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VUE SUR LE LOT ( poésie n 53 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 VUE SUR LE LOT De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur,  Qui cherche chemin . Dire que les gens,  Me trouvent bien, Sur mon traçais , Que porte mon destin . De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur,  Qui cherche chemin. Je m'appelle lot,  Ça c'est certain , C'est écrit sur,  De vieux parchemins. De mon perchoir, Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son chemin.  Je traverse des villages,  Aux pierres chaudes,  Mâcone il y bien longtemps.  Je dirais plus de cent ans De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son chemin. Le pont de V alantre, Me montre sa face, Et le diable au centre,  Ne me fait pas menaces. De mon perchoir, Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son Chemin.  Cahors capital des gourmands,  Qui  nourri les visiteurs du lot, Comme des amants, avec des truf

DU BLÉS ( poésie n 154 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 DU BLÉS La couleur or,  Immonde les champs, Le blé a fini de mûrir,  Il faut le récolté. Venu de nul part,  On s'active dard-dard, Naissent des botes,  Qu'il faut charger. Sur de charrettes,  En bois ferré, Bien équilibré, Pour les déplacer.  Deux chevaux,  Y sont attelé, L 'orage gronde,  Il faut ce dépêcher.  L'humidité peut gagner, En risquant de gager, La récolte du blé, récolte.  Sans pouvoir l'engranger. On s'affaire et se bouscule,  Dans un rythme e freine,  Il n y a pas de doute,  La récolte doit être rentré.  La tempête gronde, Il faut accélère,  De rentrer notre gagne pain,  A la couleur doré.          JJM     Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 28 01 2010. Rémi à jour le 18 05 2019. A ce jour, 18 05 2019  ,111391 lecteurs.

LA DÉPRESSION ( poésie n 277 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 LA DÉPRESSION Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. C'est triste de se faire tirer de la sorte, Dans un cumul pour qui trotte une note. Une motte la stop comme un hôte, Qui se moque de la maintenir de la sorte.  Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Le destin devient fragile lorsqu'on importe, Une fragilité d'intention malpropre. La voila bloqué, maintenu dans sa cage, La où il n'y a plus de passage de nuages. Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Elle s'y décompose sans un présage, Avenir, de pourrir comme un grand mage. Mais l'image d'un vrai

Il n'y a pas d'heure ( n 300 poésie )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 IL N'Y A PAS D'HEURE Il n'y a pas d'heure, Pour rire sans mot dire. Il n'y a pas d' heure, Pour souffrir sans flétrir. Il n'y a pas d'heure, Pour tous vous dire. Il n'y a pas d'heure, Pour tous garder est gémir. Il n'y a pas d'heure, Pour aimer son pareille. Il n'y a pas d'heure, Pour dire qu'elle m'émerveille. Il n'y a pas d'heure, Pour déclarer mon amour. Il n'y a pas d'heure, Pour te dire, je t'aime toujours. JJM Auteur Jean Jacques Mutz Ecrit le 06 11 2013 A ce jour, 21 02 2019, 109540 lecteurs. A c jour, 21 02 2019, 111266 lecteurs. 

LE FROID ( poésie n 291 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 Le froid Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. La bisse souffle un vent glaciale, Mes narines collent comme du cristal, Et mes mains, emmitoufle, sont gelé, Mes oreilles , rouge, sont collé. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous caresse par sa fraîcheur, Ce souffle venu des profondeurs, Qui nous enivre avec une rancoeur, Sans nous laisser de sueur. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous oblige de se couvrir, De laine, pour ne point frémir, Car, quant on tremble de froid, La maladie risque de passer par là. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe av

MON CORPS ( poésie n 250 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 . MON CORPS Mon corps est bien enserré, Une forme que j'aime énoncer. J'en suis très  fière, Pour celle qui la germé. Comme pour celui? Qui par bonheur ma façonné. Je leur doit le respect, Sur toute ses données. De mes muscles solides, Et mes gestes équilibrés. Mes pensées me guident, Vers un avenir estimé. Cet onagre de satisfaction, Je peux le comparer, A cette oie sauvage , Qu'on a du mal a attraper; Au signe apprenant a voler, Ou a celui d'un aigle , Qui survole une contrée. Voila mon ensemble, De chair et d'idées, Une dévotion qui mène, Jusque dans mes rêves. Je le confie aux lecteurs, Qui y plonge leur pensées. JJM  Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 05 11 2010. A ce jour , 11 05 2019, 111  248 lecteurs.

DANS MON CLOÎTRE ( poésie n 274)

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Mirage au dessus des nuages sage n 1.  DANS MON CLOÎTRE Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin ,pour un rien, Il enferme dans ses murs, la culture d'un lien De profond couloirs ont consolidé, Mes pensées libre de vous raconter, Que les péchés venu des autres , Mérite d'être exprimé par mes pensées. Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin, par pour un rien, Il enferme dans ses murs, la culture d'un lien Je me heurte  a des colonnes romantique, Qui soutiennent des voûtes magnifique. Sont ils l'oeuvre de maudis, Ou le charme de ce qui est permit ? Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin, pas pour un rien, Il enferme dans ces murs la culture d'un lien.                                                       Dans ce palais  fait de pierres antique, Je retrouve mon onde théorique.