LE PETIT CHIEN BLANC ( nouvelle 25 )

mirage au dessus des nuages sage n 1

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LE PETIT CHIEN BLANC


La violence n'a pas de référence et pourtant 
en ces jours où l'homme est très soucieux et 
très instruit, des marques de haines 
incrustent leurs traces. 
   C'est peut être le manque d'information 
qui détient le symbole de la dégénérescence 
ou bien le trots de connaissances sur des 
actions humiliantes qui germent notre 
situation. 
   A vrais dire,  les humains se livrent , avec 
indiscipline, a des exacerbations révoltantes. 
Le faible devient la victime de cette haine. 

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   Cumuler une pression sur un être vivant , 
provoque chez l'agresseur une profonde 
satisfaction personnel. La pauvreté devient 
le  facteurs qui traite cette conspiration. 
Il y va de sois que le manque de sagesse 
détient le fibre précurseur qui nourrit l'être 
violant.
    La victime , dans ces lignes, n'est qu'un 
frêle petit chien blanc de six mois. Ses dents
sont pointu ainsi que son museau. Son 
maître, un puissant homme, le nome (Loulou). 
Se nom est fréquent dans notre région pour 
les chiens de cette race . 
  Le maître se prononce par des frappes 
régulière sur le petit chien pour chaque 
insatisfaction personnelle?
   Sa mauvaise humeur n'a que cette 
logique,  le frapper.
   Malgré le comportement ablatif, injuste et 
volante, la brave bête reste son plus Fidèle

compagnon. Cet acharnement continuelle 
garde des traces, souvent son museau se 
couvre de sang et ses oreilles restent 
pendante, sa queue se terre entre ses pattes 
arrière et sa peur  le guide vers un coin de la 
pièce où, il se couche tremblant de peur et 
de douleur.
   La méchanceté ne trouve de limite et un 
jour la pauvre petite bête fut attaché a un 
arbre, dans le coeur d'une immense et haute 
foret de sapins et divers autres essences. 
   Dans cette profondeur une humidité 
constante y règne, elle l'enlace avec 
l'incertitude indomptable qui l'entoure.
  Ce cumul de consternations réveillent 
dans le comportement de la brave bête un 
surplus d'énergie.
   La libération n'a pas de prix  sur ceux, elle 
tire de toute ses force sur la corde de lin 
tressé.

   La pluie tombe en corde continue , elle 
humidifie son attache qui lui resserre  sa 
gorge. Sa respiration peine vers une mort 
certaine. Ses dents mordillent la corde de toute 
leur force . Il faut  retrouver la liberté goûte  
que goûte.
   Le prix a payer est lourd, deux longues 
journées et deux nuits se sont écoulé , enfin 
la corde lâche et la liberté guide ses pieds. 
   Confus de sa réussite, Loulou patiente un 
moment puis tourne en rond par argument 
dans l'espoir que son maître le retrouve. 
La soif et la faim l'oblige a quitter ce maudit 
emplacement pour  trouver où il pourrait 
s'abreuver .
   Le lieu est inconnu et chaque déplacement 
permet d'aller de découverte en nouveauté. 
Enfin, une petite source d'eau très claire 
étancher sa soif.
 Sa curiosité lui fait découvrir une faune et

un flore révélatrice pour son ignorance. Les 
premier pas tracent son indépendance vers 
une vertu sauvage. Le sens de cette 
nouvelle vie consiste de se débrouiller temps 
bien que mal. 
   Loulou inculque des reperds indispensable 
pour la survie. Sa faim l'oblige d'empreindre 
une perversité guerrière. 
  La première démarche est la patience sur 
l'observation de tout ce qui bouge autour 
de lui. De différent animaux viennent 
s'abreuver dans l'eau de cette source. 
   Loulou reste caché dans un touffu 
buisson d'herbe grasse, couché au sol. 
  Machinalement Loulou prend la position 
d'attaque par surprise. 
   Une petite grenouille verte hasarde son 
temps sur une grande feuille de nénuphar ; 
elle se réchauffe par les rayons bienfaisant 
du soleil. Étourdie par son bien être elle 

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somnole.
   Loulou garde sans sang froid, contrôle ses
pas, puis, l'ensemble de ses muscles le fond 
bondir sur son premier repas de chien libre 
et sauvage. 
  Sa manœuvre manque de perfection et de
professionnalisme pourtant il la chope. Sa 
faim l'oblige de dévorer la grenouille avec 
voracité et inadvertance.  
  Une toute jeune renarde remarque son 
action. Elle  se laisse attendrir par le 
comportement aventurier de ce petit loulou 
blanc.
      Pour loulou, ce repas efface son mouron 
mais ne suffit pas pour combler le vide de 
son estomac. 
    Loulou se laisse diriger par les sifflements 
persan d'un chien de prairie. Ce bruit réveille 
en lui l'instinct du carnivore. 
    La brave bête, rapide,  ne lui donne la 

possibilité de se laisser prendre ; la valeur 
d'un  vrais chasseur réagis autrement que  
les réactions de Loulou. Le manque de 
rapidité l'oblige de prêter son attention 
devant le terrier. Hélas plus rien ne 
dénonce un signe de vie. Déçus, il  y 
renonce et se dit que la ruse est la clé de 
la vie sauvage.
     La mésaventure de Loulou est suivi par
a une observatrice. Cette renarde qui a 
un béguin pour lui et qui le suit . Elle trouve 
dans son comportement tout l'équilibre 
nécessaire pour en faire le tuteur d'un 
partenariat.
    La mésaventure et la malchance a fait 
que cette renarde fut devenu une orpheline 
suite a la chasse déclenché par les 
villageois de la plaine. La nostalgie de 
cette jeune renarde détient le facteur 
d' un envoûtement sentimental. 

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 Dans le comportement de Loulou elle 
retrouve celui d'un passé familiale. 
La curiosité détient le facteur qui 
correspond a une sympathie réciproque.  
Sur le moment ce sont les sauts qui les 
endiable, puis leur museaux se 
rapprochent, et un reniflement transite 
de par et d'autre et leur flaire conjugue 
toute une amalgame de satisfaction. 
    Cette rencontre bouleverse les 
instants , chacun tourne autour de l'autre 
dans un rythme lent, puis, il progresse 
rapidement pour terminer en une cascade 
de sauts périlleux. Des mordillements , sans 
gravité, deviennent leur jeux . Ceci marque
 le signe d'un mariage profond avec comme 
témoin toute la nature environnante. Les 
voila uni pour qu'ils suivent la régate de leur 
vie .
   La renarde apprend a Loulou la chasse 

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aux lièvres et des souris, celui des oiseaux 
et des perdrix. A la fin de la journée ils 
dorment poil contre poil dans un terrier 
chaud et quant le soleil est  de plomb , ils y 
retrouvent une tiédeur digne de seigneur. 
L'été les nourrie de victuailles et d'aventures 
prospère en réussite.  
   Lorsque l'automne montre ses valeurs 
de couleurs et que les tapis de feuilles 
mortes tapisse le sol , un froid humide et 
impartial les affaiblisse. L'organisation 
d'un savoir chasser par ruse devient le 
facteur primordiale pour leur survie. La 
renarde a plus d'un tour dans son sac , elle 
parvient a stabiliser leur besoin en victuailles. 
  Pour cette attention elle pénètre dans les 
basses cour pour se servir de la volaille. Elle 
fait cela d'une aisance digne de renommé. 
Loulou en est gavé car chaque prise se 
consomme dans leur terrier.

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    Les autres renards de la région font des 
carnages dans les fermes alentour. 
    Les fermiers n'approuvent pas cette 
acharnement , ils organisent des battus en 
tous genres ; certains posent des pièges  
et d'autres s'arment de fusil de chasse. Les 
renards sont rusé et les surprendre 
devient un vrai traquenard. 
    Dans la ferme de la famille (Charnu) un 
véritable carnage a anéantie toute la basse 
cour , plus une poules vivantes, toutes sont 
déchiqueté comme les canards et les oies.  
   La famille Charnu propose un plan a la 
communauté, il consiste de mettre a 
disposition des renards des appas 
empoisonné et poster des gardes la nuit 
armé de fusil. 
    Leur  solution trouve raison et un grand 
nombre de fermiers suivent cet arrêt.  
   Depuis cette démarche, le calme trouve une 

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tournure réconfortante, plus un seul poulailler 
ne fut visité.
  L'on raconte que le poison a fait son effet. 
Les gardes retrouvent leur nuit au chaud. 
Les soucies s'envolent comme le son d'un 
air frivole.
  Loulou et la renarde trouve dans leur 
refuge un profond réconfort emplit de 
satisfactions. La neige recouvre le terrier 
en atténuant tout bruit. Ils sont abasourdie, 
et le sommeil les plonge dans une litote.
  Cette trêve a une fin , un nouveau carnage 
anéantit le poulailler du maire du village. 
Pas de doute, une préméditation met en 
mouvement l'ensemble des chasseurs du 
village . La révolte gronde, elle rassemble 
un grand nombre de participant. le maire
fit une éloge et prédit qu'il y aura des 
prochains,  dans le doute des villageois 
une peur règne , celle d'être la prochaine 

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victime. 
   La gendarmerie rendre grâce a leur 
préoccupations car  il y a des doutes sur 
l'éventualité que les renards sont enragé. 
  Un dimanche après midi, par un temps 
froid et maussade, sur de la neige  fraîche, 
les humains cherchent des traces de renards.
Une horde de chiens les accompagnent ce 
qui n'est pas de tout repos car leur 
aboiement résonnent entre les sapins, les 
futaies et les marais .Toute une foule piétine 
la neige en directions des sous bois et des 
champs. Cette marche se divise en deux 
groupes , celle qui se met au guet , dans les 
champs derrière les futaies  sont armé de 
fusils  et les autres, des rabatteurs suivie de 
chiens sont armé de bâtons, ils entrent dans 
la forets. Certain tapent sur des casseroles 
pour produire un vacarme ahurissant.
    Dans la foret, les animaux se cachent 

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temps bien que mal , ce vacarme infernal 
les perturbe. Loulou reste couché contre la 
chaleur que produit les poiles de la renarde 
qui , se terre en tremblant dans leur gîte.
   Les bruits se rapprochent et la renarde 
se met a tourner en rond. Elle a perdu sa 
ruse et son impatience , son comportement 
devient incertain et instable. Une peur 
enivrante lui rappelle son passé tragique, a 
où toute sa famille eut périt dans les 
flammes suite a une semblable battu 
d'humains cruelle.
   Le sol vibre et le bruit infernal se rapproche. 
Les humains  sont a deux mètres ,leur odeurs 
se sent. 
   Des coups de feux résonnent entre les 
hauts arbres de la foret. L'incertitude 
provoque une réaction imprévisible 
chez la renarde , elle sort rapidement de son 
terrier  pour engager une course folle.

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  Loulou la suit machinalement avec une 
dizaine de mètres de retard. Les deux 
fugueurs ont un stratagème celui de se 
cacher dans un autre refuge a l'orée du bois.
 Loulou a de la peine pour suivre la renarde 
qui saute dans la neige avec rebond . Leur 
acharnement leur a permis de quitter la foret 
où le tambourinage des bâtons comme les 
hurlements maudissent le bois.
   Ils parcourent cinq cent mètres puis , des  
coups de feux claquent des salves de plomb. 
La renarde trébuche , puis elle culbute contre 
une bute de terre gelé . Elle ne donne plus 
un seul signe de vie. 
  Des aboiements éclatant de haine, résonnent 
au alentour ; les chiens se ruent vers le point 
où la renarde a chuté . Loulou reste inactif, 
son inconscience lui a enlevé le moindre 
instinct du danger. Il hurle sa peine et la 
meute de chien se rapproche ; puis une 

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corne rappelle les chiens de chasse pour 
qu'ils retrouvent leur maîtres. 
   Loulou est pétrifier entouré de cette horde,
il se met sur ses pattes arrière en  aboyant. 
Certains chiens se ruent sur la renarde 
qu'ils déchiquettent en nombreux lambeaux. 
   Des hommes les accompagnent arrivent.
Des enfants aussi ainsi que des femmes 
suivent les chiens. Les enfants crient de joie 
avec l'honneur d'avoir participé a tué un 
renard. 
    Dans la foulé, les jeunes se dirigent vers 
Loulou qui reste abrasif sur sa position . 
  Que va t'il devoir subir ? Des acclamations 
encourageante le glorifient de toute part.
    - C'est bien Loulou tu as déniché ce renard. 
   Des caresses effleurent sa peau.  
    la queue de Loulou se dandine pour 
prononcer sa cordialité d'un animal fait pour 
le domestique.

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   Dans cette entournure il oubli son passé , 
celui où il a fut battu. 
   Toute la troupe est rassemblé et ensemble 
elle se dirige sur la place de l'église . Une 
petite fête s'organise auprès d'un grand feux 
de bois et la une parade d'enfants joyeux se 
mélangent aux chiens du village. Des verres 
de vin chaud laissent échapper une odeur de 
cannelle . Dans la grande marmite du curé 
ce même parfum attire de nombreuses 
personnes. 
    La nuit se rapproche et un froid hivernale 
rougie les visages . La foule se disperse 
quant a Loulou , plus personne ne lui tient 
compagnie , il se blottie dans un recoin 
d'une porte de ferme.
   De la fenêtre donnant sur cette entrée, un  
jeune garçon le voie
    -   A qui appartient ce joli petit chien blanc,  
        maman ?

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    -   Je ne sais pas mon garçon, je crois que 
         c'est lui qui a déniché le renard dans la 
         foret.
    -  Je peux le caresser maman ?
    -   Bien sur mon enfant.  


    Une adoption raisonnable fit la suite de l'histoire 
par ce jeune garçon qui le prit dans sa maison. 
Loulou y trouva enfin sa joie car les deux 
compagnons se muèrent d'affection .


   La justice veut que le juste retrouve toujours la part 
de la raison.


                   JJM

Nouvelle en cour de construction des transformations 
peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 30 07 2010, remis a jour le 19 09 2019.
a ce jour, 19 09 2019, 115 280 lecteurs.
A ce jour, 29 08 2021, 156 556 lecteurs.
A ce jour, 10 03 2022, 168 115 lecteurs.
A ce jour, 27 10 2022, 170 496 lecteurs.
  

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