A Ma-mama 6/10 ( roman sentimental )

Mirage au dessus des nuages sage n 1















Ma-mama 6/10

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  On rejoint le groupe de 12 jeunes  personnes 
pour les présentation. La tante Germaine nous 
accompagne et elle dit d'un air enchanté,
- je vous présente Grédie, c'est ma nièce , elle
  nous prête un coup de main pour notre 
  engagement , elle sait parler l'Allemand, le 
  Français, l'Italien, ci jamais il nous faut une
  traductrice elle est prête a vous aider.
  Une personne s'approche de moi,
- je suis Frédi et j'ai 19 ans, tu es la bien venu 
  dans notre croupe.
-  merci Frédi je m'appelle Grédie et je vais avoir
  mes 18 ans.
-  je suis Sépi et j'ai 18 ans comme toi Grédie,
  bien venu dans notre groupe.

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-  merci Sépi de m'accepter pour servir la bonne 
   cosse.
-  je suis Mati et j'ai 19 ans tu es la bien venu 
   Grédie.
-  merci Mati .
-  je suis Hance et j'ai 19 ans , ta présence renforce
   notre groupe tu es bien venu chez nous.
-  merci Hance, je ferais mon possible pour vous
   aider.
-  je suis Rudie et j'ai 19 ans, tu es la bien venu 
   Grédie dans notre groupe.
-  merci Rudie je suis a la disposition de toute 
   personne qui ai besoin  de moi.
  Les garçons ont terminé leur présentation, c'est 
les filles qui se présentent.
- on m'appelle Finala et j'ai 18 ans passé, tu es la
  bien venu Grédie dans notre groupe.
-  merci Finala de m'accepter .
-  je suis Simonlé et j'ai 19 ans tu es la bien venu
   Grédie, unie on est une force .

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-  je ferais mon possible pour que cette union se 
   renforce Simonlé.
-  je suis Sonia et j'ai 20 ans tu es la bien venu 
   parmi nous Grédie.
-  merci Sonia de m'accepter.
-  je suis Sabrina et j'ai 19 ans je travail a l’hôpital
   cantonal de Bâle avec Margrite je viens donner
   un coup de main durant mes loisir. Tu es la bien
   venu Grédie. 
-  merci Sabrina de m'accepter parmi vous.
-  je suis Monica et j'ai 18 ans je travail dans une 
   boulangerie comme vendeuse, tu es la bien venu
   Grédie dans notre association de la croix rouge
   international Suisse.
-  merci Monica de m'accepter pour aider les autres
   dans le besoin.
- vous représentez une bonne équipe prête a aider 
  les autres, je vous remercie toutes et tous pour ce
  chaleureux accueille.
  le groupe me sert la main et m'embrase en signe
de bien venu.

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  Margrite dit, 
- nous allons boire un peu de tisane cela nous
  donnera de la force pour continuer.
  Elle nous dirige vers le poste de la croix rouge 
où sa maman tient le poste. Elle est accompagné
par  les couples de son age qui s'affairent a 
préparer de la tisane dans des verres.
-  les enfants, vous buvez en premier une tisane
   puis vous distribuer aux femmes qui se trouvent
   dans les wagons ainsi qu'aux enfants. Bon il nous
   est interdis d'en donner aux hommes, mais 
   comme nous devons le distribuer par un regard
   pas plus grand qu'une bonne main, nous ne 
   pouvons savoir qu'elle personne en aura. 
  N’hésitez a distribuer car le train part a la tombe
  du jour.
  Je n'avais pas le temps de me présenter aux autres
personnes qui par geste et des mouvements de têtes
nous sollicitaient a faire au plus vite. La tisane était
froide, se qui permis de le faire boire rapidement.

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  L'on se rapproche du train , avec dans nos mains
des casseroles en fonte remplie de tisane sucré. les
gardes Allemand nous interpelle, 
- alors les jeunes, qu'avez vous dans vos casseroles ?
-  de la tisane pour le donner aux enfants et aux
   femmes qui sont dans les wagons.
- faîte vite les jeunes , car le train va partir a la fin 
  du jour je dirais même au couché du soleil.
  La locomotive laisse s'échapper une épaisse fumé 
noir. On fait de notre mieux pour distribuer un peu
de réconfort avec notre tisane. La locomotive donne
un coup de sifflet qui résonne a travers la gare.
   Une voix française venant du wagon m'interpelle, 
-  mademoiselle pouvez vous envoyer cette lettre a 
   ma famille pour les rassurez ?
-  parlez plus doucement, il ne faut pas que les gardes
   Suisse et les militaire allemand nous entende.
  Je suis devant un acte qui demande une réflexion,
puis je prendre cette lettre sans en tenir compte mes
autres compagnons ?

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  Margrite se rapproche de moi,
-  tu arrives a servir les personnes de se wagon
   Grédie ?
-  oui Margrite mais j'ai quelque chose a te demander,
   une personne m'a tendu cette lettre pour que je 
   l'envoie a l'adresse indiqué en France pour rassurer 
   sa famille, a t'on le droit de leur rendre service ?
-  non nous n'avons pas le droit au yeux des douaniers
   Suisse, et de la police, il va de même pour les gardes
   Allemand qui interdisse toute transaction au risque
   de nous interdire de partager un peu de tisane avec
   les passagers. Ne l'ébruite pas et fait conne si rien
   n'était. Nous avons tous accepter des lettres des 
   passagers en cachette.
  Un chemineau descend de la locomotive pour faire
un dernier contrôle sur les wagons, en inspectant les
attaches et les raccords des freins. il se rapproche de 
nous, et dit avec l’accent d'Alsace,
-  ai je le doit d'avoir un peu de votre tisane ?
-  oui monsieur, vous venez de Mulhouse ?

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-  non je viens de Rixheim .
-  c'est pas loin de Mulhouse, je connais.
-  tu es Alsacienne ?
-  oui je suis de Mulhouse .
  J'accompagne le mécanicien du train pendant 
quelques contrôle et lui demande, 
 -  ou vas ce train ?
-   il part en Pologne dans un camp de travail.
-  ma maman se trouve dans un camp de travail
   a Paris a Transi , vous avez déjà passé a Paris ? 
-  oui, ça m'est arrivé mais la je prend le départ 
   de Bâle pour la Pologne et je dois vérifier les 
   freins et les attaches des wagons, je ne peu 
   plus te parle, les soldats SS nous observent, ils
   sont cruelle. Il y aura d'autres trains qui vont 
   faire une halte dans la gare de Bâle, je vais
   revenir, a plus.  
-  merci pour les réponses et bon voyage.
  Il ne ma pas dit grand chose, mais il ma répondu
mon inquiétude reste sur la même longueur d'onde.

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Je retrouve Margrite qui discute avec Frédi, ils ont
l'air bien proche. Margrite me le présente,
-  voila mon copain Frédi, nous nous entendons 
   bien, c'est grâce a notre acharnement que nous
   somme parvenu a obtenir le droit de donner a 
   boire aux passagers des wagons. Grédie, n'as tu 
   pas encore trouvé de chaussure a ton pied ? Il y 
   a pas mal de garçons de notre âge dans ce groupe ,
   veux tu que je les incite a te parler ?
-  non Margrite, j'ai déjà un amoureux, il s'appelle 
   Jacqui , et  a rejoins le maquis dans le Vercors en 
    passant par la Suisse pour renforcer les 
    maquisards.
-  c'est bien Grédie, il a du courage et toi aussi. J'ai
   quelque chose a te demander, que t'a dit le 
   mécanicien de la locomotive ?
-  tout ce que je sais c'est qu'il accompagne le train 
   vers la Pologne et qu'il habite a Rixheim prêt de 
   Mulhouse. Il reviendra car d'autres convois sont 
   prévue.

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    Mon inquiétude reste intacte, ma maman et mes
sœurs et mon frère me manque. Il faut que je 
puisse me rassurer que toute la famille vas bien.
Quelques réponses par ci et par là et mon cœur 
retrouve sa joie et son espérance. Cette été la fut
chaud, même très chaud, quant le train siffle le 
départ, je me sent inquiète et incertaine. Tante 
Germaine ma bien dit que ma mère se trouve 
dans un camp de travail a Paris, la ville de nos 
rêves ? 
   Le train quitte la gare avec dans ses wagons 
qu'effleurer son panache de fumer , des familles
qui tardent a trouver un camp de travail. Je suis 
confuse ma garde dans mon cœur cette joie 
d'avoir sus donner en partage un peu de tisane 
et de pouvoir poster les  lettres des voyageurs.
Nous quittons rapidement la gare  car aucun 
vent ne fait sortir cette vapeur de la locomotive
et l'air devient irrespirable.
-  quant revient le prochain train Margrite ,

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-  il en arrive tous les jours depuis le mois de 
    juillet, la police Suisse nous a fait comprendre 
   que les soldats Allemand  doivent les placer 
   dans des camps de travail car a Paris les  
   prisonniers risquent de tomber sous les 
   bombardements.
 L'on se dirige vers les arrêts de tram, certains 
partent en direction de la droite et d'autres nous 
rejoignent, le tram  est remplie.
  Après plusieurs arrêts, nous parvenons en 
fin de ligne où se trouve notre destination. 

  L'allé et venu de la gare devient une routine.
Puis un jour, en retrouvant la maison de Margrite
une information coupe la musique d'opéra qui 
passe sur un chaîne de radio Suisse. Elle diffuse 
une information concernant la guerre en France.
( Des mouvements de troupes international ont 
  débarqué sur la Normandie, mais l'armée 
  Allemande leur tient tête ) .

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  Cette annonce me redonne du courage, enfin 
la liberté se trouve en bonne route. Je questionne
la maman a Margrite,
- tante Germaine, as tu des nouvelles de ma 
  maman ?
- je n'ais plus de nouvelle de ta maman, le courrier
  de Paris n'arrive plus. Pourtant nous livrons 
  régulièrement des paquets de victuaille dans le
  camps de travail a Drancy. Certainement que le 
  débarquement brouille notre correspondance.
- merci tante Germaine, je patient, avec espoir.
  Le mouvement des trains en stationnement continue.
Je rencontre le mécanicien de la locomotive a vapeur
et lui demande,
- y aura t'il d'autres trains de Drancy ?
- non c'est le dernier car les soldats Allemand se 
  replient. une vrais pagaille dans les  villes et village
  c'est la débâcle. Les habitants volent ce qu'ils 
  peuvent, on m'a même vole ma moto que je 
  prend pour venir a Bâle.

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- et des nouvelles de ma maman y en a t'il ?
- toutes les personnes d'Alsace emprisonné sont 
  dirigé vers un camps de travail en Alsace a 
  Schirmeck et au Struthof, ils n'y a pas beaucoup 
  de possibilité de correspondance c'est une zone 
   perdu dans les Vosges .
-  merci pour ces renseignements, et bonne 
   continuation.
-  comme je suis venu en retard, en vélo, la 
   police allemande ma engagé au front pour 
   combattre les opposants, je ne reviendrais plus .
  Cette réponse ma  choqué a telle point que mon 
espoir ne trouve plus d'attache. tante Germaine  
me demande ce qu'a dit le mécanicien du train.
Je lui fait part que c'est le dernier train car les 
alliés avancent a grand pas sur Paris. La débâcle
dans toutes les régions. 
    Le soir aux informations Suisse, toutes les 
indications que ma dit le mécanicien du train 
sont diffusé. C'est une bonne chose, mais mon

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inquiétude perturbe mon comportement, je ne suis 
plus la même. 
   Le lendemain plus aucun militaire allemand 
dans la gare de Bâle et plus aucun train Français 
ne vient  faire une halte a Bâle pour la Pologne. 
   Une autre action se met en place , c'est de tenter 
de réconforter tous les alsaciens réfugier en Suisse.
Je suit sur la même longueur d'onde que mes 
semblables et a du mal a réaliser mon avenir. Tante
Germaine me dit,
- Grédie, j'ai une bonne nouvelle pour toi, ton 
  amoureux, Jacqui, est arrivé a Mulhouse.
  L'avancé des troupes de tout pays et des 
  maquisards ont poussé les Allemands dans leur
  pays, tu pourra le revoir  a la gare de Bâle car 
  il vient te rendre visite .
  Cette nouvelle me redonne du courage pour 
affronter mon avenir. Mes sentiments d’amoureuse
réveille en moi les ressentie d'autre fois, lorsque
nous avions déclaré nos sentiments .

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  Certaines règle font que pour avoir toutes ses 
droit il faut avoir 21 ans, donc il est impératif 
d' attendre l'age légal pour se marier sans devoir
demander l'autorisation paternel.
    Comme je n'ai plus de trace de mes parents je
suis livré a l'interdiction de me marier et surtout 
d'avoir des rapports. 

auteur JJM
 suite au 7/10  
      

auteur Jean Jacques Mutz.
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