2/8 Prendre le droit de juger ( roman sentimental n 2/8 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1
Suite 2/8de Prendre le droits de juger
chapitre numéro 2 

57











     

       
      Sylvie continua son travail de femme de 
ménage bien sage tous ce qu'elle eut appris chez tante 
Nina porta ses fruits. Elle s'y prêta merveilleusement, 
quant a Claude il m'étonna de jour en jour, le vrais 
fruit d'un grand amour. Il maîtrisa son langage 
tel un grand enfant sage. Le draguer, d’origine 
italiens, ne cessa de lui faire la coure a chaque 
passage dans la cité. son audace alla jusqu’à lui 
rendre visite a la maison lorsqu'elle fut seule. 
J'eus aimé me trouver nez a nez avec lui lors de sa 
visité. Hélasse, on ne sut jamais a quelle heure et 
quel jour sera sa prochaine visite.

58

        Les journée s’écoulèrent et le rythme infernal  
de la vie effaça lentement l’absence de tante Nina.
  Ce troisième Noël se solda par une belle et bonne 
bûche de noël. L’absence d'une personne se
ressentit mais, malgré cela notre joie se trouva avec 
nous car les préparatifs de Noël ressemblèrent aux 
autres avec les petits gâteaux que Sylvie sut faire 
comme cette bûche . Mais, de sapin il n' en eut . 
Notre situation financière brilla car mon salaire fut 
plus élevé que l’année passé. 
    Claude vint d'avoir son anniversaire, quelle belle 
fête ce jour là pour tous les trois. l'hiver s'épanouit 
laissant la place au printemps qui le surpasse. Les 
journées augmentèrent comme le salaire. Malgré 
cela, Oncle Pauli eut de la nostalgie et sa tristesse 
le suivit. L'oublie d'un être aimé a du mal a se digérer,
 il vint  de perdre une moitie de lui même. Les samedi 
soir on ressentirent cette retombée,tous change petit 
a petit. Sa tête se trouva autre part.
    Dans la cité d'urgence le pourcentage de français 

59

diminua, nous ne représentions plus que 5 pour cent 
de la population. Il n'y eut plus de joueur de cartes 
l’ambiance  trouva une autre route. Un sentiment 
étrange plana sur nous on se senti perdant car nous 
allons nous retrouver parmi les derniers français 
occupant de la cité d'urgence. Une drôle de mentalité 
enlaça nos habitudes. nous dûment faire attention 
sur tous, la propreté fut négligé, le vol un atout 
majeur et la politesse oublié resta chez le facteur. La 
sympathie du voisinage, oublié. 
Le mot raciste sonna très souvent. De nombreuses 
bagarres, parfois meurtrière, s'y pratiquèrent. La cité
 ne dut durer que 15 ans au plus mais la reloge des 
habitants laissa libre cour aux nouveaux habitants 
venu de toute la terre. La plus part vinrent en 
clandestin et ils fuirent leur pays. Les habitations 
furent surpeuplé avec tous les enfants de tout âge qui
 y logèrent. Il arriva que plus de 20 personnes vécurent 
dans une habitation prévu pour 6. Souvent ils y 
élevèrent des moutons et poules qui bataillèrent par 

60

ci, par là. Quant ils tuèrent les bêtes, cela se fit  en 
publique, ils les dépecèrent en pleine rue. Le sang 
coula dans les ruelles.
   Une première commission  vient nous consulter 
pour nous proposer un autre logement. L'oncle 
Pauli ne voulu rien savoir ce qu'il désira c'est 
d'attendre sa mort dans la même maison que tante 
Nina. Il représentait un père pour nous, et il ne fut
pas question de l'abandonner on désira aussi de  
rester. Une autre question freina nos projets, comme 
nous n’étions pas marie et avec 16 ans d'âge, il ne 
fut pas possible d'obtenir un logement. 

      Cette hivers rude passât, les logements 
ressortirent de terre comme des champignons. Nous
redevenions des hommes, notre compte en banque 
augmenta. Notre spécialité, ce fut le crépissage. Un 
vrais régale que de travailler avec lui, je suivis son 
savoir comme un professionnelle plus comme un 
apprentie. Mais, l'oncle Pauli eu souvent des lacunes. 

61

Ses pensées voyagèrent autre part.
      L'italien continua ses avancées, ses anciens amies 
et amis l'admirèrent bien plus qu'avant. Sa réussite 
n'eut pas de toute je compris par la suite qu'il proposa 
des appartements a sa disposition. Cette proposition 
demanda une échange, des services pas bien 
déterminé.
    La commune eut engager une nouvelle méthode 
pour limiter l'envahissement de ressortissants 
clandestins, elle détruisit les maison de la cité 
d'urgence chaque fois que l'occupant l'eus quitté.
Les démolisseurs rasèrent rapidement sans prêter 
gars aux souvenirs de ces emplacements. Le 
projet en vue fut de construire des habitation a étage ,
 ce qui permettra d'accumuler plus de locataires.
     La commission d’enquête fut revenu nous consulter, 
L'oncle Pauli ne voulu rien savoir de toutes les belles 
promesses que l'on nous proposa. Il leur répéta que 
ses intentions furent,  de terminer le restant de sa vie  
dans cette cité d'urgence. Notre fidélité envers se brave 

62

homme ne nous permit pas de le laisser seul, se sera un 
abandon. On eurent obtenir un appartement, mais deux 
obstacles nous handicapait, le premier, nous ne fument 
 pas marier et le second ce fut notre jeune âge qui sans
 l'accorde des parents ne valut pas un sou.

           l'hiver se termina et des lotissements sortirent 
de terre comme des champignons, nous devinrent des 
hommes car notre compte en banque s'enrichissait.  
l'oncle Pauli fut un surdoué pour la maçonnerie comme
 pour le crépissage. Les façades des maisons devinrent 
un régale pour les rendre lisse et droit. Dans le fond de 
son cœur, une lumière manquait, celui d'une amour  qui 
sens fut allé. Très souvent il planait autre part, dans un 
monde où le réelle ne marie pas l'actuelle.
    Dans la cité d'urgence les ruelles devinrent chantier 
et certain murs restaient debout comme pour nous 
narguer. Oncle Pauli resta ferme , pas question de 
partir. Le faîtage et le toit de la maison voisine 
tomba son les griffes du pelleteur. De la poussière 

63

envahit la maison, Sylvie n'arriva plus a gérer la 
propreté, le soir elle nous informa de cette 
impuissance. Oncle Pauli atterré, reconnu qu'il n'y 
eut plus d'avenir dans la cité d'urgence. Nous ne 
voulions demander de l'aide a la commission  et 
décidons de contacter l'italien. Sylvie l'eus contacté  
pour que nous le rencontrons le samedi .
         Se samedi là, je prêta attention a ce personnage 
qui nous fit rêver avec tous le baratin qu'il nous 
embobina. Il nous fit comprendre que toutes les 
maisons disparaîtront. On ce rendis compte et nous 
acceptions sens revendication sa proposition. Nous 
sympathisions avec beaucoup de remord et le suivions
 pas a pas . Oncle Pauli écouta attentivement et se 
laissa embobiner comme nous tous. Seulement d'après
 les plans il n'y eu  qu'un logement pour une personne 
car nous trois nous n’eurent pas droit. Ce ne fut qu' un
petit résidu de 12 mètres carré et pas plus.
- Mais, monsieur,  où pouvons nous dormir a quatre 
   dans ce logement ?

64

- Il y a possibilité de trouver plus grand, mais a une 
   conditions,
- Laquelle,
- Que Sylve accepte de me rendre service de temps 
   a autre.
   Je regarde Sylvie d'un air questionneur et dis,
- qu'en penses tu Sylvie , serais tu d’accord ? 
- Je suite prête a accepter.
- Je vous donnerais des nouvelles d'ici peu.
      Le bruit des pelleteuses détruisirent presque tous 
autour de nous, la vue sur le nouveau chantier fut 
grandissante. les vents s’engouffrèrent et l'hiver 
approcha rapidement. Notre impatience nous joua des
 tours, et plus personne ne vient nous rendre visite. 
Dans les ruelles de grande flac d'eau jaunâtre se 
multiplièrent, Devant la porte une mare d'eau nous 
incommoda. Le jardin servait  aux gros engins pour 
y stationner , comme nos amies et amis surent  sur 
notre départ, plus personne pour nous entourer. Il fut 
temps que nous puissions quitter ce lieu malsain, mis

65 

volontairement  en chantier. Tous devinèrent 
embarrassant. 
    La santé du petit Claude se dégrada, l'oncle Pauli 
en prit conscience et chercha a contacter au plus vite 
l’italien. Quant nous dûment contactais un médecin 
pour qu'il ausculta le petit Claude très fiévreux. Puis 
il remplissait une ordonnance pour que nous pouvons
 acheter les médicaments. Il me demandât 
- Avez vous vos papiers de la sécurité social ?
- Non, 
- Vous travaillez, 
- Oui comme maçon depuis mes 14 ans,
- Le jour de votre embauche ne vous a il pas déclaré ?
- Il m'a expliqué que le jour où j'aurais quelque besoin 
    médical on pourra toujours m'assurer. 
-  Bon, il faut envoyer cette ordonnance a la caisse 
    d'assurance maladie et mentionner chez qui vous 
     travailler.
- Merci docteur.
      L'oncle Pauli ne fut pas avec nous chez le médecin, 

66

connut il cet oubli ? Nous lui firmes part de cette lacune 
volontaire ou involontaire. Il ne le sut . Nous fume dans 
une impasse, pas de poste officiel donc pas de couverture
social, il faut que notre patron nous enregistre au plus 
vite. Pas étonnant que la société nous oublie pour
trouver un logement.
   Dans nos rêves, un nouveau logement serait le bien 
venu, il ressemblerait a un appartement confortable
 où nous quatre pourrions y vivre aisément.
    L'oncle Pauli avait pendant ce temps retrouvé notre 
Italien, qui nous invitât dans un restaurant de la ville 
un samedi soir.
         Quelle nouveauté pour nous ,de pouvoir manger 
dans un restaurant et qu'elle honneur. J'eus un
certaine réticence mais, il faut que je lui accordais 
mon attention, j'eus fait confiance a mon patron et 
voila que je ne fus  pas en règle pour quelle raison 
ne ferais pas confiance a l'italien ?
 J'enfermai , au fond de moi une certaine fierté, ma 
démarche sembla le dénoncer. Je devin  comme eux,

67

 ceux qui ont la possibilité de manger dans un 
restaurant huppé, là où les lumières multicolore 
attirèrent les papillons de nuit et là où les amoureux 
s'enlacèrent rien qu'avec le regard de leur yeux 
brillant d'intentions. Le petit Claude suivit les 
lumières comme moi.Me voila entrain d'égarer mon 
attention sur les appliques émettant des lumières rouge 
tamisé. Cette lueur romantique qui émet une sympathie.
Une odeur  d'huile d'olive, laissa s'échapper un 
parfum alléchant rappelant la cuisine  de Tante 
Nina. Chaque table fut marqué comme réservé . 
Certaines a deux place et d'autres plus grande. 
Je ressentis, au fond de moi une certaine fierté, 
mon comportement le dénonça. Le repas se passa 
correctement, on ne parla pas grand chose de peur 
que nous ne pouvions suivre les manières raisonnable 
pour un lieu aussi chique.

     A la fin du copieux repas, il nous fit découvrir les 
suites de nos engagement. Nous voilà sur le chemin 

68

de notre avenir. Pour le dédommager, il proposa a
 Sylvie de faire des extra le samedi soir dans ce 
restaurant.  Il n'eut pas de mauvais goût pour les filles
 je le remarqua avec le personnelle qui fait le service 
et surtout avec l'attention qu'il porta sur Sylvie. Il nous
 proposa une embauche bien rémunéré  pour Sylvie qui 
accepta sans le questionner. Cette proposition nous 
parus  la bienvenu, une rentrée d'argent 
supplémentaire c'est raisonnable. Nous concluons 
cette offre.
         Pour dimanche il nous proposa de visiter le 
nouvelle appartement. Quelle aubaine, nos rêves se 
concrétisèrent. Devant le bâtiment,  j'eus remarqué 
les belles voitures qui parquèrent tout autour. J'en fus  
ébloui. Nous arrivâmes  a l'étage, avec un ascenseur, 
et devant une belle porte de bois. Il l’ouvrit  et la, un 
appartement confortable comme dans notre
 imagination. 
   Je construit des habitations mais quant ce fut le 
notre, la réalité fut toute autre. Trois chambres a 

69

couché, une cuisine et une grande pièce de séjour, 
une salle de bain avec une baignoire douche,   un 
robinet d'eau chaude et un autre d'eau froide , des 
toilettes. Le tout repartie sur 100 mètres carré. 
Quelle changement pour nous tous, nous 
l’acceptâmes et attendirent quelques jours pour 
emménager.
     Il ne resta plus que quelques jours pour terminer 
l'année. On se souhaitèrent que la nouvelle sera 
l'ouverture de nos 17 ans et 3 ans pour Claude. Se 
Noël n'eut pas de sapin, juste une branche coupé 
dans un jardin publique. Nous le fixons sur le mur de
 l'entrer. Trois semaine passèrent, pas de nouvelle de 
notre appartement. Heureusement que l'hiver ne fut
 pas aussi rude que d’habitude nous purent  travailler.
 Puis, la troisième semaine de janvier, l'italien vint 
nous trouver et proposa a Sylvie de faire un essais 
au restaurant et ci la suite sera concluant, on aura 
les clés de l’appartement.  

   70

    Il vint la chercher un samedi vers la fin de journée,
 Sylvie partis avec hantise. Le petit Claude versa des 
larmes et oncle Pauli ne sut pas exactement ce qui se 
déroula . Je ressentie   personnellement une nostalgie 
que de la voir partir, une sorte d’abandon. Ce qui vint  
de se conclure doit être engagé.
      La nuit devint  longue et mon sommeil absent. Le 
petite Claude plongea dans se rêves. l'amour 
provoque de la jalousie, sera se cela qui m’intrigua?
      Au petit matin Sylvie revint parmi nous. Elle 
remplis la table de petits pains au chocolats. Je 
remarqua qu'elle sentit comme un parfum de fleurs 
du printemps. Elle fut attirant et séduisant par son 
visage maquillé et les vêtements qu'elle eut porté. 
Elle n'eut pas besoin de cacher son visage sous une 
couche de couleur mais, certainement que le contra
 le spécifiait. Mon amour pour elle n'a de limite, je 
lui ai fait ressentir cet instant magique, mais, sa 
fatigue ne suivait pas mon lyrique elle s’endorme 
dans mes bras sous les draps. Elle se réveilla vers 

71

les 13 heures, j'eus préparé le repas et me suis occupé 
du petit Claude. L'oncle Pauli n'est pas encore revenu
 du café où il joue au tiercé, les trois numéraux qu'il 
espère qu'un jour ils vont gagner. Le petit claude 
s"amusait avec le sac a main de Sylvie. Sylvie m'eus 
dit,
- Pardonnes moi Jean je garde pour toi tout mon 
   amour.
- De même Sylvie toute ma confiance repose sur 
   nous trois.
       La journée se passa normalement, et au soir, 
je lui demandais,
- Ton travail était il  embarrassant ?
    Son regard se détournait de mon visage, sa figure 
rougissait puis suivait quelques minutes de réfections.
Elle répondait,
- Je suis partie samedi avec l'italien dans une belle 
   demeure , je pense que c'était un château. Sa 
    grandeur impressionnante comme son luxe 
    m’enivrait. D'autres filles de mon âge s'y

72

    trouvaient. Leur habilles moulé, 
   laissaient apparaître les formes de leur corps. 
   Certaine surface , a peine couverte dévoilait leurs 
   sous vêtements. Une gène prit place dans mes pensées,
    je me sentait offensé. Ensemble on retrouvait une 
    grande salle, pas bien éclairé, où, de nombreuses 
    personnes masculins mangeaient. Tous étaient des
    personnalités connu et ce fut les jeunes filles qui 
     me l'on indiqué. Ils parlaient un Français 
     autrement que nous autre. Leurs mains se 
    baladaient sous nos jupes sens demander notre avis.
     Ils se permettaient bien des caprices, cela me 
    plaisait gère. Après le repas un orchestre jouait de
     la musique pour que nous dansions. A peine que 
     la première musique commençais, l'italien venait 
     me trouver pour que je l'accompagne. Je ne 
     pouvais lui refuser et le suivais. Les filles m'avaient 
     averti, elle m'ont donné conseil car c'est toujours 
     avec la nouvelle venu qu'il ouvrait a sa façon le bal .
     Il m’entraîna dans un recoin dissimulé derrière un 

73

     mur qui faisait office de porte .Un énorme divan 
      occupait la longueur d'un mur et sur les autres, des 
      miroirs a mis hauteur, au dessus des tableaux qui
      évoquaient des scènes de vie. Je devenais froide de 
       tous sentiment envers celui qui m'y guide par profit. 
       Il m'imposait des attouchements sur les quelles 
       j'aurais voulu renoncer. J'acceptais par force et 
      contre mon gré. Il l'eus remarqué car ils eu dit que
       ci je résistait mon travail risque de s’arrêter. Je l'ai
       laissé faire et ressentait un besoin de crier. Une
       trahison venait de naître je n'étais plus moi même. 
      Je retournais auprès de mes collègues qui, a tour de
      rôle partaient puis revenaient. Un autre personnage 
      qui pourrait être mon grand père , venait me trouver 
      pour m’entraîner dans un des nombreux recoins. Il 
      se contenta de fourrer ses mains hideuse sur mon 
      corps.  Je me laissais faire comme ma conseillé 
      l'italien. Cette personne là fut satisfaite de mon 
      comportement, elle m'offrait  une bague. Avant de
      me quitter il m’avait demandé mon âge , je trichais 

74

      sur la réalité et me vieillissais de deux années. J'ai du 
      lui plaire car, il ne m'eut plus quitté de la soirée. 

   A ce moment là, Claude sortait de l'argent du sac de 
Sylvie, rien que des billets de cent francs. 
Je lui prenais ces papiers de valeur et remarquais qu'il 
étaient au nombre de quatre. Je n'en revenais pas et 
demandais a Sylvie,
- Mais, d'où as tu cette argent ?
- C'est ce vieille homme qui me la mit dans mon sac, 
je ne l'ai pas contrôle.
  A cette époque, mon salaire de maçon s'élevait a huit 
cent franc par mois , pas plus pour des semaines de 
45 heures. Je regarde Sylvie et on décida de ne souffler 
mot a qui que ce sois.   
   Le lundi soir, l'italien venait nous trouver pour 
remettre le salaire de Sylvie. Il lui donna une somme 
de 150 francs. Nous ne soufflons un seul mot sur ce 
qu'on a déjà reçu. Il nous dit,
- Tu as fait du bon travail Sylvie, les clients sont 

75

   satisfait tu peux revenir le samedi prochain, et 
   puis voilà les clés de l'appartement vous pouvez 
    y habiter.
    Avec l'aide du camion de l'entreprise, où je travail,  
que nous déménageons. Notre richesse ne fut pas 
grande un chargement suffisait. Le temps que nous
 vidons la maison, une pelleteuse patientait. l'oncle 
Pauli ne réalisait pas encore, puis, il donna l'ordre 
de démolir la maison. Pour nous trois ce fut une fête 
mais pour l'oncle Pauli une défaite. On quitta la cité
 d'urgence sans regarder en arrière. Je me trouvais 
assis sur la benne du camion berlier avec les meubles.
 l'oncle Pauli dans la cabine avec le chauffeur, Sylvie 
et le petit Claude. Le départ fut brusque je me tenais 
tien bien que mal. Je regardais en arrière et sous un 
nuage de poussière, s'envole les souvenir de jadis. 
L'engin n'a pas fait long feux, 2 coups de pelles 
mécanique et , plus de maison.  Le camion prit un 
virage qui me coupa de tout vue sur la cité d'urgence.

76

    l’installation dans notre nouvelle appartement se 
faisait petite a petit. A partir de là, Sylvie retrouvait 
tous les samedis soir le restaurant privé. Son absence
 devenait une routine comme cette venu de pourboire
 qui relevait notre situation financière. Nous pouvions
 acheter de nouveau meubles de première qualité. 
Sylvie n'apportait pas que de l'argent, un bijou qui 
ne venait pas de l'italien, mais, du vieille homme lui 
faisait la cour a sa manière. Les samedi on jouais 
aux jeux de cartes. Le petit Claude n'était plus 
bouleversé sur l’absence de sa mère, il s'endormait 
comme d’habitude.
    Avec la routine, passe les jours , les semaines , 
voir les mois. Notre premier Noël dans l'appartement 
se fêtait glorieusement. Le petit Claude parlait 
correctement lui aussi fut de partie.
         Une journée comme les autres avec la routine 
qui fut des nôtres, sur le chantier d'un lotissement 
je me trouvais devant la bétonneuse qui tournait 
tout en grinçant. L'oncle Pauli crépissait avec 

77

ardeur et savoir faire. Je lui montais fur et a mesure 
du matérielle, puis je repartais recharger la   
bétonnière de sable, d'eau et se ciment. J'eus du mal 
a suivre car sur l'échafaudage ils furent au nombre 
de trois a crépir. Suivit un incident qui déstabilisa 
l'ensemble des éléments métallique. Les trois maçons 
furent déstabilisé , certains projeté a terre. Oncle Pauli 
tomba pique  sur un tas de briques, un autre sur un tas 
de sable et le troisième, par un réflexe chanceux 
s’agrippa a une fenêtre entrouverte. Je courais 
rapidement vers oncle Pauli, il n'eut de réaction car
 il ne bougea plus.
   Je saisi une échelle pour venir en aide a celui qui 
resta suspendu au deuxième étage. Je tremblais tout
 en agissant rapidement. Le troisième sur le tas de 
sable n'eut rien il se releva comme si rien ne fut. 
Nous voila autour de l'oncle Pauli, qui eut gardé 
sa position. Les témoins de la maison en face, 
appelèrent du secoure. Je me sentais responsable 
de ce qui arriva . Je soupçonnais chaque manœuvre 

78

et objet quelconque. Notre patron arriva avant 
l'ambulance. Les pompiers transportèrent oncle 
Pauli avec attention comme celui qui fut tombé 
sur le tas de sable. 17 heures passé, je suivais 48
l'ambulance dans la voiture du patron vers 
l’hôpital. Sur le parcoure, le patron m'eut
 questionné, je ne su lui répondre. 
    Je resta a l’hôpital, impatients et anxieux. Je ne 
rencontrai personne qui put me donner de ses 
nouvelles sur sa santé. Mes pensées me jouèrent 
des tours, vers le tragique sans faire de détour. 
Mes yeux s'unifièrent suis je entrain de pleurer 
comme un enfant ? Il fallut que des larmes vidèrent 
mon surplus de peine. Un médecin venu me trouvé 
pour explique ce qui alla suivre. Je ne compris pas 
grand chose a par qu'il n'y eut que l’espoir qui 
nous sortira de ce trous noir. A cette instant il fit
sombre comme une ombre. Je quittai l'hôpital a 
pied jusqu’à notre adresse, il n'y eut plus de 
servitude en transport. 

80



suite  au n 3/8 de prendre le droit de juger

Ma raison d'être c'est de paraître.

                     
Le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
JJM
Auteur  Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 21 01 2022, 165 722 lecteurs 
A ce jour, 19 10 2023, 185 522 lecteurs.
A ce jour, 15 12 2023, 191 074 lecteurs.
       







Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LA SOUPE SUR L’ÎLE DE PAG ( nouvelle 33 )