A Ma-mama 3/10 ( Roman sentimental )

Mirage au dessus des nuages sage n 1






















3/10


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   A Ma-mama

   Ma curiosité continua son enquête et 
je demandais a Marguerite,
-  Maman, te souviens tu le jour où ton
   père ta emmené en Suisse ?
-  Oui je me souvient.
-  Peux tu me le raconter ? 
-  Bien sur je vais te le raconter.

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    Ma-mama et ma sœur aîné nous avais 
préparé a manger et a boire dans les 
sacoches en cuir du vélo, puis elles nous 
accompagnent vers le départ  et  Ma-mama 
nous dit,
- Faite attention et éviter les gardes 
  frontière ils sont cruelle. Donnez le 
  bonjour de ma part a ma sœur a ma belle
  sœur ainsi que mes beau-frères et
  nos enfants, je compte sur toi Marguerite.
-  Oui Ma-mama.
-  Les lettres sont dans la doublure des 
   sacoches ainsi que l'or que les familles
   nous ont demandé de placer; j'ai fait
   comme d'habitudes Charles.
-  Oui compte sur moi.
  Des embrassade suivent notre discutions
et a peine le soleil levé, nous parton en 
vélos pour rejoindre la ville de Saint Louis.
On traversais Mulhouse, puis Dornach 

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ensuite Didenheim. Comme il y a des ponds
gardé par des militaires, pour les éviter on 
passaient par un guées situé en pleine 
foret de Didenheim. Mon père ma dit d'
enlever mes sabots pour traverser car l'eau 
de la rivière appelé l'Ill m'arriva jusqu'aux 
cheville, j'ai même du relever ma robe. 
  Après le champs de blé, on arrive a  
Brunstatt. On traverse ce village en 
direction du cimetière. Une route nous
permit de pénétrer dans une foret très 
dense. Je dus descendre du vélo car une
forte monté nous l'obligeait.
-  Père on vas vers où ?
-  Sur Bruebach c'est une petite trotte ne
   t'en fait pas.
-  oui Père 
  Durant notre monté, on entendaient des 
sifflements provenant des avions qui 
larguaient des bombes, tombent sur  

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 Mulhouse . 
   Cela fait plus d'une heure que l'explosion des 
bombes résonnaient. Son écot retentissent a 
travers les haut arbres qui nous entour. 
  Une profonde peur me narguait, celle que la 
maison de Ma-mama fut détruite. 
  Nous ne distinguons pas grand chose, la fumé
des habitations en feux brouillait notre vision.
l'on ne s'attarde pas, un courage intentionnelle
fait poursuivre notre programme. Mon père
me rassure,
- Tu sais Marguerite le toit des arbres nous
   cache et nous protège, ne t'en fais on y
   arrivera a St Louis.
  On arrive a Bruebach, la, personne dans 
les rues tout est vide seul les chiens et les 
chats que l'on croisaient. Mon père me 
dit, 
-  Les habitants ont fuit la région, pour 
   trouver une protection dans le sud de 

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   la France.
  Cette absence  m'intriguait mais c'est la guerre  et 
il ne faut s'importuner sur des attentions qui n'ont 
d’intérêt  et continuer goûte que goutte vers son 
objectif, Landser.
   A travers champs, nous arrivons a Landser, là des 
vaches  en liberté meulaient, personne ne les avais 
trait. Mon père prit une camelle et se mit a traire 
l'une d'entre elles qui fut soulagé..
-  On vas boire du lait frais Marguerite et se régaler, 
    pour la vache se sera aussi une bonne chose.
  Le lait coule du pis sans problème . 

Autour de nous,  un vrais débâcle tous fut laissé en 
abandons.
  Par les sous bois nous continuons , mais parfois 
les chemins de campagne nous mettais a découverts
    L'on approche de Geispitzen qui il aussi est 
abandonné, l'on ne rencontre personne. 
   Direction Uffheim, ne nous attardons pas et

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continuons sans hésiter. Mais il fallut faire attention
car  un abri militaire en béton, situé sur une bute, sert
de point d'observation par  l'armée allemande . 
   L’observatoire est un abris qui domine  les 
alentours, ce passage fut dangereux, car mon père 
me l'a fait comprendre par geste. Aucun mot juste 
des gestes pour étouffer notre présence.
   Nous continuons vers Brinckheim que l'on aperçois 
de loin, nous le longeons par les chemins a travers la 
campagne. 
   On continue sans faire d'arrêt vers Blotzheim, le 
cloché de l'église est voyant car sa hauteur domine 
les alentours, le fait d'observer un but c'est augmenter
l'intention d'y arriver au plus vite.
  Nous traversons une plantation de noyers puis une 
voie de chemin de fer. Nous voila dans une usine de 
montre vide de toute traces de vie ouvrière pas un 
chat, pas de vache non plus. 
  On traverse la rue centrale de Blotzheim en direction 
de Hésingue, il fallait zigzaguer entre les petites 

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plantations de fruitiers pour éviter que l'on se fait 
arrêter car  des militaires placés dans de nombreux 
observatoires en béton surveillaient la région.
  Je trouve cette chevauché interminable et demande 
a mon père,
-  Combien reste t'il de km pour arriver père ? 
-  On y est est presque Marguerite.
  Cette réponse me redonne du courage et de 
l’ambition pour continuer. Je me suis dit que mes 
sœurs ont réussi, pour qu'elle raison n'y arriverais
 je pas ? 
  Nous continuons sur Saint -Louis a travers champs 
a pieds car la roue arrière a grevé. J'ai préférer 
marcher pour dégourdir mes jambes le confort du 
porte baguage du vélos ne vérité aucune appréciation.
  Arrivé a Saint Louis on retrouvais le frère de mon 
père qui tenait un hôtel en face de la gare. L'on y est 
reçu avec tous les honneurs de trouvaille familiale.
  Il nous invite a manger puis nous repartons le soir 
avec le vélos réparé. 

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  Je reprenais ma place sur le porte bagage, ce n'était 
pas confortable j'avais encore des douleurs du 
parcoure.
   Durant la journée l'oncle avait prit contacte avec la 
sœur de Ma-mama a Bâle pour qu'elle puisse me 
récupérer pas loin de la frontière. 
  De l'hôtel de l'oncle  on pouvais
voir les douanier Suisse et les gardes frontière 
Allemand mais il fut impossible de passer 
officiellement par là . 
  Donc on se dirige vers Hégenheim pour passer 
dans les sous bois en direction de Allschwil en 
Suisse. 
  De la colline qui longe la route on peu apercevoir 
le vas et vient des douaniers ou militaires Allemand. 
  La couleur de la douane Suisse se confondais 
avec la verdure ce qui augmentait notre attention.
  On arrive dans la clairière indiqué et qui sert
de repère pour  retrouver la sœur de Ma-mama.
  Nos retrouvailles me donne une grande satisfaction 

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car cela fait pas mal de temps que je ne n'ai plus revue
ma tante, mais surtout d'arriver a destination et pouvoir 
revoir le restant de ma famille. 
  L'échange doit se fait rapidement pour éviter tout 
risque. Suite a cela mon père disparaît dans les sous 
bois en direction de la France. 
  Avec ma tante nous rejoignons le centre de la croix 
rouge international Suisse . Ma tante me dit,
- tu sais marguerite  je n'ai pas le droit de te prendre 
  tout de suite avec moi, il faut respecter certaines 
  règles pour que tu puisses être admis en Suisse. 
  En premier tu passeras par un service médicale 
  qui jugera ton était de santé, puis ils décideront de 
  la suite a prendre. Tu seras répertorier a Bâle où tu 
  pourras y rester jusqu'à tes 18 ans, et ci la guerre 
  se termine avant tu pourras retournera chez toi.
-  tante, quant vais je revoir mes sœurs et mon frère ? 
-  tu pourras les retrouver quant le service de la 
   croix rouge Suisse t as reconnu en bonne santé. 
   Je toi t'y emmener le plus vite possible car ils 

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   sont au courant de ton arrivé.
- oui ma tante.
   Avec ma tante j'ai pris la direction d'une station du 
tramway de Bâle. On avant une bonne petite trotte a 
pied, je tenais sa main avec ardeur, cette ville où il 
n'y a pas de bombardement me parait sécurisante. 
Autour de nous les personnes se déplaçaient 
librement. Je compris a ce moment la que la liberté 
d'être en paix c'est ça, respecter certaine règles.
    Nous arrivons a la station du tramway, des 
étincelles sur le file de cuivre du caténaire se 
voyaient de loin. Sur le moment je pris peur de devoir 
monter dans le moyen de transports aux milles 
étincelles qu'une drôle d'odeur de friture 
accompagnais. Par l'arrière, nous montions sur
les marches pour entrer dans le wagon. lorsque
tout le monde est en place, la personne qui 
donne les billets tire sur une cloche qui retenti. Le
trame se met en route brusquement.

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   Au départ, un peut chahuté, je me tenais a une
d'un barre verticale métallique car tous les bancs
en bois étaient occupé même ma tante dut rester 
debout.
   Quant un station arrivais et que personne ne se
trouvais a l'arrêt la personne responsable du wagon 
disait,
- station n 10 y a t'il quelqu'un qui descend ?
  Personne ne dit un mot, et cette responsable tire
sur la cloche pour que le tram ne fait un arrêt.
   Quant il y a un arrêt le freinage produisait un 
grincement de fer aiguë et grinçant , une odeur de 
roussie, qui provenaient des caténaires, se faisait 
sentir. Chaque fois que le caténaires vibrait selon
la platitude de la voie, et qu'il contactaient le 
circuit, des étincelles s'en  dégageaient.
   Cela me faisait peur, bien entendu, j'eus 
l'habitude d'entre les bombes, cela m'intriguait 
plus que tout car les contacteurs en se frottant 
produisaient un continuelle crépitement.

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   Nous arrivons au poste principale de la police 
de Bâle. La, des infirmières et des médecins se sont
occupé de moi. 
   Un questionnaire fut donné a ma tante qui dut le 
remplir. J'avais mes papiers mais le questionnaire 
écrit reste la seule preuve de ma présence sur le 
sol Helvétique
  Une infirmière, vêtu de blanc, me demande, en 
allemand Suisse,
- quelle est ton prénom ? 
- Marguerite.
- et quel âge a tu Marguerite ?
- j'ai 15 ans et demi madame l'infirmière
- as tu de la famille en Suisse Marguerite ?
-  oui madame
-  tu parles bien l'allemand Suisse, sais tu l'écrire ?
-  oui et le français aussi madame.
-  donc nous pouvons  t'orienter vers une famille
qui parle allemand ou français, je vais tenté de 
trouver une adresse qui te conviendra.

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-  mais madame, quant pourrais je voir mes autres
sœurs et mon petit frère ?
- pour l'instant Marguerite tu dois rester quelques
jours ici pour régulariser ta présence, ensuite nous
te présenterons les autres familles qui ont accepte
le restant de ta famille.
- merci madame, puis je dire un au revoir a ma tante ?
- Elle est déjà partie,  mais elle te retrouvera demain.
    Je dois continuer mon parcours en passant par 
un bain puis dans une chambre où je reçois de
nouveau vêtements. Une coiffeuse me coupe mes
cheveux pour me donner une figure distingué. 
  Je suis aussi passe chez l'oculiste qui me prescrit 
une autre paire de lunette, il regarde dans son stock
et en sélectionne une qu'il me tend . Je me retrouve 
différente comme si je me suis plonge dans un conte 
de fées.
   La nuit je dois la passer dans un réfectoire avec 
d'autres filles de tous âge. Une infirmière, vêtu de 
blanc, me questionne,

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- tu es Marguerite l'alsacienne ?
- oui madame .
- as tu de la famille en Suisse ?
- j'ai des tantes car ma maman est d'origine Suisse, 
un petit frère et des sœurs que mes tantes ont 
accueilli.
- je vais être franc avec toi Marguerite, ta famille n'a 
  pas le droit de recevoir des parents sous leur toit, 
  nous devons vous dispatcher entre des familles 
  qui veulent bénévolement vous recevoir.
- mais, quant vais je revoir mon frère et mes sœurs?
- tu pourras les revoir plus tard, pour l'instant tu
  dois rester avec nous pendant un certain temps
  juste le temps de faire les papier et surtout de
  connaître ton état de santé.
- Merci Madame l'infirmière.
- Dis mois marguerite que sais tu faire ?
- je sais tricoter, coudre, laver le linge faire le 
  ménage.
- sais tu lire marguerite ?

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- je sais écrire et lire le français, l'allemand et 
  l' Italien.
- Marguerite serais tu capable de l'apprendre a 
  d'autres personnes ?
- oui je suis capable de partager mon savoir.
- bon, il se fait tard, on doit éteindre les lumières
   et tous le monde doit dormir, je dore a l'entrer avec
   vous. Ci l'une d'entre vous a besoin de moi n'hésiter
   pas pour me réveiller. Bonne nuit les filles.
- madame, où est je mon lit ?
- bien sur Marguerite je te montre le quel, tu as le
  choix entre le bas ou le haut. En se moment il n'y
  a pas beaucoup de personnes qui arrivent la 
  pièce n'est occupé qu'a moitie.
- merci madame l'infirmière et bonne nuit.
  Je suis fatigué et ne prête attention a toutes les
filles qui m'entourent, je n'ai pas faim ni soif. La
fatigue m'a littéralement enlacé.
  Cette nuit la fut profonde surtout qu'aucun bruit 
de bombes n'eut lieu. Je suis rassuré .

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  Au petit matin, vers les 6 heures 30, l'infirmière de la 
croix rouge vient aux chevets de celles qui dorment 
encore. Les filles qui sont  réveillé plus tôtl'on aidé 
pour préparer la table pour le petit déjeuné. 
- Marguerite as tu bien dormi ?
- oui profondément  car je suis rassuré
- donc avant de se mettre a table, il faut que tu
  te laves dans le réfectoire qui se trouve sur la
  droite puis tu habites les vêtements qui sont a ta 
  disposition.
- oui madame l'infirmière.
  Je suis les consignes a la lettre, en m’appliquant
  le plus possible.
   Nous somme a 16 personnes autour d'une grande
table de bois, recouverts d'une nappe grise. 
   L’infirmière dit alors,
- nous allons faire une prière pour que ce jour 
  épargne des pauvres personnes en France et
  surtout que cette guerre prennent fin.
  L'ensemble de la table écoute avec attention

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   la première prière de jour. Cela ma donné de
   l'espoir.
  A la fin de ce petit déjeuné, l'infirmière nous fait
part du programme qui vas suivre.
- Les filles cette après midi des familles vont venir
  pour vous prendre en charge. Ce sont de solvable 
  citoyenne Suisse qui se sont proposé. La croix 
  rouge Suisse a sélectionné ses personnes. Ils vous
  ont sélectionné selon votre âge sans avoir vue 
  votre photo ni connaître votre passé.
  Je suis un peut surprise par cette révélation
et demande a l'infirmière,
- madame l'infirmière quant pourrais je voir mes 
  sœurs et mon frère ? 
- Marguerite , tu auras l’occasion de les rencontrer 
   plus tard, ne t'en fait pas, il faut avant tout, régler 
  les formalisées pour ta prise en charge. J'ai une 
  bonne nouvelle, pour toi, ta tente vient aussi 
  cette après midi pour avoir te tes nouvelles, tu 
  n'es pas abandonné.

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- merci madame l'infirmière, cela me rassure.
      Durant le matin, celles qui ont plus de 14 ans
travaillent dans la cuisine pour aider a faire le repas.
Les plus jeunes vont en classe. 
  Je remarque que les légumes et toutes les denrées 
alimentaire sont en quantité et de qualité . Rien n'est 
comparable a la France où il faut des cartes pour 
s’approvisionner.
    Ce jour là nous préparons des pommes de terre
râpé que nous mélangeons avec des œufs de la 
farine, des lardons, des oignons, des orties puis 
nous façonnons des boulettes a la main.
   Cette préparation est plongé sur un bain d'huile
qui mijote dans une grande casserole en fonte noir.
  Comme nous somme au nombre de 25 enfants
et deux infirmières qui nous guident une avance
de 80 tartelettes sont préparé dans un récipient 
en terre cuite qui est placé dans le four pour qu'ils
gardent leur chaleur croustillante. La dorure de ses
galettes de pommes de terre nous donne envie de 

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les déguster.
  Respectons l'ordre de marche pour les manger. 
l'on se met a table et madame l’infirmière nous fait
faire une prière. Elle rajoute ces mots,
-  Le repas est précieux, manger ce que bon vous
   semble mais ne jetez rien car beaucoup de gens
   n'ont rien a manger.
  Nous suivons tous ses conseilles et plus rien ne
reste dans les plats pas même une feuille de salade.
  Il est 15 heures, nous avions terminez la vaisselle
et le rangement de la pièce. Madame l'infirmière 
fait un appelle.
-  Marguerite tu peux venir, ta tente est arrivé.
- oui madame l'infirmière.
  Me voila avec ma tente, cette rencontre me 
soulage car je vais connaître la suite du mon
avenir.
- bonjour tente Albertine, vous allez bien ?
- merci et toi Marguerite comment tu vas ?
-  je vais bien mais une question me trouble,

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  où sont mes sœurs et mon frère ? 
-  tu pourra  les rencontrer d'ici peut, mais l'ai une
   mauvaise nouvelle au sujet de ton père et de ta 
   grande sœur qui n'a pas réussi a venir en 
  Suisse car un bombardement les a tué.
  Cette réponse me frappe, pas une seule fois mais
bien 2 fois. Une tristesse réveille en moi des larmes 
de peine, mes pensées canalisent une insécurité je 
luis demande,
- tente Albertine maman est elle encore en vie ?
- oui Marguerite  elle est encore en vie, le 
   bombardement a touché le sud de la ville de 
   Mulhouse, mais cette nouvelle la fragilisé car
   elle a été transporté dans un centre de repos.
  Mon inquiétude grandit, a telle point que je 
cherche un repère pour l'étancher, je demande
a tente Albertine ?
- tente Albertine, quant pourrais je voir le restant
  de notre famille, ils me manquent tous.
- bientôt Marguerite, vient dans mes bras je sais

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  que ma sœur, ta maman, est résistante rien ne
  l’affaiblira. Il faut que je te laisse Marguerite 
  reste fidèle a tes rêves et tu t'en sortiras. Nous
  devons suivre les consignes de la croix rouge
  international Suisse. Ne t’inquiète pas je suis
  la pour toute ta famille.
-  oui tente Albertine, je suis tes conseilles.
  Madame l'infirmière a suivie la scène et me dit,
- Marguerite, ton visage est bien triste, ce ne sont
  pas de bonne nouvelles qui viennent d’être 
  annonce, je ne te demande pas de question
  mais dit toi bien que je ferais tous pour que
  les malheureux enfants sous notre protection
  trouve un débouché heureux dans leur vie.
  Sous patiente et tu gagneras.
-  merci madame l'infirmière je vous suis très
   reconnaissante pour tous ce que vous faite 
   pour moi.
-  sais tu Marguerite que j'ai une fille d'une 
   année plus âgé que toi et qu'elle et quelle

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   porte le même prénom que toi, je suis 
   persuadé que nous ferons bon ménage 
   ensemble. Je vais faire en sorte que j'obtiens
   ta garde, qu'en penses tu Marguerite ?
-  Je suis ravie de faire la connaissance de
    votre fille madame l'infirmière.
-   je termine mon service dans deux jours
    je ferais le possible d'obtenir ta garde et 
    devenir ta tutrice. Il faut que je demande l’avis
    du restant de la famille.
  La journée se termine dans la cuisine pour la 
préparation de repas du soir. Une soupe de 
légume et une tranche de pain que l'on coupe
dans une grande miche doré qui a la senteur 
du blé. Un morceau de fromage de Suisse aux
nombreux trous. Puis nous terminons  de 
rancher pour entamer la prière du soir. 
  Il manque 6 filles qu'on renquillent dans des 
familles. Notre groupe se disloque mais, d'autres
filles attendent dans le réfectoire  sanitaire.

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  L’infirmière qui m'a prêté attention me dit,
-  Marguerite je vient de recevoir de bonne 
   nouvelle, l'ensemble de la famille est prêt a 
   te recevoir.
  Je la regarde d'un air enchanté et rencontre 
dans ce partage la gomme qui efface le 
désespoir en le remplaçant par la bonté .
-  merci madame l'infirmière pour votre attention
   je ferais mon possible pour respecter votre 
   bon cœur.
-  passe une bonne nuit Marguerite, demain tu
  pourra habiter avec nous avec mes deux filles
  qui ton préparé une chambre dans la maison.
  La plus âgé porte le même prénom que toi et 
  l'autre s'appelle Sonia et a deux ans de moi
  que toi, vous allez faire un bon trios de filles
-  merci madame je suis rassuré.
-  Marguerite a partir de maintenant tu m'appelles
   tente Germaine et l'on se tutoie.
-  oui tente Germaine.

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-  passe une bonne nuit Marguerite, j'ai terminé 
   mon service c'est une autre infirmière qui 
   prend la relève.
-  passe aussi une bonne nuit avec ta famille 
   tente Germaine.
 Cette dernière nuit dans le réfectoire de 
l'hôpital du cantons de Bâle me plonge dans
des rêves d'avenir mais n'efface pas les 
points noir de cette guerre. Il faut que je me
ressaisi car des camarades de chambré sont
orpheline. 
   Au petit matin, nous préparons la table et
plaçons sur le cercles de fonte de la cuisinière 
a bois une grande casserole en aluminium. Il
fallu faire attention que le lait ne surchauffe .
  Lorsque toutes les filles furent attablé, une 
petite prière matinale honore le petit déjeuné.
   
  JJM

a suivre au 4/10

La nuit porte conseille je raconterais la suite
au fur et a mesure. Un roman c'est une histoire
vécu mais imaginé d'après mes pensées qui se
rapprochent de la vérité.
Auteur amateur Jean Jacques Mutz
A ce jour, 26 09 2019, 115 606 lecteurs.
A ce jour, 22 02 2020, 119 584 lecteurs. 
A ce jour, 01 06 2020, 122 470 lecteurs.
A ce jour, 24 07 2020, 126 122 lecteurs.
A ce jour, 09 09 2020, 129 578 lecteurs.
A ce jour, 07 11 2022, 170 923 lecteurs.
A ce jour, 13 11 2023, 184 753 lecteurs.
A ce jour, 06 05 2024, 194 188 lecteurs.

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