La clarté de la nuit 9 /15( roman sentimental, La vie de ? )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
9/15 La clarté de la nuit
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- Jeangie il faut que tu nettoies le grenier car il y a
encore de la saleté.
Je suis étonné de cette remarque, je l'ai bien nettoyé
j'en suis certain. Cette remarque me choque, je ne
voulais pas décevoir cette personne qui nous a ci bien
reçue durant les travaux. Je ne fais la moindre remarque
et entre dans la maison, accompagné de la propriétaire.
Nous arrivons dans la cuisine et là, elle me demande,
- Que puis je vous offrir a boire ?
Je suis surpris par cette question, puis lui dit,
- Une limonade Madame. Mais il faut que je nettoies
le grenier après se sera bon.
- Pas besoin de monter au grenier, vous avez bien fait
votre travail je suis satisfaite, c'est pour cela que je vous
est fait entrer . Prenez place et buvez votre boisson.
Je pris place et apprécie ce verre de limonade . Puis elle
me donne 200 francs et me dit,
- Cette argent n'est que pour vous , il ne faut pas le
partager avec la caisse des autres.
- Merci madame, pour votre gentillesse, je ferais ce que vous
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me dite.
Deux cents francs pour moi, quelle joie. Cela représente 6
soir de déchargement de wagons ? Ce bonheur mérite d'être
partager, oui mais pas avec n'importe qui. Il me vient une idée
je sais que le manœuvre Ahmet a une famille de 4 enfants
comme il n'a touchez que 60 francs je me suis dis qu'en lui
remettant les 20 francs que j'ai reçu du chef de chantier cela
lui ferais plaisir car il a travaillé aussi longtemps et aussi
durement que moi sur ce chantier.
Je me suis posé une question, La Dame a t'elle remarqué le
partage que vient de faire le chef d'équipe ?
Je n'avais peur de rien et cette référence ouvre des paris
que je fit avec mon collègue Jean Marie qui perte a chaque
actions. Il fallu descendre une corde en chanvre rien qu'avec
les mains sur une hauteur de 10 mètres, que je fis sans
probleme. Puis il y eut le fait de casser avec le point 8 tuiles
mécaniques superposé ou lever un sac de ciment de 50 kg
en 2 mouvements, ou encore placer 12 tuiles mécanique sur
l'épaule et les monter sur l'échelle jusqu'au 8 mètres de haut.
Personne n'arrive a m'égaler, je gagnais ces paries là sans
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rencontrer de problème.
Un jour, en plein centre de la ville de Mulhouse, ont dut
arracher une toiture en tuiles mécanique. De la poussière
s'y est accumulé au file des années, elle nous pénétrait dans
les narines et nos cheveux fur ci sale que j'ai eu honte de me
montrer en publique. Il fallu un commissionnaire pour faire
des achats en boisson. Pas de toute, l'apprenti peut faire cela
comme nous somme deux apprentis je fus désigné par le chef
du chantier , qui n'était pas d'habitude le mien, pour faire les
achats. Etre a ses services n'arrive pas souvent. Je questionne
l'ensemble des personnes du chantier sur les boissons a
rapporter. Je ramasse la somme d'argent nécessaire payer les
boissons. Je retrouve l'épicerie et fait ce que l'on me dit. Je
reviens et distribue les bouteilles. Hof, ma honte a passé .
Le chef de chantier eut changé d'avis et me dit,
- Jeangie je ne veux plus de cette boisson cherche une autre
marque de bouteille.
Ce changement provoque une colère en moi. Me nargue
rait il ? ou le fait il expert ? Je me met en colère et répond,
- Je suis un apprenti pas un commissionnaire.
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Sur cette réponse le chef de chantier me regarde d'un air
fâché pour me dire,
- Dans ce cas tu rentre a la maison et je ne veux plus te voir
dans mon équipe.
Je ne répond pas et part sur le champ sans la moindre
hésitation. Me voila a la maison, j'explique ce qui m'est
arrive et que je ne veux plus travailler comme commissionnaire.
Après 3 journées d'absence une lettre recommandé arrive
a la maison. Mon père et moi nous somme convoqué chez le
patron. Le chef de l'équipe concerné m'accusa de me pas vouloir
suivre ses ordres. Je ne dis un mot et me contenta de suivre les
paroles d'une carpe. Après avoir fait mes excuses, mon coeur
rempli de rancune, je repris le travail .
Sur les chantiers je ne ramassais plus les zinc des ferblantiers
ni la ferraille pour combler la prime de fin d'année. Un manière
d'exprimer ma rancune envers l'injuste partage. Le fait de voler
les autres, que l'on m'imposait , ne fais plus partie de ma routine.
La fin de l'année était proche, comme les autres années les
apprentis chargent le camion. Cette année là, aucune ambition
me donne un rebond de confiance. J'avais plus d'ancienneté
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la somme que je touche a plus d'importance je dispose de plus de
pouvoir d'achat pour combler mes sœurs et mes frères.
Pour fêter la nouvelle année , l'un de mes copains emmène
l'équipe de videur de wagons chez l'un de ses oncles. Ce fut a
pied que l'on se déplace a l'autre bout de la ville.
La famille nous accueille comme des princes, faisant partie de
leur famille. Un apéritif se présente sur la table ainsi que la
bouteille de grément que nous avions apporté. Des verres
commun sont placé a chaque emplacement. L'oncle nous dit,
- Ce n'est pas la beauté de verre qui fait son contenu mais la
valeur de la boisson que l'on y met .
La discutions vat bon train et nos questions nous laissent sans
voie devant les propos que nous explique se représentant
syndicale de gauche. Son influence nous met en bonne
condition car notre joie nous fais rire plusieurs foi. La
gaité de nous tous donne a cette soirée la marque d'un parfait
savoir vivre . Aucune directive offensive ne vient éclabousser
la politique. L
Pendant que nous discutons la femme reste dans la cuisine .
De temps en temps elle vient a table et nous écoute
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attentivement, puis elle nous fait comprendre qu'elle peut nous
servir la soupe. Nous terminons nos verres et les plaçons sur le
large rebord de l'évier.
Ils ont 2 enfants, une fille de 10 ans et un garçon de 12 ans
qui ne dissent le moindre mot. Le chef de famille leur dit, d'un
air sec et autoritaire,
- Allé les enfants, aider votre mère, ce n'est pas aux invités de
lui donne un coup de main.
Le enfants aident leur maman en rangent la table puis la
prépare avec des assiettes a soupe.
- N'oubliez pas la bouteille de Magie .
- Oui papa.
La soupe arrive fumante dans une cocote minute , une odeur
de légumes et de viandes du pot-au-feu nous nargue. J'en ai
l'eau a la bouche. Elle posse la cocote minute au centre de la
table , puis elle cherche une louche en cuivre qu'elle donne
a son mari.
- Goute la soupe Charles, et dit mois s'il y a suffisamment de
magie ?
- Laisse la comme elle est, chacun doit l'assaisonner a sa
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manière.
Charles se sert en premier, puis donne la louche a Francis.
Pendant que Francis se sert Charles prend sa culière a soupe et
la remplie de magie pardessus son assiette a 2 reprises, puis la
remu. La soupe prend une couleur plus sombre. Francis me
donne la louche , je prend 2 louches de pot-au-feu . Je la passe
a l'un de mes collègues qui la passe a son frère. Suive les
enfants puis la maman cuisinière. Charles dit,
- Redonnez moi le magie, il en manque.
Personne n'a mis autant que lui dans sa soupe, heureusement
que le contenu de la bouteille n'arrive a terme. Pour que la
cuisinière ne se sente humilier, je la féliciter et lui dis
- Il est très bon votre pot-au-feu madame, merci pour votre
invitation.
- Merci c'est gentil de votre part.
Elle eut remarqué que je n'ai mis aucune goute de magie et
cela lui a fait plaisir.
Nous continuons de déguster les plats qui suivent, des salades
de toutes sorte et un morceau de beauf cuit dans la soupe. Une
odeur agréable enivre mes envies. Il y a pas a critiquer cette
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cuisinière a toutes les mérites.
Nous arrivons a la tarte au pommes qui elle aussi a tous plus
donner envie.
Pendants que nous prenons le café, la cuisinière fait toute
seule la vaisselle. Une vrais perle de savoir faire. Je lui sourie
pour la féliciter.
Son mari continue de discuter et nous nous demande,
- Que faite vous comme métiers ?
Je commence,
- Je suis apprentie couvreur .
- C'est pas mal comme métier mais il y a des dangers.
Il regarde Francis, celui ci dit,
- Je suis encore a l'école mais je veux devenir orthopédiste.
- C'est une bonne intention.
Il regarde ses deux neveux ,
- Et vous deux que faitent vous ?
Le plus jeune explique,
- Je travail dans une superette SUMA comme magasinier.
- Ce n'est pas mal comme poste, et toi , tu me parle pas grand
chose ?
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- Je travaille aussi comme magasinier avec mon frère dans la
même superette.
J'observe les murs de cette pièce et reste impressionné par la
collection de papions de toutes les couleurs qui ont sous leur
pieds, une plaquette en cuivre gravé celui de leur provenance
ainsi que leur nom . Une autre collection attire mon attention,
les spécimens de cafards de toutes sortes et grandeur. Là aussi
leur provenance et leur nom latin les démarque. Il n'y a plus
de place sur le mur pour accrocher un tableau quelconque. Je
lui demande,
- Comment sont conservé ces papillons et ses cafards ?
- Dans du formol avant de les piquer avec une épingle sur un
cadre.
Ces explications le rende fière et intéressé, comme nous qui
l'écoutons avec attention. Une bouteille de mousseaux fut
ouverte pour fêter minuit et la venu de la nouvelle année. Puis
nous entamons une partie de belote qui dure jusqu'à 2 heures
du matin.
Nous reprenons le chemin du retour , mais il fallu traverser
toute la ville de Mulhouse. Une intention vient a nos idées,
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- Faisons du stop ?
Chose dit et notre intention prend forme. Un taxi vient au
loin,
- Tentons notre chance et faisons lui signe.
Le taxi s'arête et il ouvre la vitre pour nous demander,
- Où allez vous ?
- On aimerais retourner a l'autre bout de la ville.
- Venez je vous y emmène.
- Merci monsieur et bonne année .
On arrive chez Francis en premier ,
- Combien on vous doit monsieur ?
- Vous êtes des clients de passage et les premiers de cette année,
c'est gratuit pour vous tous.
Ensemble nous le remercions, mais chacun place une pièce de
5 francs sur le tableau de bord de la Peugeot 404. Quelle beau
réveillons cette fin d'année .
1968
Une belle année ou je vais fêter mes dix sept ans. Je me rapproche
de mes examens et prend au sérieux la réussite pour mes
engagements. La balance de la réussite ne penche que du bon coté
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lorsque l'acteur se donne a fond. Je décide d'abandonner le travail
chez le marchant de pommes de terres et m'inscrit au cour du soir
pour réussir pour me perfectionner malgré mes bonnes notes au
collège. Je ne voulais pas perdre mes 3 années d'apprentissage et
surtout faire valoir la promesse de mon père qui m'avait dis que
ci je réussi mon brevet de compagnon il me finance le permis de
conduire.
Janvier passe a une vitesse bien lente. le froid engloutie nos
intentions pour nous geler sans modération. Arrive le mois de
février, ce petit mois qui parait plus longue que les autres, mon
impatience en est la raison. Me voila en mars, où je fêtes mes
17 ans. Je reçois un disque des Platers . Au collège d'enseignement
Technic, tous roules sur des roulettes et un vent encourageant
me pousse vers de bonnes notes.
Avril les premiers rayons de soleil bienfaisant activent mes
intentions de réussite aussi fort que la force du printemps qui
fait naitre les bougeons. Les examens écrit sont posé mais les
résultats ne seront donne qu'au mois de Juin, après la pratique.
Ma pratique consiste a couvrir avec des ardoises la réplique
d'une maison . Il y a plusieurs coté avec de différents forme.
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Sur les chantiers le travail vat bon train et notre présence a
tel point que des patrons couvreur viennent nous demander,
- Bonjour voulez vous les amis, travailler pour moi ?
- Non merci.
- Vous gagnez combien de l'heure ?
- Je suis apprenti et gagne le SMIC dans ma 3 -ème année.
- Je te donne 30 pourcent en plus .
- Je n'ai pas terminé mon apprentissage pour le brevet de
compagnons.
- Je te donne mon adresse et quant tu auras terminé je
t'embauche avec ou sans le brevet de compagnons.
- Merci monsieur, je retient votre offre.
On arrive au mois de juin, le jour où je dois montrer mon
savoir faire sur la maison en miniature qui stationne dans
la cour de l'entreprise. Nous somme 4 apprenti couvreurs
qui doivent tenter de réaliser la couverture en ardoise.
Pour qu'il n'y a pas de favoritisme, l'on dois tirer au sort
le coté qui nous sera mis a disposition. Il y avais Jean Marie
qui se trouvais en face de moi et deux autres apprentis
venant d'entreprises en Alsace.
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Nous démarrons a 9 heures le matin, avec un soleil radieux.
J'ai la partie de couverture dans laquelle se trouve une fenêtre
en œil de bœuf , ou chapeau de gendarme. La plus compliqué
de toute la maisonnette. Cette sélection ne me pose de
probleme je suis enthousiasmé par ce qui m'est attribué.
On arrive a 11 heures et j'ai commence a couvrir la toiture.
Les autres sont encoure entrain de faire le marquage.
Les cloches sonnent 12 heures, c'est la pose repas que nous
tirons du sac . Il est interdit de communiquer avec les autres
et les artisans veillent a cela.
Nous reprenons a 13 h 30 et cette pose nous redonne de
la pèche. Je continu cette toiture avec ambition et termine
avant la fin de cette journée de travail et avant les autres
qui n'y sont pas arrivé .
Une commission d'autres artisans arrivent pour donner une
note a notre savoir faire d'apprentis.
2 semaines plus tard, notre patron nous fait part dans son
bureau , des notes que nous avons acquit pour le brevet de
compagnons.
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Avec cela il nous donne une invitation pour la remise des
brevets de compagnons a la chambre de métier d'Alsace
sans plus de précision. Un discoure sur l'efficacité de
l'apprentissage et la valeur du savoir faire régional fut
revendiqué. Puis nous arrivons aux résultats et la remis des
diplômes accompagné d'un prix pour la meilleur note des
apprentis du bâtiments. Mon étonnement me comble, je
suis a la première place avec les éloges des journalistes
régional et une prime sur un compte qu'une banque m'a
mis en place. Le patron vient me trouver et me fait savoir
que j'aurais un salaire horaire de 4 francs de l'heure, le
SMIC fut de 2 francs cinquante de l'heure. Cette réussite
fait aussi augmenter mon argent de poche et me donnent
200 francs par mois pour financer le crédit de mon
vélomoteur, mes habits et tous les frais qui suivent.
Ma tante de Suisse, Margrite a eut écot des ma réussite
elle vient nous rendre visite et m'offrit 3 napoléons dans un
boitier capitonné, elle me dit
- Garde ces napoléons en réserve pour le jour où tu auras
besoins de finance.
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- Merci tante Margrite je ferais ce que tu m'as dit.
Cette réussite me donne une satisfaction tel que je
propose a tout mes compagnons et leur dame, de les
inviter au restaurant un samedi soir. Je n'est pas oublié mon
collègue Jean Marie, qui n'a pas obtenu sont brevet de
compagnons.
Mon voisin, Henry du 5 em , pratique la mécanique avec
attention. Il répare toute sorte de véhicules et dit ,
- Une mécanique nécessite notre attention car elle dévoile
dans son comportement la panne a prévoir. Le mécanicien
c'est un docteur qui réagie selon l'état mécanique du
véhicule. Il arrive que le véhicule ne donne plus de signe
de vie, ce n'est pas grave car on arrivera a le remettre en
marche sans que celui ci nous dit où sont les imperfections.
Henri aime les courses de voitures, il s'acheté une Renauld
4 ch. Nous la transformons en y adaptant un moteur Gordini
1100 cent centimètre cube. La puissance du véhicule passe de
4 ch a 7 ch et nous permet de faire des pointes appréciable.
Pour y adapter le moteur, il fallu laisser entrouvert le capot
arrière, modifier les amortisseurs et améliorer les freins. Des
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pneus plus large sont mis en place . Son apparence de couleur
jaune fluo attire les curieux. Un arceaux de sécurité rempli le
restant de place de l'habitacle. Pour l'inscrire dans les rallies
on se retrouve dans la catégorie des prototypes homologue
par les inspecteurs de course.
Dans les rallies l'on se retrouve au milieux du classement.
Pour des amateurs ce n'était pas mal.
- Allons une étape plus avancé et fabriquons notre voiture
comme nous somme dans la catégorie prototype.
- On est de ton a vie Henry Francis et moi .
Chose dite et action réalisé , nous voila entrain de démonter
la 4 ch pour monter la mécanique sur un châssis de notre
réalisation fait avec du profilé de 5 cm . Notre enthousiasme
demande des heures de travail qui ne sont pas compté.
Au bord de canal, un terrain vague nous permis de faire des
essais. Mon grand père s'occupait du pond levis qui permis
de traverser le canal. Lui aussi nous encourageait . la légèreté
du véhicule donnait une puissance tel que celui ci se cabrait
au démarrage . Une vrais formule 1. L'impression de glisser
sur le sol faisait monter notre adrénaline.
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Nous tentons de faire une course avec une moto Honda.500
cm cubes. Notre démarrage fut ci brusque que la moto fut
distancé en un rien de temps. Cela nous fit plaisir .
La vitesse devient un facteur de sensation qui pousse Henry
a acheter un voiture décapotable, une Honda S 800. Chaque
cylindre possède un double cors . En ouvrant le capot la vue
de ces carburateurs donne une impression de puissance sans
équivaut. La tableau de bord a tout pour plaire, avec ses
compteurs a éguilles en ligne et le levier de 5 vitesse au
plancher. Le contour vas jusqu'à 12 milles tours minute, a
partir de 10 milles tours, l'éguille entre dans la zone rouge.
Elle roule a 190 km heures avec comme échappement de
pots a double sortie. Son bruits nous impressionnait.
Henry s inscrit dans les rallies régional, avec moi
comme copilote malgré que je n'avais mon permis de
conduire. Les juges de courses nous ont placé dans la
catégorie de la classe 1. Ce classement nous défavorise
car avec nous, des voitures de 2500 cm cubes devenaient
nos rivaux. La distance a parcourir de 500 kms fait de
nombreux abandons sois par maladresse ou par ennuie
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mécanique. Cela nous donne certains avantages et nous
menais a la 61 em place .
Les finances ont du mal a suivre, car la boite de vitesse
avait lâché. Les roulements et les dents des synchros se sont
fatigué. Il fallu les changer, ce qui se fit sur la table de la
salle a manger .
Après avoir changé toutes les pièces, la fiabilité de la
voiture ne fut plus aussi encourageante et sa performance
eut chuté.
Un soir, Francis et moi nous faisons un pari sur la
consommation excessive de bières. Deux rangé de bières
d'une longueur d'u mètre sont aligné. Celui qui les a vidé
en premier doit payer les consommations. la fierté de le
remporter est grande devant les autres qui nous pousse a
consommer. C'est ensemble que nous terminons notre
mètre de bière.
Ce soir là, je dort chez Francis, mais pour arriver jusqu'à
là, notre démarche ne fut pas ci glorieux. La nuit je
n'arrivais a fermer les yeux et mon ventre fit la saccade
des bois sans soif. Je dus a plusieurs reprise ouvrir la
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fenêtre pour gerber ce qui me dérange. Au repas de midi
pas la moindre envie de manger quoi que se sois. Durant
toute la semaine, je fus mal au point. Cette leçon nous a
éclaire car a partir de là, nous ne faisons plus de
consommation alcoolisé.
La fin de l'année nous permet d'avoir une prime
suite au ramassage des vieux métaux. Le partage fut
fait mais je remarque que je ne touche pas la même
part qu'un professionnel, il me manque la somme de
50 % . La réponse sur cette attention c'est que je
suis professionnel que depuis 6 mois.
L'année touche a sa fin et je la termine en beauté
avec Henry et sa femme ainsi que Francis. La fondu
fut bien arrosé et notre joie suivi ce festins sans
abuser de l'alcool.
1969
A mois de janvier je commence mes premières heures
de conduite. Je n'ai pas mes 18 ans mais dans l'année
ce qui me permet de commencer les cours.
A la première leçon de conduite, le moniteurs me dit,
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- Vous avez déjà conduit une voiture ?
- Oui, il m'arrive de déplacer les véhicules de l'entreprise.
Au bout de la 5 em leçons, il me demande,
- Vous vous passer votre examen de conduite, car
vous maîtrisez bien la conduite ?
- Un peut plus tard, je préfère prendre quelques leçons
supplémentaires il me reste 1 mois jusqu'à mon
anniversaire.
Certain de ma réussite je recherche un véhicule et trouve
une Simca Ariane pour une somme de 250 francs. Elle a
un bleu nuit d'origine et 16 ans de bon et loyaux service.
Je récupère la voiture avant que je n'ais mon permis de
conduire et la fait venir sur le parking de notre immeuble.
Je me lassais pas de la regarder du haut de mon balcon et
me dis que pour une somme de 250 francs, je me suis acheté
une voiture. Je me laisse entrainer par ma tentation de la
faire démarrer et de faire un tour sur le parking privé de
la résidence. Cette intention fut faite car de nombreux
copines et copains étaient présent. On pouvais placer 3
personnes a l'avant et 4 a l'arrière. Le coffre bien grand
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permet d'y placer tout l'arsenal pour le campine.
L'impatience a ces limites et justement ce jour là je me
dit que je pourrais faire un tour du parking . Je tente de
démarrer, mais, plus de courant, la batterie est déchargé.
Il y a un autre moyen de la démarrer, avec une manivelle.
Voila une solution , mais, mon ignorance a hâte d'utiliser
les habitudes. Je pousse la voiture, seul sur 2 mètres , je
saute sur la banquette et enclanche la seconde vitesse.
La voiture démarre au 4 de tours . Dire que les copines
m'ont proposer de venir m'aider pour la laver, il faut
qu'elle tourne cette voiture.
Ma fierté n'a d'égale, car posséder une voiture a 18 ans
fut rare a cette époque.
Le jour où je passe mon examine de conduite, la neige
reste massé sur des tas au bord de la route. Je me trouve
en 4 em place pour passer mon permis. Les personnes
qui attendent avec mois ont toutes la peur au ventre cela
se remarque sur leur vissage grispé.
Enfin, voila mon tour. Je fais le tour de la voiture, une
Renauld 10, je regarde c'il n'y a pas de pneus grevé,
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ouvre le capos et regarde ci les niveaux sont bon. Puis
j'ouvre la portière du conducteur et prend place avec
politesse avec l'inspecteur. Celui ci , reste sec envers mes
remarques, aucun retour ne résonne.
La neige commence a tomber, Je met la voiture en route
puis les essuis glace après avoir appuie sur le lave glace,
puis je règle les sièges et les rétroviseurs , le centrale et
celui a porté de ma main gauche. Je demande a l'inspecteur
quelle direction devrais je prendre. Je fait fonctionner le
clignotant de gauche pour quitter mon emplacement. Je
regarde dans le rétros intérieur, puis celui de ma gauche.
Je suis les consignes de direction que vient de m'indiquer
l'inspecteur.
Au bout de quelques seconde je dois tourner a gauche, le
clignotant suit la remarque. Puis, un stop m'indique de
m'arrêter. Je fais l'arrêt. l'inspecteur me donne l'ordre de
tourner a droite. Je suis ses volontés. Au bout de la rue un
feu tricolore au vert, me permet de m'engager sur ma droite
comme me l'a dit l'inspecteur. Je m'engage prudemment
quant, soudain, une voiture arrive sur ma gauche en
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grillant son feu qui est au rouge. L'inspecteur confient se
laisse surprend par ma subite réaction de freiner de toute
ma force pour éviter la collision. La voiture, une DS 19
continu sa vire. L'inspecteur tente de marquer son
immatriculation sur le papier qu'il tient sur ses gambes.
Mais ses lunettes ont valsé sur le planché. Il les recherche
puis marque le numéraux d'immatriculation de la DS 19.
Je tremble de tout mon corps par l'accident que je vient
d'éviter. Une phrase de l'inspecteur,
- Retourner a la basse de départ, c'est terminé pour vous.
Je fais comme il me dit et rejoint le point de départ qui
se trouve sur la place en tournant la première route a
droite en faisan fonctionner mes feux de direction. Je
n'est le moindre sourire et stationne le véhicule a son
emplacement avec une manœuvre parfaite.
- Pour quelle raison voulez vous faire votre permis de
conduire jeune homme ?
- Je travail dans le bâtiment et les chantiers ne sont pas
a porté de main, pour transporter le matérielle.
Un bon moment de silence se fait pendant qu'il remplit
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mon dossier.
- Vous pouvez sortir du véhicule monsieur.
- Bonne journée monsieur l'inspecteur.
Je fais le tour selon les consignes et attend la feuille
qui m'indique ci j'ai le permis de conduire. Mon
impatience confle mon adrénaline a tel point que je
regarde mon moniteur qui me fait un signe d'épaule
pas encourageant. Mon parcoure pas bien long l'a
intrigué, certainement qu'il pense que j'ai mal roulé ?
La fenêtre du véhicule s'ouvre et l'inspecteur me
tend le papier rose de la réussite. Je n'en revenais pas
j'ai le permis de conduire provisoire. Mon coeur danse
de joie et mon impatience tarde d'annoncer a mon père et a
ma mère que je viens de recevoir le permis.
Avril ouvre ses portes et notre pouvoir d'achat diminue
de plus en plus. Le francs flottant, devenu sou marin,
humifie nos porte monnaie.
Sur les chantiers, des patrons d'autres entreprise nous
contacte pour proposer plus de salaire il s'y prennent de
la manière suivante,
- Hello les professionnels combien vous gagner par heure
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de travail ?
Sur le moment personne ne se laisse impressionner par
les propositions de ces patrons. Mais un jour, un des patrons
nous propose ses services de la manière suivante,
- Hello les professionnels ci vous venez dans mon entreprise
je vous propose 1 Frans 50 de plus par heures de travail.
Chacun se regarde d'un air étonné, et ce mardi soir l'équipe
des anciens part trouver le patron. Nous les anciens apprentis
nous quittons l'atelier comme si rien n'était sans savoir
c'ils ont obtenu quelque augmentation de salaire.
la semaine se termine, mon ignorance sur les acquits ne
m'inspire de rester dans l'entreprise et je prend contacte avec
ce patron a la proposition alléchante. Le lundi matin a la
reprise je demande de parler au patron. Mon coeur bat la
chamade et des tremblements intérieur font vibrer mes
intentions. Celui ci m'invite dans son bureau où je lui
donne par écrit l'intention de demander mon compte.
Le patron ne dit un mot et moi j'ai réussi a évacuer tout
ce tremblement intérieur. Je suis fière d'avoir sus tenir tête
a mon patron.
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Le lendemain, le patron me convoque dans son bureau .
Sa curiosité devient la raison ,
- Peux tu me dire qu'elle entreprise t'a embauché, et quelle
sera ton salaire ?
Je ne souffle le moindre mot . Sa réaction devient ferme et
déstabilisante,
- De toute façon que tu sois chez moi ou pas mon entreprise
tournera .
- Dans ce cas, patron , vous pouvez me préparer mes papiers
sur le champ.
Ma volte face ne fit qu'un tour et je sorti du bureau comme
un gagnant car dans l'apprêt midi, je me présente chez mon
nouvelle employeur. A partir de là, mon salaire augmente de
1 Franc 10 ct de l'heure.
Dans cette entreprise, la capacité professionnel des salaries
ne valait pas celle de mon lieux d'apprentissage.
Ma voiture, l'Ariane, rassemble autour de moi une multitude
de copines et de copains. Dans notre croupe, composé de 3
filles et de mes 3 cousins , nous programmions des voyages
dans la région. La voiture gourmande en essence et en frais
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divers, nécessite que nous faisons une caniote pour partager
les frais. Il arrivais que dans notre viré, le nombre de neuf
personnes a bord fut fréquent. Lorsqu'un contrôle de police
se voyait de loin, 1 personne se planquait sur le planché avant
et une autre derrière la banquette. Au bale du samedi soir
l'ambiance nous couronne de satisfactions , chacune et
chacun avait de quoi se satisfaire. Avoir le permis a 18 ans
et une voiture, ce fut rare.
Au travail mon patron eut remarqué mon savoir faire et
me nome chef de chantier. la fierté de cette attribution me
hisse mais, le fait de devoir commander des personnes plus
âgées que moi, me donne une timidité qui hésite dans les
ordres a distribuer. Cela est du a ma bonté de compagnons.
Il arrive qu'une personne me demande de ne travailler
que 2 heures le mardi après midi car il avait des problèmes
a résoudre. Comme nous travaillons en ville, il n'y a pas
de problème. Mais cette demande devenais fréquente et
dans mes rapport, je mentionnais son absence. A la fin
du mois il y avait un manque a gagner, Cette absence le
fit réfléchir, mais, il n' y avait plus les mêmes rapport .
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Pourtant il savait qu'il perdais en finance et pensais que
je lui accorde des heures d'absence paie ?
La possibilité de travailler a la tache, me fut proposé.
Pour cela, il faut une équipe organisé sur laquelle ont peut
compter.
Le travail a la tache consiste de terminer un chantier le
plus rapidement possible. La présence sur le chantier n'a
pas de limite et souvent on travaillé même le dimanche et
les jours férie. Plus il y a de personnes compétente plus vite
le chantier prend fin. Je fis part du travail a la tache a mon
cousin Francis qui accepta de faire partie de l'équipe.
Me voila lancé dans une entreprise qui portât ses fruits.
Il faut reconnaitre que je du donner mon salaire complet
a mes parents chaque mois et me contenter de 20 francs
par semaine. La, le revenu dépassa mon salaire mensuelle
ce qui me permis de placer quelques argents sur un compte.
d'épargne.
Notre bande de copines et copains avions envisagé de faire
une balade dans la région de Metz. L'une de mes copines a
son parrain et oncle, qui possède un restaurant dans cette
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région. Elle l'eut contacté pour que nous pouvons lui rendre
visite. D'après la réponse, toute la bande de 8 personnes
peuvent venir pour y faire la fête.
Cette sympathie donne a nos ambitions un volume de joie
qui embellie notre intention de lui rendre visite. Mes parents
pour plus de sécurité nous ont préparé a ma sœur et moi 1
poulet ainsi qu'un paquet de chips et une boite d'ananas sans
oublier des bouteilles d'eau.
Ce dimanche matin a 7 heures, le départ fut donné. Les 8
personnes prier place dans l'Ariane, 4 a l'avant et 4 a l'arrière.
L'ambiance a tout pour plaire et comme une colonie de bon
amis, notre route fut prise. Avec l'aide d'une carte Michelin
et des conseilles de ceux qui sont a l'avant je suis la route
qu'ils m'indiquent.
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en coure de montage des changements peuvent suivre.
A suivre au 10/15 page 280
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
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