roman sur la maladie mentale d' Alzheimer 3/4

Mirage au dessus des nuages sage n 1
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   Je prépare le repas pour midi avec attention.
Amandine dit,
-   Papa j'ai froid vient me couvrir.
  Il fait 25 degrés, je la couvre avec une épaisse
couverture et vérifie ci la bougie c'est éteinte. Je
rallume une autre bougie. 
   En la couvrant je remarque qu'elle transpire,
 je lui donne de l'eau. Aucune demande  ne vient
troubler, le calme revient. Lorsque  Amandine 
demande mon aide elle ne parle pas elle hurle.
Mon truc avec la bougie a l'air de marcher, elle
ne prononce plus le mot froid.
   Pour économiser, nous prenons l'eau du puits,
ce qui permet d'abaisser la facture car les bêtes
demandent pas mal d'eau sans oublier l
arrosage du jardin. Elle est bonne notre eau je
la puisse a 4 mètres même en été le niveau reste.
Je dois me trouver sur une source.

  Comme j'ai contacté le vétérinaire celui ci vient
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me rendre visite.
-   Bonjour Léonard, peux tu me montrer ta jument
-    bonjour monsieur le vétérinaire, je cherche la 
      jument.
  Je donne un coup de sifflet, puis un autre car elle 
n'a certainement pas entendu. Elle vient avec une
démarche boiteuse. Le vétérinaire dit d'un air 
préoccupant,
-   Cette démarche n'est pas encourageante et cette
    patte très enflé, elle doit certainement souffrir.
-   Le maréchale ferrant a constaté que ce n'est pas
    un clou mal positionné qui a provoqué cette 
     blessure mais une réception sur un obstacle
     tranchant qui la blessé.
  Le vétérinaire observe la patte de la jument, fait
des prélèvements et propose,
-    Léonard je lui fait une piqûre pour la soulager
     puis je prélève un enchantions de cette peau
     que j'envoie au laboratoire. Quant les résultats 
     viennent je te ferai part des traitements a 
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     engager. Cette méchante blessure n'est pas
      encourageante elle doit souffrir cette pauvre
      bête.
-    J'attendrai avec impatience le résultat. Je fait
      part au enfants de la gravité de la blessure 
      pour qu'ils ne partent plus a cheval dans la
      contrée.

   La cocotte minute souffle une vapeur qui 
provoque de l'humidité sur les vitres. Je prépare
la table durant ce temps. J'arrête la cocotte minute
A l'extérieur le boulanger klaxonne, il m'apporte
le pain. Je part a sa rencontre, il stationne devant
la maison. 
    Amandine dort, je peux discuter un peu avec le
boulanger.
-   Bonjour Pierre, peux tu me rajouter une 
     baquette de pain.
-   Bonjour Léonard, oui pas de problème il n'en
     reste, depuis que madame Liliane nous a 
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     quitté il me reste du pain.
-    Je ne le savais pas, comme Amandine occupe
     une bonne partie de mon temps, je ne sors pas.
     As tu des millionnaires ?
-    Oui il m'en reste, mais, sais-tu qu'une personne
      cliente a gagné dans la dernière série que j'ai
      vendu.
-     Non je n'ai pas fait attention, quelle somme
      d'argent a été gagné ? et quelle numéraux est
      sortie ?
-     le 25 15 9 3 1
-     Mais c'est le numéro que j'ai acheté la semaine
      dernière et la somme est de combien ?
-     Trois millions d'euros, tu vas être riche Léonard
       ta femme et tes enfants aussi.
-      Merci pour le renseignement Pierre, je n'en 
       reviens pas, il faut que je retrouve mon jeux.
-      Bonne le bonjour a Amandine et encore mille
        félicitation.
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-       Bonne continuation Pierre et le bonjour a 
        toute ta famille.

    Les résultat du laboratoire sont arrivés, et le 
vétérinaire m'explique les détailles de l'état de santé
de la jument.
-   Léonard, les nouvelles ne sont pas bonne, la 
     maladie de la jument est incurable. Cette blessure
     a provoqué une gangrène et nous n'arriverons 
     plus à la sauver. Il faut la soulager pour cela je
     dois avoir l'autorisation du propriétaire.
-    C'est Amandine la propriétaire, il faut que je lui
      demande sa signature. 
-    Léonard, j'ai une autre nouvelle, un de mes clients 
     veut mettre sa jument en pension ( abattoir) et elle
     n'est pas malade, il veut sens débarrasser. Se sont
     ses problème a lui qui interdisse de monter un 
     cheval. Tu es preneur ? 
-    Oui je suis preneur, elle a quelle robe la jument ? 
-     A par quelques tache brune sur sa robe blanche 
      elle ressemble a la tienne.
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-     Une question, est il possible que le désherbant peut
      provoquer des symptômes sur les animaux ? Pour 
      les plantes j'en suis certain, car apret le passage 
      du tracteur qui traite le maïs un nuage désagréable
       nous a oblidé de s'enfermer dans la maison. 
      Lorsque j'ai cherché des tomates et des salades
       j'ai dû les rincer a l'eau. Le lendemain toutes les 
      autres tomates avaient des taches. Elle étaient
      inmangeable. Le fermier a dû mettre plus qu'il ne
      fallait.
-     Je prend un échantillon de la terre du champ de
       maïs et te donnera les résultats dans les jours 
       qui viennent.
  Nous retrouvons Amandine pour lui expliquer la 
raison du départ de la jument en pension et qu'il 
nous faut sa signature pour autoriser à l'emmener
 comme elle est la propriétaire.
-   Amandine la jument a des problèmes de santé à la 
     patte avant. Les enfants ne peuvent plus la monter
     car elle souffre de trop. Comme tu es la 
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     propriétaire il nous faut ta signature pour l'envoyer
     en pension.
-    Si c'est pour son bien je veux bien.
-    Comment allez vous Amandine ? 
-     Sa vas comme si, comme cela monsieur le 
      vétérinaire, je fais avec.
-     Amandine le vétérinaire nous donne une autre
      jument le temps que la nôtre se rétablisse. Elle a 
      la même robe à peu de chose près.
-     Parfait, je signe le papier.
  Le vétérinaire nous quitte sens s'attarder. Il a pas mal
de travail car les moutons du voisin ont des difficultés
pour se déplacer. Comme le voisin a vu passer la 
voiture du vétérinaire il est venu a sa rencontre et lui
demander des conseils.

    Je retrouve ma cuisine pour ouvrir la cocotte minute.
Amandine dort encore, ce qui me permet d'être tranquille.
   Les pommes de terre sont cuite et refroidi, je les 
épluche, elles sont resté ferme. Je les coupe en morceau
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et en fais une salade comme avec les tomates. La 
préparation est parfaite avec de la salade verte du jardin
et des œufs dure. Je n'utilise aucun traitement, je suis
contre ces produits chimique, la nature mérite le respect
c'est ma devise. Le fermier n'a pas la même interprétation
il prétend qu'en traitant son terrain il gagne 15 pour cent
de production, comme il traite son terrain trois dans 
l'année cela fait 45 pour cent de rendement en plus. Pour
lui pas de respect pour la terre c'est le rendement qui 
compte.
   La table est prête, Amandine dort encore. Je la laisse
sur son nuage et mange sans sa présence.
   Je me dirige ensuite vers le canapé où Amandine dort. 
Ça lui arrive qu'elle dort aussi longtemps, la réveiller
c'est la provoquer. Je décide de chercher le billet 
gagnant du millionnaire en ma possession. J'ai failli
l'oublier. Je me demande où pourrait-il être ? Je portais
quel pantalon la semaine dernière ? Amandine devrais le 
savoir ? Oui mais elle n'a pas toutes se facultés il faut 
que j'attente que les enfants reviennent en fin de 
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semaine. Je cherche quant même et met en désordre
le linge a laver dans la buanderie. Il n'est pas plié, il
est réparti selon les degrés de lavage. Pas de chance,
toutes les poches sont vide.
-   J'ai faim, j'ai faim.
-   J'ai faim, j'ai faim.
  Amandine crie fortement, je lui répond,
-    Je viens Amandine, je viens.
   Je laisse ma recherche et part m'occuper d'Amandine.
Il est l'heure des informations je mets le son de la 
télévision pendant que je lui donne à manger. Ce n'est
pas facile car elle me dit d'arrêter de parler, c'est le son
de la télé qui l'intrigue, je me parle plus.
   
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz.
Ecrit le 11 12 2017, remis a jour le 23 09 2020.
A ce jour, 05 11 2023, 185 706 lecteurs
  

  


a suivre
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