roman 8/10 ( Le printemps d'un homme et d'une femme)

Mirage au dessus des nuages sage n 1












101



Le printemps d'un homme et d'une femme.


   Un mois plus tard au moment où je travail 
sur un tableau de marqueterie, qui représente 
un château, le téléphone sonne. Je regarde 
qui cela pourrait bien être ? C'est Véronique 
qui m'appelle, je décroche et rapidement , 
une voix enchanté, me dis,
-   Bonjour Marc, j'ai récolté des nouvelles de 
    Cécile.
   Cette réponse réconfortante provoque un 
    sursaut . 
-  Bonjour Véronique, tous se passent bien 
    chez toi ? d’après ta voix et ton humeur 
    tes paroles me vont droit au coeur, es tu 
    en bonne santé ? Tu sais cela ma intrigué
   de n'avoir plus de nouvelle de toi depuis 
    un mois.

102

-   Je m'en suis douté, mais mon enquête ne 
     fut aussi facile que cela; Marc , car du coté 
     de Cécile je suis tombé sur son mari pas 
     très commode. Je lui eu demandé ci Cécile 
     fut là pour que je puisse lui parler.  Cela 
     ne lui a pas plus , il voulais en connaître la 
     raison et le sujet précis de ma requête. Le 
     mot Cabinet de Notaire sur le téléphone a 
     dut l'intriguer ? Puis il ma demandé ce je 
     pouvais lui préciser le sujet notariale 
     concernant  ma recherches. Je me suis 
     abstenue de donner des précisions mais 
     lui ai fait part que l’importance de mes
     recherches ne peut concerner que sa 
     femme Cécile. Son mari me fit comprendre 
     que sans son consentement sa femme ne 
     peut engager de suite a mon appelle. J'ai
     répété mes appelles a plusieurs reprises 
     dans l’espoir de pouvoir la contacter 
     personnellement. Un jour, un de ses enfants 

103

     eut décroché le téléphone. Elle me fit 
     comprendre que ses parents sont absent. 
     Je lui explique que je dois parler qu'a sa 
     maman et que c'est important, seule elle a 
     le droit de connaître l'enjeu de ma 
      recherche. L'enfant, une fille, se mit 
     d'accord pour que sa maman Cécile me 
     rappelle a mon cabinet de Notaire a Ferrette 
     avec le téléphone de sa voisine car son 
     père ne veut pas que sa maman Cécile 
     touche le téléphone. Le jour suivant je reçois 
     l'appelle de Cécile qui provenais de sa 
     voisine. Je me présente a elle et lui explique 
     que j'ai laissé faire des recherches au USA 
     pour retrouver mes parents car je suis une 
     enfant placé sous X . C'est grâce a cette 
      technologie américaine que j'ai retrouvé 
      mes parents et leur adresses. Sur le moment 
     Cécile crue en un canulars, puis un vide se
     fit, suivi des pleurs de joies. Je lui est fait 

104

     écouter une partie de mon enregistrement 
     elle eut reconnu ta voix  Marc. Ce moment 
     fut grandiose pour elle comme pour moi. 
     Puis elle a craqué et me précise qu'elle eut 
     une enfant fille qu'elle dut placer sous X 
     suite aux pressions des bonnes sœurs qui 
     l'on baptisé et lui on donné un nom que Cécile 
     ne connaît pas. L'enfant fut placé dans une 
     famille de la région de Ferrette.
  Je suis surpris par cette annonce et ressent 
en moi un bonheur retrouvé et une peine en 
même temps. Rien que de savoir que Cécile 
se trouve en vie, réveille ce fluide amoureux de
jadis.
-   Ma curiosité n'a de limite, j'aimerais savoir 
     ci Cécile ne ma pas oublié ?
-   Ma mère Cécile ne t'a pas oublié Marc, au 
     contraire le fait de savoir que tu es en vie 
     l'encourage aussi.
-   Je suis surprit par cette réponse, mais pour

105 

    quelle  raison a telle pensé que je ne suis 
    plus en vie ?
-   Ton beau frère  lui a fait croire cette histoire. 
-    Je n'en reviens pas Véronique, que lui a ton 
     dit au juste ? Serais se ça la raison qu'elle 
     disparue de ma vie ?
-    Cécile explique dans l'enregistrement que 
      j'ai fait ce qui la obligé d’agir de la sorte, 
      Marc, qu'en penses-tu ci je te la fait écouter ?
-    Véronique, le faire passer sur un téléphone 
      c'est le distribuer au grand jour, je 
      préférerais l’entendre avec toi ci tu le veux 
      et en même temps faire ta connaissance 
      car maintenant tu sais que ce fut notre 
      amour qui a permis de te crée. 
-    Je suis prête a faire ta connaissance Marc 
      et a réécouter l'enregistrement que ma 
      mère Cécile ma donné. 
-    Où pourrais je te trouver Véronique ?
-    Tout simplement a l'endroit de la rue de 

106

     Lucelle a Ferrette au croisement du 
     chemin qui mène au chalet anciennement 
     la maison des bonnes sœurs de la DDASS.
-    Et quel jour Marc ?
-    Un samedi après midi dans deux semaines 
      a 14 heures.
-    Entendu Véronique, je serais a notre 
     rendez-vous.
  Ce jour là je me suis trouvé a l'emplacement 
convenu, ma joie est grande surtout de 
retrouver cette fille que Cécile et moi avions 
fait avec amour. Je connais Véronique par
sa photo qui se trouve en tête de ligne sur 
chaque message.
Mais une photos reste inerte, pouvoir 
dialoguer avec elle c'est vivre ce que l'on 
aurait aimé dans le passé. Une question trouble 
mes pensées, serait elle en rogne contre
moi et sa mère Cécile de l'avoir abandonné ? 

107

Ou le fait elle pour combler un vide maternelle 
dans son coeur ?
  J'ai personnellement deux enfants, une fille 
et un garçon devenu grand mais un peu plus 
jeune que Véronique, je leur eut accordé toute 
mon attention et affection ainsi que mes 
loisirs pour qu'ils puissent suivre le droit 
chemin.
  Pour cette fille que je vais découvrir il me 
manque l'envie de partager toute l'affection 
que je n'ai su lui donner. Pourtant une autre 
famille eut partager a ma place cette affection . 
Certainement que cette famille , plus instruite
que moi, lui eut donné un savoir supérieur ? 
  Sur la route qui mène a Ferrette, je suis 
passé dans la  clairière où nos relations 
trouvaient l'amour et les intentions de notre 
union.  Les sentiments reviennent et mon 
coeur rajeunie. Un rayonnement embellie mon 
visage je ne suis plus le même quelque chose 

108

a changé. C'est dans le rétroviseur de la 2 
chevaux bleu que je découvre se changement . 
J'eus tiré la toile du toit pour en faire une 
décapotable. Le peu de cheveux qu'il me 
reste se sont emmêlé, je n'ai rien pour me 
coiffer, je ne suis pas présentable.















109

  Une voiture rouge stationne a mes cotés, 
des vacanciers la regarde pour la 
photographier. Je suis un peu curieux et a 
mon tour j'en fais le tour.
   Véronique n'est pas au point de notre 
rendez-vous,  je doute qu'elle ne vienne 
certainement qu'elle a renoncé ou un 
empêchement la retenue ?  
   Je tourne autour de la voiture rouge et 
cherche a oublier le rendez-vous. Je tente 
de comparer l'heure de la voiture rouge et 
de ma montre.  La mienne retarde de 15 
minutes, est ce possible ? 
   Donc Véronique fut la avant moi et 
comme j'ai du retard elle eut douté de ma 
venu et est repartie.
  Je suis déçus de ma personne  mais je 
reste un petit moment, qui sais, elle va 
revenir ? 
   Une jeune femme bien habillé au cheveux 

110

long et châtain m'observe de loin. Je ne l'ai 
pas remarqué sur le moment mais quant 
elle m'appelle et me dit a haute voix,
-  Marc je suis là c'est Véronique.
  Je me rapproche d'elle et mon coeur 
virevolte de mille bonheur. Véronique 
avance en même temps que moi. Puis on se 
fait la bisse comme de 
vrais amis habitué. Des larmes inondent les 
joues de Véronique, moi je reste sec et 
laisse couler mon bonheur dans le fond de 
mon coeur.
non pas de peine mais de joie.
-   Je suis enchanté de te rencontrer 
    Véronique, tu ressembles a ta mère 
     comme un reflet.
-    Merci Marc, tu a toute les valeurs d'un 
     père et  surtout d’être venu . Je ne 
      pensais pas que tu veux me rencontrer 
      car le retard m'a déstabilisé.

111

-    Je suis émus et m'excuse pour mon 
     retard, mais reconnais que je suis 
     enchanté pour toutes les démarches que 
      tu as faite Véronique car je suis ravi
     autant que ta mère Cécile.
-    Marc, il y a trots de monde par ici,  
     allons sur le parking qui se trouve au 
     pied du château de Ferrette car le 
     chemin pour monter au sommet n'est 
     plus  accessible en voiture.
  Véronique prend sa voiture rouge et moi 
je la suis. Nous stationnons sur le parking 
prévu. 
  Avec son lecteur de CD Véronique et moi 
nous empruntons le chemin qui mène
au Château. Devant nous la ville de Ferrette 
étale ses maisons qui ont augmenté depuis 
ma dernière visite. Sur le banc, du belvédère 
Véronique me fait écouter l'enregistrement 
du CD. Une voix connu réveille en moi 

112

des pensées sentimentale. A peine que 
Cécile commence a parler, des promeneurs 
interrompent  notre écoute.
-  Bonjour madame Véronique.
-   Bonjour messieurs dames .
-   Pourrais ont avoir un rendez-vous dans 
     votre cabinet ?
-   Appelez moi sur le téléphone lundi matin 
    pour enregistrer votre demande et 
    consulter mon argentas.
-   Merci madame la notaire et bonne 
    journée. 
  Véronique me regarde d'un air un peu 
intimidé, puis elle me dit,
-   Je crois Marc que cet endroit ne convient 
     pas a l'écoute de l'enregistrement, allons 
     faire la connaissance de mes parents 
    adoptif , je n'habite pas loin on sera plus 
    tranquille car ici il y a trots de personnes 
    qui passent.

113

   Nous redescendons du château et 
plusieurs personnes nous salut avec respect.
Nous leur rendons poliment. Nous en route 
pour  Sondersdorf.
  On arrive devant l'entrée grande ouverte 
de la cour qui donne sur une spacieuse 
maison de maître. Un chien vient a notre 
rencontre pendant que la troisième porte 
de garage s'ouvre automatiquement. Je 
suis épaté et gare ma voiture sur le coté. 
Une dame au grand âge arrive,
-   Bonjour monsieur, je suis enchanté de 
    faire votre connaissance, je suis 
    Marguerite la maman adoptif de 
    Véronique. 
-   Bonjour madame, je suis Marc , le père 
    de Véronique que j’aurais aimé connaître 
    depuis sa naissance. Connaissez
    vous les raisons qui nous ont séparé ? 
-   Oui monsieur Marc, on a écouté 

114

    l'enregistrement. C'est mon mari et moi 
    qui l'eurent soutenu et conseillé dans ses 
    démarches. En écoutant votre témoignage 
    et celui de sa maman l'on c'est rendu 
    compte que les pratiques de l'époque 
    étaient intentionnelle. Comme nous ne 
   pouvions avoir d'enfant, le médecin 
    monsieur Miller avec l’accord des bonnes 
    sœurs nous ont dirigé vers l’adoption de 
    Véronique. Par la suite on a fait que 
   Véronique hérite de notre bien et du 
    cabinet de Notaire. Pour qu'elle hérite 
    de tout le bien elle a dut prendre notre 
    nom de famille.
  Marguerite m'explique cela sur le parcours en
 se dirigeant vers l'habitation. Elle parle comme
pour se défendre d'une éventuelle accusation.
Véronique marche a coté de nous et le chien 
frotte sa tête contre mes genoux pour me faire
comprendre que je suis le bien venu. Je suis

115

entrain de découvrir intolérance de l'époque
et dis ,
-     Je suis étourdie par l'ensemble de ce que
       vous m'apprenez madame Marguerite. Je
       trouve dans votre initiative de bonne 
      intentions, je ne vous en veux pas au 
      contraire et je suis ravie de retrouver 
      Véronique vivante et en bonne mains. A 
     l’époque j'eus du mal a supporter la 
     disparition de Cécile et de notre enfant 
     durant tout mon service militaire dans la 
     région a Altkirch. Je n'en reviens pas et
     suis tout ému. Ma curiosité et l'amour que
     je porte pour Cécile renaît. Mon impatience
     de pouvoir la retrouver .
-    Rentrez monsieur Marc, je vous présente mon
     mari qui se déplace dans une chaise roulante.
-    Oui madame Marguerite je vous suit votre 
     invitation.
   Me voilà dans une grande salle de réception où

116

une grande table en chêne occupe le centre. Huit
chaises capitonnés l'entourent. Sur la table un 
magnifique bouquet de fleurs occupe un vase 
en verre coloré, certainement qu'il provient de 
la cristallerie de Baccarat dans les Vosges ? Le 
chien nous a suivit, il m'apporte sa balle pour
que je joue avec lui. Je reste debout, Véronique 
me présente,
-  Voila mon vrai père, il s'appelle Marc.
  Le père adoptif me regarde sympathiquement 
puis me dit, 
-  Bonjour monsieur Marc, je suis enchante de 
   faire votre connaissance.
-   Bonjour monsieur le notaire.
-   Appelé moi Serge, Marc et prenez place où
    bon vous semble. Je prend de l'âge et mes 
    réactions ne sont plus aussi réactif. Je vous 
    raconte pour quel raison nous décidions de
    faire des recherches et le pourquoi. Un 
    jour de printemps une personne est venu se

117

    présenter dans notre cabinet de notaire au 
    début de l'année. Elle nous demanda ce 
    qu'est devenu que l'on a adopté en 1971 ?
    Je suis resté perplexe sur le coup et me suis 
   demandé ci c'était elle la maman de notre 
   fille, Véronique ? Je continuais de l'écouter
   et une intrigue  prit naissance en moi. Serais
   ce la vraie maman de Véronique ? Je continua
   de l'écouter. Elle me dit qu'elle eut séjourné
   de 1960 a 1970 dans l'orphelinat des bonnes 
   sœurs de Ferrette et qu'elle recherche la mère
   de cet enfant. Elle s'appelle Stéphanie et a fait 
   une fugue avec le pâtissier de la boulangerie
   de Ferrette vers les USA. Sa copine lui est 
   très chère, comme elle est venu en vacance
   dans la région elle aimerais avoir l'ADN de 
   notre fille adoptif ci elle veux bien car au USA
  il est possible de retrouver les parents ce 
  qu'elle aimerait entreprendre. Ce qu'elle nous
 eut révélé me parut étrange ? Je l'eus questionné

118

 comment se fait il qu'elle sut que nous l’eûmes
 adopté ?  Elle nous répondit qu'elle eut recopier
  toutes les adresses des personnes qui se sont
  proposé pour adopter un enfants d'une fille 
  mère. Les meneurs sont le docteur Miller maire
  de Ferrette et la sœur responsable de la DDASS
  qui géraient cela. Le docteur trouvais dans 
 cette combine des électeurs et la bonne sœur
 fit d’après elle une bonne action. Les bonnes 
  sœurs n'avaient rien a se reprocher  elles 
  montraient aux filles comment cacher une 
  grossesse le plus longtemps possible et avant
  de mettre au monde elles les mutaient dans des
  familles accueilles dispatcher autour de 
  l’orphelinat puis les filles mère accouchaient 
  dans les hôpitaux sous X sans donner de prénom.
  Les bonnes sœurs avaient des relations avec 
  des familles maghrébine dans le sud de la France
  là, elles les envoyaient pour que les filles mère
  puissent marier un maghrébin, par cet action 

119

  le maghrébin obtient la nationalité Française. 
  Cette échange pouvais se faire par une sorte 
  de chantage car les bonnes sœurs faisaient 
  peur aux filles mère en les menaçant de les 
  envoyer dans des maisons de redressement.
  Toutes les filles mère prévue pour un mariage 
   avec un maghrébin devaient mimé d’être vierge.
   Pour cela elles eurent comme consigne d'avoir 
   des relations avec l'élu du mariage le jour où 
   des traces de leur règles font  croire qu'elle 
   ont leur  premier rapport. Cette explication 
   nous eut donné l'envie d'entamer des 
   recherches avec l'ADN de Véronique pour
   retrouver ses vrais parents. C'est pratique 
   n'est pas reconnu en France.
  Monsieur Serge a du mal a continuer ses 
explications, il a besoin de souffler un peu car
après avoir déchargé se qu'il avait sur le coeur, 
une fatigue le domina. Je lui dis ,
-    Monsieur Serge, je vous remercie pour vos 

120

     recherches, je suis enchanté se retrouver ma
     fille qui m'était inconnue. Sans cette recherche
     et votre accord a tous nous aurions retrouvé 
    nos trace.
-    Oui Serge, repose toi monsieur Marc a raison
     tu as libéré le poids qui se trouvait dans ton 
     coeur.
  Après cette remarque Véronique se lève pour 
chercher des verres sur un plateau. Marguerite
apporte un kouglof, une sorte de brioche ronde
qu'elle place sur la table. Il doit être frais car un 
parfum d'amandes chauffé émet son odeur. Elles 
sont bronzé et brillante car Marguerite vient de le
poudrer d'un filet de sucre. On dirais qu'un peu de
neige le caresse. Véronique demande,
-  Que peut on te servir Marc ?
-  Je prend un verre de Gewurztraminer.
-   Et toi Serge ?
-   Oui c'est une bonne idée, je prend aussi un verre
    de Gewurztraminer.

121

-   Et toi Marguerite ?
-   Le vin blanc n'est pas ma boisson préféré, sert 
    moi un thé Véronique.
-   Je fais comme toi Marguerite, je vais chercher de
   l'eau chaude.
-    Reste la Véronique, je m'occupe de la suite.
  Plus personne ne parle, un vide se fait. Le chien 
reste couché a mes pieds.

 suite au 9/10  

Le roman est en cour de construction, des changements
peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce 
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les 
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.




Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LA SOUPE SUR L’ÎLE DE PAG ( nouvelle 33 )