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Le sortilège de Thann ( nouvelle 114 fiction )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 1 le sortilège de Thann     De la petite ville où j'ai vue le jour, je garde un souvenir  que  jusqu'à  maintenant, je n'ai jamais réussi à oublier ; il  fait  encore partie de mes pensées.    Construite dans une vallée, qui se trouve au début d'une vieille chaine de montagnes . la ville de Thann représente  le chef-lieu  de notre canton et le début  de la route du vin d'Alsace. Y vivent trois milles habitants , qui vont prier  dans une  collégiale qui laisse élancer , au plus haut du  ciel son clocher  d'une hauteur hallucinante. Le son de  ses cloches permet de rappeler   les ouvriers et les gardiens  des vignes et des champs qui sont  éparpillés aux alentours.    Une rivière traverse notre commune sur le coté droit de  la collégiale. Par temps orageux elle se gonfle et se  transforme en un véritable torrent impétueux. 2   Autour de la collégiale, une grande place pavée de grès rouge permet le rassemblement de plusieurs je

MA CARAVANE ( poésie n 116 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 MA CARAVANE. C'est sur deux roues que je me déplace sans un sou, Avec ma famille , mon âne et toutes mes balles. Dans notre habitation il y a un grand matelas, Suspendu pour gagner de la chaleur et l'embarra. On nous rejette par ci et par là sans traça. Bien sur nous n'avons pas le choix, vivre comme cela ? Pour ce nourrir on péché des truites a bout de bras, L'on récolte des fruits tombés par ci ou par la. Nous ramassons de la ferraille revendu a qui de droit. Nos prédilections suivent le future de nos questions. Et ci une main charitable nous honore nous prions. Mais le ciel reste notre reperd car nous l'implorons. Pour que Marie nous protège sans malédiction. Notre peau épouse la couleurs des saisons. Avec l'ardeur que nous lui attribuons. La musique est notre recueille le soir prêt du feux. Quant les flammes dansent et que nos coeur s'échauffe. Quelle est belle no

CONFIDENCE ( poésie n 223 )

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mirage au dessus des nuages sage n 1 CONFIDENCE Je vous fait part de confidences, Faites de conséquences. La première, sous l'ombre de l'intolérance, Jongle avec notre persévérance. La seconde, amalgame de la puissance, Abasourdit l'abonné a la résistance. Le troisième provient de cette richesse, Transformé en une Force complexe. La quatrième pages n'a de virgule, Elle bouscule toutes les majuscules. Une description qui me constelle, De simple mots changeront de rituelle. Ils instaureront des convergences, Sans faire profitent des concordances. Un copinage comblera les vides , De ceux qui triment avec des rides. La bonne rumeur ne fait pas peur, C'est le tumulus de ce qui tient a cœur. En fin de compte on en arrive, A cette fameuse conclusion.  Le bonheur comble les grande société, Et le malheur la population. N'avoir jamais suffisamment , C'est devoir se contenté de boniments. JJM Auteur Jean Jacques Mutz. A

LE COMMIS ( nouvelle 34 )

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Mirage, au-dessus des nuages, sage n 1 1 LE COMMIS      Pour faire vivre une ferme, il faut des  vaches, des chevaux, des cochons, des poules des lapins, et des chèvres. On y comptabilise  aussi quelques chiens, des chats, des bonnes  et un ou plusieurs commis d'étable. 2    L'utilisation de la main d'oeuvre humaine,  a cette époque la, est d'un ordre primordiale.  Le travail manuel n'éprouve le moindre frein.  Le manque a gagner s'incruste dans les foyers,  la pauvreté a sa raison d’être car elle étuve  un refrain mesquin.      Dans les profondeurs de son âme s'active  une population ordonnée. De profonde racine  démoniaque, sont planté la, pour diriger cette  fourmilière de paysans par ce signe pervers  que mut une profonde inégalité.   De cette grande ferme donc je vous écrit,  prit naissance mon histoire, qui est situer  entre les deux grandes guerres.     Pour déterminer une valeur marchante  d'une ferme il f