combattre pour le futur (roman sentimental 9/10)

Mirage au dessus des nuages sage n 1














 

Combattre pour le futur

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    Nous somme prêt pour passer deux semaines de
vacances en Autriche. Pour parvenir a cette forme
de bien être il fallu demander l'autorisation a la 
caisse d'assurance maladie. Nous ne trouvions de 
refus. 
  Ce départ me permet de rouler avec notre R 12 et
 de divaguer sur les routes des vacances.
 Je suis enchanter de pouvoir prendre le volant.
Cette sorte d'évasion fait naître en moi une vague 
de renouveau qui m’enchante plus que tous.
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  Je parcoure une centaine de km, puis sens qu'un
vertige enlace mes forces, je ne suis plus pareille 
car la fatigue suit aussi cette partie. Je demande,
-  Mimi, j'ai des vertiges et je suis fatigué.
-  Je prend le volant, pendant ce temps tu peux
   récupérer en faisant la sieste.
  Je prend place a coté de la conductrice et me 
laisse bercer par le ronronnement qu'émet le 
moteur.
  Les Alpes sont magique et les fleurs des montagnes 
sont nombreuses ce qui donnent aux pâturages des 
tableaux de couleurs magnifique. Je suis ébloui 
par cette beauté et au cour de nos promenades me
laisse bercer par les chants des oiseaux et des petits
cours d'eau qui serpentent a travers champs. 
   Nous dormons chez l'habitant. Cette rencontre 
cultive notre partage. Le propriétaire de cette 
somptueuse demeure,  tente de souder certaine 
pièces de métal. Je l'observe et remarque qu'il a 
du mal pour réaliser ses intentions. Je décide de 
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lui venir en aide et lui propose de souder son 
œuvre. Il ne refuse pas et ma contribution réalise 
comme dans le passé des soudures de pointe. Je
n'ai rien oublier, je suis capable de travailler 
comme avant. 
   Ce bien être fait augmenter mon poids, je 
suis a 65 kg, mes 1m80 reprennent du volume.
   Les deux semaines passent vite.
Fin août 1974 
  Je reprend la toile et tente de réaliser par coups
de pinceaux et de tubes d'huiles de couleurs le
paysage qui m'eut impressionner. Je les réussis
comme sur une photos. Mais pour lire et écrire
pas question, certains neurones sont en berne.
Je feuillette tous les jours le journal mais ne 
retient que les images. J'encadre les A, et les L 
et répète Al. Ce sont les seules lettres que je 
retient. Même mon non et prénom me sont
étranger. Ma volonté de savoir a nouveau 
écrire et lire me pousse a persister. 
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  Comme je suis continuellement dans notre 
habitation, je peux suivre ce qui se passent
dans mon entourage. 
   Un jour le ramoneur frappe a la porte,
-  Bonjour monsieur, pouvez vous m'ouvrir
   la porte de la cave  pour que je puisse 
   faire le nettoyage annuelle de la cheminé ?
-  Bonjour monsieur,  je vous ouvre comme
    le propriétaire m'a dit la porte de la cave.
   le rendez-vous fus prit chez le propriétaire 
qui m'eut tenu au courant de la visite du 
ramoneur. Après avoir fait son travail, il me
 demande,
-  Cela fait quatre vingt francs. 
  L'argent liquide se trouve sur la table car 
Mimi me l'avais préparé. 
  Je lui remet l'argent et dit,
-  Voilà votre dû monsieur le ramoneur. 
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  Je vous souhaite une bonne journée.
  Il me temps une une quittance que je dois  
remettre à notre propriétaire.
   La facture suis son chemin et à la fin du 
mois cette fameuse quittance figure sur les 
charges de la location
 Comme  nous somme sept locataires une 
division se fait par sept puis se multiplie par
le nombre de logements et les personnes qui
occupent l'appartement. Donc le ramonage 
revient plus cher qu'il ne vaut au départ.
  Je fais part de cette maladresse que Mimi a
 trouvé au propriétaire,
-  Monsieur le propriétaire, je viens de payer
la somme de 49 francs au ramoneur d'où la
facture que je vous ais donné. Pour quelle 
raison vous nous facturez 42 francs dans nos
charges ?
-  Comme vous le voyer monsieur Jean,
 l'utilisation de la cheminé par la chaudière
nuit l'état de la cheminé, pour remédier a cela
un entretien obigatoire se fait. Plus les 
personnes habitent en étage, plus il y a de 
la saleté..
  Cette réponse contradictoire déstabilise notre
attention, malgré cette explication nous 
comprenons que le locataire serrât le bailleur
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et l'exploité.
  je n'en reviens pas, je l'explique aux autres
occupants qui remarquent effectivement 
nous somme leurré. On a beau se révolter rien
n'y fait.
  Un déclic réveille mes pensées, je ne sais pas
lire n'y écrire mais d'apprêt les explications de 
Mimi le profits reste aux profiteur. Il faut 
remédier à cette arnaque et nous envisageons
de devenir propriétaire a notre tour. Pour 
acheter une maison on s'engage de faire un 
prêt dans une banque. Nous ne trouvons de
contradiction de leur part on récolte même
des encouragements. Pour que notre objectif
soit constructif il faut y mettre notre bonne
fois, nous le comprenons ce là vas de sois.
  Pour le moment je suis en convalescence et 
cette situation peut nous engager dans la 
mauvaise séance ? J'attends avec impatience 
les feux verts des médecins qui m'ont soigné.
Aucun ne m'accorde une reprise du travail,
je reste e convalescence.
   Mois de septembre 1974
      Un froid hivernal enlace les alentours. 
Ce subit changement de température fragilise
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les oiseaux migrateurs. Les martinets sont en 
mauvaise posture pour le grand voyage. Certains
viennent prêt des fenêtres pour se réchauffer,
d'autres picotent le mastique des vitres à base 
d'huile de lin. J’en-ramasse pour qu'ils puissent
se réchauffer dans la maison et tenter d’en
sauver.  Hélas, je n'arrive à garder vivant que 
10 pour cent de cette nué de martinet qui ont 
tenté de chercher de l'aide auprès des fenêtres.
Ceux qui sont mort-je les place dans un sac en
plastique et les enterre dans le jardin. Il y en a
plus de cent cela me fait mal au cœur. La météo
a des réactions pas clémente ni contrôlable.
  Je progresse dans la peinture à l'huile et arrive
à reproduire n’importe quel tableau de maire. 
J'en suis fière malgré l'handicape de mon parlé,
de ne savoir lire ni écrire. Je m'exerce 
inlassablement rien n'y fais et cette épreuve me
fatigue énormément.
Mois d'octobre 1974.
  Je reçois la visite d'un contrôleur médiale
envoyé par la caisse d’assurance maladie. A ce 
moment je suis en train de reproduire un tableau

d'après une photo.
   Sa venue me choque un peu, une peur envahie
mes pensées. Sa présence va elle nuire mes 
revenue ?
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-  Bonjour monsieur, je me trouve bien chez 
monsieur Jean ?
-Oui monsieur.

-   Je suis le contrôleur des accidentés de travail
envoyé par la caisse de sécurité sociale.
-   Bonjour monsieur, comme vous pouvez le 
constatez je tente de reproduire un tableau a 
l'huile d'après une photo.
-  C'est une bonne initiative monsieur Jean, 
pouvez vous me remplir ce questionnaire au sujet
de votre accident de travail ? 
-   Monsieur l'inspecteur, je ne sais plus lire n'y
écrire le choque m'a privés de certaines faculté.
Je tente de lire les titres des pages du journal et
n'arrive à retenir que le A, le L, et le S ainsi que
sa prononciation. Cet exercice me fatigue 
énormément par contre faire de la peinture me
soulage et me rend objectif.
-   Monsieur Jean je suis venu pour vous donnez
quelques conseils au sujet de votre remise à 
niveau et je peux vous inscrire dans un centre
pour handicapé où ils ont des outilles nécessaire
pour que vous retrouvez vos facultés.
-   Je ne peux accepter cette offre car l'ai honte
de mes incapacités.
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-  Vous savez monsieur jean, votre handicape n'est
pas aussi grave que vous le pensé car d'autres 
personnes plus atteintes que vous y sont inscrit.
Monsieur Jean vous souvenez vous de votre 
accident ?
-   Je n'ai le moindre souvenir je ne retiens qu'une
chose , lorsque je commence a sentir des douleurs
je me suis rendu compte que je me trouve dans un 
hôpital et que je dois réapprendre a utiliser les leçons
de le vie.
-    Comme je vois vous arrivez a vous réadapter 
parfaitement et qu'envisagez vous pour votre avenir ?
reprenez vous me même métier ?
-  J'aime mon métier, monsieur, mais je ne sais plus
ce que je faisais auparavant ? En plus je n'arrive
a lire n'y écrire.
-   Monsieur Jean vous avez le journal sur votre
table, vous savez le lire.
-   Notre voisin nous donne le journal et je tente de
le lire comme vous pouvez remarquez j'entoure les 
lettres que je connais. Je les prononcer puis les écrit
pour retrouver l'écriture. En ce moment je suis a la
lettre A et L puis S. Je tente de progresser, je n'y
arrive pas cela me fatigue énormément.
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  Le contrôleur de la sécurité sociale remplie la 
feuille que je du remplir puis me demande de la 
signer. J'hésite sur sa proposition car je ne suis pas
en mesure de comprendre les lignes et luis dis,
-  Monsieur, je ne peux signer cette feuille car je 
ne sais pas lire ci qui se trouve sur ce manuscrit, je 
demande a Mimi mon épouse avant de la signer.
Laissez moi ce document vous pouvez le rechercher 
demain signé.
-   Votre doute a du mordant, vous avez raison 
monsieur Jean , je repasse demain chercher cette
feuille signé de votre part.
  Nous faisons les salutations d'usage.
  Je fais part a Mimi de la visite de cet inspecteur 
de la sécurité sociale et lui fais lire cette fameuse 
feuille que je dois signer. Elle la lit puis me dis,
-  Tu peux la signer Jean il n'y a pas de danger.

( Me voilà sur une perspective a laquelle je n'eût pas
pensé, changer de métier ; oui mais que vais-je faire 
d'autres ? Je ne sais pas lire n'y écrire ?)
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mois de novembre 1974
   la première neige et gelé me force a regarder a 
travers les vitres des fenêtres les mouvements des
passants. Je ne rencontre nulle personne qui 
s'égare sur le trottoir, tous passent a une vitesse
grand V. Peu de personne risque de s'y aventurer.

(Je me met a imaginer ce que font les ouvriers des
chantiers a ce moment et me rend compte que ce 
que je faisais auparavant devient contradictoire. Je
ne mérite pas de retomber dans cet engrenage et je 
tente de mettre en place une autre ambition. Devenir
médecin reste impossible, je suis illettré. J'aimerais 
écrire et lire, je ne sais plus , Pourtant dans le passé
je savais ? Il faut que je retrouve cette raison d'être
car je veux devenir écrivain. Cette incitation me tente
pour cela il faut que j'apprenne a lire et a écrire.)

  Nous entreprenons les démarches auprès de la 
banque pour tenter de connaître le montant du prêt
que nous pouvons engager. La remarque du banquier
ne trouve pas de contradiction a notre projet a par
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qu'il nous fait comprendre que cela sera possible 
lorsque je retrouve un travail.
   Conclusion faite, il faut que je reprend mon travail
mais les médecins ne se risquent pas de m'accorder
leur accord.
mois de décembre 1974
  Une convocation devant 7 médecins, juste avant les
fêtes de fin d'année, est prévu. Cette attention me 
soulage et me redonne du courage. Rester sans rien
faire ne me donne que du mourons. Je peins des 
tableaux mais cela me lasse car je le fait comme par
habitude, il me manque l'entourage d'autres 
personnes.
   Le jour de la convocation je suis un peu perdus,
devant sept médecins il faut savoir bien s'exprimer 
sur les questions qu'ils me posent.
-  Monsieur Jean Avez-vous de douleurs ?
-   Les douleurs quand elles sont continuelle on 
s'en habitue c'est un pincement qui au premier 
acte vous fait un choque électrique
que l'on tente d'éviter en pratiquant cet acte 
différemment. 
  Par la suite une fatigue et une transpiration se fait
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sentir. Certains geste m’handicapes ce qui me pénalise.
Je ne suis plus aussi souple que dans le passé et un 
handicape me donne la nocé lorsque je pense devoir
retravailler sur les toits.
-  Nous comprenons votre inquiétude monsieur Jean 
nous n'accordons aucune fin de convalescence. Votre
mis au repos peut vous rapporter que du bien. Votre 
avenir en sera récompensé, pour nous reprendre le 
travail ne vient pas en ligne de compte.
-  Merci messieurs les médecins pour vos conseilles.
   Aucun des sept médecins ne contredit cette remarque
et ils m'accordent trois mois de plus de convalescence.
Cette remarque me choque, je voulais reprendre le 
travail, me voila trois mois de plus a la maison.
Fin du mois de janvier 1975
  J'arrive a prononcer AL et SA, il me manque SE
pour que je puisse écrire le non du journal de ma
région, (ALSACE) . Je m'y accroche et m’entraîne 
sans modération. Je ne fais plus de tableau car il
faut que j'arrive de nouveau a écrire et lire.
Fin du mois de février 1975.
  Enfin j'arrive a prononcer correctement Alsace et 
a l'écrire. Je suis heureux et fière de moi. Oui cette
réussite devient un exploit. Un nom de journal pas 
plus quant a mon nom comment je l'écrit ?
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J pour commencer, puis E pour continuer puis A 
que je connais et un N qui me paraît inconnu.
Fin mars 1975
  J'arrive par écrire Jean et a le prononcer, je suis
heureux, la victoire trouve le chemin car il me reste
encore beaucoup de lettres a découvrir, j'oublie, et
les chiffres.
  Les premières transformation du printemps 
donnent a la nature des couleurs magiques. Même
nos relations cultivent nos envies, celui de donner
naissance pour le mois d’août  a un enfant.
  Je reçois une nouvelle convocation du médecins
qui ma pris en charge depuis le jour de mon 
accident.
  Me voila présent a cette convocation et j’attends
impatiemment. Plusieurs personnes se trouvent 
dans la salle d'attente et toutes ont l'air bouleversé.
Personne ne dit un mot a part un jeune de mon
âge qui me dit, 
-  Je suis convoqué pour connaître le pourcentage
d’invalidité que m'accorde le médecin chef de 
l'hôpital. Comme je n'ai plus qu'une demis jambe
certainement qu'il me classera dans la troisième
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catégorie, je n’aurais plus besoin de travailler. 
-  Je ne sais pas qu'elle sera mon tôt d'invalidité
je ne compte pas sur une incapacité de travailler.
Mais pour quelle raison te manque t-il une jambe ?
-  J'ai fait une chute en moto en allant au travaille
par la faute d'une voiture qui a grillé un feu passé
au rouge, c'est reconnu comme accident de trajet.
Et toi pour quelle raison te trouves tu ici ?
-  Je suis tombé d'un toit et j'ai plusieurs fractures
cérébrale plus un enfoncement de la cage 
thoracique, je ne sais pas ce qui me sera attribué
comme pourcentage d'invalidité ? Je veux 
continuer sur mon métier de couvreur charpentier.
Ma femme aimerait que je change de métier.
- Te laisse pas abattre et prêche le mal plus tos que
le bien, selon la valeur de ton invalidité monte, 
moins tu auras d'heures a travailler dans ta vie.
Comment tu te nomes ?
-  Jean et toi ?
-  Marc, on se donnera des nouvelles de notre
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pourcentage d'incapacité. Comme je passe avant
toi je te donne mon résultat Jean.
   Plusieurs personnes passent, toutes ont l'air dessus.
Le tour de Marc s'engage, je lui sers mon pousse 
pour qu'il obtienne ce dont il pense, l'invalidité
totale.
   Au bout de 15 minutes le voila de retour. Son visage
trahi un embarassement.
-  Alors Marc qu'as tu obtenue ?
-  Il ma classé en deuxième catégorie, je dois continuer
de travailler a un poste adapté et je ne suis que dans 
la deuxième catégorie, ce qui veut dire que je 
travaille que la demie journée. Bonne chance a toi.
  Une personne passe avant moi, enfin, voila mon
 tour,

-  Bonjour monsieur Jean, prenez place.
-  Bonjour docteur.
-  Montrez mois votre main droite, celle qui fut recasé ?
  Je lui montre ma main droite déformé, elle a l'aspect 
d'une poignée fracturé.
-   Monsieur Jean, je vous accorde 30 pourcent pour 
cette main déformé et 26 pour cent pour le restant de
 vos blessures, ce qui vous met en seconde catégories.
Vous pouvez travailler mais pas a plein temps.
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-  Docteur, je ne veux pas travailler a mis temps mais
a temps plein.
   Le docteur un peu choqué me regarde d'un air 
étonné et dis,
-  Certains ne veulent plus travailler et d'autres ne 
peuvent sens priver, bon, j'en parlerais a la 
commission et selon leur accord le pourcentage 
d'invalidité sera défini. Pour l'instant je vous 
prolonge la maladie pour un mois pas plus. Pour
une rallonge faudra contacter votre médecin 
traitant.
-   Je vous remercie docteur.
  Je retourne dans la salle d'attente où Marc attend
sa femme pour le ramener. Je suis sur la même ligne
car Mimi eut prévu de me ramener0
-   Alors Jean qu'-as tu obtenu ?
-   56 pourcent en deuxième catégorie.
-    Tu as a peu de chose prêt le même pourcentage
que moi avec une demie jambe. Je ne comprend pas
leur résonnement ?
   Je ne souffle mot de ce que j’eus dit au médecin et 
ne répond a aucune question.
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  Sur le chemin du retour je révèle mon pourcentage
d'invalidité a Mimi, elle me dit,
-  Ci je me trouve dans la deuxième catégorie je dois
déclarer comme revenu mon invalidité, en première 
catégorie pas car je touche moins et je peux travailler
normalement.
  Cette révélation me satisfait.
Mois de février 1975
   Mimi se sent fatigué, dans son service trois 
absences pour accouchement trouble le bon 
fonctionnement de l'équipe soignant. 
  Nous recherchons une maison , en ville le prix fort
dépasse celui de la campagne. Nous optons pour 
trouver une ancienne ferme a prix raisonnable avec 
des travaux. Nous tombons sur une maison de 1810
a colombage. Cette maison répond a notre demande
et a mon savoir faire. Je suis persuadé que mes 
capacités sont capable de remettre sur pied et dans 
les norme cette maison.
  Il y a une retenue qui dit que sans travail et un 
revenu mensuel pas question de se lancer. Je 
m'inscrit dans une usine automobile de Mulhouse .
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Je tente mon embauche et comme par enchantement
une convocation suit.
  Pour être embauché, il faut suivre plusieurs testes
psychologiques. Aucune épreuve de grammaire, ouf, 
mais des testes de constructions de pièces à assembler.
Cette épreuve je la passe avec facilité car depuis que
je n'ais plus de plâtre sur la main droite je peux 
travailler avec les deux mains. Un chronomètre suit
le montage des pièces, ma performance dépasse les
autres. La psychologue me félicite pour mes 
performances. Par la suite je passe devant le médecin
du travail qui ne rencontre aucune contradiction.
   Deux jours plus tard, je reçois une lettre qui me
demande de préciser a quelle moment je veut 
commencer a travailler. 
   Je reconnais que le salaire sera moindre d'un trière
mais qu'une sécurité diminue les risques de chuter
et de travailler en plein air par tout temps. En plus de
cela un transport en bus évite l'usure du véhicule 
pour se rendre a son travail. La rente  alloué
complète cette perte.
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  Tous marchent sur des roulettes, je peux entreprendre
les démarches nécessaires pour entamer un prêt auprès 
de ma banque.
  Devenir propriétaire ne vas pas aussi vite que l'on  
pense, il faut passer par le Notaire pour signer les
 papiers de propriétaire .
Fin mars 1975
  Je travail en équipe, ce qui veut dire que je commence
a 4 heures du matin pour terminer a 13 heures 30
pendant 5 jours et les deux jours de la fin de semaine 
je suis au repos.  Dans la semaine qui suit je commence
mon travail de 13 heures 30 pour terminer a 22 heures.
Le ramassage de bus se fait dans toute la région ce qui
me permet de profiter de cette aubaine et garder 
ma voiture dans mon garage.
  J'occupe un poste d'ouvrier spécialisé sur un ensemble
de chaîne de montage. On y rencontre des femmes et un
grand nombre de personnes venant de la Yougoslavie,
d'autres sont de l'Italie, de l'Espagne et de différant
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pays de l'Afrique. Cette manne de langage permet de 
parler différente langues. Je trouve dans cette diversité
de quoi m'instruire en parlant mais pas en écrivant.
Lorsque nous prenons notre pause d'une demie heure
je tente d'écrire et lire des articles. Dans le bus durant
le transport je fais de même.
  A l'embauche j'ai présenté mes examens et mes 
permis de conduire. Je leur fais part de pouvoir rouler
par la suite. Cette demande trouve son objectif mais il
faut avant que j’obtienne se poste patienter durant
6 mois en travaillant sur la chaîne de montage.
Fin avril 1975
   Un second mois de travail sur la chaîne a passé, je
reconnais que ce poste demande une certaine attention
et surtout un rythme qui fatigue a la longue. Sans que
l'on se rend compte le flux interminable fatigue plus
que l'on croit.
Débuts du mois de mai 1975
   Nous trouvons une habitation dans les alentour de 
Mulhouse a 15 km, le bus de ramassage passe ce qui
devient équitable.
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   Pour que le prêt sois libéré la commission fait suivre
l'argent vers le notaire. 
Mois de juin 1975
   Nous contactons la banque pour savoir ci l'argent
se trouve a notre disposition. Il nous font comprendre
 que le notaire dispose de notre argent empreinte. Je 
suis impatient de pouvoir commencer les travaux.

suite au 10/10 



le roman est en cour de construction, des changements
peuvent suivre. Les tableaux sont de la marqueterie 
réaliser par l'auteur, Jean Jacques Mutz.
a ce jour, 05 07 2023, 181 996 lecteurs.
 

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