LE MOUROIR DES LÉPREUX A SPINALONGA ( nouvelle n 44 )

Mirage au-dessus des nuages sage n 1














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LE MOUROIR DES LÉPREUX


         Mon père ma fait part d'un livre de recueille journalier 
de mon grands père que je n'ai jamais eut l’occasion de 
rencontrer. 
   L'écriture, en Grecque, raconte son passé . J'apprends 
par cette voie, que ma grande mère lépreuses et mon 
grand père furent bannie par la société. 
  Cette maladie fut mis en doute et toute la  population 
de Crête  chassait ses malades sur une île qui n'était 
accessible que par bateau.Ils les plaquaient dans  la 
forteresse de kalidona situé sur l’île de Spinalonga.

      Les exclusions systématique des lépreux en 1909, 
suite a la demande de la société de pathologie exotique 
fit regrouper, dans des léproseries, les personnes 
malades par mesure essentielle de prophylaxie. 
     Il y avait  400 personnes qui y vivaient. L'ensemble 
de cette communautés s'organisait selon des corps de 
métiers, comme dans chaque village Crétois. 
  Très souvent il n'y avait qu'une personne touché par
la maladie dans un couple, par prudence le couple dut
y séjourner . 
   Les personnes placés n'eurent aucune aide. Le but fut 
que ce manque de soutient les anéanti plus rapidement . 
Cela n'en fut le cas, au contraire, la statistique sur la 
disparition des personnes ne dépassait pas la moyenne 
de la mortalité des habitants de Crête ??? Étonnant ?  
       Je vous résume cette histoire qui n'eut intriqué.  
Avec  mon voilier je rejoins l’île, 
( coordonnée 35°  17'  45'' N, 25 ° 44' 17'' E)
 pour tenter de m'inspirer de son passé et surtout de 
comprendre comment une population de 400 habitants 

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eut réussi a y vivre aussi longtemps sur une Ile de 8 ha ?

   " La lèpre, est une maladie infectieuse chronique dut a 
     une bactérie proche de l'agent responsable de la 
     tuberculose, elle touche les nerfs périphériques de la 
     peau ainsi que des muqueuses , des infirmités sévères 
     marquent le malade. La lèpre est une maladie peu 
     contagieuse. Longtemps incurable et très mutilante 
     elle avait fait de nombreuses exclusions sociale. A ce 
     jour elle est traitable par prophylaxie"


Résumé du livre de mon grand père.


       Un lundi de janvier 1920, nous devions quitter notre 
prison hôpital de Nikolaos. Ce déplacement  se fit dans
un chamboulement total. Il fallait faire vite, car les gens 
de la ville nous repoussais malgré que mon entreprise 
de bijoux tournait confortablement. 
   La peur de tomber malade les poussait a nous haire. 
Nous ne somme pas pauvre mais l'argent n'achetait pas 

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la peur des gens qui prétendaient que la lèpre de ma 
femme est contagieuse. 
   Ils nous ont tout réquisitionné même nos papiers  de 
famille nos maisons qu'ils ont brulé et les oliviers qu'ils
ont arraché. 
  Nous croyons en Dieu, certain il nous protègera et 
avec La peur au ventre nous acception cette maladie car 
d'après l'église, orthodoxe, c'est un signe envoyer de 
Dieu, une sorte d'obstacle a franchir. 
   Pour mon fils ( mon père ) qui avait ses 15 ans, je me 
suis arrangé avec mon frère pour qu'il le fait partir dans 
un bateau français comme mousse. Certain que la bas 
il pourrait se refaire une vie . 
    L'amour que j'accorde a ma femme n' a pas de limite 
je ne l'abandonnerais jamais et décide de l'accompagner 
dans la forteresse de Kalidona sur l’île appelé Spinalonga. 
   Nous débarquons du bateau qui nous eut déposé 
devant la forteresse de Kalidona , plusieurs personnes 
font partie de notre convois.

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La peur nous emportent vers un cite qui jusqu'à présent 
fut inconnu pour certains de nous autres mais pour moi, 
pécheur durant mes temps libres, il m' arrivait que je 
passais par la lorsque je faisais des achats a Elounda . 
  Cette ile forteresse construite en pierre, ne laissait peut
de place a un seul arbre ni a une haie vivante. Entre les 
hauts murs de cette Ile, des ruelles très étroite étaient
ombragé. Quelle chance car le soleil brulait tous la où 

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ses rayons passaient. Nous arrivons dans un fort où 
toutes les maisons sont en ruine. On vas avoir du pain
sur la planche pour les reconstruire. Notre parfaite 
harmonie entre artisan, conjugue un savoir faire qui 
se partage sans aucune retenu. L'entre aider est la clé
de la réussite. Le respect de chacun permet de se mettre
en valeur en y plaçant une emprunte qui défini son métier. 
   Moi ,on m'appela le joaillier, a coté de notre maison il y 
a le boulanger ce qui nous permis tous les matins de 
sentir une odeur agréable de miche de pain qui enivre 
notre maison atelier. 
   l’île n'est pas bien grande, pour 400 personnes, les 
habitations sont petite et de plantation il n'en fut pas 
question. Un amoncellement de débrouille fit de nous 
autres de bon compagnons. 
   Quant on quittait Spinalonga en cachette, la nuit, et 
que nous retrouvions un village, personne ne parlais de 
notre situation, il y allait de notre vie. 
   Ma bijouterie rapportait gros car j'allais écouler mes 

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créations dans les ports environnant. La qualité de mon 
or et de mes diamants sont d'une finesse exemplaire. 
Personne ne demande d'où vient toutes cette richesse 
qui nous permit d’obtenir de l'huile de chautmoogra 
auprès des navires venant de l’étranger. C'est elle 
qui nous permettait de soulager les douleurs des 
malades. 
   Notre marchandage est bien rodé  et personne vient 
nous importuner. La société nous a bien bannis et laissé 
pour compte. A nous de chercher une sortie Dieu est
de notre coté, mais pas la société. C'est elle qui nous a
rejeté. 
   Un curé, au visage défiguré,  fait partie de notre 
communauté. Il a du mal a saisir de ses mains 
déformé un objet quelconque.
  Toute la communauté a décidé avec le curé qu'a 
notre mort, que nous lorsque nos corps ne sont plus 
que des os ; que l'or que nous portons revient a l'église 
et comme il n'y a que peu de place dans le cimetière, 
nos os retrouveront la fosse commune situé au fond

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fond a droite des 40 caveaux que recouvres des plaques 
taillé dans de vulgaire roche.
  Je partais souvent, de Spinalonga et ma connaissance 
de chaque grotte et  recoin, où les poissons vivaient, me 
permettaient de ne jamais revenir bredouille.


















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   Dans les collines des alentours et sur les falaises 
escarpé des chèvres ( KriKri ) sauvage permettaient de 
chasser pour rapporter de la viande fraîche. 

   Notre ambition fut grande et un jour la communauté 
décide de faire une nouvelle ouverture, une sorte de
petit port supplémentaire pour que les bateaux arrivent 
accoster facilement.















L'on ne soufflait un mot de la provenance de notre 
richesse et de l'arrivé massive de nombreux bateaux
qui marchandaient.
   Comment peut on obtenir une valeur aussi riche
sans une aide de la société qui nous a bannis ? 
  Le hasard fait bien les chose et Dieu eut guidé notre
pas car nous avions trouvé dans une de ces grottes 
au alentour, un fabuleux  trésor provenait de l'empire 
Ottoman, je marque dans mon livre l'emplacement où 
se trouve ce trésor. La photo vous la dévoile, elle  

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ressemble a  une pyramide vieille de plus de 7000 ans 
dans la quelle une grotte permet de suivre le chemin 
jusqu'à l'emplacement du trésors. 
   Comme tous les notables Crétois  nous ont condamné 
en nous plaçant  sur cette île avec un minimums vitale , 
dans le put de nous faire disparaître , petit a petit . Notre 
pouvoir de disposer de cette  mystérieuse richesse nous 
eut tous sauvé. Malgré que Dieu nous eut envoyer la 
maladie, comme obstacle de la vie, il c'est racheté et nous 
aussi guidé pour trouver ce bien .

   Sur les hauteurs la communauté a  construire un hôpital,  
il a permis de nous soigner. Tous les habitants condamné 
ont vécu normalement. 
   Cette attention a fait réagir la société qui par la suite , 
nous ont placé dans des hôpitaux des grande ville où ils 
nous ont soigner.


       
  












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  Le dernier habitant , le prêtre voulait 
terminer sa vie sur l’île comme Hermite , il  
y vécu jusqu'en 1962. 


                                JJM
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  La nouvelle est en cour de construction 
des changements peuvent suivre. 
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain 
amateur.
 En Grec












Commentaires

je garde de cet endroit un profond souvenir , une sorte de sentiment que je partage avec vous par respect de ceux qui y ont passé une partie de leur vie presque dans l’oubli.

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