3/8 Prendre le droit de juger ( roman sentimental n 3/8 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
Dans notre appartement , Sylvie nous eut
attendu impatiemment. Je lui racontai notre
mésaventure malgré que mon patron l'eut avertie .
Elle espérai une bonne nouvelle mais quant je lui fit
part des remarques des médecins, elle se mit a
pleurer. Notre chagrin nous murai vers cette réalité
de la vie qui ne tient qu'a un fil. Le comma le retins
avec ses multiples blessures dans un sommeil profond.
Sa tête fut touché, des hémorragies un peu partout.
Il fut en vie qu'elle bonheur mais il y eut un espoir
pour que la fonction des membres restèrent intact.
Plusieurs journées de comma puis, son regard
sourit de nouveau, il arriva a dialoguer. Les médecins
nous firent comprendre qu'il ne put plus marcher et
fut paralysé pour le restant de sa vie. Il dut trouver
une personne qui put s'occuper de lui. Ses filles ne
se proposèrent point. Sylvie l'accepta sans rancune
mais par devoir et respect.
Nos économies ne furent pas lait, avec ce qu'elle
rapporta des samedis soir. Au début du mois j'eus
proposé a Sylvie d’arrêter ce travail là, et, elle
accepta de ne plus répondre aux invitations de fin
de semaine. Les écots de notre refus se fîmes sentir
a la fin du mois car notre loyer augmenta
grossièrement. Mais, une autre personne eut
remarqué son absence. Il tenta par tous les moyens de
la retrouver. Ce fut une copines qui vint la trouver et
lui fit part de l’inquiétude de Monsieur Léon. Dans
un petit mot, il eut précisé qu'il aima la revoir chez
lui. Sylvie n'eut présenté la lettre et nous primes un
Un roman en cour de construction, des changements
peuvent suivre.
suite n 3/8 de Prendre le droit
de juger
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attendu impatiemment. Je lui racontai notre
mésaventure malgré que mon patron l'eut avertie .
Elle espérai une bonne nouvelle mais quant je lui fit
part des remarques des médecins, elle se mit a
pleurer. Notre chagrin nous murai vers cette réalité
de la vie qui ne tient qu'a un fil. Le comma le retins
avec ses multiples blessures dans un sommeil profond.
Sa tête fut touché, des hémorragies un peu partout.
Il fut en vie qu'elle bonheur mais il y eut un espoir
pour que la fonction des membres restèrent intact.
Plusieurs journées de comma puis, son regard
sourit de nouveau, il arriva a dialoguer. Les médecins
nous firent comprendre qu'il ne put plus marcher et
fut paralysé pour le restant de sa vie. Il dut trouver
une personne qui put s'occuper de lui. Ses filles ne
se proposèrent point. Sylvie l'accepta sans rancune
mais par devoir et respect.
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Noël fut là après les trois ans de Claude,
une triste fête mais, l'amour pour les uns valurent
autant de joie pour touts autres. La beauté du sapin
brilla de mille lumière et le visage de l'oncle Pauli
ne sourit plus comme auparavant. Nous n'y prêtâmes
la moindre attention.
Le printemps fut revenu. Sylvie travailla dure. une triste fête mais, l'amour pour les uns valurent
autant de joie pour touts autres. La beauté du sapin
brilla de mille lumière et le visage de l'oncle Pauli
ne sourit plus comme auparavant. Nous n'y prêtâmes
la moindre attention.
Nos économies ne furent pas lait, avec ce qu'elle
rapporta des samedis soir. Au début du mois j'eus
proposé a Sylvie d’arrêter ce travail là, et, elle
accepta de ne plus répondre aux invitations de fin
de semaine. Les écots de notre refus se fîmes sentir
a la fin du mois car notre loyer augmenta
grossièrement. Mais, une autre personne eut
remarqué son absence. Il tenta par tous les moyens de
la retrouver. Ce fut une copines qui vint la trouver et
lui fit part de l’inquiétude de Monsieur Léon. Dans
un petit mot, il eut précisé qu'il aima la revoir chez
lui. Sylvie n'eut présenté la lettre et nous primes un
moments de réflexions.
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Elle reprit contacte par son interlocuteur pour faire
part de notre décision et précisa que les
rencontres se firent a la maison. Elle eut pris cette
décision pour que le Monsieur eut connu sa famille et
son train de vie. Une réponse suivit rapidement dans
laquelle Monsieur Léon lui proposa que ce fut elle
qui vint le trouver.
part de notre décision et précisa que les
rencontres se firent a la maison. Elle eut pris cette
décision pour que le Monsieur eut connu sa famille et
son train de vie. Une réponse suivit rapidement dans
laquelle Monsieur Léon lui proposa que ce fut elle
qui vint le trouver.
J'accompagnai Sylvie le lendemain, au soir a
l'adresse indiqué. Devant nous, un petit château
de petite taille, entouré d'arbres centenaire partagèrent
le paysage comme pour un conte de fées. Je m'eus
laissé séduire par cette féerie comme Sylvie. Je tirai
sur une poignée en forme de chat, cette action
entraîna une cloche qui résonna. Je me trouvai devant
une porte en chêne massif orné de nombreuses
sculptures qui représentèrent des ouvriers au
travail. La porte s'ouvrit, une petite personne se
présenta a nous. Devant une entré aussi grande
la personne parut petite. Je l'observai d'un air
questionneur autant qu'elle qui me scruta. On
là garda un sourire aimable puis nous eut dit,
- Bonne soirée Madame et Monsieur.
- Bonne soirée Madame, nous avons rendez-vous avec
monsieur Léon c'est de la part de Sylvie.
- J' irai vous le chercher, patientez.
Un Monsieur vint nous rejoindre, Sylvie me présentât
a Monsieur Léon comme ci je fut son frère. Je n'en
fut pas ci fière. Je les quittai sans rajouter de mot pour
retrouver rapidement le petit Claude et oncle Pauli.
La soirée fut pénible pour s’occuper d'une personne
alésé.
Ce fut vers 2 heures du matin que Sylvie revint.
Ce fut un taxi qui l'eut déposé. Je ne trouvai le
sommeil et l’attendis patiemment.
- Eus tu passé une bonne soirée avec Monsieur Léon
Sylvie ?
- Je ne me plein pas, et toi Jean ?
- Je n'eus que peut temps ça passa ci vite.
- Moi aussi car après ton départ, Monsieur Léon me
faire le tour de la maison. Je me laissai séduire par
la splendeur des meubles et surtout la hauteur et
la grandeur des pièces. Dans la vaste salle a manger
un dîné fut préparé par la personne qui nous eut
accueilli. Mes manières ne correspondirent aux bonnes,
la petite personne me fit signe pour chaque mauvaise
manipulation. Je me sentis ridicule et gène. Le langage
de cette dame fut, madame désir ceci, madame désir
cela, je n'en revins pas. Je m'abstins de répondre de
peur de dire un mot de travers. A la fin du repas,
monsieur Léon donna congé a cette personne. Ce vide
me donna le cafard. Je ne su entreprendre une
conversation. Monsieur Léon commença.
Il me demanda pour quelle raison je ne suis plus
revenu au restaurant du samedi soir. Je ne fus sous l
’influence de qui que se sois et lui fit part de mon
empêchement. Je ne mis de mensonge dans mes
explications. Je lui rapportai le comportement de
l'italien qui nous fit du chantage pour obtenir un
je m'occupai de l'oncle Pauli paralysé et de mon petit
Claude notre garçon.
Monsieur Léon restai attentif et silencieux. Je
m’allongeai sur le grand divan, comme pendant
les soirées du samedi soir. Il me suivi, j'eus commencé
par déshabiller mes vêtements, je m’arrêta au sous
vêtements. Il se plaça a coté de moi, puis, m'observa
et dit,
- Rhabilles toi Sylvie te voir me suffit, discuter avec
toi m'eus satisfait.
Je remis mes habilles et nous discutâmes de ceci
et cela. Minuit sonna, je lui demandai de pouvoir
rentrer. Il me fit don de ce bracelet que je porte et
me dit que dans les jours qui suivraient il réglait
l'histoire de notre appartement. Il téléphona a un taxi
qui me ramena.
Les visites de Sylvie continuèrent régulièrement
a raison de trois soirées par semaine, elle y passa
pas plus de deux heures puis revins avec un taxi.
déménageâmes dans un belle appartement plus
spacieuse et plus luxueux que le précédant. Il ne fut
plus question de payer un loyer, l'appartement devint
la propriété de Sylvie.
La santé de l'oncle Pauli devint critique, nous
dûmes l’hospitalisé d'urgence. Ses trois filles nous
détestèrent par une jalousie sur ce qui fut notre bien
être. Elles prétendîmes que tous nos biens provinrent
de la rente d’accident de travail que leur père obtînt.
La haine germe le fruit de la séparation, ce que nous
fîmes sans hésitation. Quant le pire joue avec la
maladie, la vie n'eut plus de prix et l'oncle Pauli
tomba dans un comma profond. Il n'entendit le
moindre son, ne nous regarda plus, et, ne bougea plus.
Ce fut Sylvie et moi qui dûmes faire toutes les
démarches et frais qui se suivirent. Notre fierté ne
chercha nul aide. Cette intention ne plus aux filles de
l'oncle Pauli elles nous haïrent bien plus. Après la
fin de l'enterrement, bien trois semaine plus tard, une
lettre de la sorte, remplit nos pensées d'inquiétude
car elle provint d'un avocat et du tribunal. Il fut
pensionné que tous nos biens appartinrent aux
héritières , les trois filles de l'oncle Pauli. Cette
information écrite, nous plongeâmes dans une peur
profonde. Serions nous sur le point de retrouver
le passé, la pauvreté, le mal être de nos 14 ans et
tous ce qui suit ? Les nuits ne nous portèrent nul
conseille malgré que le sommeil n'en prit qu'une
petite part. Cette défaite se lit sur le visage de Sylvie
et quant elle fut chez Monsieur Léon, sa langue
dévoila le malaise. Monsieur Léon eut remarqué son
mal être et resta attentif sur la plainte de
Sylvie. Monsieur Léon la rassura et lui fit comprendre
que tous ce qu'elle acquit de sa part reste le bien
de Sylvie. Toutes ces lettres recommandées ne
remplirent que la poche des avocats et ces personnes
la travaillèrent avec les droits mais, comme ils
se laissèrent guidé par les ont dit , ils en profitèrent
l'histoire donna tord aux trois filles méchante et sans
scrupule.
Monsieur Léon nous demanda s'il fallut
un soutient financier, nous le remerciâmes. Il fit
graver une belle plaque en marbre rose pour l'oncle
Pauli en y rajoutant notre non de famille, ( De la part
de la famille Droit ). Nous ne voulûmes lui dévoilé
que nous ne fume pas marier.
Nos dix huit ans se fêtèrent en grande pompe et
notre permis de conduire put être engagé. monsieur
Léon devins une partie de notre quotidien, car Sylvie
lui rendis régulièrement visite avec le petit Paul. Dans
la vie l'homme eut besoin de partage, de ce langage
que l'on distribuât autour de nous pour rendre
hommage a la vie.
Le petit Claude devint un garçonnet très
débrouillard et interposant. Il fut attiré par
PRENDRE LE DROIT DE JUGER
l'adresse indiqué. Devant nous, un petit château
de petite taille, entouré d'arbres centenaire partagèrent
le paysage comme pour un conte de fées. Je m'eus
laissé séduire par cette féerie comme Sylvie. Je tirai
sur une poignée en forme de chat, cette action
entraîna une cloche qui résonna. Je me trouvai devant
une porte en chêne massif orné de nombreuses
sculptures qui représentèrent des ouvriers au
travail. La porte s'ouvrit, une petite personne se
présenta a nous. Devant une entré aussi grande
la personne parut petite. Je l'observai d'un air
questionneur autant qu'elle qui me scruta. On
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s'observa de haut vers le bas et vis versa. Cette damelà garda un sourire aimable puis nous eut dit,
- Bonne soirée Madame et Monsieur.
- Bonne soirée Madame, nous avons rendez-vous avec
monsieur Léon c'est de la part de Sylvie.
- J' irai vous le chercher, patientez.
Un Monsieur vint nous rejoindre, Sylvie me présentât
a Monsieur Léon comme ci je fut son frère. Je n'en
fut pas ci fière. Je les quittai sans rajouter de mot pour
retrouver rapidement le petit Claude et oncle Pauli.
La soirée fut pénible pour s’occuper d'une personne
alésé.
Ce fut vers 2 heures du matin que Sylvie revint.
Ce fut un taxi qui l'eut déposé. Je ne trouvai le
sommeil et l’attendis patiemment.
- Eus tu passé une bonne soirée avec Monsieur Léon
Sylvie ?
- Je ne me plein pas, et toi Jean ?
- Je n'eus que peut temps ça passa ci vite.
- Moi aussi car après ton départ, Monsieur Léon me
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dit que tu me ressemblas beaucoup. Puis il n’emmenafaire le tour de la maison. Je me laissai séduire par
la splendeur des meubles et surtout la hauteur et
la grandeur des pièces. Dans la vaste salle a manger
un dîné fut préparé par la personne qui nous eut
accueilli. Mes manières ne correspondirent aux bonnes,
la petite personne me fit signe pour chaque mauvaise
manipulation. Je me sentis ridicule et gène. Le langage
de cette dame fut, madame désir ceci, madame désir
cela, je n'en revins pas. Je m'abstins de répondre de
peur de dire un mot de travers. A la fin du repas,
monsieur Léon donna congé a cette personne. Ce vide
me donna le cafard. Je ne su entreprendre une
conversation. Monsieur Léon commença.
Il me demanda pour quelle raison je ne suis plus
revenu au restaurant du samedi soir. Je ne fus sous l
’influence de qui que se sois et lui fit part de mon
empêchement. Je ne mis de mensonge dans mes
explications. Je lui rapportai le comportement de
l'italien qui nous fit du chantage pour obtenir un
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logement pour nous quatre. Je lui expliquai queje m'occupai de l'oncle Pauli paralysé et de mon petit
Claude notre garçon.
Monsieur Léon restai attentif et silencieux. Je
m’allongeai sur le grand divan, comme pendant
les soirées du samedi soir. Il me suivi, j'eus commencé
par déshabiller mes vêtements, je m’arrêta au sous
vêtements. Il se plaça a coté de moi, puis, m'observa
et dit,
- Rhabilles toi Sylvie te voir me suffit, discuter avec
toi m'eus satisfait.
Je remis mes habilles et nous discutâmes de ceci
et cela. Minuit sonna, je lui demandai de pouvoir
rentrer. Il me fit don de ce bracelet que je porte et
me dit que dans les jours qui suivraient il réglait
l'histoire de notre appartement. Il téléphona a un taxi
qui me ramena.
Les visites de Sylvie continuèrent régulièrement
a raison de trois soirées par semaine, elle y passa
pas plus de deux heures puis revins avec un taxi.
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Deux semaines passèrent et rapidement ontdéménageâmes dans un belle appartement plus
spacieuse et plus luxueux que le précédant. Il ne fut
plus question de payer un loyer, l'appartement devint
la propriété de Sylvie.
La santé de l'oncle Pauli devint critique, nous
dûmes l’hospitalisé d'urgence. Ses trois filles nous
détestèrent par une jalousie sur ce qui fut notre bien
être. Elles prétendîmes que tous nos biens provinrent
de la rente d’accident de travail que leur père obtînt.
La haine germe le fruit de la séparation, ce que nous
fîmes sans hésitation. Quant le pire joue avec la
maladie, la vie n'eut plus de prix et l'oncle Pauli
tomba dans un comma profond. Il n'entendit le
moindre son, ne nous regarda plus, et, ne bougea plus.
Ce fut Sylvie et moi qui dûmes faire toutes les
démarches et frais qui se suivirent. Notre fierté ne
chercha nul aide. Cette intention ne plus aux filles de
l'oncle Pauli elles nous haïrent bien plus. Après la
fin de l'enterrement, bien trois semaine plus tard, une
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lettre recommandé nous fut attribué. Recevoir unelettre de la sorte, remplit nos pensées d'inquiétude
car elle provint d'un avocat et du tribunal. Il fut
pensionné que tous nos biens appartinrent aux
héritières , les trois filles de l'oncle Pauli. Cette
information écrite, nous plongeâmes dans une peur
profonde. Serions nous sur le point de retrouver
le passé, la pauvreté, le mal être de nos 14 ans et
tous ce qui suit ? Les nuits ne nous portèrent nul
conseille malgré que le sommeil n'en prit qu'une
petite part. Cette défaite se lit sur le visage de Sylvie
et quant elle fut chez Monsieur Léon, sa langue
dévoila le malaise. Monsieur Léon eut remarqué son
mal être et resta attentif sur la plainte de
Sylvie. Monsieur Léon la rassura et lui fit comprendre
que tous ce qu'elle acquit de sa part reste le bien
de Sylvie. Toutes ces lettres recommandées ne
remplirent que la poche des avocats et ces personnes
la travaillèrent avec les droits mais, comme ils
se laissèrent guidé par les ont dit , ils en profitèrent
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pour récolter sur le dot d’autrui. La suite del'histoire donna tord aux trois filles méchante et sans
scrupule.
Monsieur Léon nous demanda s'il fallut
un soutient financier, nous le remerciâmes. Il fit
graver une belle plaque en marbre rose pour l'oncle
Pauli en y rajoutant notre non de famille, ( De la part
de la famille Droit ). Nous ne voulûmes lui dévoilé
que nous ne fume pas marier.
Nos dix huit ans se fêtèrent en grande pompe et
notre permis de conduire put être engagé. monsieur
Léon devins une partie de notre quotidien, car Sylvie
lui rendis régulièrement visite avec le petit Paul. Dans
la vie l'homme eut besoin de partage, de ce langage
que l'on distribuât autour de nous pour rendre
hommage a la vie.
Le petit Claude devint un garçonnet très
débrouillard et interposant. Il fut attiré par
tous ce qui lui parus curieux, instructif et étrange.
Nous humes beau lui acheter des jouets de toutes
expliqua qu'elle fait du ménage autre part, chez
monsieur Léon .
Nous humes beau lui acheter des jouets de toutes
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sorte, quant Sylvie manqua il s'inquiéta. Je luiexpliqua qu'elle fait du ménage autre part, chez
monsieur Léon .
La fin de l'année approcha, Sylvie eut une
invitation pour passer Noël en compagnie de
invitation pour passer Noël en compagnie de
monsieur Léon. Cette invitation nous
importuna car Claude fut attentif sur toutes
importuna car Claude fut attentif sur toutes
les fêtes qui se déroulèrent. Comme il fut a
l'école maternel , les questions de ses camarades
de classe le dénoncèrent. Nous reportâmes notre
Noël a nous, d'un jour. Je ressentis se soir la
l'absence de Sylvie plus que tout mais, le cacha
temps bien que mal. Le petit Claude n'eut rein
remarqué. Deux coups de sonnettes coururent notre
l'école maternel , les questions de ses camarades
de classe le dénoncèrent. Nous reportâmes notre
Noël a nous, d'un jour. Je ressentis se soir la
l'absence de Sylvie plus que tout mais, le cacha
temps bien que mal. Le petit Claude n'eut rein
remarqué. Deux coups de sonnettes coururent notre
soirée. L'étonnement nous éveilla. Devant la porte,
Sylvie, avec dans ses bras des paquets de toutes
grandeurs. Sylvie fut gâté par Monsieur Léon qui ne
voulu pas la retenir. Nous commençâmes notre
réveillon comme au temps de tante Nina et de l'oncle
en leur souvenir. Nous déballâmes les paquets que
beauté étincelante de pierres précieuses et de perles
blanche lui fut attribué. Pour le petit Claude, un
pantin en bois qui, fit des pas en cercle. Quelle joie
pour nous tous, j'eus une belle télévision un peut plus
Sylvie, avec dans ses bras des paquets de toutes
grandeurs. Sylvie fut gâté par Monsieur Léon qui ne
voulu pas la retenir. Nous commençâmes notre
réveillon comme au temps de tante Nina et de l'oncle
en leur souvenir. Nous déballâmes les paquets que
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Sylvie eut reçu de Monsieur Léon. Un collier d'unebeauté étincelante de pierres précieuses et de perles
blanche lui fut attribué. Pour le petit Claude, un
pantin en bois qui, fit des pas en cercle. Quelle joie
pour nous tous, j'eus une belle télévision un peut plus
sophistiqué qu'a l'époque de notre rencontre.
Tous les jours le petit Claude alla a l'école
accompagné a pied par Sylvie. Il eut droit car sa
propreté et son obéissance fut exemplaire. Sylvie
rencontra plusieurs mamans qui déposèrent leurs
enfants, des gens bien de famille aisé. Sylvie
imprégna leur comportement, elle put car financière
elle posséda tous les atouts. Comme nous habitâmes
un cartier chique il alla de paire que nous suivîmes
leur comportement. Une éponge eut effacé notre passé,
plu de nostalgie de ce passage lamentable.
Comme de coutume, Sylvie alla a l'école a
pied. Ce fut apprêt le repas au alentour de 14 heures,
il fut bon de partir un peu avant l'heure. Des discutions
purent être entamé avec d'autres personnes sur le
encadrer cette journée superbe. Une grosse voiture noir
vint a la hauteur de Sylvie. Par la vitre abbesse, le
conducteur cria
- Que fais tu là Sylvie ?
Sylvie ne donna pas de réponse et continua son
chemin. Elle eut honte et peur. Elle se retourna et
reconnu l'italien. La pas de Sylvie augmenta, pour
rejoindre l'école au plus vite.
- Attende moi Sylvie, tu n'as pas le droit de
m'oublier.
Rien n'y fait, Sylvie poursuivit son chemin. L'italien
sortie de la voiture et couru après elle. Le petit
Claude effrayé par ce personnage se mit a pleurer,
il eut du mal a suivre les pas de Sylvie. Une autre
maman vient a sa rencontre, là , l'italien reprit sa
voiture pour s’arrêter au niveau des deux mamans
et leur enfants. Il sortit de la voiture pour gifler
fortement Sylvie. Son visage fut marques, par cette
brutalité. Sylvie continua de courir en direction de
L'italien repris sa voiture, pour la dépasser et placer
la voiture en travers du parcoure de Sylvie. Bloqué,
elle ne sut que faire et, bouleversé eut tenté de
retrousser son chemin. L'italien armé d'un nerf de
beauf lui cria
a suivre a la page 99 au 4/8 Tous les jours le petit Claude alla a l'école
accompagné a pied par Sylvie. Il eut droit car sa
propreté et son obéissance fut exemplaire. Sylvie
rencontra plusieurs mamans qui déposèrent leurs
enfants, des gens bien de famille aisé. Sylvie
imprégna leur comportement, elle put car financière
elle posséda tous les atouts. Comme nous habitâmes
un cartier chique il alla de paire que nous suivîmes
leur comportement. Une éponge eut effacé notre passé,
plu de nostalgie de ce passage lamentable.
Comme de coutume, Sylvie alla a l'école a
pied. Ce fut apprêt le repas au alentour de 14 heures,
il fut bon de partir un peu avant l'heure. Des discutions
purent être entamé avec d'autres personnes sur le
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parcoure. Les oiseaux sifflèrent sur les branches, pourencadrer cette journée superbe. Une grosse voiture noir
vint a la hauteur de Sylvie. Par la vitre abbesse, le
conducteur cria
- Que fais tu là Sylvie ?
Sylvie ne donna pas de réponse et continua son
chemin. Elle eut honte et peur. Elle se retourna et
reconnu l'italien. La pas de Sylvie augmenta, pour
rejoindre l'école au plus vite.
- Attende moi Sylvie, tu n'as pas le droit de
m'oublier.
Rien n'y fait, Sylvie poursuivit son chemin. L'italien
sortie de la voiture et couru après elle. Le petit
Claude effrayé par ce personnage se mit a pleurer,
il eut du mal a suivre les pas de Sylvie. Une autre
maman vient a sa rencontre, là , l'italien reprit sa
voiture pour s’arrêter au niveau des deux mamans
et leur enfants. Il sortit de la voiture pour gifler
fortement Sylvie. Son visage fut marques, par cette
brutalité. Sylvie continua de courir en direction de
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l'école et le petit Claude suivi temps bien que mal.L'italien repris sa voiture, pour la dépasser et placer
la voiture en travers du parcoure de Sylvie. Bloqué,
elle ne sut que faire et, bouleversé eut tenté de
retrousser son chemin. L'italien armé d'un nerf de
beauf lui cria
- Sylvie reste la où tu es tu dois me rendre mes biens.
Elle ne répondit point. Pendant ce temps, l'autre
maman arriva a l'école et appela de l'aide. Sylvie
tira le petit Claude vers elle pour le protéger. Le nerf
de beauf siffla une première fois pour atteindre le
visage de Sylvie. Du sang coula sur
maman arriva a l'école et appela de l'aide. Sylvie
tira le petit Claude vers elle pour le protéger. Le nerf
de beauf siffla une première fois pour atteindre le
visage de Sylvie. Du sang coula sur
son visage. Le petit Claude hurla. L'italien redemanda
- Sylvie tu doit me rendre mes biens.
Elle ne répondit point et un nouveaux sifflement la
marqua.
marqua.
- Qui t' eut financé ton départ, dit le moi .
Sylvie lui dit en sanglot
- Personne m'a financé.
Une nouvelle volées de nerf de beauf trancha l'air
- Qui t'a financé
- Personne ne m'a donné quoi que ce sois.
Au loin, les sirènes de la police résonnèrent.
L'italien continua de frapper a plusieurs reprise sur
les deux corps couché sur le trottoir. Plongé dans sa
rage il ne sut rendu compte que la police fut arrivé
et continua ses agissements. Les agents coururent
vers l'agresseur et lui ordonnèrent de se rendre avec
les somations d'usage. Il n'y prêta attention, puis,
regarda autour de lui, se rendit compte qu'il fut
entouré, et, tenta de rejoindre sa voiture. Une seconde
voiture de police arriva a cette instant elle bloqua sa
fuite. De sa main il saisit une arme a feu de sa poche
et tira en direction de la police. Cette action eut des
répercutions car la police ripostât après les
sommations. Le silence se fit dans cette rue où plus
personne pour le moment ne s'y promena. Le corps
étendu de l'italien , perdit son sang, une mare l'entoura.
Des ambulances arrivèrent sur les lieux. Une emmena
hésitante car la victime eut vécu. Dans les fouilles
du véhicule suspect la police eut trouvé de la drogue
et d'autres éléments interdis.
Je fut contacté a mon lieu de travail pour que je
puisse rejoindre l'hôpital. Une peur m'ennivra en
envahissant mes pensées de propos anxieux. Le beau
visage de Sylvie fut marqué de toute cotés et le petit
Claude n'eut que de petit bobos mais fut traumatisé.
Le lendemain, les journaux n'eurent pas perdu la
plume, ils racontèrent les événements a la une. En
lisant le journal je me suis dit que Monsieur Léon le
lira aussi. Dans l’après midi je retrouva Sylvie a
l'hôpital et lui fit part des lignes du journal. Nous
conclûmes que je prévint Monsieur Léon. Dans les
moments qui suivirent un beau bouquet de roses
fut réceptionné pour Sylvie a l'hôpital de la parte de
monsieur Léon. Un petit teste écrit dit ceci ,
( un bon rétablissement de la part de Monsieur Léon.).
Une nouvelle volées de nerf de beauf trancha l'air
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pour frapper Sylvie et le petit Claude.- Qui t'a financé
- Personne ne m'a donné quoi que ce sois.
Au loin, les sirènes de la police résonnèrent.
L'italien continua de frapper a plusieurs reprise sur
les deux corps couché sur le trottoir. Plongé dans sa
rage il ne sut rendu compte que la police fut arrivé
et continua ses agissements. Les agents coururent
vers l'agresseur et lui ordonnèrent de se rendre avec
les somations d'usage. Il n'y prêta attention, puis,
regarda autour de lui, se rendit compte qu'il fut
entouré, et, tenta de rejoindre sa voiture. Une seconde
voiture de police arriva a cette instant elle bloqua sa
fuite. De sa main il saisit une arme a feu de sa poche
et tira en direction de la police. Cette action eut des
répercutions car la police ripostât après les
sommations. Le silence se fit dans cette rue où plus
personne pour le moment ne s'y promena. Le corps
étendu de l'italien , perdit son sang, une mare l'entoura.
Des ambulances arrivèrent sur les lieux. Une emmena
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Sylvie et le petit Claude quant a l'autre elle restahésitante car la victime eut vécu. Dans les fouilles
du véhicule suspect la police eut trouvé de la drogue
et d'autres éléments interdis.
Je fut contacté a mon lieu de travail pour que je
puisse rejoindre l'hôpital. Une peur m'ennivra en
envahissant mes pensées de propos anxieux. Le beau
visage de Sylvie fut marqué de toute cotés et le petit
Claude n'eut que de petit bobos mais fut traumatisé.
Le lendemain, les journaux n'eurent pas perdu la
plume, ils racontèrent les événements a la une. En
lisant le journal je me suis dit que Monsieur Léon le
lira aussi. Dans l’après midi je retrouva Sylvie a
l'hôpital et lui fit part des lignes du journal. Nous
conclûmes que je prévint Monsieur Léon. Dans les
moments qui suivirent un beau bouquet de roses
fut réceptionné pour Sylvie a l'hôpital de la parte de
monsieur Léon. Un petit teste écrit dit ceci ,
( un bon rétablissement de la part de Monsieur Léon.).
Quelques journées passé a l’hôpital puis elle en
des nouvelles de Sylvie. Cette visite nous
gratifiât mais, nous se sûmes la recevoir et surtout
qu'elle fut la raison de sa visite,
Une intuition contradictoire nous guida vers la
peur de leur avoir menti. La petite bonne nous fit
part que Sylvie manqua a Monsieur Léon et qu'il
aimerait la revoir avec impatience. Sylvie eut peur
pour la reprise de ses engagements chez son
bienfaiteur Monsieur Léon , le fait que son état de
santé et celui de sa beauté ne rivalisait plus avec le
passé. Il y eut encore les mensonges qu'elle cacha.
Il faut faire connaître la vérité sur le petit Claude
et Jean son compagnon. Sylvie fit part dans une
lettre que monsieur Léon put la revoir chez elle en
présence de sa famille.
Une réponde suivit, et Monsieur Léon accepta
notre invitation. Ce fut avec impatience que nous
l'attendîmes cette rencontre. Sylvie eut préparé
un gâteau digne de son apprentissage chez tante
l’harmonie de son savoir faire, cette petite astuce
pour noyer ce qu'elle eut caché. Le rajout d'un
magnifique bouquet de tulipe sur la table de l’entrée,
égailla le couloir. Ce sont les richesses des couleurs
et des bonne odeur qui effacèrent les traces de son
malheurs.
La sonnette retentit, pas de doute, monsieur
Léon se trouva derrière la porte d'entrée. Je trouva ma
place vers l'arrière et entre Sylvie et moi, le petit
Claude tint la jupe de sa maman. La porte s’ouvrit et
devant nous une personne bien présentable a l'allure
coquet tint dans sa main un magnifique bouquet de
fleurs emballé dans du papiers bleu. Une cravate
approprié au costume et a la chemise en soie,
donnèrent a cette homme les valeurs de son
importance. Sylvie l’invitât a rentre. Il donna deux
bisses a Sylvie, une autre au petit Claude et me sera
la main. Je le débarrassai de son bouquet et le
plaça dans un vase prêt de l'entrée a cote des tulipes.
courut dans sa direction et l'appela ,
- Tonton.
Un sourire se dessina sur le visage de Monsieur
Léon aussi bien que sur le mien. Un sentiment de
tendresse et d'affection naquit a cette instant. Je lui
fis signe de ma suivre dans la salle a manger. Le petit
Claude le suivit sans hésitation. Sylvie eut prit la
direction de la cuisine. Elle réapparut avec
dans ses mains, les préparations qu'elle posa sur
a table. D'une voix timide et embarrassée elle dit,
- Bonsoir Léon.
- Bonsoir Sylvie.
Répondit Monsieur Léon d'un air émue. Il l'observa
du haut vers le bas, puis lui sera la main sans trots
insister. Leur regard se croisèrent un cour instant,
puis, Sylvie me regarda d'un air questionneur, puis
elle se tourna vers le petit Claude.
- prenez place a table, là où bon vous semble.
Sylvie se plaça en face de Monsieur Léon, le petit
pris place a coté de Sylvie sur sa gauche.
L'enfant fut fière de ce trouver a cette place, a coté
de ce personnage qu'il ne cessa d'observer dans les
moindre détailles. Sylvie servi le gâteau sur des
assiettes de porcelaine. Nous parlâmes peut et
terminions nos morceaux sans s’attarder, le petit
Claude en eut fait autant.
- Tu viens Claude, c'est l'heure de se coucher.
Il suivit les ordres sans oublier de nous souhaiter
une bonne nuit et nous embrasser. Je ne souffla un seul
mot et attendis le retour de Sylvie. Elle prit place
puis dit,
- Merci Léon de venir a notre rencontre, j'eus sur le
cœur de nombreuses a exprimer. Tous ce que je t'eut
dit ne correspondait pas a la réalité. Je vais avoir
mes 18 ans, j'ai cette enfant et Jean c'est mon
compagnon depuis 5 années.
- Je le sus depuis longtemps par contre pour ton jeune
âge je reste étonné.
tu retrouver une vie normale ?
- Ma santé suit un bon chemin, comme celui de la
réussite qui retrouve pour un lendemain de paix. La
peur pour mon enfant fut plus grande que pour moi
Léon. Puis Monsieur Léon m'adressa la parole,
- Et vous Jean que vous a fait cette agression,
- Monsieur Léon, je pris peur sur le moment puis
quant je me suis rendu compte que le Petit Claude
et Sylvie ne furent que blessé, une joie ma
redonné espoir. Vous savez que notre passé a subit
beaucoup de défaites mais jamais d'abandons tous
nos intentions furent et seront constructif. on vas
vers nos 18 ans et nous devront affronter le vie
d'adulte. Un remerciement de ma part et de Sylvie
pour tous ce que vous eut fait pour nous trois.
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sortie. La petite bonne vient nous trouver pour prendredes nouvelles de Sylvie. Cette visite nous
gratifiât mais, nous se sûmes la recevoir et surtout
qu'elle fut la raison de sa visite,
Une intuition contradictoire nous guida vers la
peur de leur avoir menti. La petite bonne nous fit
part que Sylvie manqua a Monsieur Léon et qu'il
aimerait la revoir avec impatience. Sylvie eut peur
pour la reprise de ses engagements chez son
bienfaiteur Monsieur Léon , le fait que son état de
santé et celui de sa beauté ne rivalisait plus avec le
passé. Il y eut encore les mensonges qu'elle cacha.
Il faut faire connaître la vérité sur le petit Claude
et Jean son compagnon. Sylvie fit part dans une
lettre que monsieur Léon put la revoir chez elle en
présence de sa famille.
Une réponde suivit, et Monsieur Léon accepta
notre invitation. Ce fut avec impatience que nous
l'attendîmes cette rencontre. Sylvie eut préparé
un gâteau digne de son apprentissage chez tante
95
Nina. Le parfum de citron et d’orange signèrentl’harmonie de son savoir faire, cette petite astuce
pour noyer ce qu'elle eut caché. Le rajout d'un
magnifique bouquet de tulipe sur la table de l’entrée,
égailla le couloir. Ce sont les richesses des couleurs
et des bonne odeur qui effacèrent les traces de son
malheurs.
La sonnette retentit, pas de doute, monsieur
Léon se trouva derrière la porte d'entrée. Je trouva ma
place vers l'arrière et entre Sylvie et moi, le petit
Claude tint la jupe de sa maman. La porte s’ouvrit et
devant nous une personne bien présentable a l'allure
coquet tint dans sa main un magnifique bouquet de
fleurs emballé dans du papiers bleu. Une cravate
approprié au costume et a la chemise en soie,
donnèrent a cette homme les valeurs de son
importance. Sylvie l’invitât a rentre. Il donna deux
bisses a Sylvie, une autre au petit Claude et me sera
la main. Je le débarrassai de son bouquet et le
plaça dans un vase prêt de l'entrée a cote des tulipes.
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Personne n'ouvris la conversation. le petit Claudecourut dans sa direction et l'appela ,
- Tonton.
Un sourire se dessina sur le visage de Monsieur
Léon aussi bien que sur le mien. Un sentiment de
tendresse et d'affection naquit a cette instant. Je lui
fis signe de ma suivre dans la salle a manger. Le petit
Claude le suivit sans hésitation. Sylvie eut prit la
direction de la cuisine. Elle réapparut avec
dans ses mains, les préparations qu'elle posa sur
a table. D'une voix timide et embarrassée elle dit,
- Bonsoir Léon.
- Bonsoir Sylvie.
Répondit Monsieur Léon d'un air émue. Il l'observa
du haut vers le bas, puis lui sera la main sans trots
insister. Leur regard se croisèrent un cour instant,
puis, Sylvie me regarda d'un air questionneur, puis
elle se tourna vers le petit Claude.
- prenez place a table, là où bon vous semble.
Sylvie se plaça en face de Monsieur Léon, le petit
97
Claude sur le coté droit de Monsieur Léon et moi jepris place a coté de Sylvie sur sa gauche.
L'enfant fut fière de ce trouver a cette place, a coté
de ce personnage qu'il ne cessa d'observer dans les
moindre détailles. Sylvie servi le gâteau sur des
assiettes de porcelaine. Nous parlâmes peut et
terminions nos morceaux sans s’attarder, le petit
Claude en eut fait autant.
- Tu viens Claude, c'est l'heure de se coucher.
Il suivit les ordres sans oublier de nous souhaiter
une bonne nuit et nous embrasser. Je ne souffla un seul
mot et attendis le retour de Sylvie. Elle prit place
puis dit,
- Merci Léon de venir a notre rencontre, j'eus sur le
cœur de nombreuses a exprimer. Tous ce que je t'eut
dit ne correspondait pas a la réalité. Je vais avoir
mes 18 ans, j'ai cette enfant et Jean c'est mon
compagnon depuis 5 années.
- Je le sus depuis longtemps par contre pour ton jeune
âge je reste étonné.
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Ce qui m’inquiète c'est ta santé, comment vas tu, peuxtu retrouver une vie normale ?
- Ma santé suit un bon chemin, comme celui de la
réussite qui retrouve pour un lendemain de paix. La
peur pour mon enfant fut plus grande que pour moi
Léon. Puis Monsieur Léon m'adressa la parole,
- Et vous Jean que vous a fait cette agression,
- Monsieur Léon, je pris peur sur le moment puis
quant je me suis rendu compte que le Petit Claude
et Sylvie ne furent que blessé, une joie ma
redonné espoir. Vous savez que notre passé a subit
beaucoup de défaites mais jamais d'abandons tous
nos intentions furent et seront constructif. on vas
vers nos 18 ans et nous devront affronter le vie
d'adulte. Un remerciement de ma part et de Sylvie
pour tous ce que vous eut fait pour nous trois.
PRENDRE LE DROIT DE JUGER
Un roman en cour de construction, des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 27 10 2019, 116 801 lecteurs.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
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