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LA DÉPRESSION ( poésie n 277 )

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Mirage  au dessus des nuages  sage n 1 LA DÉPRESSION Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. C'est triste de se faire tirer de la sorte, Dans un cumul pour qui trotte une note. Une motte la stop comme un hôte, Qui se moque de la maintenir de la sorte.  Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Le destin devient fragile lorsqu'on importe, Une fragilité d'intention malpropre. La voila bloqué, maintenu dans sa cage, La où il n'y a plus de passage de nuages. Une bise souffle devant une porte, Sur une fragile feuille, couché, morte. Elle se déplace avec toute une horde, Pour produire un nuage qui la porte. Elle s'y décompose sans un présage, Avenir, de pourrir comme un grand mage. Mais l'image d'un vrai

Il n'y a pas d'heure ( n 300 poésie )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 IL N'Y A PAS D'HEURE Il n'y a pas d'heure, Pour rire sans mot dire. Il n'y a pas d' heure, Pour souffrir sans flétrir. Il n'y a pas d'heure, Pour tous vous dire. Il n'y a pas d'heure, Pour tous garder est gémir. Il n'y a pas d'heure, Pour aimer son pareille. Il n'y a pas d'heure, Pour dire qu'elle m'émerveille. Il n'y a pas d'heure, Pour déclarer mon amour. Il n'y a pas d'heure, Pour te dire, je t'aime toujours. JJM Auteur Jean Jacques Mutz Ecrit le 06 11 2013 A ce jour, 21 02 2019, 109540 lecteurs. A c jour, 21 02 2019, 111266 lecteurs. 

LE FROID ( poésie n 291 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 Le froid Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. La bisse souffle un vent glaciale, Mes narines collent comme du cristal, Et mes mains, emmitoufle, sont gelé, Mes oreilles , rouge, sont collé. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous caresse par sa fraîcheur, Ce souffle venu des profondeurs, Qui nous enivre avec une rancoeur, Sans nous laisser de sueur. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe avec bonheur. Il nous oblige de se couvrir, De laine, pour ne point frémir, Car, quant on tremble de froid, La maladie risque de passer par là. Il fait froid a l'extérieur, Je me glisse a l'intérieur, Dans la maison pour sa chaleur, Qui me réchauffe av

MON CORPS ( poésie n 250 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 . MON CORPS Mon corps est bien enserré, Une forme que j'aime énoncer. J'en suis très  fière, Pour celle qui la germé. Comme pour celui? Qui par bonheur ma façonné. Je leur doit le respect, Sur toute ses données. De mes muscles solides, Et mes gestes équilibrés. Mes pensées me guident, Vers un avenir estimé. Cet onagre de satisfaction, Je peux le comparer, A cette oie sauvage , Qu'on a du mal a attraper; Au signe apprenant a voler, Ou a celui d'un aigle , Qui survole une contrée. Voila mon ensemble, De chair et d'idées, Une dévotion qui mène, Jusque dans mes rêves. Je le confie aux lecteurs, Qui y plonge leur pensées. JJM  Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 05 11 2010. A ce jour , 11 05 2019, 111  248 lecteurs.

DANS MON CLOÎTRE ( poésie n 274)

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Mirage au dessus des nuages sage n 1.  DANS MON CLOÎTRE Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin ,pour un rien, Il enferme dans ses murs, la culture d'un lien De profond couloirs ont consolidé, Mes pensées libre de vous raconter, Que les péchés venu des autres , Mérite d'être exprimé par mes pensées. Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin, par pour un rien, Il enferme dans ses murs, la culture d'un lien Je me heurte  a des colonnes romantique, Qui soutiennent des voûtes magnifique. Sont ils l'oeuvre de maudis, Ou le charme de ce qui est permit ? Dans mon cloître je me suis égaré, Pour faire valoir mes pensées. Le vide n'a de recoin, pas pour un rien, Il enferme dans ces murs la culture d'un lien.                                                       Dans ce palais  fait de pierres antique, Je retrouve mon onde théorique.

LES GOURMANDS ( poésie n 296 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 Les gourmands, les gourmands sont des gens Qui se nourrissent de l'argent, venu du savoir faire des passants. Les gourmands sont des gens, Qui part instinct et sans virgule, Accumulent par enchantement. Nos gourmands, on les distingue, Plus tard dans leur comportement, Fait de valises a cautionnement. Nos gourmands ont besoin de zéro, Avant la virgule dans leur placements ? Pour cet argents venu de quelque part ? Nos gourmands on les place au firmament, Vu leur réussite d'accumuler facilement, Pour diriger l'ensemble de brave gens. JJM Auteur Jean Jacques Mutz.  Écrit le 04 04 2019 remis à jour le 0505 2019. A ce jour, 05 05 2019,  111011 lecteurs.

IL NE RESTE QUE DU VIDE ( poésie n 293 )

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Mirage au dessus des nuages sage n 1 IL NE RESTE QUE DU VIDE Transformez la place où je suis née, En un immense champs de blé, Avec des violettes des coquelicots et des genets. Dans la classe de mon enfance, Il ne reste que les ruines de pierres, Pas la trace d' un tableau noir.  Transformez la place où je suis née, En un immense champs de blé, Avec des violettes des coquelicots des genets. De l'usine où j'ai travaillé, Il reste des chemins éventrés, Des enchevêtrements de fer rouillé. Transformez la place où je suis née, En un immense champs de blé, Avec des violettes des coquelicots des genets. Dans ma région jadis très peuplé, Il ne reste rien de ce bonheur, Fait de chants qui nous émerveillaient. Transformez la place où je suis né, En un immense champs de blé, Avec des violettes  des coquelicots et des genets. Les temps c'est écoulé, rapidement, A la vitesse d'une horloge d'appartement, Pour t'éloigner de ces bea