roman 6/10 ( Le printemps d'un homme et d'une femme)

Mirage au dessus des nuages sage n 1













Le printemps d'un homme 

et d'une femme.

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-   Oui Stéphanie tu seras  notre témoin, promise
    de moi Marc et de Cécile, n'est ce pas Cécile ?
  Un sourire embellie son visage en larme et Cécile 
 dit,
-    Bien entendu Stéphanie, je te remercie de nous 
     accorder cette gratitude.
  Cécile ne cesse de pleurer puis elle me demande,
-   Ramène nous au chalet des bonnes sœurs Marc 
     il se fait tard
Je vous raccompagne pas de problème
  Comme convenu je les dépose rue de Lucelle au 
départ de la rue qui les même au chalet. Je les 
quitte avec des bises habituelle et les regarde 
s'éloigner d'un air triste.

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  Cette séparation transforme mon caractère, je 
sens que je suis un perdant sans assise. Cette 
journée m'a troublé plus que tout, plus rien ne par 
dans le bon sens et toutes ses interférences 
détiennent des contradictions. Le visage de Céline
fut anxieux, pas besoin d’être un spécialiste pour
le deviner. Cette fin de semaine se termine avec du 
traqua, pour chacun d'entre nous, sans l'un 
l'autre n'est rien 
  A mon poste de travail tous se déroule bien, je 
conduit ma ligne de transfert comme un connaisseur, 
je suis capable de régler les outilles sans comparateur 
a l’œil au 1/10 eme. Cette performance
me permet de gagner du temps sur mes heures 
de travail.
  La semaine de travail se termine, nous somme 
vendredi après midi. Comme promis je retourne sur 
Ferrette. Je rentre dans la boulangerie pâtisserie 
pour acheter quelques friandises comme je l'eus 
promis à Stéphanie. Dans le magasin il y a juste 
Stéphanie et moi.

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-   Bonjour Stéphanie, pourrais je avoir trois part 
    de tarte a la myrtille s'il vous plaît.
-    Bonjour Marc, oui je te sert trois parts de tartes 
     a la myrtille.
  Elle emballe ces tartelettes dans une petit boite 
en carton, la ficelle avec des bandes de papier en 
couleur qu'elle frotte avec les tranchants des lames 
du ciseau. Celui ci s’enroule comme des cheveux 
frisé.
-    Cella fait combien Stéphanie ?
-    Je te l’offre Marc.
-    Merci Stéphanie, n'y a t'il personne dans le 
      magasin ?
-    Non je suis seule, le patron a confiance en 
      moi . Comme il a une réunion extraordinaire 
       a la mairie je gère la boulangerie tapisserie.
-     As tu des nouvelles de Cécile au sujet de sa  
      santé ?
-     Cécile ne se trouve plus au chalet, elle a dut 
       quitter le chalet le lundi matin avec toutes ses 

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       affaires. C'est le stratagème que subisse toutes 
       les filles mère . Avant de partir elle m'a donné
       une lettre a ton adresse, je l'ai posté le lundi 
       même. Elle ne voulais pas l'envoyer a son 
       frère car elle m'a dit qu'elle ne peut avoir
       confiance en lui.
-    Sais tu où elle habite maintenant ?
-    C'est écrit dans la lettre, Cécile ne m'a dévoilé 
     l'adresse. Personne ne doit savoir dans quelle 
     maison de fille mère elle sera muté. Les bonnes 
      sœur procèdent toujours de cette manière. Vite 
      fais ne laisse de trace.
-    Ce que tu viens de me dire Stéphanie me fait 
     mal au coeur, il  faut que je trouve ces bonnes 
     sœurs pour leur demander des explications, 
     elles n'ont pas le droit de faire disparaître une 
     personne de cette façon.
-    Tu as raison Marc, mais ne dit a personne que 
      tu me connais cela pourrais couper cour a nos 
      relations.

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   Sur le moment mon attention prend un choc, je 
ne suis pas pris au dépourvus, Cécile me l'avait fait 
savoir qu'en cas de crosses elle sera dirigé dans une 
maison de redressement pour filles mères.
-     Je sent une tension dans mes intentions, je part 
       retrouver les bonnes sœurs pour leur demande 
       des explications. Le te tiens au courant de ce 
       quelles m'aurons fait savoir ce soir a la fin de 
      ton travail Stéphanie.
-     N oubliez pas votre commande monsieur.
   Une personne vient de rentrer dans la 
boulangerie pâtisserie.
-    Oui Stéphanie, cela fait combien ? 
-    C'est déjà payé monsieur.
-    Merci Stéphanie je suis perturbé j'ai oublié.
  J'ouvre la porte vitré de la sortie , celle ci fait sonné un 
tintamarre de sons dut a des liges d'aciers qui s'entrechoque. J'en 
dose ma volonté de combattre des montagnes de contradiction et 
monte au chalet des bonnes sœurs. Je suis prêt a affronter le plus
dur des obstacles, celui de découvrir ce qui se cache derrière cette 

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mascarade. Qui a le pouvoir d'agir de la sorte, vient il de la 
DDASS ou bien des bonnes sœurs ? 
  Me voila devant le fameux chalet de l'orphelinat. Cette grande 
battisse en bois de mélèze étale sont ombre sur le parking. Une
grande porte de bois double, en cour l'entrée. Sur la porte une
corde relie une boule en fer polie. Un carré de fer permet de 
cogner la boule pour s’annoncer. J'empoigne cette boule et la
laisse rebondir sur le fer carré. La force qu’emmagasine  mon 
intention la fait rebondir bien 4 fois. Cette action résonne dans 
le couloir comme les cloches dans les alpages. Je patient, aucune
personne ne vient, je renouvelle mon acte avec un peu plus 
d'enthousiasme. Ma rage me fait hommage . Rien , personne ne 
vient. Je répète de plus belle a plusieurs reprises comme un 
déchaîné car je suis fâché. Enfin, derrière le judas une bonne 
sœur se présente en apparats. 
-  C'est a quel sujet monsieur ?
-  Ma sœur, j'aimerais avoir des nouvelles de mademoiselle 
   Cécile ? 
-  Pouvez vous sous présenter monsieur ?
-  Je suis le beau frère de Cécile, et ne plus avoir de ses nouvelles

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    m’inquiète.
-  Monsieur, il n'y a pas de Cécile dans l'orphelinat  je ne sais pas
    de qui vous parlez.
  Elle ferme le judas avec ardeur comme pour me faire comprendre
que je suis gênant. Je m'y risque une nouvelle fois et répète mon 
geste a plusieurs reprises. Enfin, une personne ouvre le judas, 
me regarde puis ouvre la porte en grand. Me voila devant un 
homme avec une corpulence qui ressemble a celui d'un forgeron. 
-  Monsieur, ici ce n'est pas un endroit pour chercher une 
   personne perdu, allez plutôt au poste de la police. 
-   Oui monsieur, je suis votre conseil, je n'ai rien a me reprocher.
  La porte se referme avec ardeur. Je poursuis ma recherche et part
au poste de la police. Je retourne dans Ferrette a la mairie. Le poste 
de police occupe une pièce au ré de chaussé car une indication m'y
conduit.
  J'ai un mal fou de trouver un emplacement pour garer ma voiture
enfin, je peux me placer. Je monte les marches de pierre rouge usé 
pour parvenir jusqu’à la porte du poste de police. Avec politesse je
frappe  sur la porte vitrée. Le policier un peu surpris me regarde
d'un air ahurie. Je dois certainement l'importuner ?

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-   Bonjour monsieur le policier, pouvez vous me renseigner sur 
    la disparition de ma belle sœur qui habitait chez les bonnes 
     sœurs au chalet des orphelins ?
-   C'est monsieur comment ? 
-    Je m'appelle Marc et je suis son beau frère.
  Je lui montre mes papiers. 
-    Monsieur Marc, je peux vous certifier qu'il n'y a jamais eut
     de Cécile chez les bonnes sœurs de l'orphelinat , je ne peu 
     prendre de déposition de recherche.
-   Pourtant c'est ma belle sœur et la semaine dernière je me 
     trouvais avec elle chez le médecin monsieur Miller qui pratique
     a Ferrette, je n'en revient pas, il n'est impossible quelle ne se 
     trouve plus la ?
  Je garde un moment de recueille pour ma réflexion et me dis  
que c'est bizarre sa réponse. Comment ce fait il qu'il connait le nom 
de la personne que je recherche sans que je lui ai soufflé mot ?
-    Bon, merci monsieur de votre attention monsieur l'agent de la 
      police et au revoir .
  Je décide de trouver le médecin monsieur Miller en personne et 
arrive dans une salle d'attente, la salle est pleine. Je patiente un 

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peu puis demande a ma voisine,
-   Bonjour madame, le docteur Miller est il là ?
-   Non monsieur, c'est un remplaçant, aujourd'hui il se trouve 
    a la mairie, il y a une réunion avec l'ensemble des élues. Comme
    il est maire de Ferrette sa présence est indispensable.
-   Merci madame, ce n'est pas la peine que je continue mon attende
    c'est monsieur Miller en personne que je voulais contacter
  Je suis persuadé que ci je retourne a la mairie je risque de le 
rencontrer ?
  Me voila de nouveau sur le parking de la mairie,  surchargé de 
véhicules. Je retrouve ma place quelle chance . Pour me rassurer
que monsieur le docteur Miller se trouve a la réunion je demande
au portier garde champêtre.
-    Bonjour monsieur le garde champêtre, pouvez vous me dire 
     ci monsieur le maire se trouve a la réunion dans la mairie ?
-    Oui monsieur, il ne veut être dérangé, avant la fin de la réunion
     car l'ensemble des élus s'y trouvent, il y a les adjoints au maire
     le notaire, le curé et les responsables de l'institution des 
     orphelins de la patrie. 
-    La séance va elle durée longtemps ? 

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-    D'habitude ça termine a minuit.
-     Merci monsieur le garde champêtre.
  Je retourne devant la boulangerie et attend impatiemment 
Stéphanie pour lui faire par de ce que j'eu appris
   Je patiente car sa journée de travail se termine dans environ 
15 minutes. La voila, elle se rapproche de moi et monte dans la
voiture, nous prenons la direction de la route du chalet. En 
prenant a gauche, on monte sur le belvédère devant le château de
Ferrette. Je lui rapporte le résultat que j'eu entrepris,
-   En premier je suis allez au chalet, la bonne sœur ma dit qu'il
    n'y a pas de Cécile dans le chalet, puis elle me ferma la porte
    du judas avec ardeur. Je frappe de nouveau avec la boule de 
    métal sur le carre en acier a plusieurs reprises. Un individu se
    présentât dans le judas, puis il ouvrit la grande porte d'entré
    pour m'impressionner. Une odeur de savon de Marseille nargue 
    mes narines. Cet individu a la carrure d'un bûcheron.
-   Ça c'est le jardinier Marc, il n'est pas commode et s'appelle 
     Etienne.
-   Il ma fait comprendre que je dois m'adresser au poste de police
    qui se trouve a la mairie. J'y suis allé et la aussi personne ne 

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    connais Cécile. Le policier ma fait comprendre qu'il ne peut 
    engager de recherche. Ce qui me semblais bizar c'est qu'il 
    prononçait le nom de Cécile sans que je lui en ait fait part ? Je
    suis passé chez le médecin monsieur Miller qui ne fut pas la,
    une réunion extraordinaire eut lieu a la mairie avec tous les 
    élus. Je suis retournée a la mairie dans l’espoir de le 
    rencontrer, le garde forestier ou champêtre ma fait comprendre
    qu'il faut parfois attendre jusqu’à minuit pour le rencontrer car
    la séance ne doit être interrompu. Voila le rapport de ma journée
    Stéphanie.
-   Marc il reste une solution pour savoir où Cécile se trouve sois 
    son frère qui peut te le dire ou alors de mon coté je fouille dans
    les archives des dossiers de la DDASS . Je ferais mon possible 
    pour fouiller de ce coté la dans l'orphelinat. Nous devons 
    continuer de nous voir pour parvenir a découvrir ce que 
    pratiquent cet institue en envoyant les jeunes filles mère dans 
    des centres spécifique.
-   Tu as raison Stéphanie, je reviendrais. Au faite, j'ai gardé la
     tarte au myrtilles bien emballé, on partage ?
-    Ci tu veux, on pourra continuer de discuter.

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-    Stéphanie ne te met  pas en danger, les bonnes sœurs vont le
      remarquer que tu rentre en retard.
-     Oui je le sais, mais elles ne sont pas aussi vache que cela
      souvent je dépasse  les heures et elles ne me font pas de 
      remarque décevante car moi je n'ai personne qui se porte 
      garant, je suis une orpheline sans reperd. Mon astuce 
      consiste de dire que je suis passé a la bibliothèque pour 
      lire un livre et parfois d'en rapporter un. Certaines bonnes
     sœurs aime feuilleter des livres banie par la religion. Elles me
    dissent d'en ramener en cachette, pour cette raison je dispose 
    de certaine possibilité.
  Nous savourons ces instants de dialogue en mangeant les 
tartelettes que Stéphanie ma offert.
  -   Elles sont délicieuse tes tartelettes Stéphanie, elles ont du
       mérite.
-     Je ne les ai pas faite, je suis que vendeuse, c'est au pâtissier 
      qu'il faut faire cette remarque. Lui aussi dépend des pouvoirs
      de la DDASS, il occupe le poste d'apprentie pâtissier, je l'aime
      bien et on navigue sur les mêmes intentions, ceux de dénoncer
      leur exagérations.

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-     Tu sais Stéphanie je ne veux pas te draguer je suis venu pour 
      pour retrouver les  traces de Cécile et connaître où elle a passé.
      Je te raccompagne au chalet des bonnes sœurs et ci tu le veux 
      on se révéra vendredi a la même heure.
-     Oui Marc je ferais mon possible pour récolter plus de 
       renseignements sur Cécile et toutes les autres filles mère qui
       sont envoyé a gauche et a droite. 
-     Moi de même je te donnerais tous ce que je sais Stéphanie 
      c'est promis.
  Je dépose Stéphanie au croisement de la rue de Lucelle comme
je l'ai fait avec Cécile. Cet acte réveille mon passé, une peine réveille
mes pensées, je suis fort et rude mais là je me met a verser des 
larmes. Stéphanie disparaît derrière le premier  virage, je prend la
route sur Mulhouse. Je retrouve ma mère et la questionne,
-  Maman as tu reçu une lettre pour moi ces dernier jours ?
-  Non Marc, aucune lettre n'est parvenu a ton nom.
  Cette réponse ne m'encourage pas au contraire elle me banie de
toute espoir. Il se peut que la poste a du retard ? Je retrouve 
l'appartement de ma sœur et son mari le samedi matin.Je leur 
demande,

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-  Avez vous des nouvelles de Cécile ?
-  Non Marc on n'a plus de nouvelle.
-   Pourtant Pierrot tu es son frère et les bonnes sœurs ont du te
    dirent ce qu'est devenu ta sœur Cécile ?
-   Elles ne m'ont rien dit, je vais les contacter et te ferais part 
    de leur remarques.
-   Merci Pierrot je compte sur toi.
  Je retourne a la maison et redemande mes parents,
-   Avez vous reçu une lettre de Cécile ?
-   Non Marc.
  Mon père vient de rentrer, il me regarde sèchement et dit, 
-   Sait elle écrire au moi cette fille ? 
  Cette remarque me vexe profondément .
-    Oui elle a appris a l'école comme nous tous et a son certificat
     d'étude.
-    Ci elle tient a toi, elle t'écrira Marc.
  Ma mère me regarde puis hoche la tête et dis, a son tour
-    Certain elle t'écrira.
  Ce sont les seules paroles qui englobent mes préoccupations. Mais 
pour moi ces réponses ne vont pas dans le bon cens, aucune parole

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ne m'encourage je ressent une ingratitude qui déstabilise ma 
confiance envers ceux qui m'entourent. Je ne dois lâcher prise et
m'engage a continuer ma recherche. Je n'ai pas perdu sur toutes les
faces, il me reste des possibilités que je n'eu exploité.
  La semaine devient infernal et interminable. Il me tarde que 
vendredi arrive et que Stéphanie me donne des nouvelles plus 
concrète et encourageante.
  Me voila a Ferrette, a 18 heures. Stéphanie sort de la boulangerie
et vient me rejoindre. Elle me dis,
-  Bonsoir Marc, le pâtissier m'a donné des tartelettes de mirabelles
   elles sont aussi bonne que celles de myrtilles, allons sur la 
   corniche du château, en passants d'abord a la bibliothèque. 
  Je suis ces conseilles, elle y entre rapidement pour en sortir un 
gros livre qu'elle tient contre son corps.
-   Viens Marc, on peut monter au château de Ferrette. 
  Je ne dis pas grand chose et suis ses instructions. Je coupe le 
moteur de la voiture et garde la radio allumé. C'est Joe Dassin
qui évoque en chanson la joie et le bonheur d'être aimé. Je 
retient, On ira où tu voudras, L'été indien, Aux champs Élise.
  ces farandoles trottent dans ma tête durant tout le temps que

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nous mangeons nos tartelettes. Ecoute de la musique qui parle 
de bonheur  n'est ce pas une manière d’effacer ce qui pesse 
lourd sur ton coeur ?
  Nous terminons de manger nos tartelettes avec une saveur 
particulière, celle d'aimer ce que l'autre vient de partager.
-   Merci Stéphanie pour ce partage, elles sont excellente les 
     tartelettes tu peux remercier le pâtissier de ma part.
-   Je le lui ferais savoir Marc, j'ai a te dire que ce pâtissier 
    Pascal soutient nos recherches car il ne trouve pas ça 
    normal que des jeunes femmes disparaissent lorsqu’elles
    sont enceinte.
-   Une aide supplémentaire me fait du bien, je ne suis pas seul
     a tenter de découvrir ce qui ce passe . Sur l'avis de ma 
     famille pas besoin de compter mon beau frère non plus il ne
     sens soucie pas ainsi que ma sœur et mon père, j'ai 
     l’impression que ce qui m'arrive leur fait plaisir.
-    Voila les adresses des villes où les jeunes filles mère sont 
      envoyé, il y a le dispensaire de Mulhouse, la maison de 
      correction de Modenheim dans le Haut Rhin, dans des régions
      du Sud de la France où une communauté maghrébine
      cherche des filles Française pour les marier a des maghrébins
      pour qu'ils obtiennent la nationalité Française. Je te donne les
      adresses mais je ne sais pas dans quel secteur Cécile se trouve   
       les noms des filles ne sont pas mentionné.

A suivre au 7/10 

le roman est en cour de construction, des changement 
peuvent suivre 
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
La ville de Ferrette existe dans une région de l'Alsace 
appelé Sundgau, l'histoire est prise sur des faits passés 
sans vouloir toucher les habitants de Ferrette, ce 
n'est que de l'imagination. Petite anecdote, ce sont les
lutins de la crotte de Ferrette qui mon raconté l'histoire.

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