Combattre pour le futur (roman sentimental 3/10)

Mirage au dessus des nuages sage n 1

Combattre pour le futur 3/10

suite


29
    la nuit devint jour et le grand  retour donne a certaine
une profonde joie. La victoire eu trouvé les clés du 
combat a mener pour que le futur devient réelle.
-   Mimi tu as gagnés crase a ton obstination.
-   Merci Martine, mais je ne fus pas seule, vous tous 
    avez  contribué a soutenir mon obstination.

(Je l'ai cette sortie qui m'appelle depuis le coma. 

Je retrouve la vie et l'amour de ce que me partage

ceux qui me suivent. Mon subconscient a eut raison

de persister.)

  le médecin de garde vient constater mon réveille et 
soutenir Mimi. Les autres infirmiers et infirmière 
présentent n'en revienne pas. Dans une religion on dit,
-  C'est un miraculé.
30
  Le personnelle médical dit de même, et Mimi enchanté
gagne de la confiance. Mimi ne trouve de sommeille et 
reste a mes cotés jusqu'au levé du soleil. Sa joie 
produit une force effaçant les traces du sommeil.
  L'oiseau se trouve sur le rebord de la fenêtre, comme 
par curiosité. Devrait elle lui raconter que je suis réveillé ?
Mimi lui poses quelques miettes de pain pour le remercier 
de sa présence et de son accompagnement. 
Samedi 10 heures,
  Le compte rendu médical précise que le patient eut 
retrouvé une partie des ses réaction et suit la bonne voie.
  Suite a leur visite, Mimi prendre une douche, et prévois
de rentrer pour annoncer cette bonne nouvelle a son 
entourage.

(Je suis de retour mais ne sais qui est quoi, ce que je

 fais là, le pourquoi  ? Se réveiller détient le signe de la 

vie, oui mais que faire pour continuer ? Je ne sais plus 

rien serais je perdu sans aucun reperd. A qui s'adresser ?)

31
Samedi 14 heures

  (Une nouvelle voix bénéfique m'entoure. Mon subconscient 

 capte cette énergie pour me rassasier de ce vide qui  m'eut

plongé dans la nuit.)

-    Jean tu m'entend ?
  Oui je l'entend, mais qui pourrait bien se trouver là ?
-    Jean fermes  les paupières.
J'obéis et  fais bouger mes paupières.
-    C'est bien Jean,  fais bouger tes doigts.

(Je tente d'ouvrir mes doigts pour libérer les rouleaux de

pansements.)

-    Très bien Jean, tu comprends bien ce que je te dit ? 
     alors bouges tes lèvres.

(J'ouvre et ferme ma bouche.)

-    On a bien travailler ensemble, il faut que tu te reposes
      Jean.
Samedi 19 heures
  Une autre personne vient trouver Mimi.
-    Je vient pour t'aider a faire le lit Mimi et la toilette avant
     de prendre le service de nuit.
-    Merci Martine tu es la bien venu.
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-  pour la nuit prochaine, Aniesse prendra la relève de
   l'équipe de nuit, elle revient des congés.
-  La ton mis au courant de l'état de Jean?
-  Je l'ai personnellement informé, elle fut choqué.

Dimanche 0 heure.

  Martine invite Mimi pour quelle se couche sur le lit
de garde.  Ce qu'elle fait après avoir pris sa douche.
Dimanche 7 heures.
  Martine réveille Mimi, ensemble elle retrouvent ma 
chambre. Sur le rebord l'oiseau du matin se trouve là
comme par curiosité. Une confiance règne, entre 
l'oiseau et le personnel soignant. Quelques miettes 
lui sont posé. 

( Toute petite lumière éclaire la nuit,

 la moindre petite vie réveille l'endormi, sans bruit.

  Les deux jeunes femmes me font la toilette et me

changent les draps, ainsi que les sondes. Le matérielle

de respiration n'a plus raison d’être. Je progresse.)

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  Les deux jeunes femmes partent prendre le petit déjeuné
comblé de petit pains aux chocolats et aux noisettes. 
La permanence du Dimanche se réduit par rapport aux
jours de la semaine. Mais toutes personnes présente 
accompagnent Mimi dans ses intentions.
Dimanche 10 heures.
  Le service médical avec le médecin vient dans la chambre
et prenne notent de mon évolution. Le médecin dit a Mimi,
-  Grâce a ton amour que le patient eut traversé le
   vide du coma, toutes nos félicitations.
-  Merci tous, vous m'avez soutenu.   
  Dimanche 12 heures.
  Mimi quitte l'hôpital car elle est invité chez ses
 parents.

  (Je ne suis pas seul, d'autres ondes m’encouragent 

dans leur présence. Sortir du coma se fait a petit pas, 

je respire sans appareil mais je n'ai aucun sens du

touché n'y de la douleur. L'adrénaline reste en 

action.) 

34
Dimanche 14 heures.
  Mimi entre dans le service et une collègue l'interpelle,
-  Mimi il a bougé la tête et a ouvert ses poignées.
-   Merci Pierrette ce qui tu vient de dire me donne
    du bonheur et me rassure plus que tout.
  Mimi entre dans la chambre et se rapproche de moi,
-   Tu m'entend Jean ?

(Bien sur que j’entends mais que faire ? Je ferme mes

paupière puis les ouvre.)

-  Tu bouges tes paupières c'est que tu m’entend.

(Mimi me parle continuellement, je capte les sons

mais reste bloqué car une incapacité m’empêche

 de répondre.)

Dimanche 19 heures.
  L'équipe de nuit arrive, Aniesse rendre dans la chambre
et dit,
-  Bonsoir Mimi je viens te donner un coup de main avant
   que le service de nuit commence. Je fais ce que les autres
   m'ont dit.
-   Merci Aniesse de ta venu.
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-   Tu sais Mimi nous tous te remercions car  tu le fais sans
    être payé, tu es en vacance Mimi.

(Cette autre voix ne m'est pas inconnu, mais depuis que je

suis sur mon nuage je n'eut l’occasion de l'entendre. Une

nouvelle onde bienfaisante me charge  de bienfait.)

  Elle me font ma toilette, me change les draps et les 
sondes. 

(Je suis de nouveau propre, mais je ne sens pas de

différence, aucun goût,  mon nuage me garde sous 

son ombre.)

Dimanche 19 heure 30.
  Mimi rejoints la cuisine pour manger puis prend une
douche et reste prêt de moi jusqu’à 21 heures. Elle 
prend sa voiture, une R12  et retourne chez elle.
36 

Lundi matin 7 heures.

  Mimi  retrouve ma chambre.

(Je sens une nouvelle présence qui réveille mon 

instinct, il me guide vers un besoin, celui de capter

cette onde bénéfique que produit une personne a 

mes côté. Aucune parfum ne trouble mes pensées, 

je capte le son comme une manne bénéfique.)

  Avec Aniesse, elles font ma toilette, changent mes 
draps et mes sondes. Elles partent dans la cuisine 
pour prendre un café et prendre le petit déjeuné.

(Mes agissements ne sont pas régulier, je laisse fuir

des mots incompréhensibles. Mes cries ne sont pas 

puissant, ils hument des sons.)

Une voix féminine revient prés de moi, 
-   Jean tu m'entends ?

(Oui je l'entend mais que dire, quelle sons faut il 

sortir de ma bouche ?)

-  Jean je suis mimi, tu m'entend ? 

(C'est qui Mimi, je ne sais pas, pour moi c'est une 

personne qui me veut du bien. Je ne lui donne aucune

réaction, pas un geste, pas un son.)
37

-  As tu mal Jean ?

(C'est quoi avoir mal ? Je ne sais pas je reste sur mon 

cocon d'adrénalines qui surpasse mes douleurs.J'arrive

 par bouger la main gauche qui n'a de plâtre.)

  A ce moment Anniesse se trouve prés de Mimi, elle dit,
-   Mimi il bouge sa main gauche
-   Oui je le voie, il revient a lui.
-    A quel moment peut on lui donner a manger Anniesse ?
-    C'est encore trots top il faut demander l'a vie des 
      médecins et leur accord. je termine mon service de
      nuit a ce soir Mimi sera tu là ?
-     Oui j'ai repris mon poste je suis de l'après midi ce qui
       me permet de le trouver de temps a autre durant mes
       poses.
Lundi 10 heures.
  Le service médical fait sa parade et reste dans ma chambre
pour pendre note de mon évolution. Mimi se trouve avec eux
et les questionne,
-   A quel moment peut on lui donner a manger ?
-   Tu peux faire un essais ce midi avec de la soupe Mimi et 
    tient nous au courant de son évolution. 
38
lundi 12 heures.
  L'heure de la soupe pour tous les patients, Mimi prend une 
part  et vient pour me la servir. Elles sont a deux pour tenter
de me donner a manger. 

(Une matière dure et chaude tente de pénétrer dans ma bouche,

je suis choqué par ce que l'on m'impose. Je crache se liquide 

chaude en direction de celles qui tentent de m'imposer un 

liquide inconnue.)

   Les deux filles sont aspergé du haut vers le bas. 
 Elles ont relevé mon lit au niveau de ma tête pour que je
 puisse avaler ma soupe convenablement sans m'étouffer.

(Cette position me permet d’être a leur hauteur et leur

projeter la soupe en pleine figure. Ce n'est pas sage de ma 

part mais mon instinct me guide ainsi.)

  Elles ne perdent pas espoir et refont un essais. Entre temps
la soupe n'a plus la même température.

(Je ressent cette matière dur qui pénétré dans ma bouche, je

reste tranquille sans cracher se liquide qu'elles me fond 

goûter.)

39
 -   Tu arrives a lui donné sa première becté Mimi, c'est
     gagné.
-    Ne parle pas trots vite Martine ce n'est que la premier
      cuiller.

(J' apprécier ce liquide qui a un goût d'encore, je ne peux

dire ce que cela pourrais bien être, du moi ça s'avale sans

le moindre dégoût. Je laisse faire celle qui me nourrie et 

avale sans réaction contradictoire.)

  Il a fallu 20 minutes pour me donner cette soupe.
lundi 13 heures.
  Martine termine l'équipe du matin et l'équipe de apprêt
midi des urgences prend son poste a la suite de l'échange
 des actions a mener.
  Mimi se trouve dans le service de l'urologie qui occupe
un bâtiment a coté.

(Je ne suis pas seul, des infirmières et des médecins 

passent a mon chevet. Cette présence humaine me comble

de bien être. N'importe quelle voix m'attire je ne suis plus

livré a moi même, ce qui me permet de me fier aux 

comportement des autres.)

40.
Lundi 15 heures.
  Mimi vient me rend visite, c'est les 15 minutes  de 
sa pose.

(les barrière de sécurité sont levé, je ne suis plus attaché. 

Cette liberté acquise me donne de l'énergie a revendre. Je

n'arrive a manger seul ce qui oblige le personnelle 

soignants a m'alimenter d' aliments réduit en purée

ou soupe .)

Mimi me donne un yaourts que je consomme sans  
complication.
Lundi 19 heures 30.
 Mimi se trouve prêt de moi, elle me fait ma toilette et avec
l'aide d'Anniesse; puis  reste prêt de moi jusqu' a 
21 heures.

(Cette nuit se passe sans problème je dore sans réveille.)

41
Mardi 7 heures du matin

  Mimi retrouve ma chambre pour changer mes draps 
avec Aniesse et me faire ma toilette. Malgré les sondes
de l'urine passe a coté de la poche. Puis Mimi me fait
boire du thé et me donne un biscuit.

( Je tente de mordre cette matière dur qui frotte sur mes

gencives. Il me manque plusieurs dents a l'avant dut 

au choque. Les biscuits fonde sur ma langue cousue. ) 

  Mimi prend une purée de pommes qu'elle me sert avec
une grande cuillère.

(Cette matière a un coût déférant, que ce qui eut fondu

sur ma langue. J'aime cette substance qui glisse sur ma 

langue. La chambre se vide, je reste seul. )

  Lorsque Mimi a terminé sons petit déjeuné elle quitte
l'hôpital pour faire son ménage et ses courses, Elle  
reviens pour l'équipe d'après midi.
Mardi 13 heures.
  Mimi est a coté de moi, avec la Sœur Anne qui lui
fait part de mon évolution.

(Je ne sais pas qui se trouve a coté de moi, ma vue 

ne donne pas de définition précisé. Le son des voix

non plus. Je me laisse diriger par les intentions 

du personnelle soignant.)

42
  
Mardi 19 heures 30.
  Mimi retrouve ma chambre, elle termine son poste 
pour venir a mon chevet. Sœur Anne est présente 
ensemble elles s'occupent de moi, me change mes draps
et me font ma toilette.

(Je plonge dans un sommeil qui attise ma peine.

Aucune  douleur ne vient interrompre se vide où 

l’adrénaline reste maître de ma personne.)

Mercredi matin 7 heures.

  (Mimi se trouve a mes côté, je suis instable, une 

énergie douloureuse me fait réagir. Je bouge sans

arrêt, mon bras emplâtré me fait mal. Comment le

dire?)

  Aniesse qui est du matin se trouve avec Mimi.
-   Jean, n'est pas tranquille, il doit y avoir une 
    anomalie.
-   Je me suis rendu compte Anniesse je tente de 
    le positionner plus confortablement, donnes moi
    un coup de main pour mieux le coucher.
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(Les deux femmes tentent de me tourner sur le coté.

Ma douleur augmente, je hurle de toute mes 

possibilités.)

-   Quelque chose ne tourne pas correctement il doit
     y avoir une anomalie, peux tu contacter le 
    médecin de garde Aniesse ?
-   Je le contacte Mimi, son crie dénonce une 
     douleur profonde, je ne l'ai jamais entendu
     hurler de la sorte.

(La douleur provient du bras droit, elle me fait 

transpirer. Je ressent comme un frottement qui

m'injecte de l'électricité.)

  Le médecin de garde arrive rapidement, 
-  Que lui arrive il Mimi ?
-   Je ne sais pas, il hurle  a pleine voix docteur.

(Le docteur m’ausculte, me prend la température

puis tente de bouger le bras droit en plâtré. A ce

moment je hurle de toute mes forces.)

  Le médecin dit,
-  Certainement qu'il a le bras droit cassé, une 
   chute du lit certainement.
44
-   Les rehausses de sécurité du lit son resté 
    continuellement docteur ils sont bloqué.
-  Oui je sais car le l'ai remarqué en faisant ma
    ronde. Son adrénaline  doit certainement ne 
    plus les protéger et je pense que la fracture
    c'est mal placé en le plâtrant. Je démonte le
    plâtre pour voir de plus prêt, cherchez moi
    les ustensiles Aniesse.
-  Oui docteur.

(Je sens qu'une main essuie mon visage et le

lave. Ma douleur augmente. Je devient instable.)

  Le docteur découpe le plâtre en longueur 
l'ouvre et fait une constatation,
  -  La fracture du poignée présente une 
     malformation inhabituelle, il faut refaire
     une radio pour définir où elle e trouve.Je
     pense qu'il faut casser le poignée. La 
    cassure ne se ferra pas au même endroit 
    juste a côté.
-   Mais docteur comment vas ton  cassé le 
    poignée ? 
45
-   Si tu veux Mimi je t'invite a participer à
    cette solution.

(Un soulagement profond se fait, lorsque le

plâtre s'ouvre.)

-  Oui docteur je veux y assister.
-  Bon, mais le service de la radiologie n'ouvre 
   qu'a 9 heures Mimi je ferme provisoirement
   le plâtre. 

   (Refermer le plâtre m'entraîne dans une

nouvelle période de douleur.)

  La chambre il ne reste plus que moi, le 
personnel soignant se trouve dans la cuisine
pendant le changement d'équipe.

  (La douleur revient, il faut que j'arrive a 

arracher ce plâtre qui me force a souffrir.

Je tire sur les pansements et défait le pâtre

puis le balance dans un quoi de la chambre.)


suite au 4/10
    




Le roman est en cour de montage, des changements 
peuvent suivre. C'est une histoire imaginaire.
Auteur Mutz jean Jacques écrivain amateur. Les 
tableaux sont de la marqueterie réalisé par 
Jean Jacques Mutz.

A ce jour, 05 07 2023, 181 996 lecteurs









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