LES TROIS PIÈCES D'OR ( nouvelle 59 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1














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LES TROIS PIÈCES D'OR


    La souffrance du père devint  
décourageante, elle dépassa sa raison de 
vivre ; sa dernière heure allait sonner.
   Il demanda , avec faiblesse , que dans 
sa dernière fraction de vie , lui accorde 
de dialogue avec ses 3 enfants. 
   Le curé du village, qui occupe son 
chevet, transmit les souhaits a ses trois 
enfants présent dans le couloir. 
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  Les enfants sont plongé dans une 
profonde peine et une tristesse dessine 
des trais moroses sur leur visage. Une 
peine aussi profonde trouble leur 
comportement. Chaque fils garde gravé 
dans sa mémoire sa juste bonté. 
    Parlons en de sa bonté, de sa vie qui 
eut germe son équilibre paritaire sans 
qu'il eut engrangé la moindre fortune. 
Lorsque certaines gens lui firent 
comprendre de penser a sa personne, il 
prétendait posséder le bonheur d'une 
richesse forte d'une fortune capable de 
transformer un pauvre mendiant en un 
riche gérant d'affaire. Cet avoir, il 
veut le partager équitablement entre ses 
deux garçons et sa fille. 
    Il convoqua sa fille Béatrice pour lui 
attribuer la première de ses trois pièces 
d'or bénie par le curé.
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  Béatrice ne peut rivaliser avec les filles 
de son âge car, dans son comportement , 
sa timidité engrange un recule envers 
toute adresse de beauté. Les garçons, de 
ce village, l'évitent volontairement car 
pour eux, elle porte un plumage déplaisant. 
   D'un air prédicateur le fermier dit a sa 
fille,
 - Béatrice, je te donne cette pièce d'or 
   pour que ton cœur trouve la trace d'un 
   trésor, celui d'une âme charitable qui 
   voudra te prendre pour épouse. 
   Les yeux de Béatrice se vitrifient comme 
de l'eau clair qui miroitent le reflet de sa 
juste peine ; elle lui dit tristement,
- Je te promets de suivre tes conseilles père. 
   Le fermier agonise de souffrance et lute 
pour rester en vie, il demande que le curé 
face renter Marcel le premier de ces fils.
- Marcel, je te confie cette pièce d'or pour 
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  que tu t'éloignes du café de la mère 
  Albertine car, c'est la que tu nuis ta 
  santé et ta fortune. Promets moi que tu 
  suivras mon raisonnement, tu resteras en 
  bonne santé et deviendras riche pour le 
  restant de ta vie.
 - Qui père, je te promets de ne plus mettre 
    mes pieds dans cet établissement géré 
    par la mère Albertine.
 - Vas mon fils, le bonheur te suivra. 
  Il a du mal pour s'exprimer mais, il fit 
comprendre au curé que son fils Daniel 
vienne le retrouver a son chevet.
 -Daniel, tu es un valeureux garçon, ton 
cœur fait vibrer les bonnes raisons. Je te 
donne cette pièce d'or pour que tu la 
places dans une bonne fraction. Je ne 
tremble pas pour ton avenir car tu 
conjugues l’esprit d'un valeureux homme 
digne d'une bonne action. Vas, que la 
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paix soit avec toi et dans tes intentions.
- Oui chère père, ta volonté ouvrira la clé 
  de toutes mes prétentions.
   Calcul savant, Daniel trouve dans cet 
avoir celui d'un argument pour faire germer 
son premier talent ; celui qui signe 
dignement la valeur d'un bon placement.
   Le curé donne les saints sacrement pour 
laisser s'évader vers l'éternel l’âme d'un 
juste père de famille. 
   A la porte du paradis personne ne déduit 
d'obstacle pour freiner ce nouveau venu 
car, il détient le juste partage qui prime sa 
vie éternel.
    Vivre au paradis, c'est oublier toutes  
richesses, toutes amertumes et toutes 
confrontations. Mais , des pensées sombres 
virevoltent dans l’esprit de ce père vaillant. 
Il fait part de ses propos au bon Dieu. 
Celui ci lui présente sa requête qui consiste 
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que son âme puisse retourner auprès de 
ses enfants. 
   Dieu est juste et bon, il comprit son 
attention et lui permet de disparaître 
du paradis mais, Dieu lui fit par d'une 
vacation, celle de lui accorder le 
miracle de la multiplication .
    Le premier enfant qu'il hante est Béatrice 
et remarque ; Béatrice a prit comme épouse 
un beau couturier. Elle est mère de deux 
fillettes, l'une aussi jolie que l'autre . Son 
savoir broder lui donne la félicité de tout son 
entourage ; elle en fait un fructueux 
commerce . Il constate aussi qu'elle possède 
encore la pièce d'or  car elle la entouré d'une 
fine flanelle de petits motifs de broderies.
 Elle la garde précieusement accroché autour 
de son cou. Cette pièce d'or gardera en 
mémoire le souvenir de son père. Elle en 
avait fait une promesse, celle de la conserver 
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jusqu'à sa mort pour la transmettre, le 
moment venu a l'une de ces filles.
    L’âme du père , satisfait de sa fille, part 
chez son fils Marcel et, découvre que son fils 
germe une maladie  incurable, il lui fait pitié. 
L'alcool est resté son idéalisme, la promesse 
qu'il lui avait fait , de ne plus mettre les 
pieds dans le bistro de la mère Albertine fut 
réalisé, mais, il devient le pilier d'une autre 
maison de boisons. De pièces d'or, il n'en a 
plus sa trace. 
   L’âme du père ne récolte la moindre 
satisfaction et va son chemin avec 
indignation. Ce ne sera pas lui qui tirera le 
bénéfice de son pouvoir.
    Il partir rencontrer le second fils, Daniel . 
Le père garde avec ardeur toute sa force 
multiplicateur. 
  Dans la belle demeure, où son habite son 
fils Daniel, on n'y rencontre la moindre 
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modestie. Le luxe prime en harmonie, 
partout où le regard se pose . Daniel a très 
bien réussi, il eut conjugué la fleur de sa 
richesse comme un jardinier chanceux. Le 
pouvoir prime ses intentions avec intuition
   L’âme du père hésite de son pouvoir car, 
il ne sait qui gratifier de son avoir. 
   Il retourne auprès de Dieu pour lui 
exprimer sa déception de ne pouvoir 
résoudre la juste compromission. Le bon 
Dieu, très sage, lui dit ,
 - Sois en paix avec ton âme mon fils, 
    certains humains se laissent entraîner 
    par l’ambition de la facilité du profit, 
    nous avons le pouvoir de leur pardonner !
   Le souvenir de nos enfants marque une 
valeur inestimable. Juger l'un au détriment 
de l'autre c'est déséquilibrer la juste 
parodie de son avenir. Donnons leur une 
tendresse parallèle pour que suive un avoir 
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digne du plus grand devoir, celui de les 
instruire avec sagesse. 

JJM  

Auteur Jean Jacques Mutz
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