6/8 PRENDRE LE DROIT DE JUGER (roman sentimental n 6/8 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1









Suite n 6/8 de Prendre le droit 

de juger

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    Mes incapacités me suivirent jusqu’à la porte 
du printemps. Je m'occupai temps bien que mal 
de mes enfants, qui me firent oublier mes 
douleurs. Mon énergie de jadis fut oublié et 
les remarques de mon patron pas très 
encourageante. notre compte en banque
fut vide et construire une maison pour nous 
autre, il n’en fut plus question. En route vers
une défaite, mais qui resta un projet future.
    Le petit Jean reçut ses 2 ans , il fut propre 
et polie, un savoir vivre comme c'est écrit.
Les voisins le clamèrent a chaque rencontre. 
Claude suivit admirablement en classes. 
Sylvie tenta de trouver un emploi, pas facile 
en ce tant là. Nous nous eûmes dit  que la
marque sur son visage fut la raison de sa 
défaite. A chaque entretien, le regard des 

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employeurs la dévisagèrent. Après chaque 
défaite elle rentra en larme et désespéré, cela
ce lut sur son visage. Une blessure ne veut pas 
dire que le restant de la personne émet 
cette désinvolture dans les restant de son 
comportement. Au fond de son cœur y règne 
le partage d'une tendresse sans pareille. 
Cette remarque fut interprété par une dame qui
lui proposa de venir faire le ménage dans son 
magasin de vêtements le soir après sa fermeture
La vie reprit son cour, nous arrivâmes par dépenser
 moi que ce que l'on gagnais. La formule de la 
richesse en somme, ce qui redonna vie a nos projets.
  Les grande vacance nous ouvrèrent leur bras, je 
conclus de ne pas travailler et je pris des vacances 
comme tout le monde. Nous appréciâmes ce passage 
plus que tout et profitâmes pleinement de ce rêve qui 
nous enlaça.









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   Avec la joie, les jours passèrent plus rapidement 
cela se ressent. Nous reprîmes la routine du travail et 
tous les aléas qui le façonne.
   Jean se plut a l'école maternelle, pour sa première 
année. Il nous raconta ses journées d'une manière 
surprenante. Claude montât d'un classe et suivit ses 
coures avec attention. Sylvie continua son travail 
chez cette dame gentille et loyal.
   Avec ce roulement la vie devint une routine aucune 
embûche ne vint nous encombrer. Le déroulement 
de la vie nous traîna vers l'hiver et ses vigueurs. Un 
froid rigoureux qui n'aménagea  pas mon dos. Des 
journées de convalescence m’engluèrent au lit a 
la maison. La neige tomba et les intempéries  
limitèrent nos déplacements.
    Noel remplit de bonheur notre famille 
            En janvier, les soirées carnavalesque bâtèrent 
bon train. Ce fut une manière de chasser les mois 
d'hiver. Cette animation ne fut jamais dans nos 
habitudes mais a partir de là nous fêtâmes comme les

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 autres la venu du printemps. Ce fut  grâce a la 
patronne de Sylvie que nous fûmes engagé dans une 
soirée. Elle l'eut organisé dans une salle de fête 
de la ville et nous donna des invitations. Notre 
hésitation l'inquiéta elle demanda le pourquoi. De 
nature curieuse elle questionna Sylvie. La timidité 
de Sylvie eut hâte a répondre, mais elle lui expliqua 
que nos finances ne répondirent point pour un extra 
indispensable. Il nous fallut emprunter des costumes 
de déguisement et ce fut là notre  faiblesse. Elle 
proposa a Sylvie une robe qu'eut porté une de ses 
filles a un balle masqué et a moi un costume de pirate
que son mari porta l'année passé, il  m'alla a merveille. 
On demanda a ma sœurde garder les enfants. Pour 
elle se fut un honneur. Sylvie fut radieuse et les enfants
très marrant comme des princes charment devant leur 
maman.
   Pour faire valoir son costume elle sortie un collier
 de sa collection. Elle l'eut mise autour de son coup, 
une belle bague a sa main et une gourmette en or

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a un bras.Tous lui alla a merveille elle refléta la 
beauté et la grâce sans pareille. Personne ne remarqua 
sa cicatrise, mais toutes et tous restèrent ébloui par 
les bijoux. Le scintillement émit par ses bijoux attira 
la curiosité de sa patronne. Pour moi ils n'eurent que 
peut de valeur. Mais la patronne de Sylvie fut 
comme attiré.  Dire que nous côtoyons des personnes 
aisé et que notre niveau resta a désirer. Je ne fut 
pas rassuré certainement que cela se voyait sur mon 
comportement. Quant a Sylvie elle fit signe de les 
éviter, j'eus réfléchir, mais oui, elle eut du les 
reconnaître du temps de son travail chez l'Italien.
Ce fut une agréable soirée, mais comme se fut notre 
première sortie, une peur naquit, on pensa a nos 
enfants. Des préoccupations nous obligea de couper 
cour avant la fin de la soirée. Pour ne pas se faire 
remarquer, nous quittâmes le balle en même temps
 qu'un autre couple. Il fut 3 heures du matin que nous 
découvrîmes nos enfants plongé dans un profond 
sommeil ainsi que ma sœur allongé sur le canapé.

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      L'hiver disparut avec la venu du redoute. Avec 
beaucoup d’entrain j'eus commencé chez mon patron. 
Le portail restât clos et l'ensemble de mes 
compagnons de travail  se trouvèrent devant 
l’entreprise. L'établissement n'eut plus de signe  de 
vie. Une étrange préoccupation ne donna rien de 
concret il fut 11 heures le regroupement se dissipa petit
 a petit. Nous retournâmes a nos foyers.
       Une lettre recommandé avança nos préoccupations 
car nous sûmes que les dés furent jeté. Ma 
stupéfaction fut grande en apprenant mon licenciement. 
Une colère grogna en moi, elle vint de je ne sais où. 
Mon cœur s’emballa et une chaleur me fit 
transpirer. Toutes mes pensées ciblèrent l'injustice 
patronal. Avec la tête bien basse que je fit part de mon 
désarroi a Sylvie. 
   Quelques jours plus tard je pointai au bureau de 
ANPE . Je récoltai une petite somme d'argent non pas 
sans peine.Cela ne peut durer et je tendais de retrouver
un autre travail quitte a changer de branche même avec 

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une perte de salaire. Nos fond de caisse furent raclé. 
Ce que Sylvie gagna ne suffit point. Cela fit pas mal
de temps que  ma voiture fut vendu. Payer le loyer 
devient impensable.
   La dame qui employa Sylvie où des écots de notre 
pauvreté. Elle convoqua Sylvie pour lui faire une 
proposition de prêt pour nous dépanner. Cette solution
nous attira mais qu'allons nous lui donner en gage pour 
la somme qu'elle nous mit a disposition ? Sylvie proposa
 de lui donner la parure qu'elle eut porté le soir du 
balle masqué. La patronne accepta ce que nous lui 
proposâmes. Elle admira cette parure et proposa a Sylvie 
de lui donner 20000 francs supplémentaire car cette pièce 
le valut bien plus. Notre étonnement nous émerveilla. 
La patronne nous fit comprendre que 20000 francs ne 
représenta que le tiers de la valeur du bijou et quelle lui 
donnera que le lendemain la somme proposé J'eus calculé
 et, me rendis compte que cela représenta la valeur de 
deux années de travail. Nous n'en revenions point et j'eus
pleuré de joie. Dire que plusieurs autres bijoux restèrent 

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en notre possession ? Sylvie en fut étourdi, de toute cette 
valeur que lui eut donné Monsieur Léon dans des 
boites approprié et dans les quelles un papier justifiant 
les coordonnées de la propriétaire. Heureusement que 
nous eûmes gardé tous les bijoux. Cette semaine là 
tous marcha sur de bonne roulettes car j'eus trouvé un
emplois de chauffeur livreur dans un magasin de pièce 
détaché. 
Avec un J7 Peugeot je sillonnais notre région. La vie 
devient enchanteresse, nous pûmes se permettre tous 
nos envie et envisageâmes de construire notre maison.
     Durant mes tournées je ne ressenti n'y la fatigue et 
les douleurs. Ma guérison transforma mon moral et 
la gaieté mon bien être. J'eu envie d'exprimer mon 
bonheur avec autrui, j’emmenai avec moi des 
auto-stoppeuses ou auto-stoppeurs.
     J’appris a connaître ma région. Parfois d'apportai 
des pièces a des centre de personnes handicapées. 
Leur retard mental les limitèrent sur certaines actions. 
les instructeurs me firent comprendre que ces personnes

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là donnèrent un coup de main au déchargement.
      Les pièces ne furent pas lourde et n'importe qui put
 en porter plusieurs a la fois. Une personne a l’allure 
bizarre, aida a décharger la marchandise. En le 
regardant faire un doute sur ses capacités mentale 
m’intriquèrent. Il n'eut pris qu'un petit objet a 
chaque allée et venu. Son langage, a peine 
compréhensible me dit,
- As tu une cigarette ?
- Non, je ne fume pas lui dis je
  Il revient et me redemanda,
- As tu une cigarette?
- Non je ne fume pas, lui dis je
   A chaque  venu il me posa la même question et ma 
réponse devient un refrain. Je rentrai dans sa bulle 
et me dit que pour arrêter ce questionnaire je lui 
proposa une pièce de 5 Francs. 
- Voilà 5 francs pour que tu t’achètes un paquet de 
    cigarette.
   A l'époque avec 5 francs on put acheter 5 agglos de

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   20-50-20 cm. 
  Je lus dans son regard la naissance d'une joie et 
surtout l'entrain qu'il mit dans son travail car il pris 
deux paquets a la fois.
   Les journées passèrent et les semaines suivirent 
des rencontres et des aventures aussi. Les long trajets
 fur rare mais il m'arriva qu'un déplacement traversa
 la  frontière. Je partie a Bonn en Allemagne. Ce 
transport dura deux jours. J'emporta le nécessaire. 
Je du la rassurer au mieux et avec peine elle accepta 
ce déplacement.
    Le temps sec et chaud  fut de la partie. L'été fit 
refléter ses rayons sur le béton des autoroutes. Mes 
vitres entrouverte permirent de laisser entrer un peu 
d'air. Au bout de 4 heures de route je  fis un arrêt dans 
un restaurant. J'eus du mal a m'exprimer en 
Allemand et suivis la file dans le self-service. Une 
personne devant moi demanda a la serveuse ce qu'il 
désirait. Arriva mon tour, je lui fit
signe de servir la même chose. Mon plateau fut remplit: 

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il y eut, de la salade de pomme de terre, une saucisse 
cuite a l'eau, un gobelet en papier dans lequel se
trouva du café. On ci fait, il me resta encore 750 km a 
rouler. Comme prévu sans trots de retard je pris 
possession de la marchandise, deux caisses en bois 
d'une longueur de 2 mètres et large de cinquante et 
autant de hauteur chacune.
  L'urgence de la marchandise m'obligea de reprendre 
a route après l’arrêt obligatoire. Les hôtels n’eurent 
plus de place je continua sur l'autoroute là je peut me 
reposer sur les airs de repos. Arrivé a un air de repos 
une personne y fit du stop. Sur son sac a dos il eut pris
 place. La nuit tomba, peut de véhicules roulèrent.
 Une pancarte indiqua la direction qu'il dut prendre.
Je m'arrêtai a sa hauteur pour lui demander s'il 
aimerai rouler avec moi car j'allai dans cette 
direction. Je pensai que cette personne me parla en 
Allemand. Non, il me parla en anglais. Je tentai de
lui dire en Allemand que je ne parle pas l'anglais 
mais le Français. Il me répondit en français mais un 

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vieux français du Canada. Je lui expliqua qu'après 
quelques minutes de pose je repris la route et s'il veut
je lui permet de rentrer dans le J7.
Deux heures plus tard je voulu reprendre la route 
lorsque il m'eut demandé si je peut emmener l'Anglais 
qui attend là. Je n'eus que deux places mais, ci elle 
accepte de s’asseoir sur les caisses pas de problème
 je l’emmenai. Je lui fis confiance et il accepta mais 
pour parler en Anglais le Canadien fit le 
traducteur. Pour le retour il resta 700 km. Je sorti 
de l’autoroute pour trouver un restaurant. Il n'y eut 
peut de personne a table , la soirée se termina
allons nous recevoir a manger ? Comme la 
fermeture fut proche elle nous proposa de la salade 
de pomme de terre, une saucisse tiré de l'eau. En 
discutant a table on en rîmes a force de traduire de 
l'un a l'autre car aucun d'entre eu ne sut parler 
allemand. Nous roulâmes une partie de la nuit puis
deux se couchèrent sur les caisses et moi je restai au
 volant du J7. Nous repartions avec nos courbatures 

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au petit matin.
        La levé du soleil nous fit apercevoir la foret noir.
 Le Canadien me demanda ci effectivement les planches 
de ces forets furent noir.  Je lui dit que les sapin d'ici 
on la même couleur que chez lui. Avant d'arrivé a la 
frontière , prêt de Mulhouse, je leur souhaita une 
bonne continuation. Je suivi la file de véhicule que 
contrôlèrent les douaniers. Je passa comme si rien 
ne fut, je me suis dit mais, ci dans ces caisses il y eut 
des armes,personne ne l'eut contrôlé.
    A mon retour toute la famille me sauta au coup et 
je me rendis compte que le plus beau des déplacements
 ne veut pas une belle vie de famille. 

     Jean le petit bonhomme que j'appelai mon grand 
champion progressa de jour en jour. Claude en fit 
autant il vient de monter d'une classe. Sylvie me 
parut de plus en plus belle, le sourire de son visage
 cultiva l'amour que l'on partage en famille. Ma 
satisfaction ressembla a une satisfaction digne d'un 

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roi qui possède le plus beau pays du monde.
    L’automne présenta ses vœux par  la diminution 
des jours et par la perte des couleurs vertes des 
feuilles, le brins devint la couleur principal avec 
le gris du ciel. J'eus dans mon programme un 
transport de pièce pour un,centre de réadaptation
qui se trouva prêt de Thann distant d'environ 30 km 
de Mulhouse. Les feuilles morte jalonnai le sol, ils 
se replièrent en tas sur les cotés de la route. Leur 
légèreté les fit virevolter  a mon passage. Je les 
suivis dans mon rétroviseur et les vis tournoyer 
en large cercle. Ils représentèrent vie juste pour le  
plaisir de ma personne. Mon imagination se 
plaça sur une autre idée, celle de copier les belles 
maisons sur ma route.
   Ce fut en copiant que j'arrivai  à reproduire les 
bonnes idées sur notre future maison tout en 
incrustant une originalité. Je me trouvai dans le 
centre de institut où je du livrer ma marchandise. 
Des personnes en formation me déchargèrent le 

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véhicule. J'eus l’habitue de rencontrer ces 
personne et ne prêta attention a leur comportement. 
Parmi ce groupe de 10 personnes l'un d'entre eux 
vint me remercier pour ce que je lui eut donné? 
Sur le moment je pensai que lui donner de la 
marchandise a échanger en fut la raison. A chaque 
passage il me remercia, avec un sourire qui me fut 
attribué. Je ne reconnu pas se visage qui me fut 
inconnu. Il revint avec le même sourire de 
remerciement et me dit,
- Merci pour les 5 francs je me suis acheté des 
   cigarettes.
  Je me suis plus rappelé de son visage mais lui a gardé 
en souvenir le mien.
    Je quittai cet établissement avec beaucoup de pitié.
 Je continuai ma route vers Guebwiller pour livrer le 
restant de mon chargement puis jusqu’à Turckheim.
 J'empruntai la route du vin. Les vendanges tassèrent 
leur raisin et les coupeurs se donnèrent a cœur joie. 
Le soleil eut son ardeur et le ciel sa belle couleur 

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bleu. Comme des fourmis, la chaîne s’enchaîna
et le travail portai se fruits.
     Le vas et vient de cette foule fut impressionnant.
Toutes les personnes eurent le sourire la récolte dut être 
bonne. J'eus de l'avance ce jour là, je m’arrêta par 
moment. En se déplaçant, lentement le charme du 
paysage m'étourdis de bonheur. Le long de l'accotement,
 une personne marcha avec sur son dos un sac. Il me fit 
le signe de auto-stoppeur. La cartée du soleil fit refléter
 ses cheveux blond. Je ralentis et me plaçai a sa hauteur.
     Ce fut un homme d'environ 30 ans, avec des yeux bleu 
comme le reflet du ciel par beau temps. Il porta les 
habilles du marcheur parfait. Il me demanda,en 
Allemand ci je pus l’emmener a Séléstat, je l'aurai 
emmené mais ce fut un détour pour moi. Je lui proposa 
de l’emmener a Colmar qui se trouvai sur ma route.
   Sur le chemin ma curiosité me donna le courage 
d'entamer une conversation.Il ne fut pas bavard. Je 
m'exprimai en Allemand. il comprit mes paroles et je
réinterrogea sur son parcoure, question de curiosité. 

140

Comme ce marcheur dut connaître le Parc naturel 
régionale des Vosges il put m'expliquer son parcoure.
Il m’indiqua que son départ eut comme point Belfort 
et qu'il partie a 7 heures. Il traversa le ballon 
d'Alsace puis le grand ballon pour terminer a 
Turckheim a pied . 
   Je trouvai cette marche un peut longue, quelque 
chose ne colla pas car il ne fut que 16 heures. 
Certainement qu'il fit du vent pour se valoriser,
 dans sa tenu militaire. Je n'eus pas réfléchir par 
deux fois. Il n’arrêta plus de parler de ses exploits. 
Je fis comme si j'acceptai ses supercheries et le 
laissa continuer de parler comme si rien ne fut. Je 
lui demandai s'il eut une voiture a Sélestat ? Il me 
répondit que oui et que c'est une Audi 80 que des 
amis lui eurent laissé prêt de la gare de Sélestat en 
plus il ne connut pas l’immatriculation. 
  Le J7 continua sont chemin et les vignerons leur 
besognes. Le soleil continua de nous envoyer ses 
rayons et le ronronnement du moteur sa chanson. 

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Je voulu connaitre sa ville où il résidait. J'appris 
qu'il vint de Bonn . IL me questionna a son tour 
pour me demander d'où je vins sans hésité je lui eus 
dit , de Mulhouse. Il ne connut pas cette ville et m'eut 
questionné sur l'importance de la ville et ses 
infrastructures. Par contre les petits villages des Vosges 
il connu, blizzard. Dans ses explications il  me fit 
comprendre qu'il dut être le lendemain a Bonn. Je lui 
eus partagé mon déplacement a Bonn et les auto 
stoppeurs que j'eus transporté. Les bornes s'avalèrent 
avec les paroles et nous arrivâmes a Colmar. Je le 
déposai et récolta des remerciements de sa part. La 
montre de la gare indiqua 16 heures 20. Je pris la 
direction de Mulhouse pour y arriver vers 17 heures 
et placer le J7 sur le parking de l'entreprise. J'eus hâte 
de retrouver ma famille mais avant, j'eus lavé mon 
véhicule a moi puis j'eus prit la route du retour. Ma 
voiture fut équipé d'une radio, je la mis en route et 
écoutai les informations qui passèrent en boucle. 
J'eus passé derrière la gare de Mulhouse et là, la 

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route fut bloqué. Au information l'on eu dis qu'un 
corps fut trouvé dans le coffre d'une Audi 80 
immatriculé en Allemagne. A ce moment là, je transpirai 
de peur et d'incertitude. Mon imagination fit plus d'un 
tour et ci ce  fut la voiture que l'auto stoppeur eut dut 
chercher a Sélestat ? 
Les informations tournèrent même a la télévision ils 
en parlèrent. Je suivi les information sans avoir faim. 
L’importance de ce crime fut d'une gravité 
sans pareille. le lendemain matin les journaux 
écrivirent en première page la découverte de ce corps 
dans une Audi 80. Ils lancèrent une recherche sur 
d'éventuelle témoins qui eurent croisée des personnes
suspect. L’Allemagne offrit une importante prime pour
la personne qui les guiderait sur la piste des agresseurs.
 De réflexion en suppositions je ne fut plus la même 
personne.
    Les journées furent longue et qui aurai pu me 
conseiller. Le soir venu je restai sans appétit, Sylvie 
remarqua mon attitude. Je quittai la table et parti 

143

regarder les informations régional. Cette satané histoire 
garda le sommet de l’information. Ils précisèrent que de 
nombreux automobilistes eurent témoigné au poste de 
police que des auto-stoppeurs Allemand se trouvèrent
 sur les routes d'Alsace. Leurs témoignages effaçai en  
moi mes présomptions. Le lendemain Sylvie se réveilla 
avec moi, elle s'eu inquiété de mon comportement et me
questionna sur mon comportement. Je lui rapportai 
le parcoure et l'histoire de l'auto-stoppeur que j'eu
transporté. 
Ai je bien fait d’entraîner une autre personne dans mes 
suppositions ? Le soir venu nous suivirent les informations 
sur la télé Allemande et là, pas de doute, la somme 
proposé pour donner une information qui les guiderai
sur la piste sera récompensé d'une somme importante 
en DM. Mais, mon hésitation se basa sur les faits de jadis 
la où je fut accusé comme suspect dans la falsification
 d'un chéquier volé car les juges ne me prendront pas
au sérieux en plus la sécurité de ma famille en dépendra 
ne l’oublions pas. Deux personnes qui décidèrent ce fut 
mieux qu'une seule. 


suite au 7/8

Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM

Ecrit le 05 07 2017 remis a jour le 
26 02 2019
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur. 
A ce jour, 26 02 2019, 109675 lecteurs.
A ce jour, 26 10 2019, 116744 lecteurs.
A ce jour, 21 05 2020, 121 611 lecteurs.
A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs.
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