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Affichage des articles du mai, 2019

AU SOUFFLE DU VENT ( poésie n 264 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 AU SOUFFLE DU VENT Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage notre bonheur. Je détient cette bonne raison, De lancer vers tous les horizons, Les paroles propre a cette fusion. Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage notre bonheur. Pour faire circuler cette action, L'écrire ,avec une mission , Les diriger en bonne raison.  Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage notre bonheur. Le vent de la toile les traîne, , Sous forme d'ondes qui nous enchaîne , A la raison de vous séduire. Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage notre bonheur. Ils n'ont acquit de tempête, Dans le virtuelle du net, Toutes mes lignes honnêtes.  Au souffle du vent je lui dédis, Ces belles phrases qui prédisent, Que la joie partage

AIMER SANS DÉTOUR ( poésie n 276 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 AIMER SANS DÉTOUR Durant vingt quatre heures, Notre amour épouse la journée. Pendant 7 jours , on y pense, Pour ne point oublier. Quatre semaines fructifient, La valeur de nos pensées. Douze mois cultivent, Une année de clarté.     Notre amour a tout gagné, L'unité et la loyauté. Notre bonheur s'envole, Vers l’espace de la liberté. Celui de s'aimer a jamais. JJM auteur Jean Jacques Mutz A ce jour, 04 10 2011,  2978 lecteurs a ce jour, 31 05 2019,  111752 lecteurs.

FRANCHIR LES ENNUIES ( slam 95 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 FRANCHIR LES ENNUIES Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. Il y a des marques dans la vie, Qui nous tracent nos suivies, Pour cette raison que l'on écrit, A ce que l'avenir le lit aussi. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. La grâce c'est quant on les lit, Toutes ces phrases enchérie, Du passage dans cette vie, En poussant la porte de l"infinie. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. La promesse reste là, voila ? Dite moi pour qui, pour quoi ? Je pleure des larmes de valeurs, Comme une source de vapeur. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. Notre promesse eut les atouts,  Ceux qui conjuguent les sentiments,  Qui prédisent de bon moment, Avec plein d'arguments.  Je reste seule avec l'ennui Quant le temps égare l'oubli.  JJM Auteur ama

L’ABÎME ( poésie n 55 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 L'ABÎME Dans le fond de l'abîme il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Dans la tournure de ce monde il y a toi, Ce toi majuscule ,où l'on rencontre une virgule. Dans le fond de l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. La marque d'une interdiction te donne, Le droit qui efface  cette virgule avec une gomme Dans le fond de l’abîme, il y a  l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Une lumière guide tes écrits vers un suivi, Qui dit que ce que tu mimes  n'a pas de prix. Dans le fond de l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. La précision de tes suivi sont claire, Comme le charme de tes pensées  en chaire. Dans le fond se l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Te croire , c'est te suivre  comme un père, Pourtant tu me parais pas s'

VUE SUR LE LOT ( poésie n 53 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 VUE SUR LE LOT De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur,  Qui cherche chemin . Dire que les gens,  Me trouvent bien, Sur mon traçais , Que porte mon destin . De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur,  Qui cherche chemin. Je m'appelle lot,  Ça c'est certain , C'est écrit sur,  De vieux parchemins. De mon perchoir, Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son chemin.  Je traverse des villages,  Aux pierres chaudes,  Mâcone il y bien longtemps.  Je dirais plus de cent ans De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son chemin. Le pont de V alantre, Me montre sa face, Et le diable au centre,  Ne me fait pas menaces. De mon perchoir, Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son Chemin.  Cahors capital des gourmands,  Qui  nourri les visiteurs du lot, Comme des amants, avec des truf

DU BLÉS ( poésie n 154 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 DU BLÉS La couleur or,  Immonde les champs, Le blé a fini de mûrir,  Il faut le récolté. Venu de nul part,  On s'active dard-dard, Naissent des botes,  Qu'il faut charger. Sur de charrettes,  En bois ferré, Bien équilibré, Pour les déplacer.  Deux chevaux,  Y sont attelé, L 'orage gronde,  Il faut ce dépêcher.  L'humidité peut gagner, En risquant de gager, La récolte du blé, récolte.  Sans pouvoir l'engranger. On s'affaire et se bouscule,  Dans un rythme e freine,  Il n y a pas de doute,  La récolte doit être rentré.  La tempête gronde, Il faut accélère,  De rentrer notre gagne pain,  A la couleur doré.          JJM     Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 28 01 2010. Rémi à jour le 18 05 2019. A ce jour, 18 05 2019  ,111391 lecteurs.

LA DÉPRESSION ( poésie n 277 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 LA DÉPRESSION Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. C'est triste de se faire tirer de la sorte, Dans un cumul pour qui trotte une note. Une motte la stop comme un hôte, Qui se moque de la maintenir de la sorte.  Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Le destin devient fragile lorsqu'on importe, Une fragilité d'intention malpropre. La voila bloqué, maintenu dans sa cage, La où il n'y a plus de passage de nuages. Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Elle s'y décompose sans un présage, Avenir, de pourrir comme un grand mage. Mais l'image d'un vrai

Il n'y a pas d'heure ( n 300 poésie )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 IL N'Y A PAS D'HEURE Il n'y a pas d'heure, Pour rire sans mot dire. Il n'y a pas d' heure, Pour souffrir sans flétrir. Il n'y a pas d'heure, Pour tous vous dire. Il n'y a pas d'heure, Pour tous garder est gémir. Il n'y a pas d'heure, Pour aimer son pareille. Il n'y a pas d'heure, Pour dire qu'elle m'émerveille. Il n'y a pas d'heure, Pour déclarer mon amour. Il n'y a pas d'heure, Pour te dire, je t'aime toujours. JJM Auteur Jean Jacques Mutz Ecrit le 06 11 2013 A ce jour, 21 02 2019, 109540 lecteurs. A c jour, 21 02 2019, 111266 lecteurs. 

LE FROID ( poésie n 291 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 Le froid Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. La bisse souffle un vent glaciale, Mes narines collent comme du cristal, Et mes mains, emmitoufle, sont gelé, Mes oreilles , rouge, sont collé. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous caresse par sa fraîcheur, Ce souffle venu des profondeurs, Qui nous enivre avec une rancoeur, Sans nous laisser de sueur. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous oblige de se couvrir, De laine, pour ne point frémir, Car, quant on tremble de froid, La maladie risque de passer par là. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe av

MON CORPS ( poésie n 250 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 . MON CORPS Mon corps est bien enserré, Une forme que j'aime énoncer. J'en suis très  fière, Pour celle qui la germé. Comme pour celui? Qui par bonheur ma façonné. Je leur doit le respect, Sur toute ses données. De mes muscles solides, Et mes gestes équilibrés. Mes pensées me guident, Vers un avenir estimé. Cet onagre de satisfaction, Je peux le comparer, A cette oie sauvage , Qu'on a du mal a attraper; Au signe apprenant a voler, Ou a celui d'un aigle , Qui survole une contrée. Voila mon ensemble, De chair et d'idées, Une dévotion qui mène, Jusque dans mes rêves. Je le confie aux lecteurs, Qui y plonge leur pensées. JJM  Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 05 11 2010. A ce jour , 11 05 2019, 111  248 lecteurs.

DANS MON CLOÎTRE ( poésie n 274)

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Mirage au dessus des nuages sage n 1.  DANS MON CLOÎTRE Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin ,pour un rien, Il enferme dans ses murs, la culture d'un lien De profond couloirs ont consolidé, Mes pensées libre de vous raconter, Que les péchés venu des autres , Mérite d'être exprimé par mes pensées. Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin, par pour un rien, Il enferme dans ses murs, la culture d'un lien Je me heurte  a des colonnes romantique, Qui soutiennent des voûtes magnifique. Sont ils l'oeuvre de maudis, Ou le charme de ce qui est permit ? Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin, pas pour un rien, Il enferme dans ces murs la culture d'un lien.                                                       Dans ce palais  fait de pierres antique, Je retrouve mon onde théorique.

LES GOURMANDS ( poésie n 296 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 Les gourmands, les gourmands sont des gens Qui se nourrissent de l'argent, venu du savoir faire des passants. Les gourmands sont des gens, Qui part instinct et sans virgule, Accumulent par enchantement. Nos gourmands, on les distingue, Plus tard dans leur comportement, Fait de valises a cautionnement. Nos gourmands ont besoin de zéro, Avant la virgule dans leur placements ? Pour cet argents venu de quelque part ? Nos gourmands on les place au firmament, Vu leur réussite d'accumuler facilement, Pour diriger l'ensemble de brave gens. JJM Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 04 04 2019 remis à jour le 0505 2019. A ce jour, 05 05 2019,  111011 lecteurs.

IL NE RESTE QUE DU VIDE ( poésie n 293 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 IL NE RESTE QUE DU VIDE Transformez la place où je suis née, En un immense champs de blé, Avec des violettes des coquelicots et des genets. Dans la classe de mon enfance, Il ne reste que les ruines de pierres, Pas la trace d' un tableau noir.  Transformez la place où je suis née, En un immense champs de blé, Avec des violettes des coquelicots des genets. De l'usine où j'ai travaillé, Il reste des chemins éventrés, Des enchevêtrements de fer rouillé. Transformez la place où je suis née, En un immense champs de blé, Avec des violettes des coquelicots des genets. Dans ma région jadis très peuplé, Il ne reste rien de ce bonheur, Fait de chants qui nous émerveillaient. Transformez la place où je suis né, En un immense champs de blé, Avec des violettes  des coquelicots et des genets. Les temps c'est écoulé, rapidement, A la vitesse d'une horloge d'appartement, Pour t'éloigner de ces bea

QUESTION ( 1 )

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Mirage au-dessus des nuages sage n 1 QUESTION                       Le manque de liberté définit une infériorité discriminatoire, elle prouve que la victime est sous pression. Ce manque de parité partage les humains en deux éléments inégaux. Le mâle aura raison et la femelle récolte la pression.          Question,      Pour quelle raison acceptons nous ces façons ? Notre égalité sur l’Être humain ( femme ) n'est il pas en danger ? Ne doit on pas rajouter au ( Droit de l'homme ) celui de ( Et de la femme ) ? Ou simplement dire ( Droit de l’Être humain ) ? JJM Auteur Jean Jacques Mutz.  A ce jour, 14 04 2011,  1625 lecteurs de 40 pays. A ce jour ,19 03 2013,  52455 lecteurs de 65 pays  À ce jour, 02 04 2019, 110907 lecteurs.