5/8 PRENDRE LE DROIT DE JUGER ( roman sentimental 5/8 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1
suite n 5/7 de PRENDRE LE DROIT DE JUGER










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     la dure période de l'hiver passa, et le printemps 
enivra notre bonheur, mon travail reprit. La joie de 
jadis entra dans notre mansarde. De nombreuses 
heures de travail suivirent parfois même le dimanche. 
Non acharnement fut le fruit d'une objectif celui de
 se racheter une voiture plus récente et plus 
confortable.
    Au moi de juin une surprise nous étonna. Ce fut la 
visite de deux personnes surmonté de képis qui nous 
fîmes part d'une invitation au-prêt du juge de notre
ville. Nous restâmes songeur et ne sus que répondre 
a ces personnes.

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   Je me suis retrouvé chez ce juge le jour de 
l'invitation et, surprise, je dus signe un papier vierge
 devant lui. Il fit la comparaison avec une autre 
signature. Son jugement fut de reconnaître que ma 
signature ne ressembla pas a l'autre . Je pus retourner 
sans aucune soupçon. Je voulu le remercier de sa
remarque mais de toute manière j'aurai put le faire 
avant même de signer le papier vierge. Je ne fus pas 
celui qui eut signé un chéquier volé.
   Une semaine plus tard, la maréchaussée revint me 
présenter une autre convocation auprès du juge de 
Marseille ? Je ne fut jamais a Marseille et n'eus
jamais quitté ma région.
     Ils me donnèrent que trois jours pour me présenter
 chez ce haut fonctionnaire de notre république. 
J'eus a peine oublié la première convocation qu'une 
nouvelle m’entraîne a 900 km de chez moi pour 
exprimer mon innocence. Mais pour quelle raison 
m'en veut on a ce point ? Je téléphone au tribunal de 
Marseille pour avoir des explications. Pas question 
de prendre en considération mon innocence par 

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téléphone, je dut signer devant le juge de Marseille 
une feuille vierge comme chez le juge de notre ville. 
Moi qui n'eus jamais de carnet de chèque me voilà 
confronté a me déplacer pour confronter mon 
innocence. Je proposa a Sylvie d’emmener toute 
notre petite famille. Elle insistât de laisser les enfants 
chez une gardienne,notre voisine.
      Quelle aventure que de s'engager sur une route 
aussi longue. Un premier pépin démarra a 100 km de 
notre départ, une crevaison, chose courante. 20 km
plus loin, plus d'accélérateur le câble a cassé. Nous 
dûmes parcourir a pied plus de 10 km pour trouver 
un garage. Nous repartîmes a la nuit tombé, les feux 
de route donnèrent des signes de faiblesses. La pluie 
nous fit rincette et lessiva la voiture même a 
l’intérieure vue que des sonnes d’étanchéité laissèrent 
a désirer. Enfin, nous arrivâmes a Marseille. Quelle 
découverte, une belle ville au pied de la méditerrané. 
Ce fut la première fois que nous aperçûmes cette  mer 
bleu , le chant des vagues et du vent qui leur donne vie.

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    Malgré nos mésaventure nous pûmes découvrir cette
 belle ville. Direction le tribunal et là, je signe une 
feuille blanche pour en faire la comparaison avec un
chèque émis a Marseille. Le juge reconnut notre bonne 
fois et nous repartîmes libre de tout soupçon.
   Le mois d’août nous envisageâmes d'acheter une 
voiture plus confortable et plus récente pour pouvoir 
emmener nos enfants en vacance en bord de mer. 
Comme nous ne disposions de toute la somme 
nécessaire nous envisageâmes de faire un prêt a la
banque. Au bout de quelques jours, nous obtînmes une 
réponse défavorable car nous étions enregistré au 
tribunal comme falsificateur et vole de chèques. 
Quel choque que de savoir que nous étions des voleurs 
et qu'aucune banque nous fit un prêt. J'eus pris r
rendez-vous chez le juge de ma ville pour lui expliqué 
mes ennuies. Il reconnu que l'administration mis du 
temps pour remettre les pendules a l'heure.
    Le petit Jean eut un ans, il tenta par tous les 
possibilités de tenir sur ses deux  pieds comme une 

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grande personne. Quelle bonheur pour nous tous. 
    Je reçu une  convocation  recommandées de 
l'armée Française. Je dus me présenter dans un 
centre de recrutement. Une autre tuile risqua de 
tomber sur ma tête. J'allai être appelé pour une 
durée de 12 mois sans le moindre revenu. 
Peux de solution nous dirigèrent vers une 
résolution raisonnable. Je partie a
la convocation avec d'autres compagnons de ma 
région pour se présenter dans le département voisin. 
Le fait de rencontrer des camarades de classe 
m'encouragea mais, une envie de déserter me suivit.
    Arrivé dans la gare j'hésitai, mais, le groupe me 
dirigea vers le camion militaire qui nous emmena dans 
la caserne. Sur une cour pavé nous posâmes nos pieds.
 Les murs des bâtiments, maçonné en briques rougeâtre,
 fut haut et impressionnant. le soubassement fut en 
pierre de taille des Vogues. L'odeur du camp militaire 
me rappela la bâtisse de mon enfance. A cette instant 
là, je ressenti une peur qui devins maître de mon savoir 

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faire. Je me senti enfermé et angoissé le passé revins. 
Je perdis de l'altitude et me retrouvai nez a terre sur 
du pavé de naguère. A ce moment là, je ne sus plus la s
suite de mon aventure et me réveilla dans une grande 
pièce d'un  hôpital militaire. A mes cotés d'autres 
personnes de mon âge qui, passèrent des examens pour 
prouver que leur santé ne répondait aux références 
de l'armée. Certains passèrent devant une discipline 
militaire, puis  en revinrent  enchanté  car ils furent 
exemptées.  
  Ils  échangeâmes les réponses des questionnaires 
que l'armée nous posa pour prétendre a une 
disqualification. 
Autour de moi , les camarades partirent au fur et a 
mesure, d'autres arrivèrent et moi je dus patienter. 
Enfin, ce fut mon tour et la hantise de devoir faire mon
service militaire planai. Je répondis au questions comme 
je l'eus appris , puis, ils me renvoyèrent a la maison 
inapte pour faire le service militaire. Je pris ma
valise et sens perdre le nord la direction de la gare au 

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plus vite.
    Quelle chance que de revenir a la maison, mais la 
peur pour Sylvie fut grande car j'eus du retard sur la 
date prévu de ma venu. Nous partageâmes cette joie 
avec un profond  soulagement .
     Claude alla recevoir ses 5 ans, quelle bonheur ce 
garçon il voulu toujours m'accompagner a mon travail.
    L'hiver partagea sa tristesse sous forme de froid et 
de paresse. Par contre le sapin de Noël brilla de 
lumières digne de toute notre joie. Les mésaventures 
des mois passés ne nos eurent point déconcentré.
            Cette année qui suivi nous dirigea vers une 
intention digne de couple parfait. Le texte sur le 
mariage eut changé et nous pouvions nous marier 
sans l'accord de nos parents. Nous envisageâmes de 
faire une petite fête avec nos parents respectif et 
inviter nos sœurs et nos frères. Cela nous permettra 
de retrouver nos origines. On décida de leur annoncer 
cet événement un dimanche dans l’après midi. Nous
 rentrâmes, toute la famille, dans la coure de ce vieux 

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bâtiment lugubre. Une honte nous envahit. Le 
délabrement eut accentué sa dégradation. Des carcasse
 de vieilles voitures traînèrent par ci, par là. Un vrai
repaire de briquant. Le désœuvrement cria sa peine et
 la pauvreté sa rengaine. Je regardai vers la fenêtre 
sous laquelle j'eus dormis, les vitres manquèrent les
cassées furent remplacé par du plastique, une 
nouveauté. Nous  échangeâmes nos regards 
questionneur a la vue des habitants qui furent d'origines
 diverse comme dans la cité d'urgence. Un grand 
n'ombre d'enfants nous entourâmes.  Leurs habilles 
déchiqueté nous interloquâmes. Je reconnu un de mes 
frères qui fit parti de ce regroupement. Je l'appela 
par son prénom. Il me regarda puis fuit vers la bâtisse.
Il a 15 ans maintenant .
quelle étrange sensation que d’être entouré de  jeunes
gamins qui tournèrent autour de la voiture . Des mots 
de capitaliste sonnèrent autour de nous. Un grand 
personnage vint vers nous, le regroupement de jeune 
se déplaça avec respect.

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-  que faite tu ici
- j'aimerai parler a mes parents et les revoir.
    L'un des jeunes m’arracha le rétroviseur et un autre 
me tord l' antenne de la radio. Mon frère, revint en
courant et précisa que je suis son frère. 
L’attroupement se dissous certains furent couché 
devant la voiture pour que je
 restai bloqué. J'invitai mon frère Marc de prendre 
place dans le véhicule. Je le questionnai sur la santé 
de mes parents et de leur situation. Il me fit part qu'ils 
ne voulurent rien savoir de notre présence et qu'aucune
 réconciliation ne fut en vue. Ma tentative sombra 
comme une grosse pierre dans une marre vaseuse.
Marc me présenta les autres sœurs et frères qui je ne 
connus point ou qui eurent changé au fil des années. 
Certains eurent le même âge que mes enfants. Marc 
m'eut dit qu'une sœur , Julie, eut quitté la famille pour 
installer en ville et  me donna son adresse   
     Le cœur blessé nous quittâmes cette endroit lugubre.
Je tentai de prendre  contacte avec ma sœur Julie , 

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certainement que son comportement refléta la même 
pâte qui moi et qu'elle vit l'avenir sous un angle opposé
 a celui des nos parents. Je tournai dans le rue indiqué 
par Marc et tenta de la retrouver. J'eus des difficultés 
a la reconnaître, les habits qu'elle porta furent a la 
mode et sa démarche aisé. Pourtant, elle ne cria 
jamais que la mode fut son dada. Je la vis timide et 
renfermé voila que mes suppositions en furent 
détournées. Le contacte fut radieux, elle nous reçu 
avec grâce ais nous expliqua qu'elle dut reprendre son 
travail. Je l'eus invité a nous rejoindre dans notre 
mansarde, elle ne refusa pas cette offre et nous 
proposa de nous rejoindre quelques jours plus 
tard, car elle dut travailler. Je lui proposa de la 
chercher a son lieu de travail, elle me fit part que ce ne 
fut pas idéale car la société du super marché 
surveille les allées et venu des employer. 
  Donc nous décidâmes de nous retrouver un peut plus 
loin a l’abri des regardes. La cloche de la ville 
eut sonné l'heure de notre rencontre et quelques minutes

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 plus tard elle vint a ma rencontre. Je l’emmenai dans 
notre mansarde et lui fit présenta les reste de  la 
famille. Sa présence ne dura qu'une courte duré. Elle 
dit que ce sont les parents qui l'en on dissuadé mais 
qu'elle vint pour nous rassurer. Notre discutions 
consistai de faire par de notre mariage et des 
préparations a suivre. Elle figurai sur la liste des 
invitées, mais cette remarque ne lui accorda 
peux d’intérêt et,  ne serai se pas sa curiosité 
qui l’eut entraîné vers nous autre ? Elle nous 
apprit qu'un Frère de Sylvie travailla dans une 
boucherie du centre de la ville et qu'il eut quitté ses 
parents pour la même raison que Sylvie. La visite du 
s’arrêter car elle ne put rester plus longtemps.
         Je l'eus ramené et durant le voyage mes 
questions récoltèrent des réponses contradictoire a 
mes doutes. Mon père eut raconté que je fut le 
responsable de leur misère, car, le jour de mon départ
j'eus embarqué tous les économies de la famille et en 
plus de cela nous eûmes emporté tous les meubles 

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de tante Nina et L'oncle Pauli après leur mort. Cette 
phrase me choqua énormément. Une profonde 
douleur enveloppa  mon cœur, comme une plainte 
venu du fond de mon subconscient.
   J'eus raconté ces ont dit a Sylvie, elle en fut 
profondément choqué.
           Toute conclusions faite nous nous rendîmes 
compte que le fruit de nos ennuies vint de la 
source de nos parents qui par la jalousie nous 
méprisèrent sans répit. La nostalgie de ne pouvoir i
inviter quelques personnes de notre entourage nous 
peina. Sylvie opta de tenter de contacter son frère le 
bouché. Nous retrouvâmes son lieux de travail, le 
gérant nous indiquâmes que son séjours en prison 
termina d'ici 10 mois.
   La journée temps espéré arriva, nous pûmes passer 
nos serments et nous marier dans les règles de  la 
marie . Pour combler notre bonheur il nous fallut 
des invités.  J'invitâmes le voisinage et des collègues
 de travail. Ma sœur en fit partie, la seul 

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représentante de la famille. Nous eûmes organisé 
une petite collation dans notre mansarde. Nous voila 
en règle comme tante Nina nous l'eut conseillé. 
Maintenant nous pûmes envisager de faire un prêt et 
construire une maison.
     Pour cette réalisation il fut envisagé de mieux 
gérer nos économies  et surtout de partir d'un bon 
pied.
    Septembre, la rentré des classes permit a Claude de 
rentrer en cour primaire. Il en fut fière car il se prit 
pour un tout grand. Je le fut aussi ainsi que Sylvie. 
Avec cette entré, l'automne s’annonça précoce. La s
saison d'une humidité froide et imprévisible. De 
nombreuses personnes tombèrent malade. Les faibles 
en bâtirent et les fores, en subirent la fatigue les faiblit. 
Je ressentis cela et j'obtiens des séries de piqûres qui 
me bloquèrent au lit. Le mal me rongea le dos. D'après
 le médecin ce sont les reins qui en réagirent le plus 
et la colonne qui en dégustèrent. Une chose fut certain 
je dus rester allongé

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     Deux mois passèrent et ma situation ne s'améliora 
point. Les assurances ne payèrent plus, je tenta une 
reprise du travail, rien ni fit, je peina plus que
 tout. De ce fait, j'eus la place de grutier même là, 
la monté des marches me pénalisa, arrivé dans la petite
 cabine, la , je me sentit mieux.
      L'hiver se présentât avec dans ses bras du froid,
encore du froid . Les intempéries nous clouèrent au 
sol et dans nos murs. Quelle chance je pues retrouver 
une jeunesse moi qui n'eus que 21 ans. 
   La merveilleuse fête de fin d'année s’annonça triste 
et sans serrure qui  empêcha la pauvreté d'entrer dans 
notre habitation.  Comme nous envisageâmes de 
construire il ne fut pas question de vider nos réserves. 
Mais le marteau du pauvre c'est quant une lettre 
recommandé nous avertit que le dus doit être rendu, 
sens cela, le huissier fera une saisie.
  Nous fêtâmes Noël avec le partage de notre amour 
pour nous tous.  

a suivre n 6/8
 PRENDRE LE DROIT DE JUGER 
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.

                    JJM 


Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 26 10 2019, 116 744 lecteurs.
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                    A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs. 

                    A ce jour, 19 10 2023, 185 522 lecteurs.

                   

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