3/8 Prendre le droit de juger ( roman sentimental n 3/8 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1

 suite n 3/8 de Prendre le droit 

de juger













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        Dans notre appartement , Sylvie nous eut 
attendu impatiemment.Je lui racontai notre 
mésaventure malgré que mon patron l'eut avertie .
 Elle espérai une bonne nouvelle mais quant je lui fit 
part des remarques des médecins, elle se mit a 
pleurer. Notre chagrin nous murai vers cette réalité 
de la vie qui ne tient qu'a un fil. Le comma le retins 
avec ses multiples blessures dans un sommeil profond. 
Sa tête fut touché, des hémorragies un peu partout. 
Il fut en vie qu'elle bonheur mais il y eut un espoir 
pour que la fonction des membres restèrent intact.
        Plusieurs journées de comma puis, son regard 
sourit de nouveau, il arriva a dialoguer. Les médecins 
nous firent comprendre qu'il ne put plus marcher et 
fut paralysé pour le restant de sa vie. Il dut trouver 
une personne qui put s'occuper de lui. Ses filles ne 
se proposèrent point. Sylvie l'accepta sans rancune 
mais par devoir et respect.

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                      Noël fut là après les trois ans de Claude, 
une triste fête mais, l'amour pour les uns valurent 
autant de joie pour touts autres. La beauté du sapin 
brilla de mille lumière et le visage de l'oncle Pauli
ne sourit plus comme auparavant. Nous n'y prêtâmes 
la moindre attention. 
     Le printemps fut revenu. Sylvie travailla dure. 
Nos économies ne furent pas lait, avec ce qu'elle 
rapporta des samedis soir. Au début du mois j'eus 
proposé a Sylvie d’arrêter ce travail là, et, elle 
accepta de ne plus répondre aux invitations de fin 
de semaine.Les écots de notre refus  se fîmes sentir 
a la fin du mois car notre loyer augmenta 
grossièrement. Mais, une autre personne eut 
remarqué son absence. Il tenta par tous les moyens de 
la retrouver. Ce fut une copines qui vint la trouver et 
lui fit part de l’inquiétude de Monsieur Léon. Dans 
un petit mot,il eut précisé qu'il aima la revoir chez 
lui. Sylvie n'eut présenté la lettre et nous primes un 
 moments de réflexions.

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   Elle reprit contacte par son interlocuteur pour faire 
part de notre décision et précisa que les 
rencontres se firent a la maison. Elle eut pris cette 
décision pour que le Monsieur eut connu sa famille et 
son train de vie. Une réponse suivit rapidement dans 
laquelle  Monsieur Léon lui proposa que ce fut elle 
qui vint le trouver.
       J'accompagnai Sylvie le lendemain, au soir a 
l'adresse indiqué. Devant nous, un petit château 
de petite taille, entouré d'arbres centenaire partagèrent
 le paysage comme pour un conte de fées. Je m'eus 
laissé séduire par cette féerie comme Sylvie. Je  tirai 
sur une poignée en forme de chat, cette action 
entraîna une cloche qui résonna. Je me trouvai devant
 une porte en chêne massif orné de nombreuses 
sculptures qui représentèrent des ouvriers au 
travail. La porte s'ouvrit, une petite personne se 
présenta a nous. Devant une entré aussi grande
 la personne parut petite. Je l'observai d'un air 
questionneur autant qu'elle qui me scruta. On 

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s'observa de haut vers le bas et vis versa. Cette dame 
là garda un sourire aimable puis nous eut dit,
- Bonne soirée Madame et Monsieur.
- Bonne soirée Madame, nous avons rendez-vous avec 
monsieur Léon c'est de la part de Sylvie.
- J' irai vous le chercher, patientez. 
   Un Monsieur vint nous rejoindre, Sylvie me présentât 
a Monsieur Léon  comme ci je fut son frère. Je n'en 
fut pas ci fière. Je les quittai sans rajouter de mot pour
 retrouver rapidement le petit Claude et oncle Pauli. 
La soirée fut pénible pour s’occuper d'une personne 
alésé.
      Ce fut vers 2 heures du matin que Sylvie revint. 
Ce fut un taxi qui l'eut déposé. Je ne trouvai le 
sommeil et l’attendis patiemment. 
- Eus tu passé une bonne soirée avec Monsieur Léon 
Sylvie ?
- Je ne me plein pas, et toi Jean ?
- Je n'eus que peut temps ça passa ci vite.
- Moi aussi car après ton départ, Monsieur Léon me 

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dit que tu me ressemblas beaucoup.Puis il n’emmena 
faire le tour de la maison. Je me laissai séduire par
la splendeur des meubles et surtout la hauteur et 
la grandeur des pièces. Dans la vaste salle a manger 
un dîné fut préparé par la personne qui nous eut 
accueilli. Mes manières ne correspondirent aux bonnes, 
la petite personne me fit signe pour chaque mauvaise 
manipulation. Je me sentis ridicule et gène. Le langage 
de cette dame fut, madame désir ceci, madame désir 
cela, je n'en revins pas. Je m'abstins de répondre de 
peur de dire un mot de travers. A la fin du repas, 
monsieur Léon donna congé a cette personne. Ce vide
me donna le cafard. Je ne su entreprendre une 
conversation. Monsieur Léon commença.
Il me demanda pour quelle raison je ne suis plus 
revenu au restaurant du samedi soir. Je ne fus sous l
’influence de qui que se sois et lui fit part de mon 
empêchement. Je ne mis de mensonge dans mes 
explications. Je lui rapportai le comportement de 
l'italien qui nous fit du chantage pour obtenir un 

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logement pour nous quatre. Je lui expliquai que 
je m'occupai de l'oncle Pauli paralysé et de mon petit 
Claude notre garçon. 
  Monsieur Léon restai attentif et silencieux. Je 
m’allongeai sur le grand divan, comme pendant 
les soirées du samedi soir. Il me suivi, j'eus commencé 
par déshabiller mes vêtements, je m’arrêta au sous 
vêtements. Il se plaça a coté de moi, puis, m'observa 
et dit,
- Rhabilles toi Sylvie te voir me suffit, discuter avec 
   toi m'eus satisfait.
  Je remis mes habilles et nous discutâmes  de ceci 
et cela. Minuit sonna, je lui demandai de pouvoir 
rentrer. Il me fit don de ce bracelet que je porte et 
me dit que dans les jours qui suivraient il réglait 
l'histoire de notre appartement. Il téléphona a un taxi 
qui me ramena.
           Les visites de Sylvie continuèrent régulièrement
 a raison de trois soirées par semaine, elle y passa 
pas plus de deux heures puis revins avec un taxi. 

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Deux semaines passèrent et rapidement ont 
déménageâmes dans un belle appartement plus 
spacieuse et plus luxueux que le précédant. Il ne fut 
plus question de payer un loyer, l'appartement devint 
la propriété de Sylvie.
           La santé de l'oncle Pauli devint critique, nous 
dûmes l’hospitalisé d'urgence. Ses trois filles nous 
détestèrent par une jalousie sur ce qui fut notre bien 
être. Elles prétendîmes que tous nos biens provinrent 
de la rente d’accident de travail que leur père obtînt. 
La haine germe le fruit de la séparation, ce que nous 
fîmes sans hésitation. Quant le pire joue avec la 
maladie, la vie n'eut plus de prix et l'oncle Pauli 
tomba dans un comma profond. Il n'entendit le 
moindre son, ne nous regarda plus, et, ne bougea plus.
Ce fut Sylvie et moi qui dûmes faire toutes les 
démarches et frais qui se suivirent. Notre fierté ne 
chercha nul aide. Cette intention ne plus aux filles de 
l'oncle Pauli elles nous haïrent bien plus. Après la 
fin de l'enterrement, bien trois semaine plus tard, une 

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lettre recommandé nous fut attribué. Recevoir une
lettre de la sorte, remplit nos pensées d'inquiétude 
car elle provint d'un avocat et du tribunal. Il fut 
pensionné que tous nos biens appartinrent aux 
héritières , les trois filles de l'oncle Pauli. Cette 
information écrite, nous plongeâmes dans une peur 
profonde. Serions nous sur le point de retrouver
le passé, la pauvreté, le mal être de nos 14 ans et 
tous ce qui suit ? Les nuits ne nous portèrent nul 
conseille malgré que le sommeil n'en prit qu'une
petite part. Cette défaite se lit sur le visage de Sylvie
 et quant elle fut chez Monsieur Léon, sa langue 
dévoila le malaise. Monsieur Léon eut remarqué son 
mal être et resta attentif sur la plainte de  
Sylvie. Monsieur Léon la rassura et lui fit comprendre 
que tous ce qu'elle acquit de sa part reste le bien 
de Sylvie. Toutes ces lettres recommandées ne 
remplirent que la poche des avocats et ces personnes 
la travaillèrent avec les droits mais, comme ils 
se laissèrent guidé par les ont dit , ils en profitèrent 

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pour récolter sur le dot d’autrui. La suite de 
l'histoire donna tord aux trois filles méchante et sans 
scrupule.
                        Monsieur Léon nous demanda s'il fallut 
un soutient financier, nous le remerciâmes. Il fit 
graver une belle plaque en marbre rose pour l'oncle 
Pauli en y rajoutant notre non de famille, ( De la part 
de la famille Droit ). Nous ne voulûmes lui dévoilé 
que nous ne fume pas marier.
    Nos dix huit ans se fêtèrent en grande pompe et 
notre permis de conduire put  être engagé. monsieur 
Léon devins une partie de notre quotidien, car Sylvie
lui rendis régulièrement visite avec le petit Paul. Dans 
la vie l'homme eut besoin de partage, de ce langage 
que l'on distribuât autour de nous pour rendre 
hommage a la vie.  
    Le petit Claude devint un garçonnet très 
débrouillard et interposant. Il fut attiré par
tous ce qui lui parus curieux, instructif et étrange. 
Nous humes beau lui acheter des jouets de toutes 

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sorte, quant Sylvie manqua il s'inquiéta. Je lui 
expliqua qu'elle fait du ménage autre part, chez 
monsieur Léon . 
    La fin de l'année approcha, Sylvie eut une 
invitation pour passer Noël en compagnie de
monsieur Léon. Cette invitation nous 
importuna car Claude fut attentif sur toutes 
les fêtes qui se déroulèrent. Comme il fut a 
l'école maternel , les questions de ses camarades
 de classe le dénoncèrent. Nous reportâmes notre 
Noël a nous, d'un jour. Je ressentis se soir la 
l'absence de Sylvie plus que tout mais, le cacha 
temps bien que mal. Le petit Claude n'eut rein 
remarqué. Deux coups de sonnettes coururent notre 
soirée. L'étonnement nous éveilla. Devant la porte, 
Sylvie, avec dans ses bras des paquets de toutes 
grandeurs. Sylvie fut gâté par Monsieur Léon qui ne 
voulu pas la retenir. Nous commençâmes notre 
réveillon comme au temps de tante Nina et de l'oncle
 en leur souvenir. Nous déballâmes les paquets que 

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Sylvie eut reçu de Monsieur Léon. Un collier d'une 
beauté étincelante de pierres précieuses et de perles 
blanche lui fut attribué. Pour le petit Claude, un 
pantin en bois qui, fit des pas en cercle. Quelle joie 
pour nous tous, j'eus une belle télévision un peut plus 
sophistiqué  qu'a l'époque de notre rencontre.
            Tous les jours le petit Claude alla a l'école 
accompagné a pied par Sylvie. Il eut droit car sa 
propreté et son obéissance fut exemplaire. Sylvie 
rencontra plusieurs mamans qui déposèrent leurs 
enfants, des gens bien de famille aisé. Sylvie 
imprégna leur comportement, elle put car financière 
elle posséda tous les atouts. Comme nous habitâmes 
un cartier chique il alla de paire que nous suivîmes
 leur comportement. Une éponge eut effacé notre passé,
 plu de nostalgie de ce passage lamentable. 
            Comme de coutume, Sylvie alla a l'école a 
pied. Ce fut apprêt le repas au alentour de 14 heures, 
il fut bon de partir un peu avant l'heure. Des discutions 
purent être entamé avec d'autres personnes sur le 

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parcoure. Les oiseaux sifflèrent sur les branches, pour 
encadrer cette journée superbe. Une grosse voiture noir
vint a la hauteur de Sylvie. Par la vitre abbesse, le 
conducteur cria 
- Que fais tu là Sylvie ?
      Sylvie ne donna pas de réponse et continua son 
chemin. Elle eut honte et peur. Elle se retourna et 
reconnu l'italien. La pas de Sylvie augmenta, pour 
rejoindre l'école au plus vite. 
- Attende moi Sylvie, tu n'as pas le droit de 
   m'oublier.
  Rien n'y fait, Sylvie poursuivit son chemin. L'italien 
sortie de la voiture et couru après elle. Le petit 
Claude effrayé par ce personnage se mit a pleurer, 
il eut du mal a suivre les pas de Sylvie. Une autre 
maman vient a sa rencontre, là , l'italien reprit sa 
voiture pour s’arrêter au niveau des deux mamans 
et leur enfants. Il sortit de la voiture pour gifler 
fortement Sylvie. Son visage fut marques, par cette 
brutalité. Sylvie continua de courir en direction de 

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l'école et le petit Claude suivi temps bien que mal. 
L'italien repris sa voiture, pour la dépasser et placer 
la voiture en travers du parcoure de Sylvie. Bloqué, 
elle ne sut que faire et, bouleversé eut tenté de 
retrousser son chemin. L'italien armé d'un nerf de 
beauf lui cria
- Sylvie reste la où tu es tu dois me rendre mes biens.
    Elle ne répondit point. Pendant ce temps, l'autre 
maman arriva a l'école et appela de l'aide. Sylvie 
tira le petit Claude vers elle pour le protéger. Le nerf 
de beauf siffla une première fois pour atteindre le 
visage de Sylvie. Du sang coula sur
son visage. Le petit Claude hurla. L'italien redemanda
- Sylvie tu doit me rendre mes biens.
  Elle ne répondit point et un nouveaux sifflement la 
marqua. 
- Qui t' eut financé ton départ, dit le moi .
      Sylvie lui dit en sanglot 
- Personne m'a financé.
Une nouvelle volées de nerf de beauf trancha l'air 

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pour frapper Sylvie et le petit Claude.
- Qui t'a financé
- Personne ne m'a donné quoi que ce sois.
           Au loin, les sirènes de la police résonnèrent. 
L'italien continua de frapper plusieurs reprise sur 
les deux corps couché sur le trottoir. Plongé dans sa 
rage il ne sut rendu compte que la police fut arrivé 
et continua ses agissements. Les agents coururent 
vers l'agresseur et lui ordonnèrent de se rendre avec 
les somations d'usage. Il n'y prêta attention, puis, 
regarda autour de lui, se rendit compte qu'il fut 
entouré, et, tenta de rejoindre sa voiture. Une seconde 
voiture de police arriva a cette instant elle bloqua sa 
fuite. De sa main il saisit une arme a feu de sa poche
 et tira en direction de la police. Cette action eut des 
répercutions car la police ripostât après les 
sommations. Le silence se fit dans cette rue où plus 
personne pour le moment ne s'y promena. Le corps 
étendu de l'italien , perdit son sang, une mare l'entoura. 
Des ambulances arrivèrent sur les lieux. Une emmena 

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Sylvie et le petit Claude quant a l'autre elle resta 
hésitante car la victime eut vécu. Dans les fouilles 
du véhicule suspect la police eut trouvé de la drogue 
et d'autres éléments interdis. 
   Je fut contacté a mon lieu de travail pour que je 
puisse rejoindre l'hôpital. Une peur m'ennivra en 
envahissant mes pensées de propos anxieux. Le beau 
visage de Sylvie fut marqué de toute cotés et le petit 
Claude n'eut que de petit bobos mais fut traumatisé.
 Le lendemain, les journaux n'eurent pas perdu la 
plume, ils racontèrent les événements a la une. En 
lisant le journal je me suis dit que Monsieur Léon le 
lira aussi.  Dans l’après midi je retrouva Sylvie a 
l'hôpital et lui fit part des lignes du journal. Nous 
conclûmes que je prévint Monsieur Léon. Dans les
 moments qui suivirent un beau bouquet de roses
 fut réceptionné pour Sylvie a l'hôpital de la parte de 
monsieur Léon. Un petit teste écrit dit ceci ,
( un bon rétablissement de la part de Monsieur Léon.).
         Quelques journées passé a l’hôpital puis elle en 

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sortie. La petite bonne vient nous trouver pour prendre
 des nouvelles de Sylvie. Cette visite nous 
gratifiât mais, nous se sûmes la recevoir et surtout 
qu'elle fut la raison de sa visite,
     Une intuition contradictoire nous guida vers la 
peur de leur avoir menti. La petite bonne nous fit 
part que Sylvie manqua a Monsieur Léon et qu'il 
aimerait la revoir avec impatience. Sylvie eut peur
 pour la reprise de ses engagements chez son 
bienfaiteur Monsieur Léon , le fait que son état de 
santé et celui de sa beauté ne rivalisait plus avec le 
passé. Il y eut encore les mensonges qu'elle cacha. 
Il faut faire connaître la vérité sur le petit Claude
 et Jean son compagnon. Sylvie fit part dans une 
lettre que monsieur Léon put la revoir chez elle en 
présence de sa famille. 
       Une réponde suivit, et Monsieur Léon accepta 
notre invitation. Ce fut avec impatience que nous 
l'attendîmes cette rencontre. Sylvie eut préparé
 un gâteau digne de son apprentissage chez tante 

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Nina. Le parfum de citron et d’orange signèrent 
l’harmonie de son savoir faire, cette petite astuce 
pour noyer ce qu'elle eut caché. Le rajout d'un 
magnifique bouquet de tulipe sur la table de l’entrée, 
égailla le couloir. Ce sont les richesses des couleurs 
et des bonne odeur qui effacèrent les traces de son
 malheurs.  
      La sonnette retentit, pas de doute, monsieur 
Léon se trouva derrière la porte d'entrée. Je trouva ma 
place vers l'arrière et entre Sylvie et moi, le petit 
Claude tint la jupe de sa maman. La porte s’ouvrit et 
devant nous une personne bien présentable a l'allure 
coquet tint dans sa main un magnifique bouquet de 
fleurs emballé dans du papiers bleu. Une cravate 
approprié au costume et a la chemise en soie, 
donnèrent a cette homme les valeurs de son 
importance.  Sylvie l’invitât a rentre. Il donna deux 
bisses a Sylvie, une autre au petit Claude et me sera 
la main. Je le débarrassai de son bouquet et le
plaça dans un vase prêt de l'entrée a cote des tulipes. 

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Personne n'ouvris la conversation. le petit Claude 
courut dans sa direction et l'appela ,
- Tonton.
Un sourire se dessina sur le visage de Monsieur 
Léon aussi bien que sur le mien. Un sentiment de 
tendresse et d'affection naquit a cette instant. Je  lui 
fis signe de ma suivre dans la salle a manger. Le petit 
Claude le suivit sans hésitation. Sylvie eut prit la 
direction de la cuisine. Elle réapparut avec 
dans ses mains, les préparations qu'elle posa sur 
a table. D'une voix timide et embarrassée elle dit,
- Bonsoir Léon.
- Bonsoir Sylvie.
    Répondit Monsieur Léon d'un air émue. Il l'observa 
du haut vers le bas, puis lui sera la main sans trots 
insister. Leur regard se croisèrent un cour instant, 
puis, Sylvie me regarda d'un air questionneur, puis 
elle se tourna vers le petit Claude. 
- prenez place a table, là où bon vous semble.
  Sylvie se plaça en face de Monsieur Léon, le petit 

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Claude sur le coté droit de Monsieur Léon et moi je 
pris place a coté de Sylvie sur sa gauche.
 L'enfant fut fière de ce trouver a cette place, a coté 
de ce personnage qu'il ne cessa d'observer dans les 
moindre détailles. Sylvie servi le gâteau sur des 
assiettes de porcelaine. Nous parlâmes peut et 
terminions nos morceaux sans s’attarder, le petit 
Claude en eut fait autant.
- Tu viens Claude, c'est l'heure de se coucher.
  Il suivit les ordres sans oublier de nous souhaiter 
une bonne nuit et nous embrasser. Je ne souffla un seul 
mot et attendis le retour de Sylvie. Elle prit place 
puis dit,
-  Merci Léon de venir a notre rencontre, j'eus sur le 
cœur de nombreuses a exprimer. Tous ce que je t'eut 
dit ne correspondait pas a la réalité. Je vais avoir 
mes 18 ans, j'ai cette enfant et Jean c'est mon 
compagnon depuis 5 années. 
- Je le sus depuis longtemps par contre pour ton jeune 
    âge je reste étonné.

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Ce qui m’inquiète c'est ta santé, comment vas tu, peux
 tu retrouver une vie normale ? 
- Ma santé suit un bon chemin, comme celui de la 
réussite qui retrouve pour un lendemain de paix.  La 
peur pour mon enfant fut plus grande que pour moi 
Léon. Puis Monsieur Léon  m'adressa la parole,
- Et vous Jean que vous a fait cette agression, 
- Monsieur Léon, je pris peur sur le moment puis 
quant je me suis rendu compte que le Petit Claude 
et Sylvie ne furent que blessé, une joie ma 
redonné espoir. Vous savez que notre passé a subit 
beaucoup de défaites mais jamais d'abandons tous 
nos intentions furent et seront constructif. on vas 
vers nos 18 ans et nous devront affronter le vie 
d'adulte. Un remerciement de ma part et de Sylvie 
pour tous ce que vous eut fait pour nous trois.


a suivre au 4/8  page 100 de
 PRENDRE LE DROIT DE JUGER


Un roman en cour de construction, des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
a ce jour, 27 10 2019, 116 801 lecteurs.
A ce jour, 21 05 2020, 121 611 lecteurs.
A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs.

A ce jour, 19 10 2023, 185 522 lecteurs. 

A ce jour, 15 12 2023, 191 084  lecteurs.



 être pour paraître


Jean Jacques Mutz

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