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Affichage des articles du juin 3, 2019

TE REVOIR / Un texte de Jean Jacques MUTZ

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Mirage au dessus des nuages sage n 1    TE REVOIR Je cherche le parfum de ton visage, Pour pouvoir m’endormir le soir. L'histoire nous a laissé un message, Celui de pouvoir encore se revoir, Malgré les ondes qui nous égarent, Pour nous diriger vers la gloire. Je cherche le parfum de ton visage, Pour pouvoir m'endormir le soir. Mais ma peine reste trop profonde, Car je féconde une pensée, Celle de revivre notre histoire, Chaque fois que tu me dis au revoir. Je cherche le parfum de ton visage, Pour pouvoir m'endormir le soir. L’espoir n'est pas une source de paresse, Il réveille en nous la sagesse, Celle de faire une nuée de prières, Pour revivre notre amour sincère. Je cherche le parfum de ton visage, Pour pouvoir m'endormir le soir. JJM auteur des paroles Jean Jacques Mutz compose et chante par Fanny Rose. sortie le 08 02 2016 a ce jour, 03 06 2019, 111826 lecteurs.

LA MEUTE SAUVAGE ( poésie n 212 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 LA MEUTE SAUVAGE Comme chiens sauvage, qui traînent a tes pieds,   Par des mouvements hostile, se laisse porter, Pour nuire ta personne déstabilisé. Te voila fébrile, devant leur méchanceté,   Qu'un destin fragile, a dut éparpillé, Dans ta demeure que t'a partagé. Leur faire comprendre ce que c'est le partage,   C'est tenter de résoudre un faut langage, Celui de partager la classe des avantages. Dans la meute sauvage il y a un langage,   Celui de prendre ce qui ne se partage, Avec d'autres qui ne sont pas de leur bordage. Garde ta droiture, tu pourras l'emplir,   Car la meute traque, le moindre de tes désirs, Pour pouvoir briser tout sur ton avenir. Nous aussi ont est une meute, mais civilisé,   Car nous remarquons leur instabilité, Qui se heurte a des réactions endiablé. Meute de honte, meuble certaines données,   En ameutant tout ce que vous concré

LA TERRE ET SES REFRAINS ( poésie n 211 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 La terre et ses regains. On la cajole avec amour, Pour en vivre tout les jours, Dans le rythme d'un concoure. En boule elle est maboule, Comme ces divers boules, Qui se tassent sans moule. En fleurs elle est légendaire, De couleurs qui sont chère, Avec ses multiples piquants. Enveloppé dans une sphère, Elle ressemble au soleil le père, Maousse  comblé de mansuétude. Portant on la fait souffrir, Jusqu'à ce que mort sens suive, En la remerciant sans penchant.            JJM auteur Jean Jacques Mutz écrit  le 25 05 2010 a ce jour, 03 06 2019, 111818 lecteurs.