La clarté de la nuit n 6/15 ( roman sentimental, La vie de ? )

Mirage au dessus des nuages sage n 1











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La Clarté de la nuit

  Il continu de s'acharner sur mes vêtements qui se
déchirent de plus en plus.
- Arrête vannier je ne t'ai rien fait.
  Mon cœur joue la chamade et mes nerfs se 
gonflent d'intention défensifs, mon adrénaline a
programmé une auto défense. Je reçois un coup
de point en pleine figure et sans perdre un instant
je redonne se coup qui le fait basculer sur le coté.
Mon née saigne mais cela ne m’empêche pas de 
me remettre en position de défense. Le vannier
se relève et tente de me donner une correction.
Ma réaction bien plus leste que la sienne, lui 
inflige un coup chaque fois qu'il tente de m'agresser.
Il se lève et part en courant en criant,
- Tu vas me le payer je vais chercher de l'aide.
  10 minutes plus tard, il revient entouré de 2 
personnes plus âgé que lui. Leur corpulence 
dépasse la mienne. La situation devient critique
et tous mes nerfs me font trembler. Les 3 vanniers
m'insultent avec tous les mots inconnue a ma 
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connaissance. Puis, ils se mettent a 3 pour 
renverser le chargement sur la rue. A cette 
instant là je tente de tenir tête a cette attroupement.
Je sais que je vais perdre d'avance,  je n'avais pas 
tord car me voila cerclé de toute part. Les deux âgées
me tiennent par les bras et le jeune me tabassait. Des
coups pleuvaient de toute cotés. Je raidi mes muscles
pour amortir les frappes. Sur mon visage Je senti 
une sueur couler jusqu’à mes lèvres. Elle ne fut pas
salé, mais un autre gout. Si je pleur je suis une 
mauviette et ça il ne faut pas leur montrer se serait
leur victoire. Je me retient tant bien que je peu et
essuie cette sueur rouge avec ma langue. Un des 
grands dit ,
- Laissons le il en a eu pour son compte. 
  Avant de partir le plus jeune me redonne des coups
et me lance des injures. Il se sentait fort avec ses 
frères.
  Je ramasse les pièces de mon armoire et retient 
mes larmes. Personne dans ce quartier pour me 
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venir en aide, je suis seul et dépourvu. 
  Le déclic de l'ouverture de la porte se fait entendre.
Je me rapproche et pousse sur la porte. Ouf, je peu
me mettre a l’abri. Je cris dans le couloir,
- Merci de m'avoir ouvert la porte.
- Je suis au premier étage, venez monté, pour que
  je puisse vous soyer.
  C'est une dame qui m'a ouvert la porte, quelle 
joie et quel soulagement.
- J'arrive madame.
  De l’espoir rennes en moi, je n'était pas seul 
une témoin a vue la scène.
  Je patiente chez elle jusqu’à la venu de ma tante
a qui j'ai remis l'armoire.
  Ma tante Elise arrive, enfin je suis rassuré. Je lui 
fait part de mon aventure qui m'a laissé comme 
marque les blessures sur mon visage et les hématomes 
sur mon corps. Un coussin me raccompagne, l'on 
place son vélos sur le chariot puis nous le rapportons.
En classe j'explique ma bataille avec les vanniers.
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  Les jours suivant lorsque je rend visite a tante Elise
les vanniers me saluaient comme si je suis un des 
leurs.
  Mon travail durant mes temps libre, le matin, consiste a 
chercher du bois sur la dépotoir avec mon chien berger 
et mon frère adoptif qui pris place dans la petite 
remorque durant l'allé. On fait une découverte qui nous
impressionne, car C'est un tronc d'arbre d'un mettre de
long et d'une circonférence de 45 cm en cerisier. C'est
avec peine que l'on hisse se tronc sur la petite remorque
mais pour le retour, l'aide du chien nous servit a 
l'emporter sans trop de peine. Je le descend dans la cave
et tente de le scier en morceau de 33 cm. Mais ce bois
bien dur résiste a mes actions. Le soir venu, mon père 
me donne un coup de main, mais même avec lui on eut
de la peine a couper ce tronc.
  La cave devint mon atelier car j'y avais un établie et 
 et étau. Je rangeait le bois sur des rangées le long du 
mur de la fondation. Pour y parvenir  je passais par la
cuisine où une porte me permit d'emprunter un escalier.
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Dans la cave il n'y avait pas de lumière électrique c'est
avec une bougie que je l'éclairait. Je remonte de ma cave
pour me désaltérer et n'était pas la bougie . Je bois avec
ma maman une tisane, puis j'ouvre la porte dans la 
cuisine qui permet de retrouver mon atelier. Une fumer
sombre et malodorante nous envahis. Ma mère, affolé 
mais réactionnel rempli un sceau d'eau qu' elle verse 
sur les escaliers en bois. Je remplis un autre sceau que 
je lui donne, puis continue avec celui qu'elle a vidé. On 
a eut chand ce jour là mais on a maitrisé. Suite a cette
aventure, mon père installa une lumière électrique.

  Il ne reste plus que quelques jours pour terminer
l'école et pouvoir profiter de vacances. Avec 6 
collègues nous décidons de prendre la clé des 
champs et parton voir le film d'Hercule dans le 
cinéma de la gare ou l'entrée est a 100 centimes de
Francs ( ça fait 13 centimes d'Euro ) . Je pays mon
entrée et l'un de mes collègue finance les autres.
L'on prend nos place et le film commence. Le père 
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de celui qui a financé l'entrée vient le chercher
et le gifle violemment puis l'emmène a l'extérieur.
  Le lendemain, nous apprenons qu'il avait vidé la
caisse de la supérette de son père.
  Il ne reste plus que 15 jours de classe. Nous allons
recevoir  la visite de la tante Margrite et cela
se ressent lorsque ma maman nettoyée de fond en 
comble les pièces et les meubles . Est ce une manière 
de lui montrer notre respect envers elle ? 
   Tante Margrite ne vient jamais les mains vide 
le grand coffre de la voiture américaine permet de
ranger pas mal de paquets. Sa bonté est ci grande
que notre bonheur se réjoui .
  Au fil des discutions,  ce jour là elle demande a 
mon père,
- Jacqui aimerais tu venir dans mon chalet avec 
  Jean pour y faire quelques aménagement ?
- Oui je veux bien, et toi Jean veut tu venir avec 
  moi ?
-  Oui papa je veux t'accompagner.
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   Je suis heureux comme un loir car  je vais  
l'accompagne fière comme un connaisseur.
   Pour moi, retrouver une partie de mes souvenirs
de l'année passé consiste a montrer que je fus 
capable de m'organiser.
  Mon père n'a pas de voiture pour se déplacer, et
grâce a la Tante Margrite, nous partons pour Liestal
en Suisse pour 3 jours car un jour férié nous le 
permet.
   On arrive dans Liestal et on fait un arrêt dans la
ferme où j'ai rendu service a l'oncle fermier. 
  Comme un connaisseur je dis bonjour a tout le 
monde en plus, je guide mon père dans l'étable 
pour lui montrer où , après le petit déjeuné, j'ai 
aidé a sortir le fumier.
- Tu vois ces cordes papa, c'est pour attacher les 
   queues des 2 vaches qu'il faut traire a la main 
   assis sur ce tabouret a un pied que l'on attache
   autour de sa taille.
-  Mais, Jean, tu as trais les vaches ? 
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-  Non, mais j'ai regardé comment ils font.
  Nous retournons prêt du fermier et là ma Tante
Margrite demande,
-  Jean veut tu revenir cette été avec le fermier ? 
  Le fermier me regarde un peu curieux mais aussi
impatient de connaitre mon opinions. Je le regarde
un peu hésitant, une ruse de ma part pour faire 
augmenter le suspens. Mon père ne dis un seul mot
et me lance un sourire encourageant .
-  Oui tante Margrite, je veux revenir dans cette ferme
   au prochaine vacance.
-  Tu sera le bien venu Jean je te laisserais guider le
    cheval comme je te l'ai promis l'année dernière.
  Nous montons vers le chalet en passant par le 
restaurateur où Margrite nous invite a prend un 
café pour mon père et un chocolat pour moi. La
tante a prit un thé. Puis elle fait nos présentations,
-  Monsieur le  restaurateur, comme je vous l'ai 
   fait savoir par téléphone, ces deux personnes
   mangerons ici durant deux jours, vous pouvez
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   leur servir ce que bon leur semble. Je règle les
   sommes  par la suite.
-  Oui madame.
- Pour le dernier jour, nous serons quatre de plus.
- C'est noté, soyez les bien venu.
   Nous passons devant les planches de bois de la 
scierie pour monter jusqu'au chalet. Une odeur de 
bois scié enivre mes narines, je suis enchanté .La 
vue devient magnifique et la verdure amplifie notre
attention.
  Margrite avance la voiture jusqu'au début de la 
foret, puis fait une marche arrière pour  entrer sur
son terrain. Elle dit a mon père,
-  Ce noyer se trouve trop prêt de l'entrée, il  me 
   dérange plus que tout, il faut que je trouve un 
   bûcheron pour qu'il coupe cet arbre.
   Mon père ne dit un mot et moi je reste sans
voix.
-  Je vais trouver le bûcheron du village pour
   qu'il viennent couper le noyer, veux tu venir
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   avec Jean ? 
-  Oui tante Margrite.
- Je vais ouvrir le chalet pour que ton père 
  puisse se servir des outils qui se trouve dans la
  cave.
  Nous redescendons dans le village, a la hauteur
de la scierie, nous tournons sur notre gauche puis
continuons jusqu’à la foret où un chemin permet
d'y entrer. A ma stupéfaction, je vois, une cascade 
d'eau a fort débit. Elle est large de bien 2 mètres
et haute de 30 mètres. Son jet provoque un arc en
ciel ou les couleurs se mélange a l'eau. Je suis
émerveillé et demande,
- D'où vient toute cette eau, tante Margrite ?
-  Elle vient de la source qui se trouve a mis 
   chemin du sommet.
  L'on descend de la voiture, puis prenons un 
paquet bien emballé dans du tissu et un autre dans
du papier. Je porte le plus grand, en toile car je 
veux montrer que je sais travailler. Nous prenons
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le chemin qui conduit a la maison en bois qui se
trouve a  30  mètres. 
   On tire sur la corde qui relit la cloche. Son 
son résonner a travers bois. Malgré le bruit 
que provoque la cascade, le son de la cloche 
dépasse celui de la chute d'eau. Une personne 
ouvre la porte, et entre ses jambes, un bambin  se
faufile. 
-  Bonjour madame Margrite ,  bien venu, venez
   entrer je suis a votre service.
-  Madame Paméla c'est gentil de votre part, je 
   vous apporte les vêtements pour enfants aussi
   que de quoi vous nourrir. Ces dons viennent de
   la crois rouge international Suisse vous n'avez
   pas besoin de me remercier, je fais mon devoir.
   Non rentrons dans la maison et je remarque 
que la propreté marque sa présence. Tout est
parfait. Par politesse, nous prenons un verre 
d'eau.
-  Madame Paméla, mon neveu que voici, passera
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   quelque jours en vacance dans la première 
   ferme du village, il vient de l'Alsace et ce n'est
   pas la première fois qu'il est ici. Avec son père
   ils font des travaux dans le chalet pendant 3
   jours, ne vous inquiété pas.
-  C'est bon madame Margrite, je le dirais a mon
   mari le bûcheron.
-  Pouvez vous demander a votre marie c'il peut
   couper le noyer qui se trouve a l'entrée du chemin
   qui permet accéder au chalet ? 
-  Je lui ferais part de votre projet, il viendra vous
   le confirmer le dimanche dans l’après midi au 
   chalet.
  Nous quittons cette habitation pour retrouver
mon père. Il a préparé les outils dans une brouette
qu'il a placé sur le chemin qui mène au latrines.
Tante Margrite lui dit
-  Tu sais par où commence Jacqui ? 
-  Oui Margrite, je fais en premier l'aménagement
   du chemin qui mène au latrines, puis par la suite
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   je place les traverses en bois  de chemin de fer 
   pour délimiter la place pour jouer aux boules.
-  Je vais vous montrer comment préparer les lits
   et mettre l'eau chaude en route pour pouvoir 
   prendre une douche.
  On se dirige vers l'entrée du chalet et marchons
sur une terrasse qui fait le tour du chalet en rondin  
d'épicéa. Une odeur particulière nous entoure. 
   La surface de cette habitation permet de loger 6 
personnes, un lit de 2 m sur 2, replié en canapé 
permet a un couple de dormir. 4 autres lits sont 
répartie en hauteur, sous le toit . La forme octogonal 
 du chalet, permet au son de notre voix de résonné. 
Une pendule avec un balancier donne vie a 
l'habitation en émettant un sons de coucou chaque 
15 minutes et au heures pleines l'apparition du coucou
nous interpelle. Au milieu de cette pièce, une 
table, octogonal elle aussi , est entouré de 6 chaises
sculpté dans de l'épicéa épais. J'ai du mal pour
en soulever une. Un grand tapie de mouton, occupe
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une place devant le canapé. Une petite cuisine, tout
en bois, se trouve a notre disposition. Des étagères
permettent d'y ranger les assiettes les verres et les
bols et les tasses de thé. Les cuillères fourchettes 
et les couteaux se trouvent dans une belle caisse en 
bois sculpté de scènes de chevaux.
  Je décide de dormir sous le toit, avec comme 
plafond des lames de bois brossé où ses vaines 
dessinent des parcours a faire rêver.
  Nous entamons  l'entretient prévu et moi, je 
pousse la brouette en bois pour apporter ce qui 
faut a mon père. L'entente est parfaite, nous 
progressons rapidement.
  Comme prévu, nous partons manger dans le 
restaurant . Ce qui fait blizzard, est d’être accueilli
comme des invités sans devoir débourser quoi que 
se sois.
     Au soir nous rangeons nos outils dans la cave
bétonné. Après avoir pris notre douche, nous 
occupons notre lit respectif.
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   Je suis au ange, sous le toit de ce chalet et 
plonge dans des rêves prolifique. Au matin, nous 
descendons dans le restaurant pour prendre notre
petit déjeuné.
   Nous terminons nos engagement sans rencontrer
de complication. Nous voila au dimanche soir et
Margrite vient nous chercher accompagné du 
bûcheron.
- Vous avez bien avancé, le programme est respecté.
  Je vous présente le bûcheron qui coupera le noyer
  durant la semaine ce qui permettra d'élargir 
  l'entrée. C'est dans la semaine que le camion 
  apportera le gravier pour remplir le rectangle que
  vous venez de faire. Je suis ravie de votre travail et
  compte sur vous pour terminer le travail en fin de
  semaine.
  - Oui tante Margrite, je suis prêt pour revenir et 
    terminer le travail.
  Le sourire de Margrite me rend heureux.
- C'est magnifique ici, la vue ressemble a une vrais
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  carte postale tante Margrite.
- Hélas, d'ici la fin de l'année une autoroute traverse
  la montagne que l'on vue en face, on ne sera plus 
  dans un endroit tranquille. Je suis un peu dessus.
  Je suis étonné de cette nouvelle et trouve 
qu'effectivement que la vie sera gagé. Mais ne 
décevons tante Margrite.
-  Mais l'autoroute se trouve bien loin, je ne pense
   pas qu'il y aura beaucoup de bruit tante Margrite.
  Tu dois avoir raison, ne nous en faisons pas et 
attendons la suite.
  Nous fermons le chalet , faisons un dernier tour 
puis partons dans la voiture en direction de la gare
de Bâle.
    Vivement la fin de semaine, et vola, elle est là .
L'on prend le chemin de la gare de Mulhouse puis
prenons le train pour Bâle. Tante Margrite nous
attend pour retourner dans son chalet. 
  On arrive devant le chemin qui mène au chalet.
Le noyer ne nous gène plus il ne reste plus que la
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souche qui pleure de se trouvé décapité de son 
tronc. Un tas de gravier et de sable occupe le 
chemin, l'on doit le contourner par la foret pour 
pouvoir accéder a l'entrée du chalet. Tante 
Margrite ouvre la porte puis donne la clé a mon
père.
-  Veux tu venir avec moi Jean , je dois apporter
    quelque chose a la femme du bûcheron, Paméla.
-  Oui tante Margrite je veux bien.
  Ce qui m'attire dans ce déplacement est de 
pouvoir l'accompagner dans sa belle voiture
Américaine.
  Nous parvenons a la cascade et devons patienter 
pour pouvoir joindre Paméla car elle est absente.
L'on est assis sur le banc en rondins .
-  Aimes tu te trouver dans cette petite ville Jean ?
-  Oui tante, j'aime venir ici c'est jolie et ils sont 
    sympathique les gens d'ici.
-  Qu'aimeras tu faire plus tard comme métier ? 
-  Je ne sais pas encore, mais écrire des romans
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    et faire des tableaux a l'huile m'attire.
-  Veux tu apprendre souffleur de verre dans mon
   entreprise a Bâle ? 
-  Pour quoi pas, il faut que j'en parle a mes 
   parents .
-  Tante Margrite, où as tu rencontré ton mari ? 
-   Tu me poses une bonne question, j'ai rencontré
    mon mari a la même époque que ta mère. Durant
    la guerre quant les trains de marchandises Français 
    stationnaient dans la gare de Bâle le jour pour 
    repartir la nuit.
-   Mais, qu'avaient ils de particularité ces wagons pour 
     que vous étiez  présent ?
-   Notre présence consistait a venir en aide aux 
     personnes qui se trouvaient dans les wagons. Ils
     devaient partir pour la Pologne dans des camps, 
     d'extermination,  ce que l'on ne savait pas et qui 
     me tient encore a coeur. Tu me soulages d'un poids
     que j'ai du mal a porter.
     Un profond vide se fait autour de nous, ma curiosité 
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reste ouverte a plus de détailles. La cascade continu son 
clapotis et l'arc en ciel colore les gouttelettes qui 
proviennent de leur point d’attache. Mon visage s'en 
humide, mais celui de la tante dénonce des larmes. Je 
veux couper ce vide pour le rendre plus confortable.
-  Il a bien travailler  le bûcheron .
-  Oui je suis satisfaite de son travail Jean, j'ai 
   quelque chose a te confier, quant je me suis marier, 
   nous ne pouvions avoir d'enfants. Il a fallu un
   donneur masculin pour en avoir. C'est celui de ton
   père qui a permis que j'ai deux enfants.
  Je suis comme flache par cette révélation, je comprend 
le pourquoi de son attachement a notre famille .
  La femme du bûcheron arrive, je reste sur le banc
et attend la tante Margrite. Nous retournons au chalet
où mon père eut commencé le travail d'égalisation .
- Tu es bien engagé Jacqui, ont il livré asse de gravier ?
-  Oui Margrite, ci jamais il y en a de trop je le repartie sur
    le chemin qui mène au latrines.
-  Ça c'est une bonne intention. Alors a demain après midi.
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    Bon séjour au chalet.
  Elle empreinte le chemin , je la salue jusqu’à ce la voiture
disparaît de ma vue. 
   Mes pensées ont imprimer la révélation que ma partagé 
Margrite. Je tient un secret  et me suis jurée que je le 
partagerait avec celles et ceux qui voudrons me lire.
   Le dimanche après midi, Margrite vient nous chercher.
Cela fait pas mal de temps que nous avion terminé et 
apprêtions ces moments de détente. Elle arrive a notre 
hauteur et nous félicite de notre travail. 
   Un promeneur circule sur le chemin en direction de la
ville. Il s'arrêt a la hauteur du noyer et interpelle Margrite,
-  Madame Margrite, pour quelle raison avez vous coupé
   ce noyer ? Ce n'était pas la saison car l'arbre pleure. Le
   bois n'a plus de valeur c'est dommage.
-  Monsieur le garde champêtre, il était gênant pour qu'un 
   camion puisse passer.
-  Il aurait fallu m'en parler,  c'est dommage de l'avoir 
   coupé.
  Le visage de Margrite change, elle n'a plus se sourire
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enchanteur et plein de grâce. Les remarques de ce garde
champêtre l'on dramatisé.  Elle se retourne vers nous et
dit,
-  Venez on vas boire quelque chose pour oublier les 
    remarques que l'on vient de me faire.
- Je vais  te faire un thé Tante ? 
-  Oui je veux bien Jean
- Et toi papa que veux tu ? 
- Je prend une bière.
  Je rentre dans le chalet prépare ce qu'il faut et la tante
vient vers moi,
-  Jean penses tu que c'est grave d'avoir fait coupé le 
   noyer ? 
-  Non mais le garde champêtre pensait que le bois a 
   été coupé en pleine floraison ce qui n'est pas bon pour
   le faire sécher et en faire du bois de façonnage. Il ne
   faut pas t'en faire tante Margrite.
 - Pour la fin de la semaine prochaine tu pourras revenir
   passer tes vacances avec l'oncle fermier et les villageois 
je viendrais te chercher Jean.
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  Je passe ces quelques jours bien discipliné et ne manque
a aucun cour a l'école. De toute façon nous ne faisons plus
que des jeux . J'emporté avec moi ce qui reste de mes 
graillons de couleurs pour montrer au fermier et aux 
enfants ce que je suis arrive a faire.
  Mes présentation a ce retour vont bon train et l'on 
s'engage a continuer sur notre lancé. Pas besoin de 
programme, nos idées sont le fruit de notre avenir.
Bref, je suis heureux et plein d'entrain. Je m'avance
prés de l’enclos du cheval. Je siffle pour l'appeler,
rien, pas de cheval ? Il doit se trouver derrière les 
arbres du vergé ? Je suis monté sur les planches de 
l’enclos pour mieux l’apercevoir, quant , soudain , il
déboule a vive allure dans ma direction. Je prend 
peur et saute des planches . Le cheval saute de 
l'autre coté d'un seul bond. Ma peur a fait que je suis
resté blottie dans un coin pour me protéger. 
  Le fermier a suivie la scène de loin et crie, 
-  Jean, lève toi et rattrape le cheval il se dirige vers  la 
   route  au risque de se faire renverser.
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  Ma peur ne provoque aucun signe d'action qui me
lance a la poursuite du cheval, je reste inactif et le 
regarde cavaler sur la route principal.
-  Je ne sais pas ce qu'il lui a prit de sauter pardessus
   la clôture ? J'ai pris peur en le voyant cavaler de la
   sorte.
-  Tu aurais du écarter tes bras pour leur faire peur 
    car un cheval vois 7 fois plus grand qu'une homme
    Jean. Je prend mon vélos et part le retrouver.
  Cette action a bouleversé mon programme, je suis un 
peu débosselé et tente de m'expliqué au prêt de la 
fermière.
- Je ne sais pas ce qui c'est passé pour que le cheval 
   s’emballe madame, je tremble encore de peur.
-  Jean je crois que le cheval fut piqué par un taon et
   en ce moment il y en a de gros et très agressif. Je te
   donne un truc pour les écraser, tu attend que le 
   taon se place sur ta peau ; il ne pique pas 
   immédiatement car il prend se temps pour bien se
   positionner c'est a ce moment là que tu dois le 
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  frapper de toute tes forces.
-  Je retient la leçon madame la fermière, mais, le 
   fermier m'en voudra t 'il pour qu'il doit rechercher
   le cheval ?
-  Mais non Jean, il est furieux sur le coup, mais après
   tout ira de nouveau. Ce n'est pas la première fois 
   que le cheval s'emballe.
  Comme c'est la fin de semaine et du mois, le four a
pain est chauffé. Un fumée bleue s'élance dans le ciel
et l'odeur du bois brûlé nargue mes narines. Les miches
sont prête a être enfourné, ce qui attire mon attention.
Je ne suis pas le seul car les villageois environnant sont
présent. 
  Ils ne me sont pas inconnue car l'année passé on 
c’était  rencontré. Il fait chaud et le soleil donne tout
son pouvoir comme le four a pain que nous 
remplissons rapidement pour éviter de se brûler.
Cette odeur de pain en cuisson émet un parfum 
qui augmente notre impatience de pouvoir le goutter.
   On approche de la fin des cuisons des miches, voila
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que les différente tartes y sont enfourné.
   Toutes les personnes se sont regroupé et nous 
dégustons les tartes après avoir prit une bonne soupe
de légumes. 
  Notre petite fête diffuse une joie pour l'ensemble des 
personnes présente. Il n'est pas question de jouer a 
cache cache, vue ce qui m'est arrive l'année passé.
- Jean, on a un planeur qui vole bien on vas te le
   montrer en faisans voler sur les champs de mon
    père, tu viens avec nous ? 
-  Oui je veux bien .
  Nous voila en place et le pilote lance son planeur.
Celui ci s'élance vers le ciel , travers la route et plane
jusqu'au tas de bois du fermier où je passe mon séjour.
Il ne fallu pas de grand effort pour qu'il s'élance , la
nuit tombe, on risque de le perdre.
- Reportons cela a demain quant il fera jour.
  le lendemain après midi nous voila rassemblé, avec
comme curiosité le planeur qui nous impressionne .
-  Je fais  un premier essai Jean puis je te le prête pour
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   que tu puisses en faire de même.
-  C'est gentil de votre part, je suis ravi.
  Le planeur, d'une envergure de 2 m s'élance sans 
le moindre effort, traverse la prairie  et se retrouve sur 
le champs de pomme de terre du voisin. On le récupère
avec hâte.
- Il vole bien cet avion, c'est magnifique, dommage que
  nous devons faire attention au champs des voisins .
  Je vous propose de monter jusqu'au chalet de ma 
  tante Margrite, quant pensez vous ? 
- C'est une bonne idée Jean, mais as tu le droit de 
   jouer la bas ? 
- Bien sur elle m'a donné l'autorisation .
  Toute la bande se retrouve devant le chalet de Magritte.
Une belle vue se trouve au départ de la piste de décollage.
Devant nous les cerisiers parsème le vergé qui a plus de
3 hectares ce qui fait une étendu digne pour la liberté 
d'un planeur. On se réunie l'un a coté de l'autre quant
a moi, au milieu du groupe , je tiens le planeur  au-dessus
de ma tête.
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-  Vous me dite quant je peux lui donner son envole.
-  Oui Jean, attend un peu il y a du vent.
  L'impatience se place dans chacun d'entre nous et 
le temps devient long.
-  C'est bon Jean tu peux le lâcher.
 Je donne un bon coup de pousse pour que le planeur
travers le vergé pour se retrouver dans le village. Le 
planeur suit mes intentions mais prend de la hauteur
et s'élance dans le village. Nous courons tous apprêt 
lui en le suivant des yeux. sa vitesse dépasse la notre.
Nous le perdons de vue. Arrivé au bas de la colline, 
on le cherche en vain. Pourtant il est jaune et rouge 
une couleur qui se distingue bien ?
  C'est au bout de plus d'une heure que nous voyons
l'avion niché dans les hautes branches des peupliers 
plus que centenaire. Il n'est pas perdu , mais inexigible.
Je ne sais que dire, et ai honte de moi.
-  Il est trop haut pour le décrocher je n'aurais pas
   du le faire décoller du haut de la colline, je m'en veux.
  Le propriétaire dit, avec espoir,
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-  Peut être qu'avec le vent il redescend de l'arbre 
    il faudra que l'on fasse tous attention pour le 
    récupérer.
  Le groupe se regarde mutuellement et lui dit en coeur,
-  Oui on fera attention en passant par là.
  Le lendemain, apprêt midi, j'ai le droit de guider
le cheval pour récupérer le bois coupé en stères 
dans la foret. Le fermier ne m'en voulait pas que le
cheval eut fait la belle . Il est 13 heures 30 et nous nous
dirigerons vers la foret sur les hauteurs en passant 
devant le chalet en bois de Magritte. Je suis assis a coté 
de l'oncle fermier et regarde avec attention les gestes 
qu' il fait avec les cordes de l'attelage. 
  A coté de nous, une marmite en métal, attaché sur le coté
laisse s’échapper une fumer noir avec une odeur très 
désagréable.
    J'eu remarqué qu'avant de partir le fermier a placé un 
morceau de pneu de vélos sur des morceaux de bois qu'il
eut allumé avant que nous quittions la ferme. Mais 
curiosité lui demande,
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-  C'est pour quoi cette marmite ?
-  On y allume un feu pour faire fuir le taons , l'odeur 
   est pestilentiel mais efficace.
  Nous voila en foret, le fermier me donne les arceaux 
de l'attelage et me dit,
-  Je n'es pas le droit de te laisser diriger un cheval, mais
    comme je te l'ai promis, en foret l'on ne rencontre  
    personne c'est pour cela que je te permet de le diriger.
    Pour le retour, comme la remorque est chargé c'est moi
    qui reprendra les rênes.
-   D'accord monsieur oncle fermier.
  Le chemin est un peu chaotique, et le cheval suit sans 
aucune peine. Moi fière comme un cavalier, je dirige cette
attelage comme un professionnel. Nous arrivons prêt des 
cordes en bois enstéré. Avant de le charger sur la remorque, 
il faut tourner l'attelage dans le bon sens. Au premier 
chemin de travers, il faut faire une marche arrière en 
tournant l'ensemble. Cela n'est pas facile, je laisse cette 
action a l’oncle fermier.
  On charge le bois sur la remorque, ce qui n'est pas une
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chose facile car le bois a un certain poids. Puis nous 
reprenons le chemin du retour après avoir donné une 
carotte au cheval.
  Malgré la fatigue je retrouve mes voisins a qui je leur
raconte mon exploit. Ils me font savoir que l'avion a 
atterrie dans leur champ sans trop de dégâts, quelle joie
pour moi .
  A la fin de mon séjour, je n'ai rien a me reprocher et 
le retour dans mon nouveau quartier me fait plaisir.
Je n'es personne a qui m'adresser, mais a la rentrée des
classes je vais tous raconter a mes camarades.


   
Le roman est en construction, des changements peuvent suivre.

 7/ 15 page 183


JJM
Auteur Jean Jacques Mutz
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