L'appelé roman d’aventure 11/12 + 12/12

Mirage au dessus des nuages sage n 1








11/12
Reste deux mois.

155

   L'attribution de deux véhicules est donnée.
J'ai sous ma responsabilité le camion benne, et
une jeep.
  Avec le camion benne je récolte les poubelles
que deux personnes, de la prison ou des piquets
d'incendie me remplissent et faisant le tour de la
caserne. Je fais le tri et ramasse les canettes de
bières qui sont consigné. Je les rapporte par la 
suite dans les supérettes qui me donne l'argent
de la consigne. La jeep me sert a acheter de la
saucisse d'Alsace et dans les boulangeries des 
baguettes. La consigne me revient et se n'est pas 
une mauvaise affaire.

156

  Dans la chambre 4 nouveaux arrivants, 3 
appelés et un engagé que l'armée a dégradé.
Un branle bas de combat est déclenché. Une 
bonne partie des hommes de la caserne sont 
sur le pied de guerre. Pour moi, il n'est pas 
question de partir a la manœuvre, je dois 
conduire le camion benne les 5 jours de
 la semaine le matin de bonne heure, puis 
avec la jeep je fais les achats des victuailles 
pour faire les sandwiches pour la mess des 
officiers et le réfectoire des hommes de troupes .
  Un joker fait partie de notre chambre, il s'occupe
des chevaux avec le collègue qui le mois de juillet
me tenait compagnie lorsque je tentais de casser le
bloc de béton. 
  Le joker donne des cours d’équitations ce qui 
permet aux civils de diriger un cheval et le monter
correctement. les chevaux appartiennent a l'armée. 
Un manège permet d'y apprendre le franchissement
d'obstacles.

157

  J’apprends pour monter sans une selle, ce qui 
n'est pas facile avec un pur-sang, avec le poney 
la chevauché est raisonnable, on tombe de moi 
haut.
  Avec la jeep et la remorque je les aide pour le
ramassage du fumier que l'on stock dans un
coin du stade et du parcours militaire. Il y a 
plusieurs tas qui sont là depuis le mois de juillet.
   Cette accumulation prend de l'importance. Ce qui
demande que nous évacuons le fumier. Il est 
question de l'apporter à la déchetterie d'Altkirch.
Je propose de demander aux civils c'ils n'aimeraient
pas du fumier de chevaux pour leur jardin. Cette
question trouve acquéreur et plusieurs personnes
en sont intéressés. Me voilà l'après-midi sur les 
routes des alentours comme livreurs de fumiers.
Pour charger la benne, c'est a la force du poignée.
Les promenades sont sympathique car les personnes
nous reçoivent avec respect et toujours un petit 
pour boire.

158

  Nous approchons de la fin du mois de décembre.
Dans la chambre le chef nous demande de nous 
mettre d'accord pour les permissions de fin d'année
pour que la moitié de l'effectif sois présent. Je  
choisi ma permission la semaine où noël est inclus.
   La semaine de permission passe vite. Mimi a fait
un gâteau un foret noir (c'est un gâteau au chocolats
avec de la crème et des cerises) que j'apporte a ceux 
qui sont de gardent le soir de noël.
   J'arrive au réveillon et pose les paquets sous le 
sapin. J'ai emballé une cartouche de cigarettes, car
le futur beau-père aime fumer, dans du papier dorée, 
pour la maman de Mimi un petit tableau où une 
chinoise en habit traditionnelle occupe le centre
 Pour Mimi j'ai emballé un jolie réveille à remonter.
Mimi ma tricoté un pull en laine de couleur brun
chocolats avec un col-roulé. Notre joie nous comble
de bonheur.

159

  la semaine qui suit je dois la passer dans la caserne
c'est normal. Dans la chambre une personne n'a pas
pris sa permission, il est resté dans la chambre. Il 
me propose de s'occuper de mes engagements. 
J'accepte et prolonge une semaine de plus.

Suite au 12/12











160


reste un mois
  L'année 1972 commence par un froid rigoureux,
peu de personne sortent de leur habitation. Le 
retour  de l'ensemble des militaires fait augmenter
les déchets et les canettes vides. Il m'arrive de 
monter sur les hauteurs d'Altkirch a la déchetterie.
Je récolte jusqu'à 50 francs en bouteilles consigné.
en une journée. Mon revenu est assuré.
  je continu l'après-midi de livrer le fumier des 
chevaux aux personnes qui en font la demande.

161

   j'ai comme chef de bord l'engager dégradé. Pour 
charger le camion benne ce sont ceux qui sont de
corvée ou qui doivent faire un piquet d'incendie.
 Pour le vider c'est facile, il suffit de lever la benne.
Comme au paravent, les pour boire sont nombreux
 et les verres rempli de même. Des personnes nous 
offre une bouteille de schnaps fabrication maison
a chacun d'entre nous. Après chaque livraison 
l'odeur du fumier imprègne nos habiles et notre 
corps. c'est avec une douche que l'on arrive a  
changer de parfum.
  Le dégradé répugne l'armée, la haine envers elle
est grande. Il arrive que dans l'apprêt midi nous
quittons la caserne pour partir jouer au billard 
dans un café hors d'Altkirch. On utilise sa 204 
Peugeot décapotable. Je prend des risques sans
m'en rendre compte. Je me fais prendre et une 
prolongation est a envisager, pour un 
quillard tous est permis ci l'on ne se fait pas 
prendre. 

162

  Les semaines se déroulent à la vitesse grand V.
Dans cette dernière semaine d'armée, une revue
pour les libérable est faite. Notre pactage doit 
correspondre au nombres de vêtements que l'on
a obtenue a notre arrivé, seul les sous vêtements
et les serviettes nous reste. Ensuite, tous les 
libérables passent chez le coiffeur pour que sois
marqué notre séjour dans le service obligatoire
 de l'armée. Je n'ai rien contre, cela me permet
d'attendre pas mal de semaines pour passer 
chez le coiffeur dans le civil.
  Je suis enfin arrivé au bout de ma peine 
d’appelé et entame un nouveau rêve celui de mon
l'avenir. Je pense que ça a passé vite 12 mois, au 
début de cette incarnation obligatoire j'eus peur 
de tenir jusqu’à la fin la fin. 
   Dans le bureau du lieutenant on reçois les 
distinctions, sur lequel sont marqué nos réussites.
J'obtiens, tous les permis de conduire avec mention
conducteur d'élite. Cette remise de permis me 

163

donne une fierté, je ne voulais pas plus. 
  Une autre obligation nous fait passer par 
l'infirmerie le matin avant midi pour une prise de
poids et grandeur plus les reflex.
  Le dernier passage a la cantine nous pousse a 
exprimer notre libération en portant autour du 
cou une petite quille sur lequel est marqué notre 
classe et les insignes du régiments. On déclarent
 a haute voix notre score sans faire attention aux 
règlements imposé. Mais personne nous a interpellé.
Dans l'après midi on rend notre pactage bien plie et
comme au début on fait la queue. Devant nous 
certains sont renvoyé pour tenté de trouver ce qui 
leur manque. Chaque objet manquant est payable 
en journée de prolongation. Cette remarque me 
donne des doutes, ai je tous mes affaires?
  C'est mon tour, je dépose mes affaires plier 
correctement devant le magasinier. Je le regarde 
et me dis, mais cette personne je l'ai vue quelque
part je dois la connaître. Puis je dis,

164

-   Ci n'est pas au prochain concours de tir que je
     me présente, donc votre place sera devant. 
  Il entame une petite discutions et dis,
-    Bonne continuation tu aurais du t'engager car
     ton potentiel en tir est parmi les meilleurs de
     l'armé Française.
-  Merci chef, je ne suis pas fait pour l'armée.
  Il fait un signe que tous est en ordre et que rien 
ne  manque sans vérifier.
  On nous libère au conte goutte pour éviter que 
nous formons un regroupement.


 Au début de mon histoire une personne a refusé 
de porter l'uniforme, je l'ai rencontrée quelques 
années plus tard, il ma dis qu'il a dut faire deux 
années de service en civil dans une école du 
Sénégal. Il ne s'est pas plein et a apprécié le 
dépaysement.
  Le seul survivant de la voiture accidenté avec un

165

EBR je l'ai accompagné a midi au restaurant
pendant 30 ans, il est invalide a vie avec des 
séquelles   
  Celui qui c'est tiré une balle en pleine tête est
mort par la suite.
  Le maghrébin est devenu avocat a Paris.
  le Girondin travail a son compte comme menuisier.
  J'ai retrouvé le médecin militaire dans la même  
commission du CHSCT que moi, il est devenu
médecin du travail  dans le civil .
  La SHN est devenu une société prive, elle a
continué a donner des cours d'équitation.
   La caserne des hussards est devenu un
ensemble de plusieurs entreprises, une 
réussite pour la région.
  Moi, j'habite a quelques km d'Altkirch car
c'est une belle région.

FIN

le roman est en cour de construction, des 
modifications peuvent suivre.
auteur Mutz Jean Jacques.
A ce jour, 01 2019, 109 003 lecteurs 
A ce jour, 22 09 2019, 115 450 lecteurs.
A ce jour, 20 03 2020, 120 142 lecteurs.
A ce jour, 16 10 2020, 132 411 lecteurs.
A ce jour, 31 05 2021, 152 838 lecteurs.
A ce jour, 04 01 2022, 164 707 lecteurs.






Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LA SOUPE SUR L’ÎLE DE PAG ( nouvelle 33 )