LA SOUPE SUR L’ÎLE DE PAG ( nouvelle 33 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1

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.LA SOUPE SUR L’ÎLE 

      DE PAG



             
   












   Ce jour la, une joie fait virevolter un 
courage sans précédent car, mes intentions 
me guident vers la découverte de cette belle 
contrée de la Croatie, Plitvice.

  Je suis émerveillé par cette  verdure 
resplendissante qu'enlace  des paysages 
galonnés de références enthousiasmante . 
   Les ruisseaux cascadent leur limpidité a 
travers les grosses pierres qu'ils polissent 
poliment. 
   Ils sont ci claire ces cours d'eau, qu'ils 
dénoncent  a travers leur transparence , 
l'éblouissante des pierres où se reflètent les 
rayons du soleil. 
   L'eau ressemble a une vitre vierge de toute 
impureté. L'on peu y observer la netteté de 
ces roches marbrées de rouge bordeaux avec 
quelques filament noir, qui brillent au moindre 
rayon de soleil. 
   Les reflets d'argent, que verbalisent les 
écailles des truites, produisent un luisant 
dénonciateur. Ici le signe de la prolifération 
marque sa vitalité, j'en suis convaincu. Les 
cascades de la rivière multiplient l’énergie 

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de chute en chute dans un chant digne d'une 
farandole époustouflante fait de clapotis en 
clapotis pour ensuite se transformer et une 
cascade rugissante. 
  Son agitation fait bouillonner une énergie 
libre de toute exploitation houiller. La chaleur 
me prête aussi son hommage sur la nudité 
d'une partie de mon corps par un bronzage 
rougeâtre. Ma transpiration fait briller ma 
peau , je partage cette magie avec le ciel 
bleuté sans l'ombre d' un seul nuage.
   Mon chemin jalonne entre les hauts hêtres 
centenaire, a travers leurs touffus feuillages.
 L'on apercevoir des petites surfaces de ciel 
bleue. La promenade est magnifique 
étourdissante et enivrante je suis prêt a 
demander cette belle nature en mariage.

















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     Le lendemain, notre initiative nous guide 
vers l’île de Pag
  Notre parcours change, les  arbres diminue, 
ils se font de plus en plus rare. Autour de nous 
des rochers sont dominant et la route, faite de 
roche blanche, lisse comme du marbre brille de 
mille feu . 
    L'on se rapproche d'un pont  et la, un garde 
militaire nous fait signe de ralentir. Il habite 
dans une petite cabane en bois où un autre 
camarade s'y trouve. Il vérifie la voiture puis nous
laisse poursuivre notre route en nous expliquant, 
dans un français parfait ,de passer une bonne 
visite. 
    A notre vue, l'Adriatique bleu turquoise, et 
enchanteresse. Nous traversons ce pont de 
béton seul , aucune autre voiture n'est visible.
  Dans les pâturages , où les montons ont peut 
d'herbage, les éleveurs produisent un fromage
parfait. L'on se demandent comment les moutons

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peuvent produire du laitage aussi appétissant sur
ces champs de pierres sans verdure ?
   Durant notre promenade, cette après midi là, 
nous découvrons une étendu une étendu vierge
de tout promeneur. la pause est de rigueur dans 
ce pays a cette heure ci, midi ? car la chaleur nous défit. 
   Au lointain se dessine un clocher pointu , il 
veille sur une petit village . Le vide de population 
et d'animaux rend notre présence incertaine. 
   Ce petit village aspire ma hâte de découverte . 
On se laisse glisser vers cette présence humaine . 
  Comme l’harmonie d'une belle chanson, 
l'ombres des habitations rafraîchit notre entourage. 
Sur les murs en pierre blanche, la clarté du soleil 
est éblouissant et chaleureux. Des lézards ,
lézardent leur temps entre les joints des 
constructions des maisons : ils y conjuguent la 
valeur harmonieuse d'une paix irréprochable. 
   Personne n'interrompre leur médiation. Je ne 
trouble cette béatitude par respect de leur liberté.

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Je m'avance avec grâce, sous l'ombre des 
bâtisses plus que centenaire. 
    Nous parvenons au centre du village sur une 
grande place où doit certainement y avoir parfois 
le marcher ? 
   De large murs en pierre de taille, retiennent un 
immense toit  en schiste régionale. Une 
remarquable ossature en pin décrit une puissante 
charpente plus que centenaire. Sous nos pieds, 
le sol en pavés de marbre gris, poli par le passage 
fréquent des marchants et des habitants est lisse 
et très glissant. Notre déplacement sous cette 
vaste voûte ombragé , fait ressentir des illusions 
visuelle sur la richesse que comporte la valeur 
financière de cette galerie marchante. C'est un 
privilège pour les habitants de cette contrés 
sur leur propre autogestion.
   En face de cette place il y a une grande 
église baroque, qui marque son autorité religieuse. 
Mon attention reste attendrit par le rapide vas et 

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vient des hirondelles qui se pressent sous les 
poutres du toit pour nourrir leur nichée , logé 
dans des nids inaltérable. 
   Dans un recoin chante l'eau d'une petite fontaine 
par l'intermédiaire du bec d'aigle en cuivre 
verdissant. Ce petit filet d'eau timide , limpide sa 
sérénité par le refrain d'un soulagement 
perpétuelle. 
   Nulle vie humaine ne croise mon regard, je 
reste  le seul intrus qui guette une éventuelle 
proie. Mon regard reste figé par une ancienne 
habitation d'où, a coté de sa porte d'entrée, une 
grande marmite en fonte noircie est placé sur 
des braises de bois . Il s'évade , a travers 
l’entrebâillement de son couvercle, une odeur 
alléchante. Mon estomac devient gourmand il 
réveille sa poche musculeuse , une salive 
nargue mes envies.
    Les aiguilles de l'horloge du clocher frôlent 
midi . Les repas vont certainement être servi 

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sur les tables ? 
   Une apparition soudaine me fait découvrir 
une jeune femme dans le cadre de la porte 
d'entrée de cette vieille habitation. Ses 
habilles sont en tissu chatoyant des couleurs 
vive. Elle se rapproche de cette grande 
marmite de fonte qu'elle touille avec une 
cuillère de bois d’oliviers.. Elle n'est pas 
surprise de notre présence et nous fait des 
signes pour la rejoindre. 
   Je me sens tel un mendiant indigne de 
qui tente de percevoir une aumône. Notre 
hésitation nous fragilise. 
  La vielle dame nous fait de nouveau signe 
pour que nous approchons. On est un croupe
de 10 personnes . Aucune ne fait un pas vers 
cette dame et jeune femme souriante. 
   Il n'y a pas de guide qui nous accompagne 
Que dire et surtout que faire ? Dois t'on se
rapprocher  ? 

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   De nouveau elle nous fait des signes de bien 
venu.
   Enfin, une personne se rapproche d'elle, une
jeune femme qui courageusement se laisse 
séduire par l'invitation. Les neuf autres la suivent
je me rapproche de cette marmite qui se réchauffe.
   l'odeur de cette soupe aux pommes de terre et
d'autres légumes nous enivre d'envie.
 - Bonjour Madame et Monsieur , venez je 
vous sers un bols de soupe.  
     - Je vous remercie mademoiselle, votre 
bondée est égale a votre beauté et au goût 
alléchant de votre soupe. 
    La vieille dame et la jeune femme nous tentent
a chacun un bol  taillé dans du bois d'olivier. Elles
plongent le bol dans cette grande marmite puis
la sur-poudre de poudre de paprika. Sans cuillère
nous buvons ce délice avec saveur et sagesse. 
Les deux personnes ne nous ont rien demandé
elles nous l'on offert.

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  Cette convivialité fait vibrer dans mon corps un 
sentiment réconfortant.

     Les mois passent ,  en faisant courir les 
saisons. Les années s'écoulent avec 
embarras car dans mon comportement 
vibrent les souvenirs de ces belles contrées. 
Mes pensées ont gardé des valeurs sereines, 
ceux qui m'ont charmées , je lui prête le mot 
référence car ma jeunesse y eut trouver une 
parodie vénérable, libre de tout soupçon cruelle. 
   Chaque fois que j'y pense, mon coeur se mu 
de joie. Je vous parle de se souvenir d'une 
soupe servi sur l’île de Pag. J'envisage de 
retourner sur les chemins de jadis et tenter de 
retrouver l'odeur de cette soupe alléchante.
   Mon ambition prend forme mais, les traces 
d'une triste guerre ont trépané les alentours. 
Cette belle région ne ressemble plus au passé, 
beaucoup de maisons et d'églises sont en ruine.

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Des rides arbitraires marques des cicatrices 
révolutionnaires. 
   Je ne peu répondre a tous ces crimes absurde 
et éprouve un vertige d’infidélité. Je me dit que 
c'était il n'y a pas si longtemps que cela,  mes 
pieds ont touché cette pierre sur laquelle je me 
repose. 
   Ce retour a l'évidence me donne des réactions 
compréhension. Bien sur  que le temps a passé 
et que beaucoup d'eau eut coulé sous les ponts 
que la guerre eut souillé la nature, détruisant des 
villages, des vies humaine . Tous ceci est le signe 
décourageant pour mes intentions de retrouver 
cette jeune femme et la vielle dame ainsi que la 
bonne soupe qu'elles m'eurent servi. 
    Mon pas s’accentue , de peur de retrouver un 
inattendu pervers. 
   Le beau temps ressemble a celui de mon
dernier séjour, le soleil se laisse égarer sur les 
pierres blanche en réverbérant une chaleur 

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endoctrinant. Les Lézards sont devenu méfiant , 
ils se cache au moindre bruit. Le village se 
rapproche il me semble que quelque chose a 
changé. 
    Dans le centre du village la place du marcher 
est a demie couverte , une bonne partie laisse 
les rayons du soleil y pénétrer, la fraîcheur a 
disparu.  
   Sur le clocher de l'église , il manque la flèche 
ainsi qu'une grande partie de son toit. L'eau de la 
fontaine coule avec embarras car le bec d'aigle 
ne marque plus sa présence, disparu ? 
   Je me  tourne vers les habitations qui 
dénoncent une tristesses digne de nombreuses 
flagellations dut aux impactes de balles ou aux 
trous béants des tires de mortiers. Certaines 
fenêtre sont absente et d'autres n'ont plus de 
vitres, il sont remplacé par des cartons. Les 
façades n'ont plus leur blancheur immaculé, des 
traces de noircissements les  accable. 

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  Le malheur vient d'y semer sa foi, ma peine 
englobe tous cela. Mes souvenirs s’estompent 
vers un profond vide . Je viens de rencontrer 
l'amertume de la condoléances. 
  Mes souvenir ne se marie plus avec le présent 
et seul l'effleurement d'une odeur de soupe 
remue mes pensées ; ce parfum où l'époque 
d'une paix eut proliféré son juste refrain.  
  Je prête machinalement mon regard vers une 
direction précise , celle d'une petite maison âpre 
lacéré de tristesse. Elle dénonce aussi des 
reperds de cette cruautés passé. La pauvreté 
vient d'enlacer l'environnement , mes intentions 
sont de partir et de trouver d'autres reperd.  
 Le chagrin occupe dans mon coeur le poids 
d'une lourde prière. A coté de la porte d'entrée 
de cette petite habitation, la même marmite en 
fonte se réchauffe sur un petit brasiers de bois. 
Le même charme élève une vapeur odorante 
qui se partage poliment dans l'environnement. 

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Elle nargue mes narines et me rappelle son 
breuvage remplit de goût rénovatrices.  
   Cette grâce d'une bonté fait de partage et 
d’amitié qui ont fait vibrer mes souvenirs . Suis 
je un Ermite en guise de recueillement ou 
simplement un mendiant ? 
   Je ne manque de rien et ma richesse a fait 
son chemin mais la, je ne suis qu'un mendiant 
assisté. Je reste immobile sans grande intention, 
avec un vide intérieur. J’observe la marmite 
comme hypnotisé,  je me cache a l'ombre de la 
ruine d'un mur en dentelle de la place du marcher. 
La petite fontaine émet des fausse notes 
irrégulières et chaotiques , comme un air de 
méfiance. Puis, une personne féminine , tout de 
noir vêtu, se rapproche de la marmite. Je la 
contemple avec respect , comme une sainte 
qui jadis m'eut donné l'obole de cette soupe . 
   Le visage de cette femme dénonce la valeur 
des temps cruelles qu'elle a dut supporter. De 

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profond rides se sont figé sur sa peau dorée. 
Ses habits noir portent le signe d'un deuil et 
d'une misère . Je n'attend rien d'un éventuelle 
partage et par respect m’apprête de poursuivre  
ma route. 
   Une honte engloutit mon espoir de retrouvailles 
jusqu’à ce moment la. Je hâte mon pas triste et 
malheureux . 
   Le fait de savoir que le drame peut suivre 
chaque chemin que j'eus parcouru me donne des 
frisons. 
    Je détourne mon attention mélancoliquement. 
A ce moment la une voie de femme nous rappelle, 
son visage triste retrouve la joie du partage et de 
l'allégresse. Elle nous fait de grand signe pour venir 
goûter sa soupe miraculeuse. Elle nous gave de 
complaisances comme ci le passé cruelle c'est 
envolé pour céder la place au présent comme 
jadis.


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Au moment où je pose mon doigt sur une 
touche de ma machine a écrire, je me suis 
rendu compte que pour se rassasier d'une joie 
profonde, il suffit de penser a ce péché de 
mendicité, de relire les lignes avec sentiment 
puis plonger dans un bonheur virtuel qu'est 
celui de partager  son bonheur. 
    Les lignes ne vieillissent pas elle garde les 
traces de cette joie comme un souvenir qui 
s'ancre dans ton cœur. 




De tout cœur 
a tous mes lecteurs. 



JJM





  la nouvelle est en cour de construction des 
modifications peuvent suivre.

 

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 31 10 2010, remis a jour le 14 09 2019.
A ce jour, 14 09 2019,  115 172 lecteurs.

A ce jour, 01 05 2021, 149 423 lecteurs.

A ce jour, 01 04 2022, 168 724 lecteurs. 

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