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FRANCHIR LES ENNUIES ( slam 95 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 FRANCHIR LES ENNUIES Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. Il y a des marques dans la vie, Qui nous tracent nos suivies, Pour cette raison que l'on écrit, A ce que l'avenir le lit aussi. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. La grâce c'est quant on les lit, Toutes ces phrases enchérie, Du passage dans cette vie, En poussant la porte de l"infinie. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. La promesse reste là, voila ? Dite moi pour qui, pour quoi ? Je pleure des larmes de valeurs, Comme une source de vapeur. Je reste seule devant l'ennuie, Quant le temps égare l'oublie. Notre promesse eut les atouts,  Ceux qui conjuguent les sentiments,  Qui prédisent de bon moment, Avec plein d'arguments.  Je reste seule avec l'ennui Quant le temps égare l'oubli.  JJM Auteur ama

L’ABÎME ( poésie n 55 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 L'ABÎME Dans le fond de l'abîme il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Dans la tournure de ce monde il y a toi, Ce toi majuscule ,où l'on rencontre une virgule. Dans le fond de l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. La marque d'une interdiction te donne, Le droit qui efface  cette virgule avec une gomme Dans le fond de l’abîme, il y a  l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Une lumière guide tes écrits vers un suivi, Qui dit que ce que tu mimes  n'a pas de prix. Dans le fond de l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. La précision de tes suivi sont claire, Comme le charme de tes pensées  en chaire. Dans le fond se l’abîme, il y a l'au-delà, Un long fleuve tranquille où du vide il y a. Te croire , c'est te suivre  comme un père, Pourtant tu me parais pas s'

VUE SUR LE LOT ( poésie n 53 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 VUE SUR LE LOT De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur,  Qui cherche chemin . Dire que les gens,  Me trouvent bien, Sur mon traçais , Que porte mon destin . De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur,  Qui cherche chemin. Je m'appelle lot,  Ça c'est certain , C'est écrit sur,  De vieux parchemins. De mon perchoir, Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son chemin.  Je traverse des villages,  Aux pierres chaudes,  Mâcone il y bien longtemps.  Je dirais plus de cent ans De mon perchoir,  Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son chemin. Le pont de V alantre, Me montre sa face, Et le diable au centre,  Ne me fait pas menaces. De mon perchoir, Je scrute le lointain, Comme un dominateur, Qui cherche son Chemin.  Cahors capital des gourmands,  Qui  nourri les visiteurs du lot, Comme des amants, avec des truf

DU BLÉS ( poésie n 154 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 DU BLÉS La couleur or,  Immonde les champs, Le blé a fini de mûrir,  Il faut le récolté. Venu de nul part,  On s'active dard-dard, Naissent des botes,  Qu'il faut charger. Sur de charrettes,  En bois ferré, Bien équilibré, Pour les déplacer.  Deux chevaux,  Y sont attelé, L 'orage gronde,  Il faut ce dépêcher.  L'humidité peut gagner, En risquant de gager, La récolte du blé, récolte.  Sans pouvoir l'engranger. On s'affaire et se bouscule,  Dans un rythme e freine,  Il n y a pas de doute,  La récolte doit être rentré.  La tempête gronde, Il faut accélère,  De rentrer notre gagne pain,  A la couleur doré.          JJM     Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 28 01 2010. Rémi à jour le 18 05 2019. A ce jour, 18 05 2019  ,111391 lecteurs.

LA DÉPRESSION ( poésie n 277 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 LA DÉPRESSION Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. C'est triste de se faire tirer de la sorte, Dans un cumul pour qui trotte une note. Une motte la stop comme un hôte, Qui se moque de la maintenir de la sorte.  Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Le destin devient fragile lorsqu'on importe, Une fragilité d'intention malpropre. La voila bloqué, maintenu dans sa cage, La où il n'y a plus de passage de nuages. Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Elle s'y décompose sans un présage, Avenir, de pourrir comme un grand mage. Mais l'image d'un vrai

Il n'y a pas d'heure ( n 300 poésie )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 IL N'Y A PAS D'HEURE Il n'y a pas d'heure, Pour rire sans mot dire. Il n'y a pas d' heure, Pour souffrir sans flétrir. Il n'y a pas d'heure, Pour tous vous dire. Il n'y a pas d'heure, Pour tous garder est gémir. Il n'y a pas d'heure, Pour aimer son pareille. Il n'y a pas d'heure, Pour dire qu'elle m'émerveille. Il n'y a pas d'heure, Pour déclarer mon amour. Il n'y a pas d'heure, Pour te dire, je t'aime toujours. JJM Auteur Jean Jacques Mutz Ecrit le 06 11 2013 A ce jour, 21 02 2019, 109540 lecteurs. A c jour, 21 02 2019, 111266 lecteurs. 

LE FROID ( poésie n 291 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 Le froid Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. La bisse souffle un vent glaciale, Mes narines collent comme du cristal, Et mes mains, emmitoufle, sont gelé, Mes oreilles , rouge, sont collé. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous caresse par sa fraîcheur, Ce souffle venu des profondeurs, Qui nous enivre avec une rancoeur, Sans nous laisser de sueur. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous oblige de se couvrir, De laine, pour ne point frémir, Car, quant on tremble de froid, La maladie risque de passer par là. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe av