l'appelé roman aventure 8/12

Mirage au dessus des nuages sage n 1
8/12







reste 5 mois
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   Pour la première  semaine de septembre je
sois faire une garde de 8 jours dans une 
forteresse de la ligne marginaux. Pour cela je
conduis un camion Berlier bâché avec une
rangée de banc. Nous somme une équipe 
consisté d'un sergent-chef appelé, et un 
premier classe accompagné de 6 soldats d'on 
je fais partie. On nous signale qu'une forteresse
fut agressé et que des munitions et
armes avaient disparu. Plusieurs victimes sont
a déplorer. Pour cette raison nous somme armé
avec de vraies munitions. La fortification est 
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la réserve en munition pour tout l'Est de la 
France. Nous rentrons dans la forteresse avec
le camion Berlier. Je le stationne dans la vaste
 cour pavé de grée rouge. 
   La forteresse se trouve en pleine campagne
elle n'est pas visible de la route, car des arbustes
poussent autour. Les ronces sont les maîtresses 
des lieux. Des douves profonde sont remplie 
d'eau, il y a plus de deux mètres qui sépare 
les murs de la fortification a la terre qui 
l'entoure. Sur une bute, un mirador 
permet la surveillance des alentours. La
moindre tentative de rapprochement de
personnes est repère. 
  Il n'y a qu'une entrée pour y parvenir
un petit pont coupé par une barrière 
métallique qui demande la manipulation
humain pour l'ouvrir. Une large et haute
porte en bois de chêne demande aussi une
manipulation humaine pour l'ouvrir, 
malgré sa taille et son poids et se laisse 
guider facilement. Une meurtrière permet
de voir le visiteur.
  Dans les galeries, l'humidité rend cet 
endroit malsain et lugubre. Le silence en
fait partie et chaque clapotis de goûtes 
d'eau résonne comme une cloche.
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  La forteresse est construite en grès des 
Vosges. De nombreux souterrains vous égare.
 La flore et la phone a pris racine selon ses
intentions. Au soir les pipistrelles et les rats
se déplacent sans gène. Dans la journée se
sont les lapins et les faisans qui s'y aventure.
   Les chambres sont voûté comme toutes les 
autres pièces. le sergent-chef et le premier 
classe dorment ans une pièce a part. Les 
paroles résonnent comme dans une tanière. 
On a un réfectoire où l'on fait à manger ou 
jouer aux cartes. 
   La répartition des gardes se déroule par 
tranche de deux gardes de 2 fois 2 heures 
chacune pour deux soldats. Un des soldats
se trouve sur le mirador le jour ainsi qu'un
autre devant l'entrée. A la nuit se sont deux
gardes qui sont devant l'entrée. Cette 
opération se fait toutes les 12 heures. Ma 
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garde démare de 12 heures a 14 heures et de 
0 heures a 2 heures du matin. Après moi
c'est la personne maghrébin, qui m'avait dit
que pour ressembler a un Français il faut faire
l'armée Française, qui suit le roulement. Les
autres soldats sont de différant escadron de 
combat. Le caporal-chef est celui qui ma 
dénoncé avec le jeux de mots que j'eus prononcé
le jour où il y eut des victimes a l'entrainement.
   Pour manger, l'armée nous a donné des boites
de rations et du vin dans une marmite en 
aluminium de 20 litres. Pour l'eau on a un 
robinet qui débite de l'eau ajouté de particules 
divers. Les toilettes qui se trouve dans un recoin 
d'une galerie, un trou permet d'y faire ses 
besoins les quelles tombent dans l'eau des douves.
   Il n'y a pas de douche c'est avec le robinet d'eau
froide qu'on se lave. Il est possible de se faire du café
avec nos réchaud a gaz et nos gamelles car il n'y a 
pas de casserole. Cette organisation nous choque 
au premier jour, mais a force chacun s'organise. 
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  Le sergent-chef n'a jamais eu l’occasion de 
travailler sur un chantier ni de faire du camping. 
Cette nouvelle vie ne le met pas a l'aise il déprime.
J'ai beau faire bouillir l'eau pour le café, il na pas
confiance en cette eau. 
   Le soir venu le sergent-chef et le premier classe
se déplacent ensemble armé d'un Pm chacun. Leur
intention est de surprendre celui qui dore a son poste.
En cas de rapport, des galons supplémentaire sont 
espéré. C'est sur les pointe des pieds qu'ils tentent de
nous surprendre. Cette attitude ils me l'on fait a 
plusieurs reprise durant mes gardes surtout après
0 heures. 
  Je m'occupe de préparer le repas, certains avaient
emmené quelques réserves. Mais avec la grosse 
marmite de vin rouge, pas possible j'utilise le 
couvercle et fait de mon mieux. Et ci l'on ferais des
omelettes ? Tous les soldats sont de mon avis, mais
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nous n'avons pas d’œuf que faire ? 
  L'ensemble des soldats trouvent mon idée parfaite. 
Mais, où chercher des oeufs en pleine campagne ? 
Le sergent-chef ne nous donnera pas l'autorisation, 
il a trots peur.
    Nous décidons que deux personnes qui ne sont pas
 de garde font le mur pendant que deux des autres 
soldats font la garde et les deux autres dorment. Les
 douves ne permettent pas de passer de l'autre côté 
a pied et par la porte d'entrée pas possible le 
sergent-cher a le regard sur le petit pont par une 
meurtrière. On trouve une passe invisible aux yeux
du sergent-chef et du premier classe, il s'agit de 
matcher sur la corniche puis de se tenir aux câbles 
qui passent sous le petit pont pour traverser les douves 
rempli d'eau. Ce sont les deux personnes qui
suivent ma garde qui partiront. Il y a Ahmed, le 
maghrébin, qui veut ressembler à un Français, et un
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certain Edmond, des deux viennent des escadrons de 
combat.
  La nuit tombe, il est 20 heures passé, les deux
compagnons font le mur sans bruit. Tous se déroulent
comme dans une horloge. Vingt minutes plus tard, le
sergent-chef visite notre salle de séjour, on y est a deux.
Il remarque une anomalie et part dans la chambre a 
couché. Le compte n'y est pas, il n'est pas tranquille
et demande,
-   Où sont les deux autres soldats manquant ?
  Personne ne souffle un mot, puis,
-   L'un d'entre eux a dut faire ses besoin ils fond en
    même temps une ronde dans les galeries. Ils ont 
    emmené des lampes de poche.
  Cette remarque lui redonne confiance, car son 
courage manque pour faire la ronde dans les galeries.
Il remarque que,
-  Mais ils n'ont pas pris leur fusils ?
-  Chef, ils sont allés à main nus avec leurs
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    couteaux.
-   N'oublier pas votre garde.
-    Oui chef, ne vous inquiète pas.
  Cette remarque le mit en confiance, il ne s'est 
douté de rien et part faire une petite sieste. On a 
eu chaud.
   Minuit résonne sur les églises des villages, je
fais ma garde comme prévue. Les collègues ne 
sont pas de retour. Comme il est convenu, le fusil
doit être chargé, je suis à la porte d'entrée où une
chaise permet de s'asseoir et regarder par la
 meurtrière sur le petit pond.
   La nuit calme ne laisse entendre un bruit 
anormal. Je m'impatiente car mes collègues en
cavale ne sont pas revenus. Je me dis, et si jamais
le sergent-chef fait une revue que vais-je dire sur
 leur absence ? heureusement qu'il eut un sommeil
profond, c'est la première fois.
  Deux heures sonnes dans les alentours, ils ne
sont pas de retour comme prévu.
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   On continue la garde d'Ahmed et d'Edmond. 
Mon impatience sensibilise mon écoute, chaque
bruit anormal me tient en alerte. Un craquement 
se fait entendre dans les fourrées, je garde mon 
sang froid et arme mon fusil. Un sifflement se
fait entendre, ce n'est pas un oiseau de nuit, 
c'est le mot de passe que l'on a convenu. Ouf, ils
sont revenu, je repris confiance a trois heures 
et demie du matin.
-  Comment ça s'est déroulé dans le voisinage ?
-   Ils ne sont pas sympathiques dans cette région
    les habitants en plus on c'est perdu.
  Je désarme mon fusil et retourne dans la 
chambre pour dormir.
  Au petit matin, ce sont des omelettes et du pain
que nous mangeons, un délice. Ils ont aussi 
apporté de la bière du beurre et de la farine. Une
odeur inhabituelle serpente entre les galeries. Le
sergent chef, surpris par cette odeur alléchante 
vint vers moi et dis,
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-    Comment sont arrivés ses deux douzaines œufs
      les canettes de bière, le pain, et la farine ici ?
-     On ne sais pas, mais on est prêt à partager chef.
-     Merci, je n'en veut pas.
  Trots fière ou peur d'être impliqué, il quitte le 
réfectoire sans se retourner, je cuis des crêpes pour
 ceux qui sont de garde dans le couvercle en 
aluminium sur le petit réchaud a gaz. Ce n'est pas 
facile le couvercle se déforme, malgré cela tout
le monde apprécie.
   A partir de là le sergent-chef me surveille plus
que tout, il doit penser que c'est moi qui est sortie
pour chercher les victuailles sans le prévenir.
   Dans la consigne écrite il est marqué que nous
devons garder la forteresse,  mais il n'est pas 
mentionné que nous devons l'occuper en continu
durant les temps de pose.
        Du mirador, la vue est imprenable. Dans les
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hautes herbes, un couple s'ébat pendant que les 
enfants cherchent des mures. Leur intentions se 
font sans gêne, ils ne peuvent nous voir. Je prends
le téléphone, tourne la manivelle pour appeler 
mes collègues. Tous ceux qui sont disponible 
viennent sur le mirador et les jumelles passent
d'une main a l'autre.
  Durant nos poses on explore les souterrains et
constatons que de nombreuse caisses en bois sont
entreposé. On peut lire, fusils, grenades, plastic,
détonateurs, munitions de toutes sortes, des obus
le tout emballé hermétiquement et disposé dans 
des galeries indépendante.
  La nuit du quatrième jours de garde commence 
pour moi. Il fait lourd a 0 heures. Je vérifie l'état
de mon fusil et de mes chargeurs avant de 
commencer mon tour de garde
  A mon poste, des bruits aigus résonnent, ça doit
être des rats qui se chamaillent. Des pipistrelles
tournois au-dessus de ma tête. certains effleurent
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mes oreilles puis disparaissent dans les galeries.
Une idée passe dans ma tête, je vide le chargeur 
de mon fusil sans faire le moindre bruit, puis le
clique à sa place. Je fais cette opération sous
la parka pour atténuer le bruit. Je vérifie si 
aucune cartouche n'est engagée. Je reprends ma
position sur la chaise devant l'entrée.
  Je patiente et attend la venue du sergent-chef
et son premier classe. Je suis certain qu'ils tentent
de me surprendre entrain de dormir. Le silence
devient maître des lieux. Tout est répétitif, comme 
les gouttelettes qui semble rebondir sur les grès des
Vosges.
    Un faible bruit réveille mes soupçons, certain que
le sergent-chef tente de me surprendre, pour cela
il se déplace seul sans le premier classe. Mais le 
rythme des ses pas m'est familier ce qui signe sa 
présence. Je reste assis sur la chaise, le fusil sur
mes jambes et prêt a l'utiliser. Il se rapproche, il 
reste 30 pas, puis 25 pas, puis 20 pas, et a 15 pas 
je me lève rapidement et pointe mon fusil dans la 
direction de l'ombre qui s'avance vers moi. Je dis
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au même moment que j'arme le fusil,
- Halte-là qui vas là ? 
  Le déclic mécanique du fusil résonne dans les 
galeries comme mes paroles. Cette réaction surprit
celui qui voulu me surprendre.
-   Ne tire pas Jean, ne tire pas c'est moi.
  Ce n'est pas ce qu'il faut dire, j'ajuste le fusil en
sa direction. Dans ce laps de temps le bruit a fait
un remue-ménage, toute la garde est au aguets. Le
sergent-chef tremble
Edmond
- Arrêt Jean c'est notre sergent-chef.
  Le sergent-chef n'arrive plus a parler le fait de
le surprendre provoque une dépression, sur son
treillis des traces d'humidité se manifeste. je baisse
mon fusil et dis,
-  Le fusil n'est pas chargé, je n'ai de cartouche 
    dans le chargeur.
  Les collègues tentent de résonner le sergent chef.
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   Le lendemain matin une jeep arrive à la forteresse,
 elle est porteuse d'une mauvaise nouvelle. La 
maman de notre sergent-chef est hospitalisé elle 
vient d'avoir une crise cardiaque dans la nuit. Ils 
sont venu le remplacer pour qu'il puisse rentrer et 
retrouver sa maman a l’hôpital. La confrontation
de cette nuit a t'elle par télépathie transporté sa 
crainte ? 
  Le sergent-chef qui le remplace est plus coule, il
n'a pas peur. Cette échange équilibre nos sentiments
et les jours qui restent se déroule sans accro.
          Septembre est bien entamé, a notre retour 
dans la caserne des hussards, elle est vide car une 
manœuvre se déroule. Pour toute l'équipe une 
permission exceptionnelle nous est accordée. J'ai
hâte de retrouver Mimi. Pendant mon absence 
du courrier est arrivée du Canada, c'est la sœur 
de Mimi qui me la envoyé. A l'appel pour la 
remise je suis fière d'être appelé. 
   Cette grande permission je la passe avec Mimi 
dans la maison où je rends service pour terminer
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les finitions de la construction.
  Nos retrouvailles remplissent nos cœurs de 
bonheur et d'une envie instinctif, celui d'être aimé
l'un par l'autre. La nuit Mimi me retrouve sur la 
pointe des pieds pour que nos corps se réchauffement.
Le consentement de l'un et de l'autre fut envoûtant,
la force des caresses se transforme en un instinct 
naturelle, cette nuit là notre folie amoureuse 
transforme Mimi en femme et moi en homme.
  La maison demande encore beaucoup d'heures
de travaux pour son aménagement. Je construis un
mur autour de terrain pour cette action il faut des
fondations. Je creuse une tranché profonde de 80 cm
et large de 40 cm pour la fondation. Ce n'est pas de 
tout repos. Je remplie cette fondation avec du béton.
La longueur a 20 mètres et est en courbe.
  J'ai avec moi le petit frère de Mimi, il a 5 ans et
aime jouer avec le tas de sable qui sert pour le béton.
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Il est plus petit que la hauteur de la fondation, 
souvent il y pénétré. Je lui fais part qu'il ne dois plus
rentrer dans cette fondation. 
   le temps passe, je le pers de vue. Je l'appelle, pas de
réponse, la bétonneuse continue de tourner. Je prends
peur et le cherche par ici et par là. Enfin, le voilà, il
est tombé dans le béton franchement coulé. Ce sable
mouvant la aspiré jusqu'au épaules, heureusement 
que sa tête ne s'est enfoncé. Je le tire tant bien que
mal de cette fâcheuse posture. Il n'y a personne 
d'autre que moi dans la maison je le garde en même
temps que je travail. Après l'avoir tiré de se sable
mouvant, je l'asperge avec le tuyau pour enlever 
le béton. La bétonneuse continue de tourner. Ouf,
j'ai eu chaud, il a failli étouffer dans se liquide 
collant.

    De retour dans la caserne, à la fin de ma permission,
 je rapporte une certaine fierté. c'est avec une allure
de vainqueur qui me met en joies, celle d'avoir eu des
relations sentimental et aussi celui d'avoir sauvé un 
enfant.
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  La fin du mois de septembre approche, les journées 
deviennent plus courtes. On nous fait l'attribution
de véhicules pour les deux mois qui suivent. Je dispose
avec un autre conducteur, d'une ambulance 4x4 
Renaud et d'un Marmont équipé de radio émetteurs, 
ce dernier n'est utilisé intentionnellement qu'en cas 
de manœuvre.

suite au 9/12



le roman est en montage des transformations
peuvent suivre.
Auteur Mutz Jean Jacques.
A ce jour, 20 03 2020, 120 142 lecteurs.
A ce jour, 16 10 2020, 132 411 lecteurs.
A ce jour, 31 05 2021, 152 838 lecteurs.
A ce jour, 04 01 2022, 164 707 lecteurs.






















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