Combattre pour le futur (roman sentimental 5/10)

Mirage au dessus des nuages sage n 1

Combattre pour le futur 5/10












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 Samedi 19 05 1974 10 heures.

  l’équipe médicale vient faire sa visite habituelle. A
leur venu, Mimi rentre chez elle,  pour revenir 
prendre son poste de l'après midi. 
  Dans le rapport il est précisé que le patient reprend 
du poids et qu'il retrouve l'ensemble de ses réactions.
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 Samedi a 19 heures.
  Aniesse se trouve a mes cotés, et me fait la 
bise avec ardeur. Je ne refuse pas et approuve
sa bonne fois. Elle me dis,
-   Jean ce soir je passe une partie de ma garde 
    avec toi car tu me manques lorsque je ne te voie
    pas et la nuit une femme seule s’ennuie.
-   Cela me fait plaisir, je t'attendrais.
-   Tu sais c'est mon dernier jour de garde je 
     reprend dans trois jours.
  Mimi entre dans la chambre, elle vient a ma 
rencontre et me fait la bise. Je suis comblé. 
Les filles font mon lit et moi je prend  place
sur le fauteuil. Puis elles quittent la chambre.
Je reste seul. 
Samedi a 23 heures, peut de bruit dans 
l'hôpital, certains lits sont vide dans les autres
chambres. Souvent vers la fin de semaine des
patients retournent dans leurs familles seul les
cas graves, reste.
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Comme convenu Aniesse vient me retrouver.
Elle me fait la bise puis prend place sur le rebord
du lit. 
- Alors Jean tu m'as attendu ?
-  Oui le n'ai pas oublié ta promesse.
Elle me caresse le visage et me redonne une
bisé un peut plus prononcé. Je ne refuse pas et 
l'accepte avec bonne foi.
-  Jean as tu envie de faire l'amour ? 
-  C'est quoi, je ne sais pas.
-  Tu m'aimes bien ?
-   Oui j'aime toutes les femmes.
-   Donc tu as envie de moi.
-   Oui je ne refuse pas.  
   Elle laisse apparaître ses entre jambes 
volontairement. Mon instinct d'homme réveille
mes sentiments. Bien sur que l'envie me guide
vers un acte des plus élémentaire. Mais la
largeur du lit ne permet de s'y coucher a deux.
Les rehausses sur le coté sont relevé.
Aniesse se place sur mon corps et l'entoure 
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avec ses jambes. Ce contacte émerveille nos 
intentions et l'amour réalise son charme. la 
source de l'amour s'appelle aimer, elle nous
met en émois. 
  Dans les autres chambres aucun bruit seul le 
souffle de nos envies voyage dans les allées. de
toute façon même le médecin de garde ne peut
nous entendre, il se trouve dans un autre 
service.
-  Comme as tu trouvé cette relation Jean, 
    t'a elle fait du bien ?
-   J'ai aimé Anniesse et aimerai encore.
-   Bien sur Jean, mais il faut que je fasse mon
    tour dans les autres chambres, je reviens
    par la suite.
  Elle quitte ma chambre. Je tente d'attendre
jusqu'à ce qu'elle revienne. Mon sommeil eut
raison de ma personne

Dimanche 20 05 1974 a 7 heures.

Cette thérapie n'a de contradiction, je me suis
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endormie comme un loir sans complication. 
  Mimi ne vient pas le matin, elle a planifié 
sa présence pour le repas de midi. 
  Pendants que je suis sur le trône, Anniesse 
et Pierrette font le lit. Je les rejoints et m'assois 
dans le fauteuil.
  Je reçois mon petit déjeuné que je mange avec 
la main gauche, une première. 
  Anniesse me fait la bise et me dis,
-  Dans trois jours je refait 3 nuits, car je remplace
    Sœur Anne.
-  Bon repos Anniesse.
  Pierrette me dit,
-  Je suis du matin pour 5 jours ce qui me permet
   de rencontrer Mimi, elle aussi se trouve dans ma
   tournée.
Dimanche 10 heures.
    La visite du personnel soignant fait sont rapport,
-   Le patient est en bonne voie, il récupère 
    rapidement.
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  Ils refont les pansements du crane, et remarque,
-  le traumatisme crânien se ferme a merveille.

(Peut être que leurs explications correspondent à 

la réalité visible, mais depuis que je retrouve mes 

facultés, je sens des douleurs réagir de tous cotés. 

Rien que me coiffer me fait mal. Quand a mes 

poumons, là aussi je ressent des douleurs lorsque 

je respire, les côtes sont aussi sollicité. Je leur 

fais part de mes douleurs.)

  Je me suis jamais pleins  mais maintenant les 
douleurs prennent le dessus. Le service soignant
envisage une série de radio pour les jours a suivre.
Dimanche 12 heures.
  Comme prévu, Mimi mange avec moi, elle 
a apportée un gâteau, une foret noir qu'elle fait 
a merveille. Quelle peut être la raison de cet 
événement ?
-  Mimi pour quelle raison as tu apporté une 
   foret noir ?
-   Car j'ai mon anniversaire.
-   C'est quoi un anniversaire?
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  (Je ne sais pas, pour quelle raison fête ton un

anniversaire ?)

-  Mais Jean, on vénère le jour où l'on est 
   venu au monde.
-  Quel jour somme nous ?
-  Dimanche le 20 mais 1974.
-   Qui a son anniversaire ?
-   C'est moi qui est née un 20 05 
-  Et c'est quoi un dimanche ?
-  C'est un jour de repos pour un grand nombre 
   de personnes
-   Mais nos amies soignantes travaillent 
    aujourd'hui elles n'ont pas de repos ? 
-   Ci certaines ont du repos comme moi a ce jour.
-   Le gâteau que tu as fait est grand, nous 
    n'arriverons jamais a le terminer Mimi. 
-   Je l'ai apporter pour le partager avec mes 
     collègues de travail, ceux du matin et les
     autres de l'après midi.
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Lundi 21 05 1974   7 heures.

  Pierrette, est arrivé avant Mimi, elle se trouve
a mes cotés et me dit,
-  Tu as bien dormis cette nuit Jean ?
-   Oui merci malgré certaines douleurs. Mais je
    ne suis pas a l'aise ici, je veux rentrer.
-   Toutes les filles du service te respecte et te 
     soignent avec une attention particulière.
-   Je reconnais Pierrette que vous toutes partager
     votre amour et votre attention. Mais j'ai besoin
      de travailler quelque chose, je ne sais pas quoi.
-    Tu n'es pas au sommet de ton bien être, il faut
      patienter puis tu pourras rentrer.

(Cette intention de vouloir rentrer provient d'une

certaine absence, aurais je besoin de la présence 

d'une personne à mes coté la nuit ? Comme personne

ne m'a pas tenu compagnie cette nuit je suis triste. 

Serai ce Anniesse qui me manque ? Ou Mimi ? Ou

une autre ?)

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 Lundi 10 heures.
  L'équipe médicale fait sont rapport et programme
un passage dans le service radiologie des poumons.
Il est prévu que je passe mes radios dans l'après 
midi .
  Sur une chaise roulante je rejoins le service de 
radio et passe a mainte faits sous les rayons x pour
tenter de trouver la raison de mes douleurs.

(Cette intervention me rend songeur et incertain,

mes doutes me font croire a des probabilités qui

aggravent ma santé. Je suis passé plus de 20 fois

sous les radios. Cette acharnement me met en 

doute.)

  Mimi se trouve avec moi car elle eut occupé 
le poste du matin pour cette raison elle peut 
suivre l'évolution du rapport des radios. La 
conclusion n'alarme pas d’aggravation 
quelconque, les douleurs sont du au choque
provoqué par la chute.
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Lundi 19 heures.
  Mimi se trouve avec moi, ainsi que Soeur
Anne. Elle me lavent, me rase et me font le 
 lit. Je prend place dans les toilettes et 
occupe le trône. Pendent ce temps j'écoute
leur conversation. Sœur Anne dit,
- Demain matin a 11 heures un assistant
  envoyé par la sécurité social viendra 
  questionner Jean.
-  A quoi cette enquête servira ?
-  C'est pour placer Jean dans un centre
   de rééducation. 
-  Devrais je me trouver a ses Cotés Soeur
   Anne ? 
-  Il n'aime pas que la victime soit assisté,
   laisse le seul Mimi.
  La nuit se rapproche, dans ma chambre 
juste moi. Je pense, 
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(Mon coma s'est éloigné et la douleur vient


maîtriser  mes pensées. Mon adrénaline 

a diminué . Il faut que je me trouve une 

occupation digne de mes capacités pour 

prendre la place des douleurs. J'ai 

besoins de gréer, de travailler de m'éloigner 

de cette chambre d'hôpital.)

Mardi 22 05 1974 a 7 heures 

Mimi se trouve a mes coté avec Soeur Anne.
Elles s'occupe de moi pour que je puisse 
manger, ainsi que ma présentation. Puis 
elles m'explique,
-   Jean tu auras la visite d'une personne
    qui prend note de ton accident de travail
    il faudra que tu lui réponde aux questions
    qu'il te pose.
-  Oui je lui répond.
Mardi 10 heures.
  Le passage de l'équipe médicale fait son
rapport. Le médecin me dit,
-  Les radios des poumons indiquent un
   voile dut a l'enfoncement de la gage 
   thoracique. L'hémorragie est résorbé.
   Vous fumez Jean ?
-  Non docteur, je ne fume pas.
-  C'est grâce a cela que vous surpasser tous
   ces étapes.
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Mardi 11 heures.
    Une personne vient me trouver, et me 
demande,
-  Que faite vous dans la vie ?
-  Je ne sais plus.
-  Qu'aimerez vous travailler ?
-   Je veux devenir médecin.
-   Pouvez vous me l'écrire sur ce papier ?
-   C'est comment écrire ? 
-   Avec quelle main écrivez vous?
-   Celle qui a le plâtre, monsieur.
-   lisez ce texte et répondez avec la main gauche .
-   Je ne sais pas lire, c'est quoi lire ?
  La personne rédige le rapport a ma place et me 
dit,
-  Une rééducation doit être faite je vous inscrit
    dans un centre de réduction.
-   Je ne veux pas entrer dans un centre de 
    rééducation, je ne sais plus lire n'y écrire
    monsieur.
-   Mais ils vont vous l'apprendre dans un centre.
-   Je ne veux pas, je veux rentrer a la maison. 
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Mardi 12 heures.
  Je termine mon repas. Ce n'est pas commode de 
manger avec la main gauche et un plâtre,  je 
suis livré a moi même. Cette situation me rend libre
et responsable, je suis capable de me débrouiller.
Je deviens un patient .
   Mimi me rend visite a 13 heures 30 . Elle reste avec
moi une bonne demie heures.
Mardi 18 heures.
  Je retrouve ma bien aimé, qui prévoit de rester jusqu'à
 la venu de l'équipe de la garde de nuit. Sa présence me
 soulage, je suis seul avec elle et tente de l'embrasser.
-  Cela ne se fait Jean a l'hôpital 
-  Mais, j'ai besoins de ta présence Mimi.
-  On ne peut s'enlacer cela ne se fait pas.
-  Pour quelle raison, on ne fais rien de mal ?
-  Je risque un blâme de mes collègues.

(Pourtant ses collègues ont soutenu mes avances même

qu'elles ont fait bien plus qu'une bisse? Certaines m'ont

encouragé.)

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Mardi 19 heures.
  Anniesse arrive dans ma chambre, et demande,
-  Comment va notre patient Jean.
-   Je vais bien Anniesse merci.
-   Oui il progresse Anniesse  et veut rentre avant 
     l'accord des médecins Anniesse.
-   Merci Mimi, et combien de temps reste il avec nous ?
-   Tout dépend de l'accord médicale.



Suite au 6/10 





le roman est en cour de montage, des changements 
peuvent suivre. C'est une histoire inventé.
les tableaux sont de la marqueterie réaliser par l'
Auteur Jean Jacques Mutz

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