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LA CHARGE ( poésie n 227 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 LA CHARGE La marge devient blême, De l'individu qui se déchaîne, Vers une action de rengaine, Faite de fraction de graines. Devant sa démarche compliqué,  Il se laisse traîner vers l'insensé, Géré par la charge irraisonné, D'une attitude qu'il doit dévoilé. En épatant son adversaire, Par le contour  arbitraire, D'une petite plume vulgaire, Le rendant révolutionnaire. Les mots volent en éclat, Dans des bals sans toit, Où la demande fait émois, Quant le oui se dit tout bas.  Le charme de cet individu, Visant celle qu'il a vaincu, Pour qu'elle sois convaincu, Que c'est lui le plus dodu. Elle se laisse impressionné, Par ces mots et leur beauté, Pour détenir un adjectif clef, Qui ne se laisse point blasé.  Dans sa charge il  démarque,  Des ondes qui se déchargent, De son attention qui flache, Devant celle qui le charge.     JJM auteur Jean Jacques Mutz. écrit

SANS FUTURE ( poésie n 195 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 SANS FUTURE Sang impure Sensée culture Sens raison Sans action Cent intentions. Sang parjure Sensée nature Sens façon Sans blason. Cent raisons. 100 non 100  hôpitaux Sensée , direction Sens sont allé Sans prospérer Cent raison. 100 médecins Sensée, tenir Sens, partir Sans condition  Cent blasons. Cens rien Sensée tenir Sens le respect Sans peut de sous Cent vie social.   JJM auteur Jean Jacques mutz. écrit le 01 04 2010, remis a jour le 21 11 2019

A LA MER ( poésie n 252 )

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Mirage au dessus des nuages sage n  1 A LA  MER Je suis le fruit de sa passion, Qu'elle eut harmonise avec modération. Je m'émus de bruit de sa chanson, Qu'elle m'eut chanté avec modulation. Son d'allégresse qu'elle mit en partage, Pour me combler de son beau langage. Elle me l'eut traduit a sa façon, Dans le sens propre de notre raison. Mer chère, aux titres très mémorable, De l’être claire d'une suite vénérable. Par le charme chère d'une source buvable, Qui rejoint la mer par terre vénérable. Tu nous berces par flot de vagues faite de vertu, Qui nous dorlotent , depuis, notre venu. A la mer que je vénère, Dans les profondeurs de sa chair clair. Pour la respecter par bonheur, Et nous rendre heureux   JJM auteur Jean Jacques Mutz écrit le 15 11 2010, remis a jour le 21 11 2019 A ce jour  15 11 2010, 804 lecteurs.  A ce jour , 15 04 2013, 57 316 lecteurs . A ce jour, 21 11 2019, 117 374 lecteurs.

GRUISSAN ( poésie n 79 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1    GRUISSAN Au reflet de l'eau bleuté, Se berce un village emmitouflé, Autour d'une tour haut perché , Qui marque le passage Dans un port ensablé. Sous la projection de son ombre, Volent des mouettes, Des passants s'y promènent,  Le long des murettes, Et les flamants y plongent leur bec. Les fêtes vont en dansant, Du classique au lyrique, Au sont de la fanfare, Des tambours et des fêtards, Jusqu’à la nuit de nos regards. Les flambants pique du bec, Pour prouver qu'ils font avec, Dans cette étang magique, Qui garde un temps féerique, Du passé que fut Gruissan. JJM auteur Jean Jacques Mutz. écrit le 18 03 2009, remis a jour le 20 11 2019. a ce jour, 20 11 2019, 117 324 lecteurs.

LES SOUS A COTE ( poésie n 257 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 LES SOUS A COTE Je me garde de répéter, De mettre des sous a coté, Le début est de semer, Comme un paysan, Dans son champs de blé Économisons nos deniers, Simple, il suffit de diminuer, Notre besoin journalier, Quelques gadgets inutiles, Et le tour est joué. Je me garde de répéter, De mettre des sous a coté, Le début est de semer, Comme un paysan , Dans sons champs de blé. Avec nos sous ainsi engranger, Fructifions notre sagesse, Ainsi que notre allégresse, Pour que naisse la jeunesse, Qui récoltera nos prouesses . Je me garde de répéter, De mettre des sous a coté, Le début est de semer, Comme un paysan, Dans son champs de blé. Sous a cotés, je vais les compter , Mais diable, qu'est il arrivé, Je vois mal pour les conjuguer, Le verbe avoir , j'ai dépassé, Égarant les sous mis à coté. JJM auteur Jean Jacques Mutz. écrit le 24 01 2011, remis a jour le 20 11 2019 a ce jour, 20 11 201

LES PRESSES ( poésie n 190 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 LES PRESSES Un bruit infernal,  Domine l'atelier. Le sol vibre, et,  l'écoute s'assourdit. Une résonance,  Son comme  l'orage. Cette cadence qui,  Frappe, tel un sauvage. Sur une matrice,   Qui marque sa page. Dans cette forme,  Figure d'ouvrages. La lame de tôle,  Se forme par déforme. S'ondule en courbe,   Que l'on contrôle.  Ce rythme ahuri,   Ne laisse de repos. Vacarme abrutie,    Devient notre bourreau. L'on devient étourdir,   Par ce monde sans mot. Sans pouvoir entendre ,  Le son que sont ses mots. Nos pensées se troublent,   Pour rendre coupable. De cette fatigue,  Durci par l'infernal.  Notre vie lamentable,  Accepte irréelle.  Les chariots circulent,   Happé par la ronde. Charge de frottements,  Grincements, martèlement.  Qui ne leur rapporte,   Un peu d'une fortune. Il y a le programme,    Qu'il faut maintenir. C'est la, que se trouve,  

La rose, quelle belle chose ( poésie n 288 )

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  Mirage au dessus des nuages sage N 1 La rose, quelle belle chose Le dire en prose , Devient une raison  l'écrire avec dose, Détient une addition, Le partager a d'autres,  Voila une  façon. Mais le temps s'écoule, Et fane sans recule, Pour céder la place, Aux roses qui passent, En captivants l'espace, De la vue qui la glace. Le dire en prose,  Une bonne cause, Qui n'aura de close, De donner par dose, Sans une overdose, De amour morose.    JJM  auteur Jean Jacques Mutz. écrit le 14 01 2013, reprit le 14 11 2019  A ce jour,14 01 2013, 44 824 lecteurs. A ce jour, 14 11 2019, 117 223 lecteurs.