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TE VOIR PARTIR (chansonnette n 66 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 TE VOIR PARTIR Te voir partir trouble mes souvenirs, Je garde en désirs tous nos soupirs, Qui ont fondu comme cette cire, Suite a l'absence de ton sourire. Te voir partir trouble mes souvenirs, Je suis malheureux sans aucun rire, Tous devient triste pour réfléchir, Tu me manques,  pour reconstruire. Te voir partir trouble mes souvenirs, Je suis triste , et je laisse mourir, Mes pensées laborieuse de s'unir, Qui avaient influé nos justes désirs.  Te voir partie trouble mes souvenirs, J'égare les plus beau moments de rire, Mon âme ne cherche plus a ce nourrir, Revient, tu restes mon point de mire. Te voir partir  trouble mes souvenirs, Je suis certain  je ne t'est pas fait fuir, Quel mal vilain a jouer le grand sire, Pour te faire quitter notre empire. JJM auteur Jean Jacques Mutz écrit le 23 03 2011 remis a jour le 05 08 2019 A ce jour, 31 12 2018, 107 826 lecteurs. A ce jour, 05 08 2

SŒURS JUMELLE 11 09 ( slam 91 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 SŒURS JUMELLE. Lecture de quelques minutes en hommage  a celles et ceux qui sont  devenues leurs  victimes. Certains lisent en silence et d'autres a haute voix, quant a moi, je partage ma peine par écrit.  SOEURS JUMELLE. Elles renferment dans leur coeur, Une vague de gens comme tuteur, Qui suivent avec  bonheur Une vie sans pesanteur. Dans leur labeur ils n'ont pas peur, Et leur rythme devient honneur, A une nation de trappeurs, Mélange d'humain de couleurs. Rien ne fait vibrer leurs hauteurs, Pas même les tempêtes rageur,  Devant un monde sans une peur, Qui vie avec joie et douceur. Soudain, un acte imprévisible, Saccage une sœur en plein coeur,  Par une action très contrôlé, De gens sans la moindre pitiés. Les flammes saccagent une face , La stupeur envahie la place,  Et les occupants des deux sœurs, Qui tentent de luter a coeur. L'autre sœur subit le  même sort,  Les flammes  s’a

LA SOUPE SUR L’ÎLE DE PAG ( nouvelle 33 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 1 . LA SOUPE SUR L’ÎLE        DE PAG                      Ce jour la, une joie fait virevolter un  courage sans précédent car, mes intentions  me guident vers la découverte de cette belle  contrée de la Croatie, Plitvice. 2    Je suis  émerveillé par cette  verdure  resplendissante  qu'enlace  des paysages  galonnés de  références enthousiasmante .     Les ruisseaux  cascadent leur limpidité a  travers les grosses  pierres qu'ils polissent  poliment.     Ils sont ci  claire ces cours d'eau, qu'ils  dénoncent  a  travers leur transparence ,  l'éblouissante des  pierres où se reflètent les  rayons du soleil.     L'eau ressemble a une vitre vierge de toute  impureté. L'on peu y observer la netteté de  ces roches marbrées de rouge bordeaux avec  quelques filament noir, qui brillent au moindre  rayon de soleil.     Les reflets d'argent, que verbalisent les  écailles

NATURE MORTE D'AUTOMNE ( poésie n 142 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1   NATURE MORTE D'AUTOMNE la récolte rapporte du bon grains, De la semences et du raisin, Des pommes sans un chagrin, De la farine mélangé a du levain, Des amandes pour le pétrin, De grosse tomate très bien, Des petits ronds sur les chemins , De bonne réserve pour demain.                JJM Auteur Jean jacques Mutz. Ecrit le 14 01 2010, remis a jour le 12 09 2021. A ce jour, 12 09 2021, 157 750 lecteurs. A ce jour, 09 09 2023, 183 427 lecteurs.

DE LA PAILLE PUIS DU PAIN ( slam n 1 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 DE LA PAILLE PUIS DU PAIN Dans un champ de blé, Pousse un céréale aimé, En épie de couleur doré. Récolté il reste la paille, Les grains de blé sont emporté, Dans des sacs lourd a entasser. Dans un champ de blé, Pousse un céréale aimé, En épie de couleur doré. La suite le chemin du meunier, Transformé en farine broyé, Poussière blanche a mélanger. Dans un champ de blé, Pousse un céréale aimé, En épie de couleur doré. Dans un pétrin ovale la fournée, Une pâte qu'on a unifié, Avec de l'eau mélangé. Dans un champ de blé, Pousse un céréale aimé, En épie de couleur doré. Pâte noueuse qui promet, De belle miches qui gonflaient, Dans un four brûlant se cuisait. Dans un champ de blé, Pousse un céréale aimé, En épie de couleur doré. Surprise d'or, qui bon sentait, Avec nos mains on ressortaient, Une boule dorée bon sentait. Dans un champ de blé, Pousse un céréale aimé, En épie de couleur do