A Ma-mama 1/10 ( roman sentimental )

Mirage au dessus des nuages sage n 1

sur le balcon














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A Ma-mama
       Elle est fébrile, Ma-maman , comme une feuille
qui se laisse porter par la bise du vent. Elle tousse
souvent et crache de temps a autre. Cela n'empêche 
pas ma Ma-mama de 54 ans de me gâte comme 
on le fait avec un enfant qui a 5 ans. 
  J'aime sa présence , telle une chaleur  
sentimentale  qui  me partage son amour 
avec tendresse et réconfort.
  Pendant que ma maman ,Marguerite 
travaille a la filature , je suis avec ma 
grand mère Ma-mama qui me garde 
depuis mon plus jeune âge
  Mon grand père George,  le second mari de 
Ma-mama m'accorde autant d'attention 
qu'elle.

       Une autre personne, d'environ 85 
ans me prend en charge lorsque les 
autres sont absent . On l'appelle
grand père.
  C'est un ancien berger qui égaré 
dans la vie n'a plus d'attache ni de 
famille tout son troupeaux familiale 
c'est égaré parmi les victimes de cette
dernière guerre mondiale.  
   Dnombreuses familles ne sont plus
intacte . Seules survivent celles où
ceux et qui sont pris en charge par 
solidarité car aucune infrastructure 
est mis en place.
  Il a une longue barbe grise qui arrive 
jusqu'à sa ceinture . 
   Souvent, lorsqu'il fait beau, il occupe
la chaise bancale en bois installé sur le 
trottoir. Les passants le respectent comme une 
valeur digne de son grand âge. 
 
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 Souvent il me raconte de belles histoires qui 
illumine mon savoir. Daprès luichaque 
étoiles reflète la lueur d'une belle histoire. 
Je lui demande par curiosité,
- Combien y a t'il d'étoiles dans le ciel ?
- Tu prend un papier et un crayon et 
   tu marques avec la pointe autant de
   fois que tu peux des petits points 
   ensuite tu commences a les compter
   la tu n'as qu'une feuille ce qui fait
   qu'une petite partie d'étoiles. 

Donc grand père, tu me raconteras 
   encore beaucoup d'histoires jusqu'à
   ce que chaque étoile a dévoilé la 
   sienne.

Je vais faire en sorte de te raconter
    les plus importante et bien plus 
    si Dieu le veux.

 Merci grand père je les écouterais 
    avec attentions.
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     Ma-mama n'est pas bien grande, 
aussi haute que le fourneau a charbon
du couloir. Elle a du mal a verser par 
le dessus un seau de charbon pour 
charger le fourneau.

   Un jour ma maman Marguerite fait une
 remarque a Ma-mama,

Fait attention au gamin Ma-mama
   qu'il ne se brûle pas au fourneau du
   couloir.

Il ne se brûlera qu'une seule fois ne
    t'inquiète pas Marguerite.

  Dans la cuisine un autre fourneau a 
bois sert de cuisinière. Celui ci chauffe 
 
toute l'année car on y cuit le repas 
et l'eau chaude nécessaire dans un 
ballon incrusté sur le coté

  Un réchaud remplit d'eau est utilisé
en continue, pour faire de la tisane ou 
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le café chicorée. 
   Sur le rebord du meuble de cuisine, 
un coupe pain en forme de hachoirs 
de 20 cm de long et une boite en bois 
a crémaillère qui sert a moudre les 
grains de café.  Une radio a ampoules 
grince donne de la musique de temps a autre, 
elle se trouve sur une étagère du mur a coté 
de la table de la cuisine. 
  Ma-mama porte son attention chaque 
fois qu'une chanson d'Edit Piaf passe 
la radio. Elle l'écoute et l'accompagne
en chantant ses belle chansons. 
   Ce moment d'expression est un forme 
de liberté qu'elle apprécie, et sur son visage
s’imprègne d'une vive joie, elle est heureuse. 
 
  Une chanson la fessait pleurer, ce fut 
celle du légionnaire. A ce moment là, 
elle me serrait dans ses bras et chantait
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en pleurant. 
  Un jour, Ma-mama, heureuse, me dit,
-   Aujourd'hui on aura la visite de la 
    Croix Rouge international Suisse.
-  C'est quoi Ma-mama la Croix Rouge
   Suisse ? 
-  Une association qui aide les personnes 
    qui ont tous perdu durant la guerre.
-  Donc il faudra que je sois sage ?
-  Tu es toujours sage mon enfant.
  Ce jour là, ma Ma-mama reçois la visite
de cette personne importante. Je me 
souviens que tous les meubles furent 
astiqué pour faire comprendre a la 
personne de la Croix rouge Suisse 
Internationale que Ma-mama prenais  
soin des biens qu'elle eut acquit grâce
a eux. 
     Cette dame, présentable et 
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sympathique accepta de prendre place autour 
de la table de cuisine et de partager notre café 
chicorée. Elle présentât 
un papier ou figurais la désignation des 
meubles et ustensile que ma grand mère eut acquit. 
    Je les écoutait avec attention et comprit 
que pour la somme de 100 centimes de 
francs Français ma 
grand  mère devient propriétaire de ses acquits.
  Cette dame nous quitta et suivie une
accolade de joie qu'elle partagea avec
moi. Elle m'embrassa et me dit,
-  Heureusement que la crois rouge 
   Suisse ma fait part de quelque bien. 
   Je suis a nouveau propriétaire, la
    France m'avait tout confisqué en m'
    envoyant au Struthof.
-  C'est quoi le Struthof Ma-mama ?
-  Tu es trop petit pour comprendre,
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    plus tard quant tu seras grand là tu
    comprendras.
     Elle était heureuse se jour là. Le reflète
de son bonheur m'allait droit au cœur.

  La santé du grand père de Ma mama se dégrada
il nous quitta une nuit sens le moindre bruit, couché 
sur son lit. 
  Ma maman Marguerite doit tenir une promesse, celle 
de lui couper sa barbe et le raser. 
  Marguerite tient ses engagements et me raconta cette 
histoire le jour suivant. N'étais ce pas une sorte de 
soulagement que de me raconter ses engagements ?

   Le jour de son enterrement, je me trouvais a la fenêtre 
de la maison en bois de madame Frida une camarade 
de Ma-mama. C'est elle qui  m'eut proposé de voir 
passer le cheval blanc attelé a la calèche noir du 
corbillard, dans lequel mon conteur a pris la clé 
des étoiles.
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  A partir de là,  me rapprochait de George, le 
second mari de Ma-mama qui me racontait aussi quelques 
histoires qu'il eut lu dans les journaux. Sa sympathie me 
confiait pas mal de réponses a mes questions. 
  Un jour je lui demande,
-  Quant as tu connu Ma-mama ?
-  Dans le camp du Struthof, lorsque
   les américains l'on libéré ainsi 
   qu'un autre camps de travail dans 
   les environs en Alsace. Ce fut le 
   jour où nous devions donner notre
   nom de famille et notre pays 
   d'origine.

-  Pour quoi, tu es de quel pays 
   George ? 
-  Je suis Français comme toi 
-  Et Ma-mama elle vient d'où ? 
-  Elle a la double nationalité Suisse
   et Française car elle fut marié 
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  a un français, ton vrais grand père.
   La vie a des tournant qui font
   que la guerre a certain pouvoir, celui
   de faire disparaître ceux qui ne 
   veulent pas suivre la doctrine de 
   l'occupant.


   Un jour, ma santé se dégrada, mon 
estomac ne fonctionnait pas correctement.

Je n'arrivais plus a faire mes besoins, cette 
douleur me clouait au lit. Ma maman 
m'avait laissé au lit, je ne pu retrouver 
ma Ma-mama. Mon absence l'inquiétait  
elle vient nous trouver dans notre 
habitation.
-  Marguerite, qu'a le petit Jean ?
   cela m'inquiète.
-  Il a des fortes douleurs au ventre.
-  Coupe un petit morceau de savon de 
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   Marseille en forme de crayon que tu 
   lui fait passer par son derrière.
  Chose dite, et suivi sans hésitation. 
Mon ventre se mis en mouvement et 
ma forme revient. J'ai du courir au 
WC. Elle pouvait résoudre toutes 
sortes de problèmes avec ce qui lui
tombait sous la main. Ma sa toux,  
elle n'arrivais a sens défaire.
  Une autre fois, un panaris eut pris
naissance sur mon pousse droit. 
Cela me provoquais des douleurs 
insupportable, je fis part a ma 
Ma-mama qui en premier me dit,
- Fait pipi dessus puis je te prépare
  une mixture que l'enveloppe avec un
  un pansement.
Je suivis ses conseilles et pendant 
se temps, elle fit revenir des oignons
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dans une poile sur le fourneau de la cuisine. La 
chaleur les noircit et une odeur de brûlé nous envahie. 
Ce mélange d'odeur et ma douleur
eurent provoqué
 un rejet pour les 
oignons. Lorsque elle eut placé les 
oignons sur le panaris ma douleur 
amplifia mon dégoût .  Depuis là, je 
ne voulais plus manger un oignon
Mais l’action fut bénéfique car mon 
panaris disparu au bout de 3 jours.
Je  fus reconnaissant et dit,
-  D'où connais tu ces astuces 
   Ma-mama ?
-  C'est ce que l'on faisais dans les
   carrières de camps de travail, on 
   devais se débrouiller de nous même.
  La doux de Ma-mama eut aggravée 
sa santé, il fallut l'hospitaliser. C'est
madame Frida qui me prit en charge.
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Elle avais un grand chien poilu, les
poiles lui couvaient les oreilles. Je 
jouais avec lui comme avec une
peluche.

  Cela fait plusieurs jours que Ma-mama 
se trouve a l'hôpital et sa situation ne 
s'améliora pas. 
  Beaucoup de personnes venaient de la 
Suisse pour lui rendre visite. Je fis la 
connaissance des autres filles de Ma-mama. 
Donc ma mère ma expliqué qu'elle a 5 sœurs 
et un frère.
Une sœur a disparu pendant la guerre
et 3 autres se sont marié en Suisse,
et une sœur habite pas loin de la 
frontière. Tous furent prisent en 
charge par une famille en Suisse 
durant la guerre mondiale. 
       Au bout de deux semaines, la 
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maladie eut raison de Ma-mama. L'on
ma dit qu'elle eut une pneumonie.
  Le même cheval blanc attelé a la 
calèche noir du corbillard l'emmena 
au cimetière de Dornach. Je suis 
resté avec madame Frida et son grand
chien poilu.
  Cette disparition a fait du mal a ma 
mère et a moi même.  Trois jours ont
passé, ma maman me demande,
-  Jean veux tu rendre visite a 
   Ma-mama sur sa tombe ?
-  Oui maman je veux lui rendre visite.
   Pour vouloir l'accompagner, ma 
maman me donna une petite pelle
et un seau en plastique. Je peux enfin
jouer sur le tas de sable qui se trouve 
dans le quartier. Cela fait longtemps 
que je l'attendais.
  Nous voila devant le tas de terre de 
la tombe, que de belles fleurs 
recouvrent.
Ma maman pleurait a gros l'armes. Je
la regardais et lui dit,
-   Maman veux tu que je déplace ce 

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     monticule de terre pour que tu 
    revois  Ma-mama ?
-   Je ne peux pas déplacer une montagne
     de terre avec mon petit seau.
-   Je te dis cela jean car j'aimerais bien 
     qu'elle sois a coté de nous comme avant.
-    Maman , elle dort prêt des étoiles avec 
      le grand oncle on ne peu plus la réveiller.
-    Je le sais Jean.  
-    Comme me la promis le grand oncle, 
     elle nous écoutera le soir lorsque l'on 
     rêve d'elle maman.
-   As tu rêvé d'elle Jean ?
-   Oui mais elle ma  parlé maman.
-   J'aimerais bien rêver d'elle et suivre 
     ses conseilles.
-   Moi je lui demanderais qu'elle me raconte de belle 
     histoires comme dans le passé pour que je grandisse
    instruit.
-   Elle t'en racontera Jean, j'en suis certaine.





la nuit porte conseille, je raconterais 
la suite au fur et a mesure.

la suite au 2/10 

Le roman est en cour de construction 
des changements vont suivre
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain 
amateur
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