Articles

DIFFÉRENCE ( slam 9 )

Image
mirage au dessus des nuages sage DIFFÉRENCE Le malheur voulu que je fus différent,   A ceux, recevant des compliments. Je n'accordai les relatifs de l'instituteur,   Mon accent, peut être ? ou ma pauvreté ? Je fut classé dans le couloir du désordre,   Celui de repousser le juste contre-ordre. La aussi je troublai la fréquence par discorde,   Pour que dans ma région je me met a me mordre.  Pour n'importe qu'elle parole en patois,   Je chutai dans le feux de tout son désarroi. Son indulgence ne comprit ce langage la,   Ça le désorientait dans tout ces émois. Je pris une bonne assise contre ce vent levé,    Pour contourner mon manque de liberté. Pour toute expression dite par un confrère,   Je devins responsable et vis une galère. Je dus m'avancer devant ses réflexions,   Pour récolter une multitude d'objections. Je récoltais des  humiliations, de quel droit ?   Ça me fit très mal au bout de mes doigts.

VISION FUTURE ( poésie n 16 )

Image
mirage au dessus des nuages sage n 1 VISION FUTURE Les couleurs m'enivrent, Friction du future   Comme le son claire,   D'un charme bien  chère.  Un calcul bien paire , Que décrit cette sphère, Entouré d'un mystère, Telle d'une lune claire.  Vision sur naturelle, A  carrure réelle,  Sans un juste reperd, Admet le précaire.  La friction accumule, Mont et divers lune, Des zones d’induction, Que cultive la raison. Apôtre de finition,  Indique la raison, Venu de la lumière, D'un autre univers. Comprendre le parfait, Rime avec instinct, De faire un tableau, Avec couleurs et ronds.  JJM auteur Jean Jacques Mutz. écrit le 03 08 2007, remis a jour le 26 09 2019. a ce jour, 26 09 2019, 115 676 lecteurs.

QUANT LA PLUIE PLEURE ( poésie n 286 )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1  QUANT LA PLUIE PLEURE, Quant la pluie pleure,  Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur. Les gens parlent , En dénonçant les écrits, Que voilent les journaux , Pour n'en écrire pas long . Quant la pluie pleure, Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur. Tu es loin, bien loin, Dans tes tournées, Surmontant les mers Et traversant les montagnes. Quant la pluie pleure, Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur. Ton retour sera un bonheur, De te toucher, avec honneur, Pour contredire ces écrits, Qui parlent de chose indécis. Quant la pluie pleure, Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur. La planète se  réchauffe La faute a ceux qui se  gaufrent De bénéfice qui  surchauffe La terre pour leur étoffe. Quant la pluie pleure, Sur leur rumeur, Je souffre de peur, De rencontrer ce malheur.   JJM  auteur Jean

LE DISCIPLE DE SES MOTS ( poésie n 162 )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1 LE DISCIPLE DE SES MOTS Tes mots, en phrases et lignes,  Naviguent vers les cimes digne, Pour nous faire de jolie pages, Et prédire les marques d'images, Que l'avenir rêve d'un autre rivage. On raconte que ta beauté, Est une source de gaieté,  Car elle coule tout agité, Sur un dénivelé pas gâté,  Vers la mer et ses galets. Ta réaction devient création, Pour tes sentiments d'allusion, Écrits par simple réflexion, Sur des propos de félicitation, De dire du bien sur une union. Les écrits valent des paroles , Magie de dire ce qui est pensé, Pour pouvoir les partager, Avec d'autres a tout jamais, Sans vouloir les offenser. T'a conclusion n'a d'attache, Auprès de nous autres pages, Devenu mêlée dans des pelletés De réponses un peut fêlées, Pourtant tu es l'avenir qui lit.   JJM Auteur amateur Jean Jacques Mutz écrit le 03 02 2011, remis a jour le 24 09 2019. A se jo

LES GENS DE LA RUE ( slam 70 )

Image
Mirage au dessus des nuages  sage n 1 LES GENS DE LA RUE Les gens de la rue, Ils sont la, a petit pas, En dansant comme des chats. Pour chanter leur joie, Comme des oiseaux sur les toits. Les gens de la rue, Ils s’orientant vers le sud, Cela est leur droit,  Pour prédire ce qui fait loi, Quant la joie est la. Les gens de la rue, Ils  respectent les traditions, Qui suivent une raison, Celle de n'avoir d'action, Que pour la satisfaction. Les gens de la rue, Ils te dissent tu, c'est voulu, Pour que tu comprennes, Qu'avec eux, c'est un dilemme, Celui de faire pareille. Les gens de la rue, Ils sont nombreux et ordonné, Quant ils marche a tes coté, Pour suivre une prière, Celle faite pour ses pères. Les gens de la rue, Écoutes les ils sont considéré, Quant ils clament victoire, Sur les valeurs de l'histoire , Car avant c'était le noir. Le gens de la rue, Je me souv

MA TRISTE VIEILLESSE ( slam n 44 )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1 MA TRISTE VIEILLESSE Elle ressemble à la lune, Courbé et sans fortune, Mais claire comme chair, Car elle commence à plaire. Elle reste allongée, Comme du papier froissé, Que la couleur a foncé, Par les années passées. Elle n'a de fortune, Que le miel sur mon costume, En cultivant cette amertume, Que me réserve l'enclume. Mais quant vient le soir, Tout parait noir, Sur du papier blanc, Qui manque de champ. Ma plume reste en virgule, Quant mes pensées coagulent, Sur des idées en majuscule, Qui traitent l'infortune. Cette page n'a de blason, Que l'image de ma chanson, Exprimé a ma façon, Pour une simple raison. Elle ressemble a la lune, Courbé et sans fortune, Mais claire comme chair, Car elle  commence a plaire. JJM auteur Jean Jacques Mutz. écrit le 02 12 2010, remis a jour le 23 09 2019. A ce jour, 02 12 2010 ,  911 lecteurs a ce jour, 23 09 2019, 115 521 lecteurs.

RUPTURE DE LA DROITURE ( slam 65 )

Image
Mirage au dessus des nuages sage n 1.  RUPTURE DE LA DROITURE Ci les mots détournent la droiture, Celle de l'égalité de la conjoncture, Les humains se révoltent avec certitude. Pour l'éminence il y a pas de rupture,  Pour récolter il faut la fermeture,  De tous les avoirs pour faire ceinture. On actionne le manque a gagner, Ils augmentent le petit panier, En diminuant le travail et l’indemnité. Le chômage devient la faculté,  De toute celles et ceux mis a pied, Car les sociétés veulent récolter. A quoi bon , on est  dans l’embarra, D'accepter car on n'a plus le droit, De prétendre que juste c'est pas ça. On aimerai d’avantage c'est sur, De ce partage devant ce mur dur, Sans rencontrer de parure. La valeur trouve une autre sœur, Celui de l'accumulation sans peur, Pour ceux qui l’empilent par-coeur.  Tendre la main c'est une valeur, Quant ça rapporte une chaleur, Celle du partage avec clameur. Mais les bours