l'appelé roman aventure 7/12

Mirage au dessus des nuages sage n 1
7/12









reste 6 mois

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               A la fin de chaque deuxième mois

l'attribution des véhicules se fait. On nous attribut 

deux véhicules différents qui sont sous notre 
responsabilité. Je prends en charge un camion 
Renaud 4x4 de 3,5 T et qui me sert a chercher
les victuailles tôt le matin sur le marcher de 
Mulhouse. En plus on m'attribue le camion-citerne 
qui s'utilise qu'en temps de manœuvre.
   Je pars trois fois par semaine au marché de 
Mulhouse avec un lieutenant responsable des achats
pour  la messe des officiers et pour la cantine des soldats.

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   L'importance des achats, pour une cantine de 
1000 soldats est volumineux. Cela me donne un plus 
auprès des commerçants qui m'offrent des cartons
de yaourts, des coupes de fromages de toutes sorte, et 
des noies de beurre. Je n'oublie pas ceux qui me font
part de cageots de pommes, de poires, d'oranges et de 
bananes. Je ne suis pas le seul a faire des achats, d'autres
collègues partent sur le marchés d'Altkirch.
A notre retour, nous faisons la distribution entre les 
occupant de la chambrées. Une bonne ambiance règne 
dans notre chambre, notre coordination est 
synchronisée comme une horloge, un pour tous et tous 
pour un.
  Le lieutenant responsable des achats est très 
sympathique. Mon véhicule 4x4 Renauld a des fuites
 d'eau sur le radiateur. Chaque matin, je suis obligé de 
rajouter 3 litres d'eau. J'ai faut un rapport sur cette 
anomalie au garage du premier échelon, mais ceux 
qui ci trouvent ne trouvent rien ou ne veulent y 
toucher. l'ambition de la réparation s'en est allé 
même Alfred, non camarade n'a plus la pêche.

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    Un matin j'oublie de faire le rajout, une chaleur 
matinal d'été, fait monter la température au retour 
du marché de Mulhouse. La lumière rouge du 
tableau de bord s'allume et une vapeur s'échappe du 
capots. Me voilà dans de beaux draps. Je sais que l'on
 risque une panne et je sais comment la réparer, mais 
ce n'est plus ma fonction. Une station de carburant 
se trouve sur notre route et le lieutenant part chercher 
de l'eau pour la rajouter. L' histoire se termine sans
 qu'un rapport fût établi. J'ai eu chaud
cela m'aurais coûte une blâme pour mon permis de 
conduire et une série de piquets d'incendie.
   Ce lieutenant est un amateur de champignon, je
lui indique un emplacement où on peut en trouver.
Je me suis pas connaisseur et les avais découverts en 
se promenant dans la foret avec Mimi. Après avoir 
décharger le véhicule, nous roulons dans les chemins
 de la foret où se trouve les champignons. 
    Effectivement il y en a, mais ces champignons ne 
sont pas comestibles. Au fond de moi, je me suis dit
que je viens de faire une gaffe. Je lui explique,
-   Vous savez mon lieutenant je ne suis pas 
     connaisseur

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  Il ne m'en voulais pas heureusement pour moi.
    On possède une télévision dans notre chambre,
mais elle ne fonctionne. Je n'y prête mon attention,
 comme je pars a chaque possibilité cette distraction
m'importe peu. Les 
appelés qui restent en fin de semaine me demande 
ci je connais un réparateur dans la région. Pas de
problème, bien sûr que je sais où se trouve un
réparateur dans Altkirch il suffit de lui apporter la 
télévision.
  Je me suis renseigné auparavant chez le réparateur.
Je peux sortir avec mon 4x4 Renaud comme
bon me semble le piquet de garde me laisse passer 
sans un contrôle, du moment qu'un chef de bord se
trouve à mes côtés.
   Plusieurs volontaires se proposent. Toute la 
chambrée veut prêter main forte. Après un trie,  
4 personnes se trouvent dans le plateau fermé d'une 
bâche et une autre comme chef de bord . 

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   On arrive au poste de garde, comme de coutume je 
 passer sans jeter un coup d’œil a l'arrière du plateau. 
La barrière s'ouvre et en route sur Altkirch. Je 
stationné le 4x4 devant le réparateur, 6 personnes en
sortent et entre dans le magasin avec la télévision. Le 
petit local est remplit, il n'y a plus de place.
On demande l'avis au technicien et la somme a 
débourser ? Le techniciens emporte la télévision dans
son atelier et nous dit de patienter. Il revient 10
minutes plus tard et dit qu'une somme de 160 
francs est nécessaire. Une nouvelle télévision de 
la même taille vaux 1000 francs. Nous concluons de 
demander l'avis des autres camarade de la 
chambrée. La télévision reste chez le réparateur
et nous retournons chez les hussards. Avec l'avis
de tous, nous concluons de partager les frais. 
2 jours plus tard on recherche la télévision avec
d'autres camarades. Pour la décharger du 4x4 
il faire le placer en marche arrière et

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passer la télévision par la fenêtre pour que 
personne ne remarque notre manipulation 
comme on la fait pour l'emmener.
  Nous la plaçons et la mettons en fonction. 
magnifique elle fonctionne. je dis,
-    on c'en est bien sortie, il nous a demandé
     que 50 francs, il a fait un geste pour nous les
     appelés.
  Une personne qui m'a accompagné, sort de sa
poche une poignée de piles pour la radio. En plus 
il dit,
-   avec des piles que j'ai embarquées on s'en sort 
    bien.
  Je n'est rien remarqué lorsqu'il a pris les
piles, je ne suis pas fière.
  Mes rencontres le soir avec Mimi renforce notre 
union. Depuis qu'elle habite à 7 km je ne retourne
plus sur Mulhouse. Pendant les permissions je 
dors dans la maison des parents de Mimi. Comme
il y a un couloir spacieux, je dore dans le couloir 

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sur un canapé lit qui y est installé.
  lorsque la nuit est profonde et que les rêves 
endorment ceux qui ont sommeille, l'amour 
rassemble ceux qui s'aiment. Mimi me retrouve 
dans le couloir.  la promesse donné est de ne 
consommer que lorsque l'on est marier. Ce ne
sont que nos caresses sages qui nous inondent
d'amour. A chaque retour dans le quartier des
hussards je fertilise ma fierté d'être aimé.
   Dans la chambrée, un nouveau arrivé, un 
chauffeur attitré au lieutenant-colonel est
parmi nous. Le lieutenant-colonel habite dans
un petit château de la région. Le chef de 
chambré vient le trouver et lui dit devant nous,
-   Le lieutenant-colonel à oublié son journal, 
    il faut le récupérer dans le château et le 
    demander à sa femme. Mais quand il 
    rencontre madame la colonel, il faut dire
    en premier, mes hommages madame la
    colonel, j'aimerai le journal que le lieutenant
     colonel eut oublier.
  Il hoche la tête en signe d'avoir bien comprit.

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Il revient avec dans sa main, le journal et en
 plus un fromage bien emballé. Au repas de 
midi il nous explique son aventure,
-   J'ai fait comme on me la dit, j'ai demandé
     du fromage et le journal a madame la 
      lieutenant-colonel.
  Toute la chambrée se met a rire.
   Depuis que nous pouvons regarder des 
programmes sur la télévision nos apprêt midi 
change, on peu regarder des films sans l'avis 
de nos supérieures. Pour passer inaperçu dans
 la chambre, nous laissons la fenêtre entrouverte
pour que nous pouvons y entrer. Il n'y a plus 
de grand effort a l'air de lavage, les programmes
nous on rendu dépendant.
  Un après-midi une revue de chambre est faite.
Notre porte d'entrée est fermée à clé de 
l'intérieur. Le sergent chef qui dois faire la visite
insiste sur la porte et remarque qu'elle est fermée
de l'intérieur la clé est resté dessus.

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-    Ouvrez la porte, c'est un contrôle.
  Sauve qui peut, toute la chambré saute par la
fenêtre et l'on se dirige vers notre aire de lavage
où se trouvent les véhicules. Notre peur nous 
joue des tours, on a même oublié d'éteindre la 
télévision et de prendre la clé de la porte. Sur 
l'air de lavage on décide de désigner un 
volontaire pour retourner dans la chambre et
éteindre la télévision en plus récupérer la clé.
On est deux, un camarade des deux Sèvres et moi
qui retournons dans la chambre par la fenêtre.
Je cherche la clé pendant que mon camarade
éteint la télévision. J'ouvre la porte et par trouver
le sergent-chef. Celui-ci est a l'air de lavage pour 
contrôler les personnes présente. Nous arrivons 
juste a ce moment. Il regroupe la chambrée puis
demande,
-   Les quels d'entre vous sont resté dans la 
    chambre?

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  Dans ma tête je pense à ceux qui n'ont pas 
l'occasion de rentrer régulièrement dans leur 
foyer et me présent. Le collègue de deux Sèvres
en fait autant, un troisième se rajoute, c'est celui 
qui eut vidé le rayon de piles. Tous les 3 on se 
retrouvent dans  le bureau de celui qui vient de
faire le rapport. Je me présente et lui remet la clé
et dis,
-   Je l'avais oublié dans ma poche, chef
-    Mais vous étiez pas mal de personnes d'apprêt 
      le bruit?
-     On jouait aux cartes.
Il me regarde d'un air souriant et dit,
-    Mais on ne joue pas aux cartes avec un raffut
      pareil.
Il nous sourit,
-    Je ne peux pas laisser passer cette négligence
     pour tous les trois.
  Le raffut provenait du film où les romanches
firent une bataille. je ne souffle un mot.

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-  J'ai devant moi trois consignés pour une 
   semaine de garde aussi bien le samedi et le 
   dimanche.
  En informant nos collègues, une résolution 
est prise, un pour tous et tous pour les uns. Comme
les noms sont sur les treillis il est faciles de
 changer la personne.
   Je fais une garde de nuit, de 2 heures du matin
à 4 heures. Cette garde consiste de garder les 
réserves de combustibles et les camions dans les 
hangars. Je fais quelque pas entre l'air de lavage,
les réserves de carburants et les hangars des 
véhicules. Quant la nuit est calme et que l'on 
monte la garde, le moindre bruit me met a l’affût.
Sur le fusil une baïonnette est monté et on dispose
d'un chargeur de 5 balles, oui, mais ces cartouches
son enveloppé dans du tissus. Il est impossible de 
tirer. 2 heures ce n'est pas long, mais dans la nuit
sans un bruit, on croit à l'infini. Sur mes oreilles
j'ai des écouteurs pour une petite radio qui émet 

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de la musique route la nuit, les routiers y sont 
 branché. A cet instant, un routier demande de 
l'aide pour résoudre une panne sur son camion.
je lui aurai dit ce qu'il faut faire mais, je n'ai pas
de téléphone et les écoute patiemment.
   Un bruit de frottement de cailloux me rappelle
celui des pas. Je reste en position de garde mais 
fait comme si rien n'était. Une ombre tente de me
surprendre, je cris
-   Halte là qui vas là?
  Cette personne se rapproche de moi.
-    halte là ou je fais feu ?
  La personne en treillis me dit,
-    Tu n'as pas de cartouche dans ton fusil, les
      balles <sont cousues.
aussi sec je réponds,
-    Approche encore un pas et tu verras, qui te
     dit que je n'ai pas gradé des balles du stand de
      tir ?
  Le soldat reste au pas, je m'approche de lui la

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baïonnette pointé vers lui.
-   Le mot de passe,
-    Compliment.
je lui réponds,
-     parfait. Tu as eu de la chance car je ne 
      t'aurais pas loupé.
-     Mais as tu des cartouches ?
-     Pas du tout, en premier je t'assomme pour
      que tu ne souffres pas, ensuite je te pointe
      en plein coeur avec la baïonnette.
  Au courant
fait les restant des consignes a moi et mes 2 
autres collègues.
  Dans notre chambre l'armurier occupe un lit
mais ce n'est pas souvent qu'il dort dans la 
chambre. Il reste seul dans l'armurerie et y 
dore. Quant c'est l'heure du repas nous le
remplaçons à tour de rôle. Il vient des Vosges
et nous raconte qu'il est triste car sa copine la
quitté. Son moral est bien bas, ce soir-là, il 

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tente de se suicider avec un pistolet.
  On ne sait pas la suite, aucun signe sur sa 
santé, tout est caché.
  Il est remplacé par un nouveau, un peut 
timide et qui passe son temps a faire de la 
broderie. Un peut timide, il nous fait part qu'il
est malheureux car il ne trouve de femme.
 Nous lui apportons un journal régional où
des rencontres sont possible. Sans tarder il 
écrit au journal pour recevoir des informations
sur la jeune femme qui y figure en photo. Une
lettre arrive avec les coordonnées de la société
patrimoniale et une facture salée qui précise le
mondant de cette rencontre. La somme dépasse
celui des revenus d'un appelé. Il n'y répondit 
et ne s'y engage pas. Quelques jours plus tard, 
une lettre d'huissier vient l'intimider, l'huissier
lui impose cette somme d'une manière 
agressive et décourageante. le voilà dans de 
beau draps. Il faut trouver une solution pas

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que lui aussi ne fait une tentative de suicide.
On décide de contacter le lieutenant-colonel
par l’intermédiaire du chauffeur qui se trouve
dans notre chambre.
   Un autre appelé vient dans notre chambre.
Il est un peu plus aisé que nous tous et nous
demande, 
-   Y a-t-il une personne qui veut faire son lit
     chaque jours, il sera payé ?
  Tout le monde se regarde, notre étonnement est,
comme  figée sur un acte qui n'est pas à notre
portée, être le plus riche des pauvres c'est obliger
le plus pauvre a accepter les ordres du plus riche.
Doit-on accepter cette offre ? 
  L'union fait avec la force son bon résonnement ,
ensemble on lui explique que toute la chambrée 
doit faire son service sans passer par les avantages 
financier.
  Personne ne lui fait son lit comme convenu.
la fin du mois d’août est là.



suite au 8/12




le roman est en cour de construction, des
changements peuvent suivre
auteur Mutz Jean Jacques
A ce jour, 22 09 2019, 115 450 lecteurs.
A ce jour, 20 03 2020, 120 142 lecteurs.
A ce jour, 16 10 2020, 132 411 lecteurs.
A ce jour, 31 05 2021, 152 838 lecteurs.
A ce jour, 04 01 2022, 164 707 lecteurs.




























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