roman 5/10 Le printemps d'un homme et d'une femme

Mirage au dessus des nuages sage n 1














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Le printemps d'un homme 

      et d'une femme 

  On discute de l'avenir comme pour mettre en
place un future prometteur. Ma tente me 
demande,
 -   Quant allez vous vous marier ?
-    Cécile aura ses 21 ans dans 8 mois, c'est a 
      partir de là que les bonnes sœurs lui 
      accorderont le droit.
-     Mais toi Marc tu n'as que tes 21 ans 
      dans 20 mois, t’accorderont ils le droit de 
      marier Cécile ? 
-    On fera notre possible, ma sœur a bien 
      eut le droit d'épouser Pierrot.
-    Certainement que tes parents ont donné le 
     consentement Marc.

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  Mon ongle est ravie d’apprendre cela, il me 
dit d'un air pleine de joie,
-   Pour ton mariage je te ferais part d'une 
    chambre a couché. Quant penses tu Marc ?
-   Tu as le cœur sous la main, je te remercie 
     mon ongle.
  Cécile écoute avec attention et dit,
-    C'est bien d'avoir une famille prête a 
      s'entraider, je n'ai que mon frère et ma mère
      qui pourraient soutenir mon mariage.
-     Ce n'est pas grave Cécile, j'ai de quoi acheter
       tous ce qu'il faut pour fonder un foyer. J'ai 
       réussie a faire fructifier mon argent. 
  Ce soir là nous dormons chez mon ongle sur le 
canapé lit. Quelle bonheur, l'amour a des ondes
bénéfique car nous évoquons le bien de se 
mélanger comme un besoin de manger. On dit
que l'on peut vivre d'amour et d'eau fraîche
voila la raison de nos intentions qui dépassent
celui des obligations imposé par les bonne soeurs
de la DDASS

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  Le dimanche je raccompagne Cécile a Ferrette
dans le chalet des bonne sœurs. Lorsque nous 
passons prêt de la foret où se trouve la clairière
une halte s'impose. Ce lieu devient notre chez
sois. De caresses en relations notre unions 
gonfle nos sentiments.
   La semaine se passe, mon ongle me fait savoir
que ma candidature est accepté, je peux commencer 
comme conducteur de ligne dans l'industrie 
automobile. Cette semaine là, ma sœur me fait 
savoir que Cécile ne peut quitter le chalet des 
bonnes sœurs. 
   Je me prépare pour faire les papiers et prend
mon solde de tout compte auprès de mon patron.
Je finance un pot de départ avec l'équipe que 
j'eus accompagné.
    Dans l'usine où je travail, on a des horaires 
d'équipe et un salaire moindre qu’auparavant mais
pas de déplacement et de danger de chute. La vie
devient régulière et ordonné. A tel heure la pose,

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puis le repas et la fin du travail. Avec l'équipe du
matin, qui démarre a 4 heures 30 et termine a 13 
heures,  je dispose du restant de la journée. Un 
vrais bonheur.
  A rive ma première fin de semaine où je peux 
rencontrer Cécile. Les semaine passent il ne reste 
plus que 7 mois jusqu'à ce qu'elle a sa majorité
et moi 19 mois.
  Comme d'habitude je l'attend dans la rue de Lucelle 
au croisement pour que le regard des autres ne puisse
nous croiser.
  Cécile arrive radieuse et souriante de bonheur. Je le
suis aussi a tel point que je cour a sa rencontre. Des 
baisés font notre bonheur.
  Nous repartons sur Mulhouse a travers le Sundgau  
a travers la fameuse foret où se trouve notre point 
sentimentale. Mon cœur bas la chamade au tant 
que celui de Cécile, une vibration dans notre corps 
fructifie nos rapports. L'amour est magique quant
l'un et l'autre vibre des sentiments de satisfaction.

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S'assembler et s'aimer c'est voyager sur une autre 
planète, la où les interdictions riment avec oublie et
bonheur. 
  L'on se lave avec l'eau du petit ruisseau, puis nous 
continuons la route sur Mulhouse. En chemin je 
lui demande, 
-   Pour quelle raison n'as tu put venir la semaine 
    dernière Cécile ? 
-   Je ne me sentait pas bien pour cette raison j'ai
    appelé ta sœur a son travail.
-   J'eus peur que les bonnes sœurs ont découvert  
    notre union et quelle t'interdissent de sortir.
-   Marc, je dois passer chez le docteur Monsieur 
    Miller au  courant de la semaine le vendredi 
    après midi, veux tu m’accompagner ?
-   Oui je suis libre l'après midi, car je travail 
     du matin.
-   Il se trouve au centre de Ferrette .
-   On fera comme d’habitude je t'attend au 
     même endroit dans la rue de Lucelle ? 

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-    Non Marc, viens chez le médecin .
-    Oui je fais comme cela a 15 heures je serais 
     chez le docteur. Ce soir on passe chez des amis 
     de longue date pour leur annoncer notre 
      prochain mariage.
  Cette fin de semaine nous la passons chez des amis de longue
date, pour leur annoncer que dans 7 mois nous allons nous 
marier. C'est madame Frida et monsieur George, des rescapés
des camps de concentration comme le fut ma grand mère. 
Notre annonce leur fait un grand honneur et pour nous 
récompenser  ils me font part,
-   Comme tu aimes ce meuble de Louis 16 de notre salle a 
    manger nous vous en font une dote pour commencer 
votre vie de couple.
-    Merci madame Frida et monsieur George, vous avez 
     le coeur sous la main.
-    Nous n'avons pas oublié que ta grand mère et ton
     grand père nous ont aidé. Pour cette raison nous vous
     aidons.
  Je ne connais pas le fond de l’histoire mais une chose donc

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je me rappelle, de tout temps leur amitié eut marqué ma 
vie.
  Nous passons la nuit chez ma sœur et mon beau frère. Il 
n'y a plus rien a cacher, c'est officielle que nous pouvons
dormir ensemble comme des fiancés.
   Quelle bonheur de se sentir aimé et surtout se coller sans 
aucune contrainte. Il nous reste 7 mois on touche bientôt la 
date tend convoité. 
   Je ramène Cécile dans l’après midi et comme d'habitude
nous faisons notre arrêt habituelle dans la clairière. Cécile me
dit,
-  Marc je dois voir le médecin qui s'occupe des enfants de 
   la DDASS, car je n'ai plus mes règles. Ce qui m'intrigue
   beaucoup.
-   Es tu certaine que ce n'est pas un retard qui te dérègle ?
-   On peu avoir quelques jours de retard mais pas trois 
    semaines.
-   Tu penses être enceinte Cécile ? 
-    Je le crois même car des nausées transforment mon 
     comportement.
  Je suis tout surprit par cette annonce et ne sais plus que 
répondre. Mes pensées emmagasine des doutes sur la 

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réalité, pour moi le facteur du retard qui vient la 
perturber. Attendons vendredi pour être rassuré. 
   La semaine commence avec une incertitude et en même 
temps un bonheur car ci jamais cette éventualité venais a
être réalité, je serais papa, quel bonheur donc la semaine
s’annonce bien en fin de compte.
   Le mercredi matin une convocation recommandé me
parvient. Elle consiste de passer trois jours a Commercie
pour la préparation au service militaire. Je dois m'y 
présenter le mardi matin pour commencer les testes.
Pour cela un billet allé retour n'est attribué. 
  A cette obligation je n'avais pas songé, je pensais que 
le service de l'armée m'eut oublié. Cette semaine me 
joue des tours, que var 'il encore m'arriver ?
   Nous voila au vendredi après midi, je retrouve Cécile
a l'endroit convenu, devant le cabinet du médecin le
docteur Miller. Cécile arrive vers moi, tout bouleversé,
-   Marc je n'ai pas mes règles cela fait un mois passé.
-   Ne sois pas inquiète Cécile attendons ce que dit le
    docteur Miller. J'ai aussi une mauvaise nouvelle a

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    t’annoncer,  je dois passer les testes pour le service
   de l'armée Française. Je part pour trois jours a 
   Commercie.
-   Marc, tu dois faire l'armé comme a dut le faire mon père ?
-   Oui Cécile a cette obligation je n'y avait pas songé, qui 
    sais je pourrais m'exempter ce je dis que je suis un futur
    papa ?
  Le visage de Cécile devient  en-cieux, son comportement l'est
aussi. Puis elle dis,
-   D'accord Marc mais avec quoi allons nous vivre ? Mon 
    salaire c'est la DDASS qui le gère et toi tu auras une 
    solde minable comme appelé.
-    Ne prend pas peur Cécile, attendons les résultats du 
     médecin  monsieur Miller.
   Je rentre dans la salle avec Cécile, elle est pleine a craquer.
Il y a peut de place je reste debout puis dis a Cécile,
-   Je t'attend dehors Cécile avec toutes ces personnes je me
    sent  gênant.
-    Oui tu as raison,  .
  le courage vient a me manquer, je reconnais et préfère

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attendre sur le banc devant le cabinet du docteur. Le temps
devenais interminable, surtout l’impatience de connaître 
le résultat.
  Je regarde passer les voitures qui deviennent mon objet
d'attention, quant soudain, mon père passe avec la camionnette
de l'entreprise où il travail comme charpentier. je lui fais 
signe , il s'arrête,
  -   Que fait tu là marc ? es tu en panne avec ta voiture ? 
-     Non père, j'attends Cécile qui se trouve chez le médecin
pour connaître le résultat ci elle est enceinte ? Donc tu 
seras grand père.
-   C'est bon, on en parlera a la maison.
  Sur le moment je me demande comment se fait il qu'il travail
aussi loin de Mulhouse ? Serait il venu pour moi ? Je reste 
assis sur ce banc et regarde passer les patients qui rentrent et
ceux qui sortent. Je me demande, a quel rang se trouve Cécile ?
   Pour ne pas rendre l'attente interminable je me suis démunie
de ma montre que j'eus placé dans le vide poche de la caravelle.
Il fait beau ce jour là et la capote de la voiture est rabattue.
  Enfin, voilà Cécile qui sort du médecin, mon impatience est

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soulagé. Je me rapproche d'elle. Son visage reflet l'inquiétude
elle ne prononce le moindre mot. Je la questionne,
-  Cécile qu'a dit le médecin ? 
-  Il m'a dit que je suis enceinte de 5 semaines, mais pour en 
   être certain il fait suivre les analyses, la semaine prochaine
   je dois revenir.
-  Pas de problème Cécile, je reconnais l'enfant quitte a nous 
    marier.
-   Et pour ta convocation au service militaire pour 12 mois
    qu'en est il ? 
-    Je suis apte pour faire mon service militaire pour 12 mois.
  Je me mord mes dents en guise d'insatisfaction.
-   Mais quant devras tu faire ton service militaire ? 
-   Je ne sais pas Cécile ?
-   Donc il me reste environ 7 mois jusqu’à ma majorité et
    8 mois pour mon accouchement au mois d'avril. Tu ne 
    pourras m'accompagner le jour de la venu de l'enfant ce qui
    me rend triste et incertaine sur notre avenir, je suis comme
    abandonné par l'amour qui nous eut unie Marc.  La société
    nous joue des tours.
-   Cécile je suis persuadé que nous arriverons a nous en sortir
    malgré toutes ces contraires, crois en notre amour Cécile

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   comme je le crois et nous déplacerons des montagnes de 
   contradictions.
-     Je veux bien croire en tes arguments mais, tu as oublier
      que je suis sous tutelle de mon frère, et des bonnes sœurs
      qui m'ont avertie que ci j'ai des relations avec un homme je
      serais muté dans une maison de redressement pour filles 
      mère.
-     On a joué avec le feux mais pas avec nos intentions de 
      vivre une suite heureuse. Ne crois tu pas en ma bonne fois
      Cécile ?
-     Ci je crois en ton amour et ta bonne fois mais tu ne connais
      pas la réaction des bonnes sœurs qui gèrent notre avenir. 
      J'ai peur quelles me font partir de Ferrette pour une maison
      destiné aux filles mère.
-     Cécile, je viens trouver les bonnes sœurs pour leur dire que
      je suis honnête et travailleur   et qu'elles n'ont pas besoin 
      d'avoir peur.
-     Ne viens pas au chalet Marc, ça aggraverait ma position.
-     Je revient la semaine prochaine pour avoir plus de détaille
       a partir de là je les retrouve.

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 -      Oui tu as raison revient la semaine prochaine avec moi chez 
        le docteur Miller.
-       Je suis de ton avis Cécile on fait comme cela je te ramène 
        devant le chemin qui mène au chalet de l’orphelinat des 
        bonnes sœurs de la DDASS sur la route de Lucelle comme 
       d'habitude.
-      Merci Marc ne m'en veux pas, je suis perturbé.
  En se dirigeant vers la voiture, une copine de Cécile lui fait 
signe et l'appelle,
-       Cécile je peux venir avec vous ça m'évite de monter au 
        chalet a pied.
-       Je demande a Marc s'il veut bien t’emmener,
  Je suis la conversation et dis,
-      Oui elle peut venir avec nous je ne voie pas d’inconvénient.
  Nous voilà a trois dans la décapotable caravelle, la copine de
Cécile demande,
-      Vous pouvez monter jusqu'au château de  Ferrette Marc
       ça me ferai plaisir de rouler en décapotable je n'ai jamais
       eu cette possibilité.
-      Bien sur cela me fait aussi plaisir de partager cette sensation.

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-     Je m'appelle Stéphanie et j'ai 19 ans Marc je suis dans le 
       même orphelinat  que Cécile. Elle a bientôt sa majorité 
       dommage qu'elle vas nous quitter. On s'entendait bien 
       toutes les deux, n'est ce pas Cécile,
-      Oui je reconnais que tu es ma meilleur amie dans le chalet
      et tu es la seule a qui je peux faire confiance.
-     Cécile, tu as l'air triste que t'arrive il ?
-     Je sort du cabinet du docteur monsieur Miller qui ma dit
      que je suis enceinte d'environ 2 mois.
-     Tu sais Cécile ce que fait le docteur Miller, il contacte les
      bonnes sœurs de la DDASS pour leur dévoiler notre état de
      santé, il est de mèche avec elles. C'est pour cette raison que
     nous devons passer les examens  chez lui et chez personne 
     d'autre. Et tu sais aussi que si nous tombons enceinte les 
     bonnes sœurs nous mutent dans un centre de filles mère, 
     ce n'est pas la joie la bas, c'est une maison de redressement.
  Nous démarrons en direction du château,  sur la route qui 
mène au chalet. La copine de Cécile parle sans arrêt comme

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une poupée remonté a bloc. Je fais plusieurs fois le tour de 
Ferrette pour qu'elle puisse libérer son enthousiasme et son 
envie de discuter. nous passons devant une boulangerie
-   C'est là que je travail Marc.
-   Merci de me l'avoir montré, la prochaine fois que je passe a 
    Ferrette j' achèterais des tartelettes Stéphanie.
  On arrive sur les hauteurs du château sur les hauteurs de Ferrette
la clarté du jour laisse la place a la nuit qui cède en sourdine 
la place a des lumières des magasins. 
  Nous avions pris place tous les trois sur un banc. Cécile pleure
et ne prononce plus un mot et moi, bloqué par la présence 
de Stéphanie, je ne fais qu'observer la ville qui disparaît petit
a petit. Je prend Cécile dans mes bras et la sert fortement 
malgré la présence de sa copine. Puis je l'embrase et lui dis,
-   Cécile ne t'en fais  pas, on se débrouillera , je vais demander
    a ton frère de nous soutenir pour que nous puisions nous 
    marier rapidement, comme c'est lui le tuteur.
Stéphanie dit d'un air encourageant,
-   Votre amour est magnifique et magique, l'un pour l'autre ça
    me donne l'envie d'en faire autant et surtout de vous proposer
    d'être le témoin de votre mariage, vous me le promettez ?
-    Promis Stéphanie 

suite au 6/10  



Le roman est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce 
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.


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