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Affichage des articles associés au libellé slam

AMER ( slam n 45 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 AMER Amer, c'est la mer, Amer, c'est la chair, Amer, c'est la terre, Amer, c'est la raison. J'avale une salive amer, Celle de ma chanson. Elle a le goût vulgaire, D' une conclusion. Amer, c'est la mer, Amer, c'est la chair, Amer, c'est la terre, Amer, c'est la raison. Mon estomac se rétracte, Pour digérer ce faut jeton. Cette mélasse acide, Digne d'un oignon. Amer, c'est la mer, Amer, c'est la chair, Amer ,c'est la terre, Amer, c'est la raison. Je dois me taire, Comme un poisson, Pour que reste sur terre, Ce véritable poison. Amer ,c'est la mer, Amer, c'est la chair, Amer, c'est la terre, Amer, c'est la raison. JJM Auteur Jean Jacques Mutz. Ecrit le 21 05 2019, remis a jour le 06 07 2021. A ce jour, 06 07 2021, 155 603 lecteurs. A ce jour, 19 08 2025, 210 440 lecteurs. Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 06 12 10. A ce ...

A DIEU DIT LE PÈRE ( slam 40 ) en USA

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Mirage above the wise clouds n 1     TO GOD SAYS THE  FATHER  Oh, God says the Father,   have you noticed,  All the misery  continues to increase?  I'm wasting my time talking  to our God!  Oh, revered Father,  have you contemplated,  All these stupid wars  that they have cultivated ?  I'm wasting all my time talking  to our God !  Oh, Christ  that we have all almost forgotten,  Indicate the balance  to bring us together ?  I'm wasting my time talking  to God !  Oh Mohammed  who was so revered,  Give the right words  to guide us ?  I'm wasting my time talking  to your God !  Oh Bouda,  heavenly and very pure,  Show us the river  which is not impure ?  I'm wasting all my time talking  to your God !  Oh just  and therefore venerable Messiah,  Hear our regrets  from the lamentable wall ?  I'm wasti...

COUPABLE (slam n 78)

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Mirage au dessus des nuages  sage n 1 COUPABLE  Somme nous  des coupables, De notre sort lamentable, Par le mal qui nous enivre, D'avoir perdu la raison de vivre ? Lorsque l'homme cultiva la terre, Avec son savoir et sa chair, Il s'adonnait avec passion, Pour moissonner par raison. Somme nous des coupables, De notre sort lamentable, Par le mal qui nous enivre, D'avoir perdu la raison de vivre ? De loisir, il n'en consomma point, Son travail trôna son refrain, Mais souvent, souvent il eut faim, Car il n'obtenait très peu de pain. Somme nous des coupables, De notre sort lamentable, Par le mal qui nous enivre, D'avoir perdu la raison de vivre  ? Sa gaieté se mariait avec l'envie, D'aimer ce qui est jolie, très jolie, Il  produisent plus que de coutume, Pour que les dirigeants s'en accumulent. Somme nous des coupables, De notre so...

LA VIE N'A DEUX PAREILLES ( slam 98 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 LA VIE N'A DEUX PAREILLES. Aucune vie n'est immortelle, Toutes sont ponctuelle, Une sorte d'horloge, A la fin nous interroge. Le printemps de notre jeunesse, Habille notre avenir de richesse, D'un savoir faire qui guide Aucune vie n'est immortelle, Toutes sont ponctuelle, Une sorte d'horloge, A la fin nous interroge. Nos souvenirs nous marquent, De ces beau passage partagés,  Avec tous ceux qu'on a aimé. Aucune vie n'est immortelle, toutes sont ponctuelle, Une sorte d'horloge, A la fin nous interroge. Nos songes font tic et tac, Histoire de prendre une clac, D'une fasse qui nous démarque. Aucune vie n'est immortelle, Toutes sont ponctuelle, Une sorte d'horloge, A la fin nous interroge. La sagesses prime l'allégresse, Une façon de gérer nos reflex, Sans trouver de complexe. Aucune vie n'est immortelle, Toutes sont ponctuelle, Une sorte d...

OUBLIER C'EST MA NATURE ( slam 99 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1. OUBLIER C'EST MA NATURE. Je recherche la trace, De cet amour qui me nargue, Car il est partie, sans un bruit, En pleine nuit. Je n'ai pas compris, Que sans elle, tout semble finie, Ces belles journées gracieuse, Où nos corps étaient unie. Je recherche la trace, De cette amour qui me nargue, Car il est partie, sans un bruit, En pleine nuit. Je pleure sans un seul bruit, Mes larmes n'ont de suivi, Mais mon coeur reste meurtrie, Sans définir ce qui me nuit. Je recherche la trace , De cet amour qui me nargue, Car il est partie, sans un bruit, En pleine nuit. Ma plume me tient compagnie, A toute heure, elle me sourie, Cette sourie que je manie, Pour effacer mes ennuies. Je recherche la trace, De cet amour qui me nargue, Car il est partie, sans un bruit, En pleine nuit. Le souvenir n' a de frontières, Il traverse les océans , Les montagnes et cours d eau, Sens rencontrer  de pr...

Echange ( slam n 113 )

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Mirage au dessus des nuages sages n 1 Echange entre pays. L'échange entre pays va bon train. La valeur fait son chemin, D'un coté, la main d'œuvre abordable, Permet de mettre en évidence, Des produits très bon marcher.   L'échange entre pays va bon train. On arrive a confectionner, Toutes sorte de denrées, Des médicaments utile, Et des appareilles de toutes sortes.   L'échange entre pays va bon train. Pour produire un médicament, Il faut faire des recherches, Tester avec qui veut l'essayer, En lui promettant l'immunité.   L'échange entre pays va bon train. Une inattention laisse fuir, Des virus malfaisant, Qui de surcroit nous accablent, A tel point que la santé se dégrade.   L'échange entre pays va bon train. Celui qui exporte a gaffé, Punition oblige de le sanctionner, Avec des sommes a redistribuer, Ce qui se fait sans opposition.   L'échange entre pays va bon train. Pour financer cette amende, Il faut récolter des valeurs, Les trouver sont a ...

LE BAGNE ? ( slam 39 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 LE BAGNE ? Mon travail me lasse de sa coordination ? Je m'y sent enfermé, pour une purification ? Deviendrais-je un dupe a mon intuition ? Qui lassèrent mes pensées et, ma conclusion ? Je me laisse entraîner dans cette tournure ? Qui me traîne vers le centre de la conjoncture ? Serais je avare de toute cette progéniture ? Où peut être mouchard de peu d'envergure ? Cette obligation ne me flatte guerre ,  Je me trouve devants la porte de naguère ? Suis je dépourvu de mes pieds sur terre ? Ou déflaqué de la parole de Voltaire ? Je suis timide , comme cette sorte de poisson ? Que l'on emboîte dans une petit prison ? Pour le traiter a la manière d'un fripon, Pour ensuite le laisser comme un chiffon ? Dans des habitations a loyer modéré, bon ? C'est une vraie humiliation que ce bagne, Pour y vivre et travailler comme une montagne ? Devr...

ST PIERRE SUR MER ET LES HARLEY DAVIDSON ( 89)

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Mirage au dessus des nuages  sage n 1 ST PIERRE ET LES HARLEY DAVIDSON  Ils n'ont pas prit de ride, Ces engins que l'on débrident, Comme ces chevaux prient en furie, Qui ronronnent comme des comprit. Elles n'ont pas perdu leur rive, Ces puissance couleurs qui priment, Avec la nostalgie d'une cavalerie, Qui suit un ordre bien précis. Ils n'ont pas rendu l’âme, Ces vétérans et leur belles dames, Qui les chevauchent avec fierté, Vers des découvertes mécanisé. Elles n'ont pas fendu leur charme, Toutes ces belles mécanique qui planent, Malgré que certains les condamnent, Pour prétendre que leur vitesse est un blâme . Elles restent de justes valeur, Fêtent de mécaniques a croqueurs, Qui  parcourent sans se fatiguer, Des  kilomètres sans rien casser.   JJM Auteur Jean Jacques Mutz. Ecrit le 07 09 2011, remis a jour le 23 09 2020. A ce j...

TU VIENS ( slam 59 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 TU VIENS. Lorsque tu viens me dire, Que la vie n'est qu'un soupir, Je me laisse séduire. Mes journées, j'en fais des loisirs, Que je bichonne avec sourire, Pour une suite de plaisirs.  Lorsque tu viens me dire, Que la vie n'est qu'un soupir, Je me laisse séduire. Mes amitiés, j'en fais des lignés, Faite de passions a dévorer, Que je chérie avec dignités. Lorsque tu viens me dire, Que la vie n'est qu'un soupir, Je me laisse séduire. Mes passions sont des actions, Envoûté de chansons, Qu'on fredonne sans modération. Lorsque tu viens me dire Que la vie n'est qu'un soupir, Je me laisse séduire. Je remercie ma vie et celle d'autrui , Le monde de la joie a l’infini, Le partage de l'amour conquit. Lorsque tu viens me dire, Que la vie n'est qu'un soupir, Je me laisse séduire. JJM Auteur Jean Jacques Mutz. écrit le 02 01 2011, remis a jour...