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Affichage des articles du mai 15, 2019

LA DÉPRESSION ( poésie n 277 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 LA DÉPRESSION Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. C'est triste de se faire tirer de la sorte, Dans un cumul pour qui trotte une note. Une motte la stop comme un hôte, Qui se moque de la maintenir de la sorte.  Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Le destin devient fragile lorsqu'on importe, Une fragilité d'intention malpropre. La voila bloqué, maintenu dans sa cage, La où il n'y a plus de passage de nuages. Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Elle s'y décompose sans un présage, Avenir, de pourrir comme un grand mage. Mais l'image d'un vrai

Il n'y a pas d'heure ( n 300 poésie )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 IL N'Y A PAS D'HEURE Il n'y a pas d'heure, Pour rire sans mot dire. Il n'y a pas d' heure, Pour souffrir sans flétrir. Il n'y a pas d'heure, Pour tous vous dire. Il n'y a pas d'heure, Pour tous garder est gémir. Il n'y a pas d'heure, Pour aimer son pareille. Il n'y a pas d'heure, Pour dire qu'elle m'émerveille. Il n'y a pas d'heure, Pour déclarer mon amour. Il n'y a pas d'heure, Pour te dire, je t'aime toujours. JJM Auteur Jean Jacques Mutz Ecrit le 06 11 2013 A ce jour, 21 02 2019, 109540 lecteurs. A c jour, 21 02 2019, 111266 lecteurs. 

LE FROID ( poésie n 291 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 Le froid Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. La bisse souffle un vent glaciale, Mes narines collent comme du cristal, Et mes mains, emmitoufle, sont gelé, Mes oreilles , rouge, sont collé. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous caresse par sa fraîcheur, Ce souffle venu des profondeurs, Qui nous enivre avec une rancoeur, Sans nous laisser de sueur. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous oblige de se couvrir, De laine, pour ne point frémir, Car, quant on tremble de froid, La maladie risque de passer par là. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe av