DANS MON CLOÎTRE ( poésie n 274)

Mirage au dessus des nuages sage n 1.



 DANS MON CLOÎTRE



Dans mon cloître je me suis égaré,
Pour faire valoir mes pensées.
Le vide n'a de recoin ,pour un rien,
Il enferme dans ses murs, la culture d'un lien

De profond couloirs ont consolidé,
Mes pensées libre de vous raconter,
Que les péchés venu des autres ,
Mérite d'être exprimé par mes pensées.

Dans mon cloître je me suis égaré,
Pour faire valoir mes pensées.
Le vide n'a de recoin, par pour un rien,
Il enferme dans ses murs, la culture d'un lien

Je me heurte a des colonnes romantique,
Qui soutiennent des voûtes magnifique.
Sont ils l'oeuvre de maudis,
Ou le charme de ce qui est permit ?

Dans mon cloître je me suis égaré,
Pour faire valoir mes pensées.
Le vide n'a de recoin, pas pour un rien,
Il enferme dans ces murs la culture d'un lien.
                                                     

Dans ce palais  fait de pierres antique,
Je retrouve mon onde théorique.
Celui de prêcher la culture,
D'une paix de villégiature. 

Dans mon cloître je me suis égaré,
Pour faire valoir mes pensées.
Le vide n'a de recoin, pas pour un rien,
Il enferme dans ses murs la culture d'un lien.

Je deviens un apôtre pure, des plus dure,
Comme le gris que retient ces murs
Ma grandeur devient irréelle,
Dans ce mirage artificielle.

Dans mon cloître je me suis égaré,
Pour faire valoir mes pensées.
Le vide n'a de recoin, pas pour un rien,
Il renferme dans ses murs la culture d'un lien.

Mais le jardin reste magnifique,
Quant la propreté retient le magique.
Devant ces sculptures a l'air pure,
Ils ont un but, définir leur nature. 

Dans mon cloître je me suis égaré,
Pour faire valoir mes pensées.
Le vide n'a de recoin, pas pour un rien,
Il renferme dans ses murs la culture d'un lien.

Comme le font ces beaux vitraux,
Fait de splendeur et de raison. 
 Au dessus de ces ranger de pierres,
Rongé par le temps et le mystère.

Dans mon cloître je me suis égaré,
Pour faire valoir mes pensées.
Le vide n'a de recoin, pas pour un rien,
Il renferme dans ses murs la culture d'un lien.

Quant a la hauteurs des voûtes,
Elles me troublent il n'y a pas de doute.
Mais je garde dans mon coeur,
La lueur d'un soleil qui m'éclaire.

Dans mon cloître je me suis égaré,
Pour faire valoir mes pensées.
Le vide n'a de recoin, pas pour un rien,
Il renferme dans ses murs la culture d'un lien.


D'une plage la semence faite de liberté,
Ou les vagues libre, viennent se briser
Quant vient le soir, là, je retrouve,
L'image sage d'un nouveau retour.
Celui du prochain  nouveau jour.


JJM
Auteur Jean Jacques Mutz. 
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