Combattre pour le futur. ( roman sentimental 6/10)

Mirage au dessus des nuages sage n 1

Combattre pour le futur 6/10





















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Mardi a 23 heures.
  Anniesse vient me trouvé, 
-  Alors tu veux nous quitter Jean ?
-  Oui Anniesse, je t'aime bien, mais je me
   sent enfermé dans l’hôpital et j'ai
   besoin qu'une personne me tienne 
   compagnie la nuit.
-  Je te tient compagnie Jean la nuit.
-   Bien sur, mais juste un passage agréable.
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  Anniesse prend place a coté de moi, me 
caresse, puis me fait la bise. Je suis entraîne 
par cette engrenage sentimentales et ressent 
le besoin de l’enlacer. Pour la suite des actions
je ne fais pas de dessin ni de discoure tous se 
passent par instinct. Le besoin d'amour d'un
couple tient par son rattachement.

(Anniesse ne craint pas les blâmes, pour elle ce

qu'elle fait n'est pas un drame au contraire 

donner pour une personne dans le besoin sont

les jettes du partage, elle en a besoin comme 

moi)

  Lorsque notre relation se termine, des gouttes
de larmes coulent sur son visage. Je la regarde
et ressent une peine.
-   Jean tu vas me manquer, ta présence me 
     soulageais a chaque fois que j'ai eu une
    relation avec toi.
-   Si tu veux Anniesse tu peut me retrouver 
    chez moi.
-    Qui Jean je penserais toujours a toi.
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  La nuit se termine avec dans mon cœur
une peine. Je l'aime Anniesse mais, elle 
ne peu se trouver avec moi toutes les nuits 
juste les trois jours de garde de nuit et cela
pendant une demie heures.

Mercredi 23 05 1974  a 7 heures.


      Anniesse se trouve dans la chambre,
ainsi que Mimi. Après avoir fait mon lit,
elles vont dans la cuisine pour prendre 
un café et le petit déjeuné le temps que le
changement de tournée se fait.

Mercredi 10 heures.

  L'équipe du personnel soignant  fait
une dernière visite et conclue,
-  Nous acceptons le départ de Jean a une 
   condition que vous signer une décharge
    Mimi.
-  Je suis prête a signer cette décharge docteur.
-   Venez avec moi dans mon bureau pour faire
     les papier. Mais avant 12 heures il n'est pas
     possible de vous laisser partir.
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  je suis seul dans la chambre, il est 10 heures
 30. Anniesse vient me trouver, pourtant elle
 ne travail plus, elle me rendre visite pour me
dire, 
-  Jean tu vas me manquer et j'ai du mal a 
   savoir que tu quittes l'hôpital, j'aimerai
   rester avec toi.
-  Tu es marié Anniesse, et ton compagnons
    tient a toi comme je tien a Mimi.
-  A la réunion on ma demandé de donner 
   mon avis sur ton comportement et ton 
   évolution pour que tu puisses quitter
   d'hôpital j'hésitais car tu vas me manquer.
    Anniesse m'aide pour que je range mes 
affaires, et que je n'oublie rien. Mimi vient
dans la chambre,
-  C'est bon Anniesse j'ai reçu l'autorisation
   de sortie, l'ensemble du personnel soignant
   l'a accordé. Je te remercie pour avoir soutenu
   ma prise en charge.
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-  C'est avec bonheur que j'ai signé l'accord
   Mimi.
-  Je revient, je cherche mes affaires dans mon
    service puis j'emmène Jean.
-  Je reste la pendant ce temps tu peux y aller.

  (Au fond de moi une immense joua enivre mes

sentiments je peux partir, rouler en voiture et

rentrer chez nous.)

-  Tu passeras chez nous Anniesse ?
  Anniesse se met a pleurer, puis me dit,
-  On se révéra aux soirée que l'on fit avec une 
    bonne partie de l'équipe médicale Dans le 
    passé.
  Elle m'embrasse bien fort. Mimi arrive, il est 
12 heures.
-  Mimi je roule en voiture en rentrant.
-  Oui je te laisse rouler.
 L'on se fait un au-revoir et Anniesse quitte la
chambre. Je marche a coté de Mimi quant, un
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vertige me fait perdre l'équilibre. Je ne tient
pas debout, je suis faible.
-  Mimi je veux rentrer je ne veux pas rester là.
-  Bien sur Jean on rentre.
  Heureusement que personne ne se trouve 
dans le couloir, je serais resté.
  On arrive prêt de la voiture avec peine. Je
ne prend  pas le volant.
Nous voilà devant l'entrée de notre 
appartement qui se trouve au rechaussé. Je
ne reconnais pas les lieux et ai de la peine a
le reconnaître
  Ce changement ouvre un pas sur le future 
que j'entame avec ardeur.
  La nuit font profonde a tel point que je me 
suis plongé dans un sommeil profond.

Jeudi 24 05 1974 a 6 heures.

Mimi se prépare pour  prendre son poste de 
travail. Nous prenons notre petit déjeuné.
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  La journée de ce jeudi est longue, je suis 
seul sans le moindre contacte. Que faire ?
  Le retour de Mimi me soulage mais je lui 
dit,
-   Mimi je m'ennuie et j'aimerai faire quelque
    chose.
-    Que veux tu faire ? 
-    Je veux peindre des tableaux.
-    Bon Jean, cet après  midi on cherche de  
     quoi faire des tableaux.
  On arrive dans un magasin et mon attention
s'émerveille. Il y a de quoi faire et combler 
mes désirs. Avec Mimi je choisi ceci, ou bien cela.
Mimi me fait signe de m’arrêter de choisir.
-  Tu sais Jean cela coûte des sous, il ne faut 
    dépasser notre budget.
-   Mimi c'est quoi un budget et des sous ?
-   Quand on travail a la fin du mois on touche
    un salaire qui sert a financer ce qu' on a 
    besoin .
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 Première journée se passe sans tarder.Être
libre n'a de limite, les journées passent sans
lenteur.
  
Vendredi 25 05 1974  6 heures du matin.

Mimi prépare le petit déjeuné avant de 
prendre son poste. Je mange avec elle puis
repart me coucher jusqu’à 10 heures. 
  Je tente de faire le lit de mon mieux mais
avec le bras droit en plâtre ce n'est pas facile.
  Au soleil il fait bon, je sort de notre 
appartement et prend place dans la cour sur
une chaise. Entre les maisons, pour 
départager le propriété une rangé de rosiers
rouge se trouve a ma vue. Elle occupe toute 
la longueur de la cour. J’habille des vêtements
bien trots grand pour moi. Pourtant je les
portais il y a de cela un moi. Bref, cette après
midi je part avec Mimi pour m'en acheter 
d'autres. Je me réjoui car je tenterai de rouler
en voiture.
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  Mimi arrive vers les 14 heures 30. J'ai préparé
la table. Mimi fait le repas puis nous mangeons.
Ensuite il sera question de faire les achats de 
vêtement a ma taille. Je demande,
-   Je peux rouler Mimi ?
-   Tu n'as pas encore le droit, car tu as un 
     plâtre.
-   Ça sera pour une autre fois Mimi.
-   Oui  c'est promis.
  Je choisie mes vêtements et les essaient.
Cette action devient fatigante, je rentre 
avec la peine de rester éveillé.

 Samedi 26 05 1974   9 heures.

On a fait la grâce mâtiné car Mimi ne 
travaille pas cette fin de semaine. Ce qui permet
de faire des écarts. 
  Nous décidons de se promener dans le parc car
le beau temps le permet. En passant devant une
vitrine, de voyage nous restons émerveille par 
de la publicité sur un pays, l'Autriche. Nous 
parlons, d'y faire un séjour au mois de Juin
1974.
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Lundi 27 05 1974 
  Mimi travail de l'après midi. C'est apres le 
repas a 13 heures qu'elle quitte appartement.
  Je reste seul et décide de faire de la peinture
à l'huile. Ce n'est ps facile, car je travail avec
la main gauche et je suis droitier. Il est temps 
que le plâtre de la main droite soit enlevé. La 
technique de la peinture a l'huile je ne la 
connais pas. Mimi ma acheté des livres de
peinture a l'huile, mais je n'arrive pas a 
lire une seule lettres. Je me fis aux images et
fais comme bon me semble. Le fait de devoir
vouloir crée un tableau ma fatigue 
énormément. Au bout de deux heures je me
place sur la chaise, au soleil  et le laisse me
réchauffer. Je fais une petite sieste.

Suite au 7/1


le roman est en coure de montage des 
modifications peuvent suivre.
Les tableau sont de la marqueterie réalisé
par l'auteur Jean Jacques Mutz.
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