8/8 Prendre le droit de juger ( roman sentimental n 8/8 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1

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 l'augmentation des jours me permit, par beau temps 
d'apprécier la vie en plein air. Cela me changea du 
rythme de la ville et l'agréable c'eût se marier avec le 
bien être. Nous Habitâmes dans un lotissement et une
vie semblable a celle de la cité d'urgence nous entoura 
mais, dans un luxe bien plus raisonnable. Nous eûmes 
baptisé la maison de ( Nina et Pauli). Nous passâmes 
nos première vacances dans cette habitation sans 
chercher à trouver meilleur autre part. Une piscine 
gonflable fut placé sur le gazon, notre mer a nous. La 
joie des enfants nous enlaça aussi bien que ces belles
 journées eurent passé trop vite et le travail reprit.

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   Comme dans le passé notre petite pause nous 
entraîna vers des aventures de l'un ou de l'autre. 
Jérémie parla de drague sans relâche comme un 
tombeur de fille. Comme d'habitude je restai jusqu'à 
la fin et lui,
     - Jérémie ne raconte pas de sornettes, tu n'as pas 
        besoin de te mettre en valeur avec tes histoires 
         inventés, personne ne crois tes salades  cela 
          te ridiculise.
    Son visage se changea et il recommença par ronger 
ses ongles. Je vins de le contrarier cela tu le blesser ? 
Ce garçon a toutes les qualités du travailleur parfait, 
par sa ponctualité et son professionnalisme. Je ne 
trouve point de reproche pourtant il fait cela 
certainement par complexe ?

                 l'hiver approcha, la petite Claudine fit ses 
premiers pas. Les discutions durant la pause-café 
continuèrent. Jérémie posséda une voiture, une R5 
bleue. Pour épater son voisinage il se laissa pousser 

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les cheveux en les laissant en bataille. Serai ce la 
nouvelle vaque pour épater la galerie ? L'acquisition 
de son véhicule augmenta ces dépenses et un petit 
manque a gagner vient le déstabiliser. Cette faiblesse 
se marqua par son comportement. Il ne mangea plus 
comme avant et se priva de pas mal d'habitude. Je 
n'en tiens pas compte et ne filtrai mon attention. Mais 
un jour, j'eus remarqué une anomalie sur son 
comportement. Sa nervosité me laissa songeur, il n'eut 
rien prononcé de travers pour quelle raison se
comportait il de cette sorte ? J'acquis une attention 
questionneur, peut être par curiosité ? Oui mais 
comment ma curiosité pourra telle se ravitailler. 
Je tins de lui poser des questions,
     - Tu n'es pas bien dans ta peau Jérémie qu'as-tu à 
        te reprocher, as tu des problèmes de finance ?
     - Oui, je me suis fourré dans des crédits que je 
        n'arrive a gérer.
  Donc voilà la source de ses problèmes, ce sont les 
finances qui le déstabilise. J'aimerai l'aider par une

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petite somme d'argent, mais, j'ai trois enfants et il a 
le même revenu que moi a lui tout seul? Pour quelle 
raison n'arrive il à finir les fins de mois? Je lui 
proposa quelques conseils pour gérer ses fins de mois,
     - Jérémie tente de trouver une concubine qui t'est 
        fidèle car changer souvent de partenaire ce n'est 
        pas bon. Ci tu en trouve une qui a une voiture ça 
        te soulagerai d'une dépense et de combler tes 
        crédits. Tu te sentira plus présentable et plus 
         économie.
   Il suivie mes conseils, certainement qu'il eut trouvé 
une chaussure à son pied,ce fut ce qu'il me fit 
comprendre quelques jours plus tard.

          Dans mon entourage familial tous fonctionna à 
merveille. Les enfants me cachèrent , derrière leur 
gentillesses un service qui dépendra de ma volonté.
    - Papa , me soufflait Claude, on aimerait un chien 
       dans la maison
    - Je demanderai l'avis de votre maman je n'ai rien

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        contre.
   Je ne trouvai de contradiction avec Sylvie et on leur
 accordâmes cette demande.
    - Oui mais, où allons nous trouver un chien les 
      enfants?
  Cette question les rendit heureux car entreprendre 
les recherches d'un chien ça c'est du sérieux. 
Claude eu plus d'un tour dans son sac car il fut le 
premier à proposer,
     - Mais papa à la SPA, là où ils recueille des animaux
        abandonné.
     - C'est bon les enfants en route pour la recherche , le
        compte a rebours fut lancé pour samedi. 
   Ce samedi là nous partîmes au recueille des animaux 
abandonné. Ce jour-là la faim ne trouva preneur et les 
enfants parlèrent de la couleur du chien qu'ils 
voulurent acquérir.
 Jean dit,
     - C'est un petit chien blanc.
 Claude fut plus précis,

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     - J'aimerai un berger Allemand.
  Pour Sylvie,
     - Un animal propre et obéissant.
  La petite Claudine ne trouva de commentaire elle ne 
sut point de quelle question nous allâmes engager. La 
joie sonna dans le coeur de toute la famille et la
 traversé de la ville nous encouragea. Nous arrivâmes
devant la SPA où nous stationnâmes notre véhicule. 
Pour parvenir jusqu'au bureau, nous empruntâmes une 
grande allée bordée de rosiers jaune. Les hauts arbres 
commencèrent par se dégarnir de leur feuilles qui pour
 un dernier envole moururent au sol. Un vent froid
 souffla en produisant un sifflement aigu. Aux pieds des
 rosiers de petit tas de fumier furent répartie. 
L'approche de l'arrière saison s'annonça. Nous 
parcourûmes une bonne centaine de mètres avant 
d'arriver aux cages où se trouvèrent les chiens. 
   Notre venu fut repéré par l'ensemble des chiens qui  
aboyèrent sans relâche. Devant les boxes nos regards 
se croisèrent car le chois fut impressionnant point de 

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vue couleurs, grandeurs ou races. Les tailles 
différèrent, cette attention plaça les grands dans des 
boxes adaptés, mais leur espace ne dépassa pas deux
 mètres carré. 
   Nos garçons restèrent songeurs devant cette 
multitude de brave bêtes qui nous observèrent et 
aboyèrent pour que nous leur prêtions attention. 
Devant chaque boxe, l'animal nous demanda grâce
par sa queue qu'il gesticula sans relâche. Les deux 
garçons restèrent collé devant chaque cage. Ils ne 
surent se décider et une mésentente créât une 
dispute. Je reconnu que même moi j'eus du mal a 
décider. Sylvie fut sollicité et là, elle aussi eut du mal 
a décider. Nous primes contacte avec le responsable 
pour qu'il puisse  nous conseiller ? Avant de nous 
présenter un chien qui pourrait nous convenir, il nous 
expliqua que des vagues d'abandons suivent le cour des
 saisons. La plus grande partie ce fut pendant la période
d'été. Nous le suivions tout en écoutant son discoure. 
Voilà que dans un coin d'une cage, tout recoquille sur 

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lui même, une petit chien garda de se faire remarquer.
 En le regardant je me suis dis qu'il dut penser cela 
( Ils ne voudront pas de moi car je suis trots lai, cela 
ne vaux pas la peine que je me faits remarquer.) 
Sylvie le vie aussi et le regarda d'un air de pitié.  
Notre attention ne le fit point bouger. Il restât blottie 
dans son coin attaché a sa tristesse. Ses yeux 
reluisaient un éclat de pitié, ou plus tôt d'hypnotisme 
animal. Ne serai se pas une feinte de sa part ? 
Toujours fut il qu'une tristesse nous envahit et toute 
la famille restât bouche bée devant l'animal. Au bout 
de deux minutes, il lev sa tête pour nous observer l'un 
après l'autre.Jean prononça en premier un non,
- Bobi 
Et le voilà bâtisse car, au son de se non il se leva avec 
hâte et gambadait sans relâche.
    Après l'avoir lavée et séché, l'odeur du chenil eut 
disparu. Son poil brin redevient soyeux et brillant. 
l'animal remarqua l'importance que l'on lui accorda 
car il se laissa faire sans montrer de signe de révolte. 

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Se nouveau venu devient la pièce maîtresse de notre 
encadrement familiale. Notre voisinage le respecta 
comme nous tous. Avec Bobi, les journée passèrent
bien vite. Sa propreté fut exemplaire et Sylvie 
l'accepta avec fierté. Vous allez me demander sa 
grandeur, il ne dépassa pas le genou de Sylvie quant
a son poile, noir et blanc, fut bouclé comme un mouton. 
Sylvie eut réussi a lui faire rapporter le journal et le 
courrier. 
   
       Je fut très attentif aux informations régional, qui, 
paraissaient dans le journal local. Certains faits me 
choquèrent profondément surtout ci ce fut un jeune 
enfant retrouvé assassiné. Ce crime eut choqué un 
grand nombre d'entre nous car on en parla durant les 
pauses café. le jour suivant, le meurtrie fut trouvé.
  Les détailles de l'acharnement nous bouleversèrent 
tous. Nous tentâmes de trouver le pourquoi de son 
acte ? De ce raisonnement, nous lui souhaitâmes 
plusieurs sorte de peines a cette homme. Chacun 

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de nous eut sa façon différente d'imposer une 
condamnation. 
  Au fil des jours, cette histoire s'oublia.
  Un collègue de travail nous proposa de faire une 
projection de films pornographique dans la salle de jeux 
de mon garage. Avec la technique d'un super 8 que 
la projection sur l'écran blanc alla nous honorer la 
soirée. 
   A l'époque cette projection ne fut pas autorisé et les
 films interdis a la vente. Par l'intermédiaire d'un 
chauffeur allant de temps a autre en Suède nous
options de ces films là. Tous les collègue de travail 
vinrent se retrouver accompagné de leur concubine. 
Un seul n'eut de compagne, ce fut Jérémie. On lâcha 
de nombreuses réflexions qui partirent en partie de 
rigolade. la bonne humeur alla de paire avec une 
soirée bien arrosé.
   Au milieux de la nuit, de ce samedi là, le groupe 
se disloqua et la nuit prit raison de notre fatigue. 
    Le lundi suivant de multiples anecdotes 

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divulguèrent sur cette soirée là.
   Dans la semaine les journaux dénoncèrent qu'une 
fillette d'environ dix ans fut enlevé par une personne. 
Je viens de lire toutes les données et restais accroché
 au signalement d'une des personnes recherché. Elle 
eut des ressemblance avec Jérémie. Mon étonnement 
me fit réfléchir plus d'une fois. Me tromperai je ? Je 
gardai mes doutes et fit comme ci rein ne fut. 
   Mais mon instinct continua de douter de lui ; de ce
fait j'observai son comportement. Il eut prit les même 
réactions que quant il nous eut  raconter des vannes 
sur les rencontres d'autres femmes. Il rongea ses 
ongles et fuma une cigarette l'une après l'autre et 
parla en saccageant ses mots. Que dus je faire, mes 
accusations me mirent en doute. Je ne sus qui 
pourrait me conseiller.
 Les journaux précisèrent que l'enfant n'eut subit 
aucun sévices mais que la personne l'eut entraîné 
dans les sou-bois puis l'eut délaissé sur un 
parking d'un super marché d'une ville voisine. La 

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fillette ne sut plus où elle se trouva.
   Pendant la pause nous discutâmes de cette acte 
et me permis de poser quelques questions sur ce fait. 
Les personnes trouvèrent cette acte pas bien net. Je 
me tournai vers Jérémie et lui demandai ce qu'il pensa
personnellement sur cette enlèvement, et je lui dit,
  - Ne devrait il être pas être punie d'emprisonnement ?
  Il hochât de la tête sans donner de réponse. D'un air 
étonne il me regarda sans me quitter des yeux.Un 
instant de silence eut prit possession de notre discoure 
et la pause prit fin plus personne ne dit un mot.
  Il n'y eut plus personne autour de nous, ce fut a partir 
de là que je remarquai que Jérémie entreprit des 
comportements hors du commun. Son comportement 
nerveux le contrariait, il rongea ses ongles sans arrêt
 en même temps qu'il fumait. Il ne m'accorda plus la
 parole , je continua mon travail en l'ignorant. Je viens
 de comprendre que cette personne fut en manque 
d'équilibre sentimentale. Un besoin que l'instinct 
provoque chez les timides. Je laissai passer quelques

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jours sans parler avec lui. Pour moi, ce fut un 
collègue de travail qui partagea mon quotidien. Je ne 
pus le dénoncer a la police, qui sais, je me suis
 certainement trompé.
    J'effaçai mes doutes
 travail qui fut seule a la recherche d'une ame soeur.
N'est ce pas une chaussure a son pied ? Toujours fut 
il qu'il accepta mes propositions. Je tenta d'organiser 
une rencontre. Durant ce laps de temps, sa nervosité 
augmenta comme au jour où je lu questionné. 
Le bouleversement l'effraya certainement qu'un 
obstacle handicapa, celui de sa timidité. Dans le fond 
de ses pensées, une force e guida vers mes propositions.
 Aurait il peur de renoncer car la vérité risqua telle 
d'être découverte ? Je me suis laissé entraîné par mes 
suppositions aurai je tord ou raison ?
     Comme prévu je lui présenta la personne puis les 
quittai. Ma satisfaction d'avoir fait une bonne action 
me rendit heureux. Je fut en pleine forme pour retrouver 
ma famille.

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      Bobi couru vers moi avec des happements de 
retrouvailles, et je me trouvai a plus de 200 mètres de 
la maison. Il eut sauté la balustrade sans hésitation. 
Malgré sa petite grandeur, il sauta jusqu'à ma figure 
pour tenter de me lécher. Le son de son aboiement fut 
charmeur. Je me réjoui de retrouvé tous mon entourage 
et la soirée se passa a merveille.
        Le lendemain, après notre pause habituelle je pris 
contacte avec Jérémie pour tirer conclusion de la soirée 
suite a sa rencontre. Pour lui,ce fut une rencontre 
parfaite. J'en fut ravi et résulta que mes doutes n'ont
plus besoin d’être en éveille. 
     Je l'invita, en fin de semaine pour passer a la maison 
avec son amie. Il ne refusa point et vient un samedi. La 
sonnerie retentit, le chien quitta rapidement sa place 
en aboyant méchamment , ce qu'il ne fit jamais. Se 
serait il fait piqué par une vilaine mouche? En ouvrant 
la porte, Bobi montra même ses dents. Je fut obliger de 
l'enfermer dans la sale de jeux dans la cave. La soirée 
se passa normalement mais, ne dura pas bien 

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longtemps. Normal pour des personnes qui vinrent de 
se rencontrer. 
           Le déroulement de la vie continua comme 
auparavant. Dans le cœur de nos enfants, les préparatifs 
des fêtes de fin d'année prirent une importance 
cruciale. Sylvie eut de l'aide car même Claudine y prêta 
son attention. Elle ne comprit pas grand chose a tout 
ce remue ménage mais sut impertinemment qu'une 
curiosité attisait ces préparations. Même le chien Bobi
 ressentit un événement. La situation nous encouragea 
tous car la prime de tout cela, c'est le partage de 
l'émerveillement. Le sapin ornât notre séjour avec une 
multitude de paquets de toutes sorte.
    Cette année là nous déridâmes de terminer l'année 
dans la salle de jeux de mes enfants avec mes collègues
 de travail. La venue de se régiment m'obligea 
d'enfermer le chien dans une pièce du premier. On le
fêta avec des chants, des jeux et des danses de toute 
sortes.



           









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          Ce janvier là, le plaisir d'admirer les démarches 
de Claudine nous gratifia de bonheur. Notre fierté fut 
honoré autant que les actions du chien, qui en firent
 un jeux en se déplaçant entre ses jambes, qui ne vient 
point a la déstabiliser. Il arriva rarement qu'une 
chute la fit tomber mais quant elle tomba, elle se releva
sans pleurer et sourit de plus belle.
       A l'extérieur une blancheur immaculé recouvra le 
sol. Les enfants le découvrirent un dimanche matin. 
Leur joie fut aussi grande que l’épaisseur de la neige,
 50 cm. Ils y jouirent toute la journée jusqu'au soir sans 
trouver de repos. J'eus participé a leur jeux et les 
aidais a façonner des bonshommes de neige, il en 
fallait un pour chaque enfant plus un quatrième pour 
le chien avec sa forme.
     La neige nous quitta son forme d'eau, en gonflant 
les rivières et en  passant sous les ponts. Il ne resta
 que quelques traces blanche sur les sommets Vosgiens.
La poussée des bourgeons transforma les arbres en les 
réveillant. La porte du printemps ouvras a pleine dent.

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 La petite Claudine eut prit l’habitude de guetter
impatiemment mon arrivé avec le chien, voila deux 
fidèles admirateurs. les personnes qui vinrent nous 
rendre visite, dirent cela.
       - Mais, vos enfants grandissent a vue d'oeil.
         Les journées empiétèrent sur les nuits, le 
rendez-vous de l'été ne nous eut pas oublié, et les 
vacances furent proche. Chez mon employeur une 
petite fête fut envisagé pour couronner l'année de 
travail. IL fut convenu qu'un repas fut pris en 
plein air. Toute cette organisation dépendit de la 
volonté de plusieurs d'entre nous.Comme notre entente
 fut parfaite il fut question d’organiser cette 
fête un dimanche après midi. Les femmes furent i
invité mais sans  les enfants. Je me sentais pas bien 
sans mes enfants que garda ma sœur. Dans cette petite
fête, de nombreuses personnes furent présente. Tout le 
groupe de la pause café et d'autre collègues du travail 
qui ne firent pas partie de notre magasin . Le soleil
 participa a cette journée. Quant a l'environnement, 

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il se situa au pied des Vosges dans la lisière d'une foret
 de sapins gigantesque. Le bruit d'une cascade,qui 
rejoignit un petit lac a l'eau clair, résonna avec le 
chants des coqs de bruyère et des coucous. La 
préparation du buffet campagnard épousa la 
beauté sauvage du paysage. Toutes les personnes 
présente furent enchanté.
cette journée ci bien empaqueté se déroula trots 
vite malgré que notre inquiétude sans nos enfants 
nous fragilisa. Il y eut cette mésentente entre 
Jérémie et sa compagne qu'il fréquenta. Je n'en 
sus pas les raisons et fut choqué par leur brusque 
départ. 
       Notre chez sois s'adaptait à toutes les saisons 
mêmes nos vacances ne nous lacère du bonheur qui 
nous y cultivâmes. Dans notre piscine d'un diamètre 
de 3 mètre et de 70 cm de profond, nous y passion 
de bon moment. Jean nous fit voir comment il 
nagea et Claude nous ramena des copains pour ci 
baigner. Ma sœur vint de temps a autre. Nous

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mangeâmes souvent sur la terrasse a l'air libre. 
Hélas ces moments passèrent bien vite et la reprise
 des habitudes reprit.
      A la pause café de nombreuses histoires se 
dévoilèrent. Chacun se venta de son séjour, certains
 furent en bord de plage et d'autre en montagne.Ceux 
qui racontèrent les plaisirs de la plage, me rappela
 les bruits des vagues que le vent nous fit vivre dans 
le coquillage de notre enfance. Il y eut beaucoup 
 d'histoires a partager que le temps autorisé fut 
dépassé. Chacun y posa une griffe, pas tout a fait, 
une personne ne parla un seul mot durant nos 
pauses. Jérémie resta terré dans un coin sans parler 
ni se faire remarquer. Le résumé de nos vacances 
n'eut que du positif seul un négatif qui ne prononça de 
satisfaction.
   Il fallut un bon mois pour que nos aventures 
s'oublièrent. Les écoles eurent reprit et de nouvelles 
pièces rentraient dans l'inventaire du magasin. Les 
actualités courante prirent possession de notre attention.

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 Le fait d'en parler nous lassèrent songeur. La réalité des 
informations furent faussé voir même arrangé pour que 
la vérité s’efface. Cette tendance a comme objectif de 
mettre en valeur des actes qui rapportent 
publicitairement. Ce politiquement incorrecte nous 
mit a réfléchir sur la juste valeur de l'enquête. Nous 
formions un jury qui se permit de juger les faits non 
élucidé. Notre imagination tenta de découvrir la 
faille de l'histoire. Dans cette sorte de jeux, je 
découvris que je possédai un sens plus avancé que mes
 collègues. J'arrivai a savoir a l'avance les raisons 
d'un crime et surtout le pourquoi de l'auteur. Je révèle
 que ce fut la nuit, dans mon sommeille,que des flaches 
de supposition me guidèrent droit au but. Je devint de 
plus en plus sensible sur des faits évoqué. Au début cela 
me plus mais a force de résoudre ces actes, un malhetre  
envahit mes pensées. Plus je découvris et  plus de film 
prirent naissance. Pour vider mes pensées trouble, je 
me dirigeai vers l'entourage de ma famille qui perdit un 
peu de son importance.

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    Claudine se tint bien sur ses jambes et les deux 
garçons apprirent bien leur leçons. Il fallut absolument
 que l'importance de ma famille prenne le dessus. le
chien Bobi fait part de l'encadrement. 
    Au travail le cheminement de la vie nous entraîna
avec les faits de la région. Une nouvelle nous 
bouleversa tous et moi personnellement car une 
jeune femme disparu un matin de bonheur sur le chemin
 de son travail. L’affaire fut blizzard, et mystérieuse 
a la fois. Comme il agissait d'une personne majeur les 
informations ne figurèrent pas en première page des 
journaux. Il fut même question de sa voiture qui elle 
aussi eut disparu. Un incroyable pressentiment
s'empara de mes présomptions. Je devient sensible sur 
les détailles de cette information. Mes pensées ne me 
laissèrent plus en paix et les nuits devinrent
interminable. Je n'eus rien a faire de cette histoire la,
 mais que m'arrive il ?
      Les informations des journées suivante indiquèrent 
que la voiture fut retrouvé dans un chemin tout autre 

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que celui qui dut la conduire a son lieu de
travail, en plus de cela elle eut brûlé. Le mystère 
s’amplifia sur sa disparition. Nous fument tous stupéfié.
    Dans notre groupe, Jérémie me parut perturbé par 
cette histoire car ses réactions nerveuses devinrent 
incontrôlable. Sa réaction réveilla des doutes.
   Les journées passèrent et la nervosité de Jérémie 
ne s'atténua point. La victime resta introuvable. 
    Les recherches continuèrent , voilà 10 journées qui 
se sont écoulé. Les réactions suspect de mon collègue 
de travail diminuèrent petit a petit. L'oublie de cette 
histoire suivit les cour des jours en laissant un calme 
médiatique. Je me suis certainement engagé sur une 
fausse piste. Je m'engagea sur aucune supposition et 
m’arrêta de jouer le policier. Mes nuits redevinrent 
normal .
   Ce vendredi là, comme de coutume la petite 
Claudine courut a ma rencontre. Je me trouvai sur la 
première marche de l'escalier et tenta de la rattraper 
par les deux bras. Ce fut une petite mis en scène que 
l'on répéta souvent. Notre synchronisation ne tourna 

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aussi juste qu'une horloge je ne sus la rattraper que 
d'une main. Son déséquilibre  fit basculer tout le
poids de son corps d'un coté. Suivi des pleurs d'enfants, 
mes sentiments se bouleversèrent, je me suis senti 
responsable. Ma peur me culpabilisa, j'eus peur qu'elle
 eut un bras fracturé ou une épaule arraché. Ses 
douleurs n’arrêtèrent point. C'est une horrible chose 
que d'entendre les gémissement d'un enfant. Nous 
résidâmes de l’emmener a l’Hôpital. Le personnel
 soignants détecta un déchirement musculaire.
           Sur le retour je la sera contre moi comme le 
jour de sa naissance cela lui fit le plus grand bien car 
elle s'endormit. Notre arrivé a la maison mit en
émois tout le restant de la famille aussi que le chien 
qui renifla le pansement. Je n'eus pas faim se soir là .
   Le lendemain a mon retour de travail, la petite 
Claudine me fit pitié et nous n’engagions plus de 
rattrapage artistique sur l'escalier
          Le lundi, a la pause café j'eus raconté mon 
histoires qui eut plus d’importance que les nouvelles 

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du journal régional ,que je n'eus pas lu ce jour
 là. Le lendemain, nous prêtâmes attention a 
l'information en première page qui précisa,
   ( la jeune femme disparu, voilà deux mois, vint d’être 
     retrouvé dans un étang situé a 21 km du lieu 
     où fut trouvé sa voiture incendier. Le corps a moitié 
     dévêtu  fut reconnaissable car la fraîcheur de l'eau 
     l'eut conservé. Des traces de strangulation , du a 
     un bas,dénonçait  la manière qu'elle fut assassiné.)
  Ce mardi là, Jérémie ne se trouva pas avec nous, il 
eut un arrêt de maladie pour une période de 10 jours. 
Mes pensées cogitèrent des doutes. Dans mes 
inventaires je commis plusieurs erreurs. Ma 
perturbation fut du a une peur de trouver la vérité 
des faits car chaque indice trace la route qui marque 
celui d'un crime. Je fus persuadé que Jérémie fut les 
suspect. Mais, les doutes ne,sont pas des preuves donc,
je ne peux en aucun cas le dénoncer a qui que se 
sois. Je résulte que son retour me définira ci 
effectivement son comportement eut changé.

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  ( La réaction que provoque la peur se remarque sur le
     comportement  inhabituel de la personne soupçonné.)

    Noël approcha, le retour du partage de bonheur 
s’annonça merveilleusement tous les préparatifs allèrent 
bon train et le reflet se lissa dans le fond de nos cœur. 
Cette semaine là une triste nouvelle nous perturba, le père
 de Sylvie nous quitta, une maladie du foie. Ce fut la sœur 
de Sylvie qui vint nous l’annoncer. Dans ses explications 
elle nous fit comprendre que ce fut le père qui interdis 
que nous rencontrâmes nos familles. La sincérité des 
retrouvailles eut comme toile de fond, une histoire 
d'argent. Il fut question,de les soulager pour financer 
les frais d'enterrement, comme nous somme de 
pauvre riche. Nous nous engageâmes a y  participer 
mais gardions en mémoire cette note de pauvre riche. 
  Les vents dominant emportèrent ses notes sans 
désagrément. Mais, cette semaine la  fut maussade et 
triste. le jour de l'enterrement le regard de la maman 
de Sylvie nous scruta sous un angle choquant et 

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méprisant. Le maquillage de Sylvie se mélangea avec 
ses larmes, son maquillage ne fut plus parfait comme
son cœur qui soufrait. Sa voix déréglé ne guida vers 
notre maison où nos enfants nous attendirent .
   Sur le retour aucune parole n'eut a trouver réception.
 Devant la maison Bobi nous fit la fête en nous 
saluant comme de coutume mais n’insista point a nous
flatter car il eut comprit que quelque chose nous eut 
figé. Les fêtes de fin d'année se passèrent normalement 
mais derrière un masque de tristesse se cacha une 
faiblesse, et Sylvie ne fut plus la même.
        Deux journées durant Sylvie médita et laissa ses 
pensées suivre le cheminement du regret et du deuil. 
Je fit avec les enfants le plus possible pour 
limiter ce manque et réussi a tenir la barre jusqu'au 
nouveau départ.
Le temps sec et froid renferma les humains dans leur
 habitation comme les animaux sauvage dans leur
 tanière quant au malheureux ils se glissèrent dans
leur pensées. Ce fut cette dernière ligne qui risqua 

193

d’entraîner Sylvie dans cette lassitude. Il fallu trouver 
un remède qui gommerait cette peine. Je la résonnai 
tant bien que mal pour que le rythme habituel retrouve 
sa raison d’être. 
   La tristesse c'est la pourriture qui prend possession 
d'un fruit mur et qui le détruit petit a petit. Seul l'oubli
 peut irradier cette maladie et l'envie de suivre un 
avenir heureux.
     Les enfants représentèrent le renouveau de leur 
maman et sa vitalité qui les chérissent. A partir de là 
je ressenti que notre bonheur puisse retrouver sa voie. 





       









194


              Comme de coutume nous nous retrouvâmes 
a la pause café. Des anecdotes venait de toute par. 
Moi, je ne souffla mot de quoi que ce sois. Toute 
l'équipe fut au complet. La foule se dissipa et, je me 
trouvai seul avec Jérémie. Ce fut lui qui entreprit une
 conversation. J'appris qu'il eut passé ses fêtes de 
fin d'année avec ses parents en Bretagne. Cela eut 
fait 6 ans qu'il les eut quitté sans les revoir. Une 
vrais fête et il n’arrêta pas d'en parler. Ce qui me 
sembla curieux, fut de connaître la raison pour 
laquelle il ne les eut revu plus tôt ? Il me répondit 
que suite a une excommunication il n'eut droit de 
retrouver sa région la Bretagne. 
Conclusion faite, il eut commis une faute, mais, 
laquelle ? 
      Mes illusions accumulèrent un nouveau points de 
référence qui le plaça dans les suspects. Cette 
révélation transforma mes sentiments, pas de doute,
il fallu que je la partage avec autrui. Qui pourrai je 
consulter, pour me soulager ? Sylvie ne fut pas en 

195

pleine forme, je l’exclue, il faut que je confie cela a 
une personne confiante. Qui autour de moi, put 
accepter mes présomptions ? Il y a la police qui me 
serai du plus grand secours, mais, comme je n'ai de 
preuve, mon témoignage serai superflu elle la 
placera comme plainte. Je rechercha autre par, une 
sortie en somme a qui je pus confier mes suppositions.
 La diplomatie d'entamer une conversation sur ce 
sujet dut être bien fondé et équilibré. Je pris mon
assisse  auprès d'un magasinier de l'âge de mon père. 
Très minutieux , et peut bavard, il correspondit a ma 
confiance. J'eus échangé quelques paroles dans le 
passé. Ses conclusions égalisèrent avec son savoir faire. 
Sa sagesse correspondit au niveau intellectuelle que
 j'eus recherché. Ma première question fut de lui 
demander ce qu'il pensa de Jérémie. La réponse 
ressembla  a l'image que nous partageâmes, 
( Jérémie est un vantard et un instable.) . 
Donc je pus placer mes suppositions sur cet homme 
là, cela soulagera ma conscience. J'eus gardé la page

196 

du journal où la description du suspect fut évoqué 
avec un portrait robot. J'eus démarré l'histoire par 
le départ. Il lut les données du journal puis me
fit comprendre que mes présomptions sont stupide 
malgré que le portait robot eut un air de ressemblance.
 Il déculpabilisa Jérémie .
 Je vins de commettre une grande faute, je n'eus jamais
 dut rapporter mon histoire a une autre personne. 
Me voilà sur une onde pervers. Ou, aurait il dit 
cela pour se protéger ? Depuis cette révélation il 
m’évitât, moi et Jérémie comme ci nous étions sur la 
même balance. Au repas, il se plaça en bout de 
table opposé a moi de peur que j'entame une autre 
conversation. Au fond de ma conscience je me sentit 
soulagé mais au fond de mes doutes j'eus récolté 
une incertitude d'avoir partager mes doutes. Je laissai 
passer plusieurs jours et ne parla plus de mes 
induisions.

       Ma vie familial continua sont cheminement 

197

quotidien. La tristesse de Sylvie s’effaça. Claudine 
devint bavarde et observatrice, quant a Jean il nous 
présenta une multitude de copines et copains qui 
vinrent a chaque occasion nous rendre visite. Claude 
approcha de son adolescence , cette âge là où 
Sylvie et moi découvrîmes l'aspect de la vie familial. 
Nous humes expliqué a Claude tous les aléa de la vie. 
Le chien incrustât a merveille  notre famille il aima 
se promener avec Jean dans notre quartier.
   Un après midi, où le soleil marqua sa présence, 
Bobi et Jean partirent retrouver une bande de copains
 et copines sur la place de jeux. Le chien voyageur, 
failli se faire renverser par une voiture de passage. 
D'une chance inouï le sauva d'un drame, Jean en fut 
choqué et Sylvie fit son possible pour le soigner.
   Chaque action est du a une instruction et chaque 
défaite a une attention certaine car depuis là le chien 
garda de se promener sans l’avis de son maître.
      Au travail, nos habitudes continuèrent leur 
déroulement. Une nouvelle personne amplifia notre 

198

équipe, une jeune femme divorcé. Elle eut tous 
pour plaire physiquement et fut mère de deux enfants.
 Elle connut ses atouts et se renseigna sur chacun 
d'entre nous. Un jour elle me racola pour tenter de 
m'attirer vers elle. Les malices féminine son le fruit 
d'un savoir faire et cela elle sut ci prendre. Je ne 
l'eus pas repoussé mais lui fis connaître les autres 
qui ne furent attaché a une vie de famille. Depuis sa
venu notre équipe ne fut pareille, tous fut déstabilisant. 
Elle pris Jérémie comme cible et arriva par le draguer.
 La tranquillité revient dans mes pensées, je ne
 chercha plus de résoudre telle ou telle crime.
    La fin de l'année approcha et au dernier jour de 
travail une petite
collation fut prévu dans le magasin. Il y eut de quoi 
se rassasier a volonté . Certains en abusèrent et de 
nombreuses paroles mal intentionné volèrent sur des 
propos cachés. Je ressentis le danger peut effleurer. 
La personne en qui j'eus confiance eut but plus que de
coutume et racontât les doutes que je lui eut  exprimé. 

199

et tenta de le résonner, cela ne servi a pas grand chose 
car il reprit de plus belle. Il devient hargneux et moqueur.
 Une peur m'envahit, je ne sus plus vers qui me 
tourner et je résidai de rompre cette soirée avant l'heure. 
Je quitta ce lieu avec une sensation qui m'intriguait.
      Cette nuit là, mon sommeil ne trouva sa raison 
d’être. Une boule vient se figée dans ma gorge. Je ne 
résignais a avaler la moindre goutte d'eau ni de salive. 
Ma conscience me joua des tours, je devins la victime
 de l’assassin.
       Au matin, toute la famille se prêta aux préparation
 de cette semaine de vacance. La décoration du sapin 
commença et  Jean parti promener son fidèle 
compagnon. Ensemble notre enthousiasme prit une 
force de réjouissance parfaite. J'eus oublié les aléas 
de la soirée passé. 
  Claudine voulu aider son grand frère et tenta de  lui 
donner une belle boule multicolore. Elle aussi eut le 
droit de placer une décoration. Elle tira sur le sapin, 
et, celui ci se renversa. De belle boules se fracassèrent.

200

 Claudine fut choqué et des pleurs suivirent. Nous 
remontions le sapin malgré la perte de certaines 
décoration et des branches qui eurent cassé. 
    Jean eut du retard, étonnant de sa part, lui qui 
voulu prêter son savoir faire pour la décoration ? Le 
voilà, tout en pleure et sans le chien. Par des mots 
saccagés, il expliqua que le chien fut renversé par une
voiture de passage. Bobi ne bougea plus. Ils 
marchèrent tous les deux sur le trottoir mais la voiture 
roula a coté de la route. Je patientai quelques instant
 puis le questionna ,
- comment c'est arrive Jean,
- la voiture arriva a vive allure en roulant sur le trottoir
    où nous marchions, j'ai pu l'éviter mais Bobi fut 
    projeté contre le mur. Il ne bougea plus. 
Jean ne donna plus d'explication supplémentaire. Avec 
Claude nous retrouvâmes le cadavre du chien gisant sur 
le trottoir et le ramenâmes a maison. L'ensemble de la 
famille décida de l'enterrer dans la pelouse du jardin. 

201

            Les information du journal précisèrent qu'une 
explosion eut ébranlé une maison d'habitation. Dans 
les ruines les corps de cinq personnes sans vie et 
affreusement mutilé furent retrouvé. Une famille entière
 trouva la mort le jour de Noël. 
      L'enquête dénonça qu'une déflagrassions du a une 
fuite de gaz fut la raison du sinistre. Les enquêteurs 
prospérèrent sur d'éventuel témoignage dans le 
voisinage. Personne n'eut de charge contre une famille 
respectueuse.
     Un collègue de travail précisa qu'a l'heure de 
l'explosion, ce fut lui qui leur eut donné une coup de 
téléphone pour leur souhaiter un joyeux Noël et qu'a 
la première sonnerie la ligne fut coupé. Le témoin de 
cette information fut Jérémie. 
   Les enquêteurs découvrirent dans la pelouse 
fraîchement retournée le cadavre d'un chien qui eut 
comme marque des impactes ressemblant a des coups 
de matraque.
  La conclusion établie que ce drame fut un suicide 
collectif. L'affaire fut classé.   
   Jérémie quitta la région avec une femme et deux 
enfants pour retourner dans sa Bretagne natal. Il eut 
trouvé un travail de chauffeur de camion.

FIN

Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
A ce jour, 21 05 2020, 121 611 lecteurs.
A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs.
A ce jour, 19 10 2023, 185 522 lecteurs.

Pour les amateurs de Roman, j'écrit un autre texte sur 
mirage au dessus des nuages sage n 2 ( coïncidence )


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