roman 4/10 ( le printemps d'un homme et d'une femme )

Mirage au dessus des nuages sage n 1
4/10












                            
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Le printemps d'un homme et 

d'une femme.

  Cette fin de semaine m'a comblé. En 
plus je peux chercher Cécile le vendredi
matin avec Pierrot pour leur mariage.
  Comme convenu, j'attend avant l'entré 
du chalet des bonnes sœurs sur la rue
de Lucelle jusqu’à la venu de Cécile. 
  Nos retrouvaille sont chaleureux 
malgré que nous le faisons en cachette 
dans la voiture.
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   Nous passons dans la maison de mes 
parents  où les préparatifs sont en 
place. L'entende de toute la famille 
possède les atouts pour réussir une 
belle fête. 
   L'après midi on passe dans la marie 
de Mulhouse pour signer le registre
de mariage. Nous ne somme pas seul, 6
couple font la même démarche.















    A la fin de l'enregistrement de nos 
signatures comme témoin de mariage nous
continuons les festivité dans la maison de
mes parents.  
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   La bonne humeur nous met en bonne 
condition, pour danser, chanter, et bien sur
bien manger. 
   On arrive a la fin, où allons nous dormir 
Cécile et moi ? Ce n'est pas bien de 
dormir auprès des jeunes marié le premier 
soir. Nous ne somme pas seul a prêter 
attention a cela. Mes parents nous disent,
-   Cécile tu peux dormir dans la chambre
    de Marc veux tu ? 
-   Ou madame et monsieur je veux bien 
    dormir dans la chambre de Marc.
  Que se passe t'il, je peux dormir avec 
Cécile dans ma chambre ? Quelle chance
je n'en crois pas mes oreilles.
-   Marc dormira avec ses frères et toi 
    Cécile avec Pascale et Mila, quant a 
    Marc il dormira avec ses frères 
    Patrice et Christian.
  Je ne dis rien et laisse s'échapper mes 
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intentions amoureuse. Après une soirée
très joyeuse et sentimentale, car avec 
Cécile il nous arrivais de cherche un 
recoin pour passer un moment ensemble
   Le samedi après midi c'est a l'église de 
St Geneviève que nous signons l'acte de 
mariage.
   Nous partageons l'apéritif dans le foyer
qui se trouve a coté. Pour le repas 
familiale du soir nous somme un petit 
groupe de 15 personnes et l'organisation
se passe dans la maison familiale. 
  Mon oncle et ma tante me félicitent pour 
l'attention que je porte a Cécile, et m'invite 
pour lui la  présenter plus tard.
  La soirée se termine et comme pour la 
nuit de vendredi Cécile dort dans ma 
chambre avec mes autres sœurs.
  Le réveille du dimanche n'est pas matinal
nous ne prenons pas de petit déjeuné et
a 15 heures se sont les restes de la veille
que nous consommons. Cécile et moi 
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aidons mes parents pour tous remettre en 
ordre. A 19 heures je ramené Cécile a Ferrette.
Notre avance nous permet de monter au  
château. La vue de Ferrette est grandiose, on
domine la ville.
  Nos sentiments amoureux nous rassemblent
dans la voiture décapoté. Des bisses et des
caresses réchauffent nos cœurs. 
  Il ne reste que peu de temps pour cette 
raison nous restons dans la voiture. Il est 
prévue que nous reviendrons a cette endroit 
magique et romantique pour tenter de suivre
le chemin qui mène a la grotte des nains.
  Je dépose Cécile sur la rue de Lucelle 
devant le chemin du chalet des bonnes soeurs
de la DDASS comme convenu pour éviter
leur attention.
  Le lundi matin, notre équipe de montage de 
pylône de haute tentions doit gérer une ligne
longue de 20 km entre une usine en 
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construction et la centrale de houille blanche 
sur le Rhin prêt de la région de Strasbourg. 
Il est question de maintenir les délais ce qui 
nous oblige de travailler en continue même 
en fin de semaine.
  Une prime supplémentaire nous sera attribué.
L'importance en vaux la chandelle. 
  On s'acharne de peur que nous n'arrivons a 
maintenir nos détails. Le manque familliale
crée un vide sentimentale, pour équilibrer 
cette absence, nous envisageons de faire un 
tour du coté de l'Allemagne. Car dans les 
quartiers réservé, des filles peuvent combler 
notre joie.
   Cette attention c'est l'équipe des coffreurs 
qui nous l'on fait savoir. 
   Notre équipe s'aventure en Allemagne, dans
notre véhicule, un tube Citroèn. Nous ne 
connaissons l'endroit, on demande a un 
policier motard Allemand,
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-  Monsieur, pouvez vous nous indiquer où
   se trouve le quartier des femmes de nuit.
-    Venez, suivez moi je vous y conduit.
   Celui ci roule devant nous pour nous y guider.
Ma curiosité est le fer de lance de ma présence. 
Je ne cherche pas a rencontrer qui que ce sois 
par contre mes collègues ne se privent pas. 
  Le portugais profite de plusieurs filles, a 
t'elle point que notre chef d'équipe doit lui 
donner une avance sur son revenue. 
   Le tunisien a un comportement qui ne lui
ressemble pas, il est vexé, car il nous fait 
comprendre que ce n'est pas bien de faire 
l'amour avec du latex c'est interdis par sa 
religion.
Cette remarque nous fait rire a tel point que
le Tunisien se vexe. Je n'est pas gouté a ce
caprice car je tient a ma fidélité que j'ai 
promis a Cécile. Ce mur ne peut être brise. 
Je m'abstiens de tout rapport avec une autre 
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femme. Les trois semaines sont interminable
je regrette d'avoir accepter ce travail. 
Pourtant le rythme de notre coordination ne
rencontre nulle panne, les engins de chantier
marchent a merveille. C'est avec un camion 
GMC rescapé de la dernière guerre que nous
soulevons les pylônes que nous avions monté
auparavant sur le terrain. Aucun amarrage n'a 
cédé n'y de chaines et câbles. Ce qui nous
permis de maintenir les détails. On a même
freiné notre cadence pour terminer comme
il fut convenu
    J'écrit une lettre a ma sœur pour quelle la
remette a Cécile. Il y est mentionné  que 
pendant 2 fin de semaines je ne pourrais la 
rencontrer et qu'elle me manque beaucoup.
  Il reste 9 mois jusqu'à la majorité de Cécile
et pour moi, 21 mois.
  Le chantier avance comme prévue, et au 
troisième vendredi nous revenons dans nos
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familles,  je peu retrouver enfin Cécile.
  Ce samedi matin a 8 heure je l'attend a 
l'endroit convenu rue de Lucelle a Ferrette.
  Je dois patienter, ce qui me rend impatient,
enfin, elle arrive. Dans une jupe bleu qui lui 
arrive a peine au genoux, avec un tricot de 
laine angora blanc, lui couvre son corsage. 
Les rayons du soleil travers sa jupe bleu et
détermine les pourtours de son bas ventre.
Je me laisse séduire par cette mis a l'épreuve
et sens en moi une envie qui dépasse les 
interdictions. 
   Cécile arrive, je suis émerveiller. Les jours 
qui nous ont séparé sont devenu un engrais 
pour nous rapprocher et nous chérir
   L'amour a le pouvoir de rendre heureux 
ceux qui sont fait pour s'unir. Hélas il y a cette 
fameuse interdiction que prêchent les bonne
sœurs de la DDASS. Il faut que nous la 
respectons jusqu'à notre majeurité 21 ans.
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Le besoin de s'aimer n'a de frontière n'y de
lois qui peut nous l'interdire ? Les bonnes 
sœurs et leur abstinence ? 
  Voila, Cécile est prêt de moi, je sort de la 
voiture et la prend dans mes bras. L'on 
s'embrasse,
-    Tu m'as manqué Marc,
-    Toi aussi Cécile, les trois semaines sont
      devenu interminable.
-    As tu un nouveau projet de déplacement ?
-    Pas que je sache.
-    Tu gagnes bien ta vie Marc mais quant 
      tu n'es pas la, je suis triste et inquiète
      je ne peu plus me passé de toi.
-    Promis Cécile, je ne m'engagerais plus 
     dans un déplacement aussi long.
  Une nouvelle embrassade nous enlace, puis
nous partons direction Mulhouse en syonnant
a travers mon et forets.
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  En cour de route la main de Cécile caresse 
mes cheveux, puis elle me dit,
-   J'ai envie de toi, arrête toi dans la foret sur
    le prochain chemin.   
  Sa voix me dirige comme une guide pour une 
certaine intention. Son comportement produit
une sorte d’envoûtement, je me laisse séduire
par cette chaleur qui me réchauffe le coeur.
  Ce fluide sentimentale se fixe en moi, je suis 
comme ensorcelé par cet appel.  
  Je rentre dans le premier chemin venu et 
place la voiture prêt d'un petit cour d'eau. Nous 
en sortons bras dessus et dessous. L'on se 
dirige vers une petite lisière avec une 
couverture de couleurs tricoté par ma mère.
   J'étale celle ci sur l'herbe bien verte. La 
couverture se gonfle car l'herbe la retient, je 
l'étale le mieux possible. Cécile se couche 
sur ce lit improvisé et me fait signe de 
m'allonger. Je suis sur un autre nuage, celui 
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du besoin de s'unir pour s'accoupler. 
  Quant une jeune et belle femme vous attire 
pas de doute on se laisse guider jusqu'à ,
-   Cécile tu veux vraiment faire l'amour 
     avec moi ?
-   Plus que tout Marc, j'ai follement envie 
    de toi.
-   Mais nous somme encore mineur tous les
    deux ?
-    Cela ne fais rien, je ne veux plus suivre 
     les ordonnances des bonnes sœurs. Viens
     sert moi dans tes bras, caresse moi, 
     embrasse moi.
  Je me laisse guider par cette volonté de 
se coller l'un a l'autre, de glisser sur nos corps 
de sentir nos surfaces creuses et ondulées.
-   Cécile, je n'ais jamais eut de relation c'est
     le première fois.
-    Moi aussi Marc c'est la première fois que je
     fais l'amour. 
  Dans un profond gémissement de satisfaction 
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nous exprimons notre premier bien être. Puis 
suit un moment de repos. 
-   Ça ma fais du bien Marc et a toi ?
-   J'ai ressentie la même chaleur sentimental.
  Avec un mouchoir blanc j'essuie le ventre 
de Cécile, du sang le marque.
-    Quelle bonheur d'avoir fais la première fois
     l'amour Marc avec toi je suis toute émue 
     malgré ma transformation. Et toi qu'as tu 
     ressentie ? 
-   Les mêmes sensation que toi Cécile 
    surtout au moment ou nous exprimions 
    notre satisfactions.
  Nous reprenons notre route sur Mulhouse.
On envisage de rendre visite a mon ongle 
le soir comme promis le jour du mariage 
de ma sœur.
  Avants de lui rendre visite, nous regardons
un film au cinéma , (A tout cassé ) puis 
nous passons a la friterie qui se trouve 
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sur la place  Franckin a Mulhouse devant 
le cinémas pour manger des portions de 
frites sur poudré de fromage rappé et d'une
pincé de sel; des saucisses tiré de l'eau 
avec de la moutarde, ainsi qu'une canette 
en verre de bière pour chacun
    Avec un ventre plein nous retrouvons la 
famille de mon ongle. Notre arrivé leur 
fais honneur car nous somme reçu 
comme les bien venu.
-   Vous avez tenu promesse, le vous 
    remercie de votre venu. Que peut on 
    vous offrir ? 
-   La même chose que toi mon ongle.
-   Donc tu peux un café Marc et Cécile 
    que prend elle ? 
-   Je supporte le café, j'en prend comme 
    vous et votre femme.
  Le café se fait avec une cafetière en 
alu Italienne. Elle a un volume d'un litre,
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une capacité familiale. Ma tente prépare
la table et sort l'ensemble dorée de 
Venise. D'habitude elle la sort que pour
des événements important. Elle nous
fais cette honneur. Mon ongle me 
demande,
-  Marc tu mas demandé l'autre jour ci
   l'usine embauche actuellement, je te
   dis oui, elle cherches des conducteurs
   de lignes sur transfert. Tu veux que je
   face par de tes intentions a la 
   direction ?
-  Oui mon oncle, je ne veux plus partir 
    en déplacement, c'est trots de 
    contrainte et de risques.
  Le café arrive, fumant et partageant 
son odeur arabica. Aucune petite 
culière sur la table ni de sucre. Cela 
ne manutentionne point car je sais 
qu'il ne sucre jamais le café. 

JJM
    

A suivre au 5/10



Le roman est en cour de construction
des changements peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain 
amateur.
La ville de Ferrette existe dans une région
de l'Alsace appelé Sundgau, l'histoire est 
prise sur des faits passés sans vouloir 
toucher les habitants de Ferrette, ce n'est 
que de l'imagination. Petite anecdote, ce
sont les lutins de la crotte de Ferrette qui
mon raconté l'histoire.

JJM
                                       

Commentaires

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