7/8 PRENDRE LE DROIT DE JUGER ( roman sentimental n 7/8 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1

suite 7/8 de PRENDRE LE DROIT 

DE JUGER

144















             La tourné des journées et des mois 
défilèrent a grand pas. La fin de l'année fut proche 
et Sylvie organisa comme de coutume une belle 
soirée et tous les préparatifs habituelles. Tante Nina 
restât gravé  dans nos souvenirs et nos cœurs. Le 
sapin fut garnie de guirlande,de boules de 
mandarines,de chocolats, de paquets multicolores. 
Le brillant des yeux des enfants refléta mille joies. 
L’impatience joua des tours, les enfants n'eurent pas 
faim ce qu'ils voulurent ce fut l'ouverture des paquets.

145

      Sylvie me réservai une grande surprise, mais, 
pour me la remettre elle préféra attendre la fin de la 
soirée lorsque les enfants savourèrent leur nuit de 
rêves. Mais ils ne voulurent point se coucher de si 
tôt et lorsque minuit sonna leur ardeur resta intacte. 
Ce fut a deux heures du matin que leur besoin de 
dormir les assaillit. Mon impatience alla connaître 
ma surprise qui resta sous le sapin. Pour ce fait, 
j'ouvris une bouteille de champagne. Pendant que 
je rempli les verres, Sylvie chercha les relevées de 
nos compte en banque.
- Voila la surprise 
   Elle prononça cela d'un air enchanté. Je fus 
étonné et me demandai ce qui valut d'exceptionnelle 
ces deux morceaux de papier.
   Mon étonnement en fut comblé, j'appris que la 
somme équivalente a la moitie de la valeur d'une 
maison neuve se trouvai répartie entre nos différant 
comptes en banque ? Cela me paru bizarre, d'où 
promenai toute cette valeur, aurai elle gagner 

146

la loterie national ? ou a telle donné des 
renseignements sur la personne que j'eus transporté ? 
Dans ce cour instant mes idées transformèrent mon 
état d'esprit, je pris peur.
- Qu'as tu Jean, tu es tout blanc ?
- C'est un choque que de voir toute cette somme la,
- J'ai décidé de mettre en vente tous mes bijoux et cela 
ma rapporté toute cette valeur que nous possédâmes 
sur nos compte en banque.
  Je n'en revient pas et l'embrassa aussi fort que 
l'amour que nous nous partageons.
- Mais Jean, j'ai une autre surprises bien plus grande 
que celle ci.
    Elle repartit vers la commode et en sortit un autre 
bout de papier. Je restai dans mes songes comme dans 
une bulle impatient d'apprendre la suite. Elle 
m'annonça qu'un troisième enfant fut en route.
- Alors là, je tombe du ciel, un bonheur aussi beau 
c'est le plus des cadeaux sur terre.
   La joie se lut sur nos visages, je l'eus  pris des mes 

147

bras en la serrant aussi fort que notre joie.
   Ma peur eut suivi une autre route, je ne pensai plus
a cette triste affaire. Le futur eu plus de valeur que le 
passé.
                 Dans l'entreprise où j'eus travaillé, ils  
recherchèrent un magasiner. Cela tomba a pic, car, 
j'acceptai sens hésitation. Avec ce travail sur place 
plus besoin de se déplacer et la hantises de se laisser 
amadoué par des auto-stoppeurs que je risquai de 
prendre en charge.Partir en déplacement me donna le 
cafard. 
               Me voilà dans un grand hangar où les 
multiple étagères représentèrent les arbres, les allées 
les routes et l'écot de ce vide les vallées. Donc je ne fut 
pas perdu ni enchaîné entre des murs. Cette illusion 
je me l'ai imaginée et trouva mon équilibre sans trots
 déstabilisé. Je ne fut pas seul car 5 personnes 
s'occupèrent de ce grand magasin. Mes collègues 
promenèrent de différente région de France. La 
sympathie fut une devise où tout échange de discutions

148

 pris part dans nos réflexions. Chacune dissuada l'autre.
        Dans mon projet familiale nous eûmes prit 
possession d'un terrain viabilisé pour construire notre 
habitation et il se trouva pas loin de mon lieux de 
travail. Je possédai du temps libre pour faire une 
grande partie de la construction.
         Avec les semaines qui passèrent les briques se 
montèrent et la maison pris forme comme au temps de 
mon ancien travail de maçon, je n'eus pas perdu la main 
et me réjouissais de ce savoir faire que m'eus appris 
l'oncle Pauli. Il arriva que l'un de mes 
collègues de travail me donna un coup de main. 
Cette attention me donna du courage malgré que leur 
savoir faire n'eut de qualité manuel ni technique mais 
le fait de me prêter main forte suffît. Durant les pauses 
nous nous retrouvâmes  autour d'une table avec du 
café. Les discutions allèrent bon train. On y pris coût
 et cela devient un rituel. Nous enchaînâmes sur 
l'actualité qui parla de politique et de faits divers, de 
ce fait, je leur apportai le journal. Certaines discutions

149 

parlèrent d'histoires sentimentales, Jérémie fut un  de 
cela qui pas ses manières en firent un tombeur de fille. 
Il s'en venta ci bien qu'il nous fit comprendre que plus il y 
eut de relations et plus de filles tombèrent sous son
charme. Pour moi cette attitude ne répondit point a ma 
raison de vivre en couple. Je ne fus pas seul car cette 
attention plaça de mon coté un homme d'un demis siècle
 bien sonné. Pourtant il fut un camarade 
 de travail très conviviale. Il eut terminé son service 
militaire en ayant fait un devancement d'appel, cela 
luit permis d'ouvrir la porte de son avenir. Il fut de 
quatre années plus jeunes que moi. Je reconnu que 
son physique de tombeur de filles rima avec ses 
expressions. Pourtant, je trouvai que la manière qu'il 
se venta fit ressentir en moi une supercherie. 
  Son imagination fabuleuse suivirent ses multiples 
conquêtes. Souvent nous racontâmes nos anecdotes  
durant les poses. Je restai en retrait, car vis-a-vis des 
autres magasinés, je n'eus qu'une conquête et ce fut la 
plus belle de mes recettes, un grand amour qui dure 

150

toujours. Jamais il m'est venu a l’esprit de rencontrer 
une autre. Je ne voulus leur divulguer toutes mes 
aventures et me gardai de rester sage. Par contre 
j'écoutai avec philosophie leurs prouesses et leur défies. 
Jérémie eut une certaine particularité pour s'exprimer 
en amour d'après lui, cette acte ce concrétise comme 
une distribution de boisson que l'on attribua à n'importe
 quelle femme sans une distinction. 
     Résonnerait-il comme un animal ? Le partage 
sentimental c'est tout autre chose, c'est pour moi la clé 
d'une porte faite de réussite. Je ne dévoilerai aucun 
complément imaginaire ni même réelle.  
Ce qui fut notre amour tient toujours car le fruit de 
cette valeur sut porté ses valeurs. Ce n'est pas en 
forçant que l'on obtient le consentement mais belle et 
bien en partageant nos sentiments réciproque. 
Allez faire la morale ne rapporte que du banal ou même 
l'immorale. Leur marcher sur leur convictions serait le
fruit d'une contradiction ce qui fera des opposants. Je 
reste sur mes réflexions et nourrie ma philosophie. 

151

Je restai sur mes gardes car souvent leurs exploits ne 
tournèrent pas bien rond. A notre pose café des 
chauffeurs vinrent s'y coller parfois nous fumes jusqu’à 
10 personnes.

          Ma petite famille se porta à merveille, surtout les
 enfants qui s'étonnèrent de la grosseur de Sylvie qu'ils 
questionnèrent sans relâche au sujet du sexe du futur 
nouveau née. Leur curiosité ne récolta pas les bonnes 
explications car Sylvie ne donna de réponse concrète.
     Le sur poids de Sylvie devient la source d'une fatigue
 gênante. Chacune de ses grossesses eut sa part de vérité 
mais celle ci fut différente par les difficultés qu'elle 
engendra. De nombreux repas absorbés revinrent sans 
prévenir. Son visages se marqua de souffrance qu'elle 
cacha sous un sourire éclatant. La grossesse ne
 fut pas un châtiment mais belle et bien une action 
sentimentale qui mérite d'être mené jusqu’à terme. 
Sylvie représente la fleur qui veut éclore pour prouver 
que le bonheur activa la créativité. J'eus pitié

152 

d'elle et me suis dit que de la voire souffrir une 
quatrième fois ne sera pas un bon choix.
     Cela fait bien trois mois que Sylvie ne travailla plus 
chez sa patronne. Elle eut préféré renoncer car le 
besoin continuelle de repos fut plus utile que le salaire.
 Elle approcha du 7 em mois et la douleur devint plus 
forte. Le médecin de famille la fit hospitaliser, il y eut 
un danger. Un traitement de cheval lui fut imposé, des 
piqûres à n'en pas finir et des médicaments à faire
 rougir. Cette prescription eut duré trois semaines 
accompagné de notre inquiétude a tous sans connaitre 
au juste le pourquoi de cette hospitalisation. Suite a 
notre mécontentement nous signâmes une décharge 
pour retrouver notre part de liberté. Les enfants 
conjuguèrent retrouvaille et joie pour que la santé de
leur maman les rende rassurant.

             L'été brilla de toute sa chaleur comme le 
savoir faire des professionnelles  du  bâtiment qui 
réusinèrent leurs métiers. Notre future maison avança 

153

a grand pas. Tous nos congés y marquèrent leur 
empreinte. L'objectif de nos ambitions se fut que 
la maison fut terminé à la naissance de notre futur 
enfant. Notre imagination alla bien loin, nous sûmes 
où l'emplacement de la balançoire prendra place.
Claude eut des projets qui firent en sorte qu'une pièce
 pour jouer sois plaise prêt de la chaudière car dans 
son imagination il prédit que se trouver prêt de la 
chaleur réconfortante sera plus raisonnable en hiver. 
Sylvie se préoccupa de l'emplacement des chambres à 
coucher car quant le nouveau née sera là, elle 
aimera l'avoir a droite de la chambre des garçons. Elle 
fut persuadé que ce sera une petite fille. Je lui fis 
confiance et travailla en sorte que tout mon petit monde
 y trouve son bonheur.
           Le mois de congé passa bien vite et le jour de la
naissance aussi. Sylvie eut du ma à bouger, il m'eut 
semblé que sa grossesse fut plus prononcé que les deux
autres. Le médecin de famille l’encouragera de son 
mieux et voulu à plusieurs reprise lui dévoiler le sexe de

154

 l'enfant, rien ni fit, elle se tenait à ses présomptions et 
préféra le découvrir le jour de la naissance. Les enfants 
lui demandèrent a mainte reprise, même là, elle ne céda
 pas.
    Le jour temps attendu se manifesta, il fit une chaleur 
étouffante et la nuit lourde et accablante. 22 heures , 
Sylvie ressentit des contractions comme prévu nous 
eûmes contacté la voisine qui prit en charge les 
enfants. Ce fut à 2 heures du matin que le travail 
commença. Je pris la petite valise prête pour l’occasion. 
Nous rejoignons la voiture avec hâte car le fait de 
descendre les marches augmenta les risques. J'eus gardé 
mon sang froid malgré que mon état nerveux me joua 
des tours. Avec rapidité je pus rejoindre l'hôpital, pas 
de ralentissement car peut de véhicule circulèrent. Mon 
attention se partagea entre la route et Sylvie qui se 
trouva à mes côté. Elle transpira et se tient son ventre. 
J'implorai la chance comme d'autres leur Dieu pour 
que nous arrivâmes sans embarra à l'hôpital.
      Enfin, devant les portes du bâtiment de la maternité ;

155 

elle fut fermé. J'eus sonné , personne ne répondit, et, les 
minutes passèrent elles ressemblèrent a des heures. 
Une seconde réplique, puis une autre et une autre, 
rien . Sylvie s'eut adossé contre le mur, et elle eut dit,
       - Je sens que le nouveau née arrive.
       - Retiens le, j'entant des pas dans le couloir.
     J'eus appuyé de nouveau sur la sonnette, personne 
ne marcha dans le couloir je l'eus dit pour quelle garde 
confiance. Puis, le mécanisme d'une serrure déclencha 
l'ouverture de cette grande porte en chêne blanc. 
Nous pénétrons dans ce grand couloir clair et suivîmes
 cette personne vêtu d'une blouse blanche. Sylvie eut 
de la peine a marcher, il fallut monter au premier sans 
ascenseur, chaque marche fut une corvée. Arrivé à 
l'étage, une seconde personne nous attendit.
Ensemble nous rejoignîmes la salle d'accouchement. 
prévu pour l'événement. La sage-femme contacta le 
médecin de garde. Elle tenta de connaître, pars son
 touché, dans quelle position se trouva l'enfant.
       - C'est une routine, mais quand l'on n'est pas 

156

          certain on demande au médecin de garde.
       -  Avez -vous déjà accompagné votre femme à un 
          accouchement monsieur ?
        - Oui madame.
        - Ce que je peux vous dire c'est que l'enfant 
           sortira les pieds en  premier, le risque que l'on 
            encoure c'est que l'enfant pourrait s'étouffer 
           sans l'aide d'une chirurgie, c'est cet acte-là qui 
           nécessite la présence d'un médecin.
Une sueur froide classa mon dos, car je ne m'attendis
 pas a ce que des complications risquèrent de nuire 
notre famille.
       - Étiez-vous tenu au courant monsieur de ce 
          problème ,
       - Non madame, je ne le savais pas.
       - Votre femme ne vous l'avais pas dit ?
       - Certainement qu'elle ne voulut m’inquiéter
          madame ?
       - Voulez- vous suivre l'accouchement monsieur ?
       - Oui madame, je l'eus accompagné pour le 

157

           dernier, pour quelle  raison ne suivrais je 
           pas celui ci ?
       - Le sang ne vous fait pas peur ?
       - Non.
    Je me trouvai sur une longueur d'onde qui déféra 
des autres accouchements. La présence de sang n'eut 
jamais marqué une naissance donc, je ne m'attendis 
pas à ce que cette réflexion puisse porter un recule
 de ma part sur l'accompagnement de Sylvie. Je la 
suivrai jusqu'au bout quoi qu'il puisse arriver. le 
regard de Sylvie croisa le mien et dans cette fraction 
de seconde j'eus deviné qu'elle marqua une culpabilité 
de ne point me l'avoir annoncé. Bref, maintenant il 
faut gérer et tout espoir ouvre la porte de la victoire. 
Malgré qu'une peur se manifesta nos engagements 
suivirent notre volonté, celle de réussir. La venue
du médecin devient interminable, les minutes des 
heures et le visage de Sylvie transpira de plus belle. 
Ses gémissements furent soulagés par des piqûres qui
 retardèrent l'accouchement. Le médecin arriva, enfin,

158

 le travail put continuer. Les efforts et la souffrance 
fatiguèrent Sylvie, le contrôle du travail ne fut plus 
maîtrise et deux petits pieds sortirent sans tarder du 
corps de Sylvie. Le mot poussé et aspirer se 
conjuguèrent sans relâche. Je tiens une main de Sylvie 
et avec l'autre je lui essuyai son front.
  Je répétai ce que la sage-femme prononça et 
l'encouragea sans relâche. Le rythme horloge de 
pousser et d'inspirer suivi les mouvements car les pieds 
devinrent plus long, son basin vint a l'air et le médecin 
tient les cuisses du nouveau née. Ma curiosité
 se plaça à, un jet d'urine atteignait le costume du 
médecin qui n'eut pas le temps de se changer,
      - C'est une petite fille Sylvie tu peux la sauver.
            Le mot sauvé redonna une nouvelle force et le 
travaille reprit du moins ce que je pensai car la tête 
fut trop grande pour sortir de son emprisonnement. 
Le médecin prit une sorte de couteau(scalpel) très 
coupant qu'il clissa sur le ventre de Sylvie, lequel 
s'agrandit sans résistance et avec peu de saignement. 

159

L'enfant vie enfin le jour et la couleur grise de sa peau
 se transforma en la couleur humaine. La chance fut 
avec nous car le cordon ombilicale n'eut point étouffé le
nouveau-né. L'apparition du placenta permit enfin de 
terminer le travail. 
    Les premiers cries de l'enfant nous enveloppèrent de 
bonheur. Sylvie vient a nouveau de remporter une 
bataille digne du plus grand général. La victoire se 
refléta dans le brillant de nos yeux. Deux pinces
placé à un intervalle rapproché furent fixé sur le 
cordon qui relia la mère a l'enfant. J'eus l'honneur de 
couper ce lieu précieux. A la suite d'une piqûre 
Sylvie fut reconnu pendant ce temps ; j'eus pris l'enfant
dans mes bras qui fut couché sur le ventre de Sylvie. 
J'eus quitté cette salle tout en tenant cette petite créature, 
enveloppé dans une couverture contre moi et me 
plaça sur un banc du couloir. La joie de me retrouver a
nouveau père me redonna une fierté.

160

      Dix minutes plus tard, je dus remettre l'enfant à 
la personne qui la plaça dans une couveuse. Avec 
hâte, je retrouvai mes enfants pour leur faire part 
qu'une petite fille qui leur tiendra compagnie. Nous 
décidions Sylvie et moi de l'appeler Claudine. 
J'arrivai à 4 heures du main et les enfants dormirent, 
je reportai à leur réveille la surprise. Il me resta 
deux heures jusqu'à leur réveille. Je m'allongeai sur 
le canapé et m'assoupissais au bout de peu de minutes.
   Plongé dans mon sommeille, je ne m'eus rendu 
compte que le temps eut passé. Ce fut Claude qui me 
réveilla eu me disant qu'il alla être en retard pour
 l'école. Je regardai ma montre et remarqua que je
viens de somnoler trois heures d'affilé.
   - Claude, Jean dort'il encore ?
   - Mais papa est ce un garçon ou une petite sœur ?
  -  C'est une petite sœur qui s’appellera Claudine.
  La réponse que je lui dis ne l’impressionna nullement.
 Il me fit comprendre, d'un air persuasif,
    - Je le sus que ce sera une petite sœur qui comblera

161

        notre famille.
    - Comme tu es au courant savais tu qu'elle s'appelle 
        Claudine ?
    - Qui papa mais je le gardais pour moi, tu as droits 
        aussi a une surprise.
  La joie trôna dans mon coeur car ses yeux scintillèrent
 de mille enchères comme des diamants de grande 
valeur. Le regard de Claude réveilla en moi 
l'intuition du même bonheur. On évoqua ensemble 
la question,
   - Que dira Jean a son réveille, lorsqu'il apprendre 
      que c'est une petite sœur ?
    Je ressenti une angoisse car souvent la jalousie 
d'un enfant envers ses frères ou sœurs peut transformer 
une vie en une mésentente continuelle. L'ensemble 
de la famille pourrait en subir des conséquences. Je me
suis rapproché de sa chambre et ma surprise fut 
grande car je découvris Jean accolé à la porte 
entre ouverte entrain de suivre notre conversation.
     - Où est maman ?

162

     - Elle est resté à l’hôpital avec ta sœur.
  Le petit Jean fut grognant. Venais je de faire une 
faute? Sut alors, je me rattrape et lui dis,
- Elle s'appelle Claudine ta petite sœur,
- J'aimerai voire ma petite sœur Claudine.
  Je ne m'attendis pas à cette réflexion et Claude dit
- Il faut que nous allons à l'école Jean ensuite on ira 
    voir maman
- Tu as raison Claude, maman est fatigué, après 
     l'école on ira la trouver.
  Je ne pensai pas me tirer à si bon compte et le file
 de la journée fut longue. L'impatience sous la tutelle 
de la curiosité fut le facteur de cet envoûtement. 
L'instituteur me fit comprendre que Jean fut impatient 
et incontrôlable. Je ne pris gars sur ses remarques et 
passa l'éponge. Je fus enchanté que Jean tenu autant 
d’import ace à voir sa maman et sa 
petite sœur. ma fierté de pouvoir présenter Claudine 
et sa maman a mes garçons me rendit heureux malgré
 l’indiscrétion de mes enfants.

163

    A l'hôpital leur réaction fut tranchante, car ils eurent
perdu le langage à la vue de leur sœur et leur maman. 
L'émerveillement devant le berceau transparent les 
rendit curieux et observateur. Sylvie garda une fatigue 
sur son visage mais, a la vue de la joie qu'endossèrent 
ses enfants elle reprit courage et effaça sa faiblesse.
   Le retour dans mon lieu de travail renferma en moi
 une certaine valeur celle de pouvoir raconter l'histoire
 de la venu de Claudine. Avec cela, j'eus rapporté de 
quoi arroser l'honneur que j'accordai a la naissance de
ma fille Claudine. Aucun d'entre eux ne put raconter 
une aussi belle histoire qu'est la naissance d'un enfant.
      Les dernières journées de cette année-là 
magasinèrent une multitude de changement dans notre
 vie. La maison fut habitable et il nous tarda de pouvoir 
exprimer nôtres bonheur dans une nouvelle demeure. 
Notre satisfaction se lut sur nos cœurs. Nous hume un 
sapin de noël avec racine placé dans un sceau 
rempli de terre. Il fut prévu de le planter dans le jardin 
à la fin des fêtes. De cette manière il honora pendant 

164

toute notre vie notre premier réveillon a quatre. Sa 
décimation accumula le savoir-faire de Sylvie
et bien entendu des enfants qui lui prêtèrent main forte. 
Il y eut une multitude de guirlandes électrique ornée 
de nombreuses couleurs qui l'enrichirent. A son pied, 
fut éparpillé des paquets pour chacun d'entre nous.
Claudine y eut aussi droit. Ce fut a minuit que la 
distribution se fit. Jean se proposa pour ouvrir le 
paquet de Claudine car il nous fit comprendre qu'elle 
fut trop petite pour se débrouiller seule. J'eus pensé 
que sa curiosité fut le fruit de sa proposition car même
 son propre paquet ne l'attira point il l'oublia.

        Janvier, l'année reprint à mon lieu de travail avec 
dans notre objectif d'une suite heureux événement que 
l'on discuta à la pause du café. Jérémie nous eut étonné 
avec une histoire de drague qu'il eut fait à une soirée 
du nouvel an. Sous disant, il eut des relations 
sexuelles avec deux femmes en même temps. Cette 
exploit fit rêver certain d'entre nous car il exprima 

165

l'acte comme une action digne d'un résumé 
pornographique et d'une manière telle que chaque 
détaille fut évoqué. On resta bouche bai.
      Petit a petit le groupe se dispersa, je restai près 
pour ranger les ustensiles. Cette manœuvre fit partie 
de ma curiosité pour lui poser quelques questions,
    - Comment as tu fais Jérémie pour faire l'amour 
       avec deux femmes ?
 Je n'obtiens de réponse concrété car, il bafouilla 
continuellement. Son imagination ne trouva de réponse 
à ma question. Je conclu qu'il tenta de nous brouiller 
par ses commentaires. Pour moi, tous ce qu'il nous 
eut dit ne fut qu'un leurre pour se valoriser. Je 
remarqua que son comportement eut une drôle de 
manière d'exprimer sa défaite, il rougit et prit ses doigts
 en bouche pour ronger ses oncles. Je vins de découvrir
sa réaction en cas de mensonge.
  Cette petite anecdote ne change rien a notre 
train-train quotidien. La vie suivit son cour et les jours 
enlacèrent les semaines. Les enfants se portèrent à 

166

merveille et Sylvie retrouva sa finesse d'autre fois. 
Notre maison eut pris une belle présentation avec 
toutes les finitions, quant au jardin, les fleurs 
l'embellirent de plus belle. Cette bienveillance fut 
l'artiste de la maison qui par son savoir faire 
jardinier en fit une valeur.
   Les deux frères s'en donnèrent à coeur joie sur le 
gazon comme sur les balançoires que je leur eu monté.
 La petite Claudine couché dans son landau papota 
des syllabes incompréhensible tout en tenant son 
ourson en peluche.


 suite au 8/8
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
A ce jour, 21 05 2020, 121 611 lecteurs.
A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs.
A ce jour, 19 10 2023, 185 522 lecteurs.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LA SOUPE SUR L’ÎLE DE PAG ( nouvelle 33 )