Combattre pour le futur (roman sentimental 4/10)

Mirage au dessus des nuages sage n 1

Combattre pour le futur 4/10












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 mercredi 15 05 1974 8 heures 30.


  Mimi attend impatiemment jusqu’à ce que le 
personnel du service de radiologie ouvre. Elle 
se rapproche de moi et dit, 
-   Jean tu as mal ?

  (Je ne hurle plus de douleur, je suis sage comme
une image. Oui mais,)

-    Jean qu'as tu fait de ton plâtre ? 

( Je ne fait aucun geste, je reste tranquille et
attend. Je ne ressent aucune douleur)

  Sœur Anne vient trouver Mimi,
-    Je te donne un coup de main pour emmener
     le lit dans la pièce où l'on fait des radios puis
      le plâtre.
-    Mais Sœur Anne comment vont il casser le 
     poignée ? 
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Mercredi 16 05 1974 A 10 heures

  Les radios sont fait et le radiologue dit,
-  La fracture ne se consolide pas bien, le
   poignée est en baïonnette, il faut le cassé et 
   refaire le plâtre.
  Le médecin qui auparavant l'a découverts 
suit mon lit dans une pièce indépendante. Il 
attache la main en hauteur avec un tissu, 
puis prend un marteau en caoutchouc et 
frape de toute ses forces sur le poignée. 
    Rien n'y fais pas de cassure. Il tente de 
nouveau et pas de résultat.
-  Mimi veux tu tenter de le casser ?
-  Non docteur je n'ai pas le courage.
  Le médecin tente de nouveau en rallongeant 
la frappe du marteau. Rien ni une troisième
fois et la cassure se fait.
-  C'est bon Mimi on peut refaire le plâtre après
   avoir refait une radio.

(Je ne sent aucune douleur, mon poignée fut

 endormie. Je n'est rien vue non plus.)

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Mercredi 14 heures.
    Mimi se trouve a mes cotés lorsque je dis les
premières paroles.
-   J'ai faim et soif.
-  Je te donne a boire, et de quoi manger.
  Cette amélioration satisfait Mimi qui trouve 
dans mes réactions une suite remplit d'espoir.
Elle ne tarde a annoncer cette performance 
au service médicale qui comme elle en sont
enchanté. Mimi retourne a son poste de travail
où la aussi elle divulgue mes paroles.
  Mes progrès augmente d'heures en heures.

 Jeudi 17 05 1974 A 7 heures.

   Sœur Anne se trouve a mes cotés avant la venu
de Mimi. Mes réactions sentimental sont en 
effervescence, j'attire Sœur Anne vers moi. Je ne 
sais pas quelle femme fait partie de ma vie, toutes
sont aussi jolie l'une que l'autre et très serviable.
  L'instinct humain a certain besoin, ces actions 
qui attisent des sentiments sentimentale. Je suis
attiré par Sœur Anne, et lui dis, 
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-  Vient dans mes bras,
-   Cela ne se fait pas Jean tu es marié avec Mimi
    et moi j'ai fait ma promesse a Dieu.
-    Mais ci, vient dans mes bras, je t'aime de tout
     mon cœur.
Mimi a du retard, elle arrive,
-  Sœur Anne comment vas Jean ? A il passé 
une bonne nuit ? 
-   Oui Mimi, il ne sais pas plein et vas d'évolution
    en progrès, ses instincts se réveillent.
-    Je te remercie de l'avoir surveillé cette nuit.

(Je suis encore sur mon étoile, mais je réagi 
d'une drôle de manière. Pour moi toutes
les femmes sont belle et attirante.)

  Mimi et Sœur Anne font le lit, me changent les 
draps et mes sondes , me préparent un thé et 
un petit pain fourrée au chocolats qu'elles me
donnent. Je n'arrive pas a utiliser mes mains, 
la main droite a un plâtre et celle de gauche ne
répond pas.
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   (Cette sonde pour mes besoins me languîmes, je
ne supporte plus de me trouver obligé de faire
mes besoin couché et dis)

-   Je veux me lever pour allez au toilettes.
-   Attend Jean nous t'aidons car tu tentes de 
    marcher pour la première foi.

  (Les deux femmes me tiennent de chaque côté 

puis me diriger vers les toilettes. Je tente de me

tenir sur mes pieds, mais aucune force ne me

soutient, des vertiges me déstabilise, je tombe

sur mes genoux.)

- Tu voix Jean marcher ne s'apprend pas aussi
   vite, il faut faire venir du personnel qui sait 
   comment te diriger dans tes intentions pour
   te déplacer.
-   Mais je ne veux plus rester couché là, je veux
    me déplacer sans l'aide de qui que se sois.
- Pas si facile, tu as perdu 20 kg depuis que tu es
   couché là. Tes  forces et ton équilibre aussi. 
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(je me suis senti fort sur le moment, mais lorsque

la force de mes pieds ont flanché je me suis rendu

compte qu'il me faut encore pas mal de jours 

d'hospitalisation.) 

   Cette tentative m'a fatigué, a telle point que je 
me suis endormie.

jeudi 19 heures.

 Mimi se trouve dans ma chambre avec Anniesse 
qui prend part de s tournée de nuit. Elles se 
partagent les consignes tout en  faisans mon lit et 
change les draps et sonde. Je leur dit,
-   Je veux allez au toilette de moi même.
-   Mais Jean tu ne tient pas sur tes pieds, 
-    Les sondes m'embête, je ne les supporte plus.
-  Bon nous allons faire un essai ensuite on te fait
    la toilette.
  Cette tentative est la bonne, j'arrive avec deux 
infirmières a me diriger vers les toilettes et de me
placer sur occuper le trône.

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(Ce déplacement me soulage et me donne un 

réajustement de mon savoir faire. Je tient le coup de

rester assis pendant vingt minutes, seul. Cette nuit

là je me suis endormi comme un loir)


Vendredi 18 05 1974 A 7 heures.

   Aniesse se trouve dans ma chambre, bien vent Mimi.
Elle me demande, 
-   Jean comment ça vas ce matin ? 
-   J'ai bien dormi cette nuit sans la sonde.
-   Doit tu allez au toilette ? 
-   Oui, mais je n'arrive pas tout seul.
-   Peut tu attendre que Mimi me donne un coup de main
    pour t'accompagner ?
-   Oui, je me retient.

(Je dois me retenir car en cas de fuite elles vont me 

remettre la sonde ce que je n'aime pas.)


  Mimi entre a 19 heures 15.
-  Comment tu vas Jean ?
-   J'ai bien dormi cette nuit sans sonde mais j'aimerai
     aller au toilettes. Peux tu m'aider ? 
-   Nous allons t'aider Aniesse et moi.
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  Me voilà dans les toilettes, j'arrive par me retenir au
lavabos sans qu'une personne me soutient, j'en suis 
fière. 
  Cette action devient un exploit. 

(Je me regarde dans la glace et suis choqué par l'état 

de ma tête bandé, des zones de toutes les couleurs 

entourent mes yeux rouge et des dents qui me 

manquent a l'avant. De mon oreille cousu et de 

mon plâtre sur le bras droit qui me déstabilise, mais 

malgré cela j'arrive a me baiser sur le trône sans 

une aide quelconque.)

  Mimi et Aniesse ne font le lit pendant que je suis
au toilette. 
-  Jean tu nous dis quant on peut venir te rechercher.
-  Oui je vous appelle.
  j'ai terminé comme elle aussi. Je les appelle,
-   Pouvez vous me donner un coup de main pour
    que je retrouve le lit.
 les deux filles dissent en même temps,
-   Nous venons Jean.
  Le temps qu'elles viennent a mes coté je me suis 
levé et tente d'avancer. Un vertige me déstabilise, 
j'ai besoin de leur aide pour me déplacer.
  Me voilà de nouveau dans le lit.
-  Jean nous prénom un petit déjeuné dans la 
    cuisine, puis je t'apporte le tient.
-  Merci de votre part, je vous attend.
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(Ce parcours m'a fatigué, je plonge dans un sommeil

mérité. Le bruit du mouvement dans l'hôpital ne 

me dérange pas, la fatigue m'appris dans ses bras.)

Vendredi 10 heures.

(J'entends des termes médical qui évoquent ma 

personne. Des rapports que le personnel soignant 

énoncent je ne suis pas réveillé.)

vendredi 11 heures.
  Un enquêteur vient me questionner,
-    Vous êtes bien monsieur Jean 
-    Je ne sais pas on m'appelle comme cela ?
-    Que vous est il arrivé ?
-    Je ne sais pas.
  Le docteur vient a mes coté,
-   Il n'a pas récupéré toutes ses facultés il 
    faut le laisser se reposer.
-  Merci docteur.
Vendredi 12 heures,
  Mimi vient me donner a manger. J'arrive a
mâcher et boire en étant assis.
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Vendredi 19 heures,
  Aniesse se trouve dans la chambre avant Mimi
et s'assoie a mes côtes pour m'embrasser.

(Cette action me choque sur le moment mais me 

gratifie de bonheur. Suis je important  a ses 

yeux ? Mimi me ma jamais embrassé je me 

rappelle de rien.)

  Mimi arrive dans la chambre, elle se rapproche de
moi et me demande,
-  Tu as passé un bon apprêt midi Jean.
-   Oui.
  Je tente de l'embrasser, elle accepte sans refuser.
-   Dois tu faire tes besoins ?
-   Oui, pouvez vous m'aider ?
-    On est là pour cela.
  Durant l'après midi, j'eus fait de la rééducation 
ce qui m'a fatigué mais m'a permis de progresser. 
Lorsque les filles tentent de m'aider dans mon 
déplacement  je les étonne sur mon comportement
mes progrès avancent a grand pas.
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   Je ressemble  a une perche car je n'ai que 60 kg
pour une hauteur de 1 mètre 80,  j'ai perdu 25 kg.
   Au courant de la nuit, Anniesse vient dans ma 
chambre pour y faire une ronde. Je ne suis pas 
endormie et sa présence me soulage. Je me sent
abandonné mais là, je suis de nouveau en pleine 
forme. Elle vient s'asseoir sur le rebord de mon lit .
-   Comment tu vas Jean ?
-  Bien merci, mais il me manque sur qui je peux
    soulager ma peine.
  Elle me caresse le visage, puis me fait la bise. 
Cette réaction me redonne de la force d'aimer et
de continuer de vivre. 
  La nuit se passe sans complication, mais avec
une certitude, celle d'être aimé. 

Samedi 19 05 1974  7 heures.

    Aniesse se trouve dans la chambre avant 
Mimi. Elle vient me faire la bise avec un esprits 
sentimentale. Cette intention me comble. Sur le 
moment je suis émerveillé et même séduit serai se
un appel a un rapprochement plus profond ?  
  Mimi arrive, ensemble, elles m'accompagnent 
aux toilette. Je me déplace avec confiance sans 
perdre l'équilibre.
   Pendant l'occupation du trône, elles font le 
lit. Je reviens de moi même avec succès. 



suite au 5/10 
  



a suivre


Le roman et en cour de montage des changements
peuvent suivre. C'est une histoire imaginaire .
Les tableaux sont de la marqueterie réaliser 
par Jean Jacques Mutz.
Auteur Jean Jacques Mutz.
A ce jour, 05 07 2023, 181 996 lecteurs 


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