mirage au dessus des nuages sage n1

Mirage au dessus des nuages  sage n 1 ME  TAIRE On m'a dit de me taire, Car la vérité peut déplaire. Ils m'ont dit de me défaire, De cette source imaginaire, Qui prédit que le mystère, Ne mérite pas l'enfer. On m'a dit de me taire, Car la vérité peut défaire. Ils m'ont dit de me distraire, Sur d'autres honoraires, Qui rapportent par paire, Tous ce qui englobent le claire. On m'a dit de me taire, Car la vérité peut déplaire. Ils ont prédit que ma galère, Démarre comme le  réverbère, Par une étincelles  de bec, Qui rime une suite d'avec. On a dit de me taire, Car la vérité peur défaire. Ils en veulent a mon ambition, Qui écrit de juste mots rond, Ceux qui caressent la vérité, De vouloir tous partager. On a dit de me taire, Car la vérité peut défaire.  Je prend place sur un banc, De bois vieilli et piquant, Car pour écrire il faut penser, Sur du bois bruni par la vérité. On a dit de devenir terre,

Mirage au dessus des nuages  sage n 1 FUIR Je voudrais fuir, fuir, cette injustice, Qui dit peine sans trouver propice, Pour que vive, vive, une fusion complice, Complice, d'une vraie justice. L'actuelle n'a de raison de dire non, non, Mais le non , n'est pas un jeu de mots, Mots impure pour la bonne raison, Que l'injustice, trouve toujours le son. La force s'égare, s'égare, dans cette confusion, Pour céder la place a l'abrogation, De toutes les fonctions qui n'ont d'action, Que le regard d'une pauvre conclusion. Je me sens perdu, perdu, dans ces croisements, Qui partent tous vers un fusionnement, D'actes impures de tout conditionnement, Comme certaines paroles dans des sacrements. Je voudrais crier, crier cette aberration, Sur tous les toits de la conspiration, Pour s'échappé vers la constellation, Ou vive les justes et les sages.  JJM Auteur amateur Jean Jacques Mutz écrit le 28 03 2013, remis a

mirage au dessus des nuages sage n 1  LA PAUVRETÉ Le malheur, la cultive sans modération, Dans une vie commune où il y a confusion. La pauvreté me fait signe, par protection, Pour que je lâche du leste a revendications. Société, tu me traines dans une galère, Fraction d'histoire du temps de Voltaire. Je suis au rang, des malades et mendiants, Prenant place, dans la rue des marchants. J'accouple la peste, par profanation, Pour faire la manche, mon ultime mention. Ma récolte se donne par modération, Miettes du surplus, donné comme ration. Elles me servent de finance, pour mes actions, Que j'accompagne de leste, par prétentions. L'alcool me brouille , c'est ma passion, Ration de trouble et comble de confusion. Je bois comme une chute, sans confessions, Pour noyer mes pensées dans mes intentions. Alcoolique de long terme, vague de vagabond, Je fuis mon subalterne, qui unie ma fusion. Pauvreté oblige, que pour faire illusion, Redev

mirage au dessus des nuages sage n 1 JE DEMANDE LA VIE La nuit, elle, m'entoure, tout est sombre,    Autour de moi, je ne vois plus que de l'ombre.               Je demande votre avis. Les couleurs ne reflètent de différence,    Le lointain, la aussi, elle n'a plus son importance.               Je demande l'envie. Autour de moi, je capte de nombreux sons,    Je ne comprend pas un seul de leurs mots.               Je repousse l'ennui. Mon coeur bat, bat, d'un petit pas fracas,    Mon souffle lui, s'étouffe, par touffe traqua.               Je demande la vie. Une main me réconforte, par sentiment,    Une vibration me parle courageusement.               Je demande son avis. Je récolte cette roulade étonnamment,    Pour m'appeler a la vie pour fusionnement.               Je demande l'envie. Je retrouve tout, tout, mon émerveillement,     Mon coeur , lui, bat, bat, pour un argument.           

Mirage au dessus des nuages sage n 1 Recrêt d'état. Une guerre est un ensemble de questions qui se déclenche bien avant les  premières agressions. Ce texte est un point de vue. Le juge questionne celui que l'on met en examen, pour refus d'être vacciné ?  - Monsieur, pour quelle raison refuser vous d'être vacciné ?  - Monsieur le juge je fut vacciné en 1971 lorsque l'on a fait    une manœuvre avec l'armée Française, elle consistait a    interpréter une éventuelle guerre bactériologique entre    l'Europe et la Russie. -  Mais, qui vous prouve, monsieur  que c'est le même virus     qu'actuellement ? -  Monsieur le juge le lieutenant colonel Médecin nous a     fait comprendre que les 3 piqures que nous avions reçu nous      protégerons pour  la vie contre tous les virus . J'ai confiance     en l armée Française et nos supérieures.  -  Je doute, monsieur  que ce que vous me dite est justifier,     pouvez vous me prouver que ces injections sont effica

mirage au dessus des nuages sage n 1 JE DEMANDE VOTRE AVIS ? Je remarque l'automne de mes belles années, Les saisons fertilisent   l'importunité, Les plaisirs de la vie, très peu de charité. Je demande votre avis ? Ma vue vient a baisser, et mon ouïe suit aussi, Ma conversation languit, ma pensée conquit, Me faire comprendre par tous, sort d'un vrai taudis. Je demande votre avis ? Mes matières fécales salissent le lit, Ma bouche ne mâche plus, je suis loin , par ici, Mes yeux se brouillent, l'horizon est pas jolie. Je demande votre avis ? Je deviens une charge, pour ma propre vie, Je ne fuis la marge, qui doit être fini, J'implore sommeil, l'infatigable nuit ? Je demande votre avis ? JJM Auteur Jean Jacques Mutz. Ecrit le 22 06 2010, remis a jour le 30 04 2020. A ce jour, 18 06 2023, 180 538 lecteurs.

Mirage au dessus des nuages sage n 1 LA RÉVOLUTION DES MOTS PERDU Ils flottent sur les écrans virtuelle, Comme des colombes en ritournelle. Leur valeurs n'ont de raison, Que le savoir de leur passion. On les oublie, on les chasse, Sans tenir compte de leur classe. Et pourtant ils sont en place, Pour que la suite se déplace. Certains font notre bonheur, Ces mots perdu qui n'ont de valeur. Mais la raison ne trouve de non, Pour suivre leurs diapason. Les mots se révoltent avec mission, De raconter ce que vaux l'opinion. Certains volent sur des blasons, Qui chassent la réalité de l’affection. Mais pensée oblige de comprendre, Que les mots risquent de se méprendre. Ils se révoltent sans une distinction, Mais récoltent plus que la raison. Mots perdu tu nous révolutionnes, D'actes qui enivrent celui qui veut vivre. JJM Auteur amateur Jean Jacques Mutz écrit le 14 04 2011, remis a jour le 07 08 2019. A ce jour,

Mirage au dessus des nuages sage n 1 Je pleure avec des mots.   Larmes de pluie, Mon cœur dit, A l'arme qui punis. Tristesse acquis, Par l'injustice , Qui nous suit. Larmes de pluie, Mon cœur dit, A l'arme qui punis. L'invité d'un pays, Se crois tout permis, Même prendre ta vie. Larmes de pluie, Mon cœur dit, A l'arme qui punis. Un intrus maudis, Nuit tous les autres, Qui sont des nôtres. Larmes de pluie, Mon cœur dit, A l'arme qui punis. Un prof qui apprend, A son entourage, Pour être plus sage. Larmes de pluie, Mon cœur dit, A l'arme qui punis. Par un geste au dieux, L'invité l'a tué, Pour sa conviction. Larmes de pluie, Mon cœur dit, A l'arme qui punis.   Restons sage, En lui rendant hommage, A ce  Prof de langage. Larmes de pluie,  Mon cœur dit, A l'arme qui punis. Ce n'est pas finie, Car son âme suit, Pour nous prévenir.  Larmes de pluie, Mon cœur dit, A l'arme qui punis. La roue tourne, la punition suit, Celui qui trahi. La

Mirage au dessus des nuages  sage n 1 DANS LE VERGER Dans mon verger , Je plante trois pommiers Ils sont tout petit, Sans pouvoir fructifier. Dans mon verger, Je les regarde pousser, ils mettent du temps, Mais, je sais patienter. Dans mon verger, J'eus planté trois pommiers, Ils restent petit, Sans pouvoir fructifier. Dans mon verger, Les années se sont écoulé, Les première pommes, Peuvent être récolté. Dans mon verger, J'eus planté trois pommiers, Ils ne sont plus petit, Et se mettent a fructifier. Dans mon verger, Je consomme les fruits récolté, Ils sont sucré Je peux me régalé. Dans mon verger, J'eus planté trois pommiers, Ils ont grandi, Je ne suis plus pour les manger. Dans mon verger, J'eus planté trois pommiers, Ils occupent, Toute la place de mon verger. Dans mon verger, Je suis très  embêté car,  Les arbres cachent le soleil , Je dois en couper . Dans mon verger, Il y avait des pommiers, A force de

mirage au dessus des nuages sage n 1 De retour, Quant revient le jour, Je serais de retour, Péché de mon humour, De coeur voit le tour, Qu'un chapeau velours, Qui brille tout autour. On distribue nos câlins, Sans rencontrer de frein, Sur la monté des chemins, Qui suivent un bon train, Capable d'aller très loin, Au-delà de ce qui est saint. Sentinelle du lendemain, On chérira nos alevins , De l'amour pour chacun, Pour que naisse un demain, Fait d'amitié comme levain, De confiance sans scrutin. L'argent n'a d'importance, Ce n'est pas de la chance, C'est notre confiance, Où résonne l'importance, Celle d'une vie de lance, Planté dans la prudence. Les journées passent, On ne fait plus chasse, A ces moments classe, Qui font volte face, A la vie qui passe, Sans laissé de trace.   JJM Auteur Jean Jacques Mutz. Ecrit le 19 06 2010, remis a jour le 14 09 2020. A ce jour, 14 09 2020, 130 001 lecteurs. A ce jo

mirage au dessus des nuages sage n1 MONNAIES D'OUVRIERS Il fut un temps, où a dix ans, L'humain n'était plus un enfant. Des hommes très haut placés, L'exploitaient en le faisant travailler.      Monnaies d'hommes,      Tu restes une moitié. Ils n'étaient pas bien payés, Mangeaient peu de nourriture. Leurs supérieurs, très fortuné, Les accablaient de besognes.           Monnaies d'hommes,     Tu restes une moitié. Ils construisaient, de leur mains, Des monuments inégalable. Vinrent les guerres, la misère, Ils sont massacré par les armées.   Monnaies d'homme,   Tu restes une moitié. Détruire une valeur, c'est affaiblir, Les ouvriers du monde entier. Ils leur reste leur volonté, Celui de trouver un coeur de pitié.   Monnaies d'homme,   Tu restes une moitié. Ils pleurent plusieurs Dieux, Avec espoir, trouver de l'attachement. Les maladies les enivrent, l

mirage au dessus des nuages sage n 1 MONNAIES D'OUVRIERS         La dure réalité,         Pour tout oublier. L'avenir a changé, ils ont tous évolué, Leurs pas les guident impunément, Comme de vrais géant ils foncent, Sans remords vers la marche de l'effort.          La dure réalité,         Pour tout oublier. Personne n'a de raison, y a pas de ténor,  Les actions les trains vers le confort, Une nouvelle façon de faire du réconfort, Pour ceux qui les manipulent a tort.        La dure réalité,        Pour tout oublier. Le passé est loin et devant les avantages, Ils oublient que ça demande une image, Celui de redonner a leurs grands mages, Le trop perçu comme leur partage.       La dure réalité,       Pour tout oublier. La déclaration des revenu, sans tricher, Pour les soins ce sera pour vous simplifiés, Les condamnations ne serons pas effacé, Même un petit vole ne sera épargner.      La dure réalité,      Pour tout oublier.