l'appelé roman d'aventure 10/12

Mirage au dessus des nuages sage n 1








10/12
reste 3 mois 

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    En passant de l'ambulance, une solution vient 
à notre secoure , le jerricane accroché sur le coté du
véhicule. Il y a la 20 litres , ce qui peut permettre
de parcourir la distance restante. Oui, mais il y a
interdiction de se servir car le sergent-chef, avant 
notre départ nous a avertie qu'il est interdit de sens
servir par temps de paix. Il faut que nous rentrons
donc je vide le contenue dans l'ambulance, je verrais
bien ce qui suivra. Un profond soulagement entraîne
notre espoir, on chante sur le retour.

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  A 3 heures du matin , on franchi les portes du camp
de Bitche, ouf, notre but est attend. Les gardes nous
arrêtent ,
-   Vous faite partie de quelle section ? 
-   Des hussards d'Altkirch.
-    J'appelle votre médecin .
  A ce moment mon coeur bat la chamade, que vas 
t'il m'arriver ? Mes pensées ont égaré cette joie récolté
sur le chemin du retour.
-    C'est bon vous pouvez entrer.
  Je me dirige vers le camion-citerne de notre régiment
pour faire le plein. Je cherche le chauffeur qui dore 
et le réveille. Un peu dans les nuages il nous dit,
-   Où étiez-vous passez, ça fait du remue-ménage car
     toute la galerie c'est inquiété. 
-    Il ont mis du temps pour nous accepter un samedi
     matin, personne ne nous a pris en charge. Tu peux 
      me remplir le jerrycan en premier je l'ai utilisé de

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      peur de tomber en panne sèche.
  Le capitaine médecin de notre section vient nous 
trouver, tout ébouriffé et dit,
-      Que s'est-il passé pour avoir accumulé autant de
        retard ?
-       Mon capitaine, on a poiroté jusqu'à la fin de 
        journée, a 20 heures, pour qu'ils nous fond des
         radios et de nouveaux plâtres pour les victimes.
         Sur le retour je me suis trompé de chemin et j'ai
         fait un détour mon capitaine.
-       Mon inquiétude a moi c'est qu'un accident vous
        a bloqué. Ça me rassure de vous revoir tous.
         Bonne nuit à tous.
-        Bonne nuit mon capitaine.
  Ce fut avec hâte que je retrouve le lit.
   Le lendemain matin, après le petit déjeuné je suis 
convoqué chez le sergent-chef de notre section de 
transport. Il ne connaît pas mon aventure, pour lui
le retard est de ma faute. Il organise une revue pour

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moi le chef de bord et l'ambulance.
-      Vous avez tous les deux des cheveux un peu trots
        long.
  Il continue son inspection,
-     Vous chemises sont sale a tous les deux, je vous 
       donne 10 minutes pour qu'elles sont propre.
  Cela fait quelques jours que l'on manœuvre dans
la région, il sait que nous n'avons emmené de 
chemises de rechange. Il se dirige vers l'ambulance
regarde le niveau de l'essence et celui du jerrycan.
Il cherche de nous coincer ? 
-      Dans dix minutes vous portez des chemises
        propres, rompez.
   Ce n'est pas réalisable, les chemises lavées ne 
sécherons pas. Que faire ?  Une solution me vient à
l'idée, et si l'on retourne nos chemises, l'intérieur est
propre et une couleur plus propre il ne remarquera 
rien. Voilà la solution.

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  On retourne les chemises, mais un problème 
nous oblige de les boutonner vers l'intérieur, ce qui 
les rend invisible. Va il le voir ? 
   10 minutes passent, nous retrouvons le sergent-chef
pour nous présenter. Il nous contrôle de nouveau et 
remarque l'état des nos chemises, il n'est revient pas,
surtout l'état des cols propre ? Il regarde de nouveau
nos cols. Il ne voie pas notre astuce mais n'a pas 
remarqué que les boutonnières sont fermé à l'envers.
  Au retour dans la caserne le coiffeur ne nous a pas
épargné.
   Pour chaque manœuvre des tirs sont organisé, et les
résultats sont notés. Je  fais partie des meilleurs tireurs.
Cette remarque me permet d'avoir un fusil et un PA 
personnel pour le tir. Je règle mon fusil de troupe 
d'après ma réaction personnel aussi que la rehausse.
Pour le PA il va de même. Je suis le seul appelé qui

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se trouve sur la ligne de tir Toutes les autres personnes
sont des engagés de grade différent. Leur armements
consistent de fusils et de pistolets automatique qui sont 
autre que ceux que possèdent les appelés. certains ont 
des jumelles de visé sur les fusils et des trépieds, des 
lunettes jaunes et des gants blanc antidérapant.
  Notre entraînement dure pendant trois semaines ou
tous les matins je rejoins le champ de tir en jeep avec
un adjudant qui fait partie de la sélection.
   Je reconnais qu'avec cette entraînement ma précision
devient plus précise. A 200 mètres je place mes 5 
impactes dans un carré de 20 sur 20 cm. Pour le PA se
sont 10 coups mortels sur 10 à 50 mètres. 
   Ces performances me donnent une valeur auprès des
supérieurs qui sympathisent avec moi.
   Vient le moment du concours final. L'on commence
par un tir couché a 200 mètres sur cible avec un fusil.

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On est deux rangés de 10 sélectionnés sur la pas de 
tir de gauche et 10 sur le pas de tir de droite. Le plus
haut gradé est un commandant, puis 2 lieutenants et
suit une ribambelle d'adjudants et de sergent tous 
des engagés.
   Le départ officiel pour le tir est donné. On est couché
a terre. Je concentre ma ligne de mire sur le centre de 
la cible, coupe ma respiration, après avoir engagé la
première cartouche puis je touche la gâchette et fais
suivre les cinq coups dans leur objective. Je le lève et
regarde sur les autres tireurs resté à terre en train
d'ajuster leur tir.
  Je viens de tirer un peut trop vite, mais cette réaction
est le fruit de la fierté que je porte comme simple appelé
sans grade. Je me sens perdants en regardant faire les
autres qui affine leur actes. La cadence de mon tir est
certainement trop rapide ? 
  Il faut a certains 10 minutes pour parvenir à terminer
leur tir. J'ai soldé mon objectif en l'espace de même
pas deux minutes avec un fusil des hommes de troupe.

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Les résultats sont donnés, le premier tireur c'est le 
commandant et les seconds sont deux, moi et un 
lieutenant. Je n'en revient pas. 
  Dans tous les lieux de rencontre de la caserne le 
résultat est affiché. Je suis fière que mon nom y 
figure et que je représente le meilleur tireur des 
appelés.
  A la fin du mois une nouvelle manœuvre éclaire
est lancé. Je reprends le Marmont avec toutes les
radios et stationne sur les Hauteurs de Belfort. Les
mêmes haut gradé sont après des radios et 
communiquent avec d'autres. Heureusement que le 
Marmont doit tourner pour recharger les batteries 
du véhicule et le garder au chaud, par contre pour 
les radios un groupe produit du courant. Comme 
d'habitude ce sont des Russes qui nous agressent.
  Je reste blotti dans la cabine, il fait un froid 

JJM

Suite au 11/12


le roman est en cour de montage des modifications peuvent
suivre
Auteur Jean Jacques Mutz.
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