A Ma-mama 5/10 ( Roman sentimental )

Mirage au dessus des nuages sage n 1

 A ma-mama 5/10










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     L'on pénètre dans la pièce intitulé INVITE 
et, je suis surprise par la disposition des 
meubles. Devant moi une grande fenêtre 
donne sur le jardin, ce qui la rend claire 
et rayonnante. Sur la droite un bureau style 
louis 16. 
    Je passe la main sur cette table, elle parait 
émaillé tellement que la douceur laisse glisser 
mes doigts sans risque. 
    Une odeur de sire d'abeille nous entoure. 
Elle me ravie a telle point que je dis d'air air 
enchanté,
- quelle belle chambre je n'en reviens pas et 
  elle sent bon. 
  Sur la gauche un lit de 2 mètres sur 1 mètre, 
un draps bordé de dentelle ,d'une blancheur 
immaculé, couvre un cousin de plumes bien 
dodu.

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Sonia et Margrite me dissent,
- elle te plais ta chambre Marguerite ?
-  oui je suis enchanté d'avoir le droit de  
   l'utiliser.
-  regarde, l’armoire est encastré dans le mur 
   c'est là que tu peux ranger tes affaires.
    Sonia m'ouvre une des portes rempli 
d'étagères. Je commence d'y ranger le peu 
que je possède. Un parfum de lavande sens  
échappe . 
  Margrite m'ouvre l'autre porte permettant 
d’accrocher ma vestes et le manteau . A la 
barre en cuivre, une petite poche en tissu 
remplie de graines de lavande, permet de
partage son parfum.
- frotte le sachet Marguerite, et le parfum 
  augmente.
- oui Sonia , merci pour l'information.
  Mon action a fait son effet, l'odeur des 
lavandes me comble et me ravie. 

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  Je poursuit de mon regard chaque élément
qui m’impressionne. Tous est magnifique 
je n'ai rien a critiquer. On entend une voix 
qui nous appelle,
- Venez les filles c'est l'heure du repas du 
   soir.
 - Oui maman nous venons.
  S'exprime Margrite et Sonia. Nous entrons 
dans la salle a manger vaste et magnifique 
avec au centre une grande table en bois 
massif, qui repose ses pieds sur un épais 
tapis de laine aux motifs en couleurs. 
  J'ai  l’impression de marcher sur une 
couche d'herbe, quant mes pieds s'y pose. 
 Je patiente, debout,  car je ne sais où se
trouve ma place et reste sur le coté droit. 
- tu peux te placer sur la chaise en bout de 
   table Marguerite ce sera la tienne.
-  Oui ma tante.
  Je reste debout a ma place comme

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l'ensemble de la famille. l'ongle Charles se 
trouve en face de moi et Margrite sur mon
 coté droit, Sonia du même cote a l'autre 
bout de table . 
Tante Germaine  est en face de Margrite. 
Chaque personne regarde  le tapie, et garde 
un moment de silencepuis l'ongle Charles 
dit,
- pensons aux nombreuses victimes de la 
   guerre et remercions Dieu pour se repas .
  Nous prenons place sur nos chaises 
capitonné et recouvert d'un tissus d'intérieur 
en velours vert claire. 
  Camille arrive en apportant une soupière 
en argent, elle  sert a chaque personne deux 
louches de soupe fumante, puis retourne 
dans la cuisine. Lorsque les assiettes a 
soupe sont vide, Camille les remplace par 
des assiettes plate, puis nous sert une part 
de galette de pomme de terre et 2 rondelles 

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de saucisses fumée, cuite dans de l'eau. 
  Je suis enchanté par ce repas, car en France 
il fut impossible de pouvoir manger a sa 
faim. Puis, comme dessert une tarte au 
pomme. Le repas terminé tante Germaine 
nous dit,
- Margrite tu emmènes notre invité chez sa 
  tante qui habite rue d'Alsace derrière notre 
  entreprise, pour cela vous utilisez le tram. 
  Elle peut avoir des nouvelles de ses sœurs 
  et de son frère ainsi que de sa maman.
- oui je l’emmène chez sa grande tante et 
   par la suite peut elle visiter notre usine de 
   verres ?
-  bien sure Margrite cela fais plaisir a ton 
   père et moi.
  Je me laisse guider sans troubler mon 
bonheur car enfin je vas recevoir des 
nouvelles de ma famille.
  Nous traversons Bâle en tram et arrivons a

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l’arrêt qui se trouve devant l'entreprise de 
verre qui appartient aux personnes qui 
m'ont pris sous leur toit. Margrite me dit,
- la, c'est notre entreprise après la visite 
  auprès de ta grande tante on ira la visiter.
- oui, Margrite, je suit enchanté de la 
   connaître.
  Nous arrivons dans la rue d'Alsace a Bâle, 
et la nous cherchions le n 16. Enfin le voila, 
je suis impatiente de retrouver une de mes 
grande tantes maternelle mes sœurs qu'elle
a prise sous sa protection.
-  bonjour grande tante Léontine comment 
   vas tu ? 
-  je vais bien et tes grande sœurs aussi, 
   Muguettes et Georgette vont se marier, elles 
   ne veulent plus retourner en France.
-  et Paulette et Paul que font ils ? 
-  ils sont dans une bonne famille un peut 
    loin d'ici mais ils vont bien.

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-  as tu des nouvelles de notre maman ? 
-  elle se trouve a Paris, certainement dans 
   un camp de travail ?
-  donc elle vas bien ?
-  oui, elle vas bien mais comme la police a 
    remarqué que ses enfants ne sont en 
    France ils l'on placé dans un camp de 
travail a Paris.
-   reçois tu du courrier pour que tu sait 
    cela ? 
-   oui par l'intermédiaire de la croix rouge 
    Suisse.
-   pourrais je voir ses lettres et son 
    écriture ? 
-   je n'ai pas les lettres, elles sont consigné 
    par la croix Rouge Suisse, comme dossier 
    secret.
     Ma grande tante ma dit tout ce qu'elle 
savais ou voulais me dire, cela me 
réconfortait.

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- comme s'appelle ta camarade Marguerite ?
- elle a le même prénom que moi mais 
  s'écrit Margrite.
- tu sais que l'on pourrais t'appeler Grédie 
   ça fait Suisse a la place de Marguerite .
- oui je suis d'accord, c'est bien comme 
  prénom, qu'en penses tu Margrite ?
-  C'est pas mal, je vais t'appeler Grédie.
  Me voila bâtisse  Grédie, je trouve que ce 
prénom me  vas bien. Nous quittons ma 
grande tante et allons retrouver l'entreprise 
de verrerie situé a la fin de la rue . Nous 
devons monter plusieurs marches en béton 
pour arriver devant deux grande portes
vitrées. 
    Margrite les pousse et en même temps, 
des sons de clochettes de verres retentissent. 
Je la suis comme son ombre. Nous suivons  
un long couloir qui nous guide dans le grand 
atelier. La , une chaleur provenant des fours

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nous envahi. Des flammes en sortent,  des 
ouvriers soufflent dans de long tubes. A leur
bout des boules de verres rougie sont tourné
et en même temps formé avec des languettes
métallique. Le verre se laisse travailler 
comme du beurre. 
     Par des gestes professionnel qui consiste
de faire  tourner au dessus de la chaleur le 
verre des différentes formes sont crée. 
   Je suis émerveillé par cette manipulation 
et surtout par le résultat qui en ressort. Sur des 
étagères, de nombreuses formes de tubes y sont 
étalé.
-  tu vois Grédie, ce sont des éprouvettes que l'on 
   souffle pour les laboratoire de recherches en 
   chimie.
-  je suis émerveillé par ce savoir faire, Margrite
   les souffleurs ont du savoir faire.
-  c'est vrais Grédie, mon père et ma mère en 
   sont fière.

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         L'on se dirige ensuite dans le bureau du 
comptable où une collections d’éprouvette en 
verre de toutes sortes se trouvent dans les 
vitrines. La secrétaire nous reçois avec respect 
et tous les mérites. Je suis surprise par cette 
reconnaissance.
- je te présente Grédie, Aniesse, c'est notre protégé.
- bonjour Grédie , et merci Margrite pour m'avoir 
  présenté ta protégé. Vous pouvez retrouver le 
  patron dans son bureau, il vous attend.
  Nous suivons ses conseilles et frappons a la porte.
-  entrée les filles je vous attend.
  l'on referme la porte .
- Comment trouves tu notre usine Marguerite ?
- père, sa tante a qui l'on a rendu visite a dit de 
  l'appeler Grédie ça fait Suisse alémanique. 
- d' accord je vais l'appeler ainsi. Que fait tu 
  se soir Margrite ?
-  Maman a fait part a Aniesse que je dois 
   venir chez elle et l'aider a servir servir 

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   la croix rouge internationale Suisse. Un train 
   de wagons Français pour marchandise 
   stationne dans la gare de Bâle, il est remplie 
   de personnes qui vont faire un séjour dans 
   des camps de travail en Pologne. Comme il 
   fait chaud et  voyager en plein jour avec un 
   train de marchandise c'est risquer par temps
   de guerre.
-  tu as le cœur sous la main Margrite je te 
   soutient dans tes démarches, tu es comme 
   ta mère et j'en suis fière. Et toi Grédie veux 
   tu l'accompagner ? 
-  oui je suis prête a accompagner Margrite 
   je veux aussi donner de moi même pour 
   servir la croix rouge internationale Suisse.
-  pas si vite père, il faut demander l’avis de 
   ma mère, comme elle occupe un poste 
   important a la croix rouge internationale
   Suisse , elle seul peut décider ci Grédie 
   peut m'accompagner.

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- je vais lui demander ci Grédie peut 
  t'accompagner.
    L'ongle Charles tourne les chiffres du cadran 
téléphonique dans le sens d'une montre a 
plusieurs reprise, puis demande a l'opérateur,
- puis je avoir la responsable de la croix rouge 
  internationale Suisse ? 
- oui ne quittez pas.
  Un moment se passe puis l'opérateur dit,
-  elle est occupé, rappelez plus tard.
  - prenez place les filles, pendant ce temps 
    je vais continuer de faire de la paperasserie.
  Deux minutes passent et, le téléphone sonne.
Allô  c'est qui ?
- C'est moi Charles que désires tu ?
-  Margrite a demandé si elle peur emmener 
   notre invité pour te donner un coup de main.
-  Je ne sais pas, mais une aide est bien venu
   les personnes stationné dans les wagons ont
   soif par cette chaleur. Bon tu dis a Margrite 

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   qu'elle peut venir avec Marguerite.
-  j'ai une petite remarque a te faire, a partir 
   de maintenant Marguerite s'appelle Grédie 
   ça fait plus Suisse lui a fait comprendre sa 
   grande tante .
-  cela me vas et je trouve ce prénom parfait.
  Nous prenons le tram pour rejoindre la gare 
de Bâle. L'immensité de cette gare permet 
de mettre a l'abri du soleil  plusieurs trains. 
Nous y pénétrons et nous dirigeons vers 
un train de France. Ce n'est pas une chose 
facile car ont est contrôle par l'armé 
Allemande, armé jusqu'au dents. Un 
questionnaire tente de connaître la raison de
notre présence.
- que faite vous ici mesdemoiselles ?
-  nous venons aider la croix rouge 
   internationale Suisse.
  Margrite présente le laissé passé.
- c'est bon, vous pouvez passer.

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  Je ne souffle un mot, car en France la peur 
de dialoguer avec l'armé Allemande devient
un risquer de devenir suspect.
-  tu viens Grédie on vas les retrouver.
  Le militaire nous dit en bon Allemand ,
-  je précise qu'il est interdit de parler avec  
   les passager des wagons.
-  oui monsieur.
  Nous poursuivons nos intentions qui sont de 
retrouver la maman de Margrite. Un nouveau contrôle
avec la douane  Suisse ,
-  que cherchez vous les filles ?
- on fait partie de la croix rouge international Suisse.
  Dit Margrite d'un air autoritaire.
- mais avec quelle foncions ?
- je travail dans l’hôpital cantonal ce Bâle, c'est 
  pour venir en aide aux passager du train.
- vous n'avez pas le droit de vous en approcher faite
  attention le train est gardé par les militaires 
   SS Allemand.
- oui monsieur, on ne s'en approchera pas.

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Nous continuons notre avancé et parvenons prés d'un
groupe de personnes habille en vêtement blanc avec 
comme emblème une croix rouge sur la poitrine. Je
reconnais dans ce groupe la maman de Margrite
qui  me dit fièrement, a haute voix
- bien venu Grédie dans notre groupe, nous avons
  besoin de beaucoup de personnes pour aider les 
  autres qui sont dans la précarité par temps de guerre.
- je suis enchanté de pouvoir aider les autres tante 
  Germaine.
-  comme tu fais partie de notre association de 
   bénévoles je vais te présenter notre équipe. Il y a 
   5 hommes et leur femmes marier qui a tour de rôle 
   sont présent dans la gare et encadre un groupe 
   de 12 jeunes gens qui complète notre équipe ce 
   qui fait en total 25 personnes avec moi même et 
   Charles et vous deux. Notre travail a nous c'est de
   venir en aide aux personnes qui occupent les 
   trains de passagers venant de France et faisant 
   halte dans la gare de Bâle le jour et qui

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   repartent pour des camps de travail en Pologne
   vers le soir. Nous n'avons aucun droit de les 
   aider officiellement, mais, certaine raison nous 
   permette de leur venir en aide. On peut leur donner
   a boire c'est tous mais ils n'ont pas le droit de sortir
   des wagons.
-  j'ai compris tante Germaine, je ne m'engage a 
   détourner les interdictions sans demander ton 
   accord.
-  viens Grédie je te présente l'équipe qui ont notre 
   age.
-  d’accord Margrite.

suite au 6/10 
      


Un roman c'est une histoire imaginaire mais basé 
sur des faits réelle du passé, les nom des personnes 
sont le fruit de mon imagination.  

JJM
Auteur Jean Jacques Mutz .
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