des 
pommes de terre grillé, du lait fermenté et saupoudré
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de persil séché. Suit un gâteau au riz et du café 
a la chicoré. 
  C'est le départ pour la monté, nous tirons nos 
luges sans hésiter. Un vent froid glace nos oreilles
a t'elle points  qu'elles rougissent.
  Enfin, nous voila au sommet. Mon ongle Erste
se place en premier , puis attache toutes les autres
luges et nous allumons nos torches que porte le 
second passager. Le départ donné, notre 
queue -leu-leu dévalise la pente sans freiner.
 Arrive le soir, la joie dans nos cœurs nous 
honorons Noel avec des chants accompagné par
de la cithare a 15 cordes. 
  Nous y passons 3 jours puis l'on reprend le trajet
du retour en train jusqu’à Bâle. La, on retrouve notre
cousine Christine qui est encore sous la tutelle de 
mon père. Elle habite chez des coussins du coté 
de ma mère, les quel ont entamé la procédure 
d'adoption. Après avoir passé une journée en 
famille nos retrouvailles fond bon train. Je suis
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inviter pour passer le nouvelle ans avec eux.
  Christine a grandie mais n'a pas oublié notre 
passé, le fait de se revoir nous redonne du mouron.
et nous pouvons fêter ensemble la nouvelle année .
Les cousins qui veulent l’adopter nous laissent
seul et monte a l'étage du dessus pour festoyer.
Nous comme des grands on a décider de rester
seul dans l'appartement car on envisage de 
 se débrouiller de nous même. 
  Dans le réfrigérateur, une boite de conserve 
d'ananas s'y trouve, elle nous  attire. Ouverte , 
cette boite nous met l'eau a la bouche car je
dis a Christine ,
- L'ananas est délicieux il faut que tu en gouttes
  Christine.
- D'accord Jean je veux bien en consommer. 
  Nous prenons deux assiettes et deux verres 
puis nous blason une tranche d'ananas dans 
chacune d'elle et un peu du sirop de la boite. 
L'on déguste notre préparation avec 
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satisfaction. Puis nous entamons des jeux et
des dessins. 
  Il faut que je vous fais une remarque, le gout 
des ananas en boite ne peut se comparer avec 
les frais que nous recevons d'Afrique. 
   Dans la soirée, les cousins de mes parents 
nous retrouver et nous demande,
- Alors les enfants tous vas bien ?
-  Oui,  l'on a mangé des ananas de la boite de
   conserve du frigo.
-  C'est bien mais j'avais autre chose pour vous
   un gâteau vous ne l'avez pas pris ? 
-  Non, on ne savais pas ?
-  Ci quelque chose ne vas pas sonnez nous a
   l'étage du dessus.
-  Oui .
  Les cousins repartent et nous on continue notre
soirée. Christine me dis,
-  Tu sais Jean je n'aime pas aller chez les voisins
    ils n'aiment pas les enfants.
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-  C'est pour cela que l'on occupe seul cet 
    appartement ? 
-  Oui je l'ai demandé et j'aime ta présence Jean , 
    comme je ne peux voir mon frère Christian, car 
    il est trop petit pour passer la soirée ensemble, 
    je me contente de ta venu. Nous fêterons
    la nouvelle année a notre manière.
  Plusieurs jeux de loisir nous occupent. Parfois
l'on fait des dessins et de la peinture. 
   Minuit somme et notre joie est grande, nous
montons a l'étage pour souhaiter la bonne année
a tout le monde.
   L'on retrouve l’appartement du dessous  avec 
dans nos intention de prendre place dans nos lits.
car la fatigue nous y guide.
   A peine couché, une brûlure frôle ma gorge.  J'ai
soif et me lève pour retrouver la sale de bain.
   En passant devant la chambre de Christine, je
remarque qu'elle aussi a du mal a s'endormir.
-  Qu'as tu Jean, tu n'arrives pas a dormir ?
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  Me dit elle d'un air étonné.
-   Oui Christine, mais toi aussi tu as du mal pour
    t'endormir a ce que je vois ? 
-  J'ai une brûlure au fond de ma gorge, que peut
   on faire pour l'atténuer ?
-  C'est pareille pour moi, je vais boire un verre 
   d'eau .
-  Je vais faire de même.
  Ce verre d'eau n’arrête cette brûlure et nous 
tentons de trouver une solution. Les adultes 
continuent de festoyer, l'on ne pense pas a les  
avertir. On veux jouer notre savoir faire et nous
puisons dans la boite des bonbons pour la toux.
  Lorsqu'ils fondent dans notre bouche, une 
fraîcheur attendu notre brûlure. Hélas cela ne
dure pas longtemps. Nous continuons notre 
remède jusqu’à épuisement du stock dans la 
boite.
  Cette brûlure augmente de plus en plus et nous
tentons de trouver une autre solution. Rien ne 
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peut atténuer notre brûlure, que faire ? 
-  Christine j'ai vue dans un film que l'on peut 
    quérir avec le lait qui provient des cactus quant
    on les incise. Que penses tu on fait un essais
    avec le grand cactus du couloir ?
-  Oui Jean, car ça brûle de trop  dans la gorge.
-   Je vais inciser le cactus et récupérer le lait
     qui en sort sur une petite cuillère a café. 
     Notre grand mère ma bien appris que l'on peut
     soigner avec les plantes.
  J'incise le cactus et effectivement un liquide blanc
coule, on dirais du lait ? Je remplis le contenu de
la petite cuillère a café et avale ce contenu. Sur le
moment la chaleur disparût. 
  Je remplie une autre petite cuillère a café et la 
tend a Christine qui l'avale. 
  Nous retrouvons nos lits et plongeons dans un
sommeil profond.
   Je dors tellement bien que je n'entend les autres
se déplacer dans l'appartement. Christine vient me
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retrouver.
-  Jean, tu dors encore ? 
  Je suis surpris par sa présence  et me réveille 
avec peine.
-  Oui Christine, j'ai rêvé de plein de chose cette 
    nuit, je suis encore étourdi. Et toi tu as bien 
    dormis ? 
-   Bien sur le lait fut efficace, il a supprimé cette 
     brûlure.
   Christine me regarde et surprise me dit,
-  Jean tu as plein de boutons dans la figure, que
    c'est il passé ? 
-  Je ne sent rien Christine ? 
-  Regarde toi dans le miroir et tu verra a quoi tu  
   ressembles.
  Je prend le miroir et stupéfie je remarque le 
changement, que c'est il  passé ? 
-  Que vous dire mes parents adoptif Jean ?
-  Je ne sais pas, nous n'avons rien fait de mal 
   Christine.
 Je me lève et retrouve les cousins de ma mère.
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   qui me regardent tout étonné.
-  Tu as mal Jean avec ces boutons sur ton visage
    en as tu sur le restants de ton corps ?
-   Oui sur tout mon corps mais je n'a pas mal et je 
    n'ai pas de fièvre.
 -  On avais prévus de vous emmener en montagne
     pour faire de la luge, comme tu n'es pas en bonne
     santé, on risque de se faire remarquer. On fera 
     en sorte que tu reprend des forces et que les 
     boutons sur ton corp disparaissent. Comme nous 
     somme en plein fête, il n'y a pas de médecin qui
     peu nous venir en aide. Le mieux, te ramener a 
     la maison car en France tu es assuré.
  Notre rencontre se termine, vite fait et je rejoins
mes parents. Ma mère demande,
- Tu as mal Jean ? 
-  Non, et je n'ai pas de fièvre, par contre j'ai des 
    boutons sur tout mon corp.
  Pas fière de ma personne, je ne souffle le moindre
mot qui puisse entamer une défense. J'attend que
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les cousins de ma mère sont partie, puis je lui dit,
-  On a mangé des ananas qui séjournaient dans le
    frigo depuis quelques temps, c'est Christine qui
    ma dit cela. Il se peut que leur fraicheur est
    responsable.
   
  
 Le roman est en cour de construction, la suivre au 4/15
pages 92, j'écrit au fur et a mesure.
JJM
Auteur Jean jacques Mutz.
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