LA JEUNE VEUVE DES VOSGES ( nouvelle n 71 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1










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LA JEUNE VEUVE DES VOSGES


                 Les Vosges épouse une véritable 
splendeur par le calme qui rime un charme , celui 
d'y vivre avec harmonie. 
  Les forets abritent des cathédrales de sapins , 
depuis la clarté des temps. Leurs troncs s'évadent 
vers la lumière du soleil en une parfaite droiture 
malgré les flans escarpé. Cette richesse rectiligne 
permet de multiple métiers sur le façonnage du 
bois. 
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   Je suis ébahi par cette parure verdoyante qui 
émet une révérence digne d'une sagesse glorieuse.
 - ha, homme de bonne résolution, tu récolteras 
par ton attention, la charge d'une bonne ambition. 
       Cette foret mérite donc qu'intervienne son 
exploitation . Dans cette intention laborieuse une 
exploitation forestière récuse de nombreuses 
coupes fêtent par des équipes de bûcherons. Un 
suivi continuelle qui dure tout au long de l'année. 
La valeur de ce travail assuré, exprime une 
coopération exemplaire. 
   Pour s'équilibrer avec le modernisme, les 
bûcherons s' équipent de machines a tronçonner. 
Cet outillage, dangereux, demande une vive 
attention. L'utilisation de ces tronçonneuses  
performante, crachent dans sont entourage u
vacarme qui résonne a travers les vallées quant 
a leurs fumées bleutée, elles se remarquent  de loin.
Cela permet de les positionner. 
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   Cette puissance sans rivale, n'a de pardon pour 
ces arbres centenaire qui tombent nez a terre, ils 
seront utilisé par la suite en bois de charpente ou 
en planches de menuiserie, certain en bardeaux. 
     J'observe mes compagnons depuis le versant 
de la montagne voisine, debout sur  un rocher de 
granite qui surplombe la petite vallée. 
   Mon cœur est triste chaque fois que les bruits des 
tronçonneuses se tue car, suit un grondement 
déterminent le dernier agonie de l'arbre, ce 
craquement imputant qui s'évade a travers les 
branches des sapins vers les cimes des arbres pour
s'élancer dans le ciel. Puis, le bruit époustouflant 
des moteurs ne perd son temps, il retrouve son 
argument. 
   Dans le voisinage, la vie retrouve le rythme pour 
les animaux sauvages, malgré que ce bruit 
répercute brutalement sur les mots, en volant 
lourdement pardessus les lacs endormi pour se 
cogner avec ivresse sur les montagnes qui

virevoltent leur paresse. Entre les chemins 
forestiers ce féroce rugissement motorisé se frai 
sa route. 
Ce vacarme n'a de limite car il fonce en aval 
comme en amont.
      Je reste stupéfier par l'évolution de la flore qui 
garde, avec impudence, une liberté qui ne la 
déstabilise point ; les animaux sauvage en font 
autant avec une fine conjonction de convivialité.
     Un feu de bois est continuellement entretenu 
par l'équipe. Une franche fumée indique notre 
position par son panache volumineux . Certains 
de ces animaux sauvage ne sont point intrigué, ils 
se rapproche de nous sans que naisse une crainte 
quelconque. Leur présence ne fait que germer 
une suite de convivialité parfaite entre l'animal 
silencieux et les humains et leur tapage.
     Une pause est ordonné dans l'équipe et les 
montagnes retrouvent ce vide de bruit qui laisse 
vibrer le silence de l’écho dans un repos pas sot. 
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   Le feu provoque des craquements qui restent 
les seuls bruits a renouvellement. C'est avec une 
fine baquette de bois que je transperce des 
saucisses fumées, pour les placer sur les grosses 
braises et les faire griller.
     Notre équipe , composé de trois personnes, qui 
verbalise un savoir faire digne d'une sagesse 
parfaite, nous n'avons de rivalité. 
   Pour nous trois ce n'est qu'une référence de 
plus qui fait flotter son panache avec une fierté 
harde use. Aujourd'hui, nous nous activons sur 
la préparation de stère de bois de chauffage et 
cette action devient une ritournelle sans la 
moindre complication. 
   Nos intentions sont de préparer les réserves de 
bois pour la jeune veuve de notre défunt 
compagnons. Sur la schlitte ( traîneau ) nous 
avons charger deux stères, ce qui n'est pas léger . 
Je dois descendre une pente presque raide mais 
les marches de bois sont étudié pour freiner notre 
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chargement. Mes talons prennent aisance dans 
ces marches en rondins de bois  fixé avec des 
cales planté dans le sol caillouteux. 
   Arrivé sur le chemin nous chargeons sur la 
remorque attelé au latile, (  tracteur forestier )  .
     Le chargement terminé, nous entamons une 
discutions qui devient maître de ce silence qui 
nous encadre avec honneur. 
   L'on se laisse plonger dans des souvenirs qui 
ne sont pas aussi lointain que cela et qui nous 
réveillent des marques sages gonflé de nostalgies. 
Paul secoue les braises et le feu reprend la parure 
d'une clarté vive et réchauffante. Puis il dit d'un 
air satisfaisant, 
- Elle sera contente Jeanne, la veuve de Charles   !
- Oui Paul, je pense que nous faisons une bonne 
   action de l'aider de la sorte pour effacer dans 
   son cœur ces traces de malheurs ? 
 - Je suis de ton avis Edmond,  et je reste sous 
    l'influence de nos souvenirs que Charles nous 
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    eu laissé , mon deuil reste marqué, je n'ai de 
    force pour pouvoir vous accompagnez et 
    retrouver cette brave Jeanne !
  - Comme tu le veux Paul, je passerai le bonjour 
    de ta par a Jeanne.
  - Je te remercie Serge. 
    C'est le samedi que nous travaillons pour 
 notre propre besoin , une demie journée. Cette 
occasion nous permet de faire des réserves de 
bois de chauffage. Nous eûmes placé dans la 
remorque du latile un volume de 10 cordes de 
bois . Sans tarder l'on se dirige vers la maison 
forestière qui se trouve au abord du premier 
lac de la vallée. 
  Sur notre route, la cascade Saint Nicolas  
chantent le refrain d'une adorable chansonnette. 
Elle prend en train notre chemin et notre 
harmonie. 
     L'on arrive auprès de la maison de Jeanne. 
De la route qui surplombe cette retenu d'eau, 
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notre regard suit le volume d'un paysage riche 
en verdure et en onde montagneuses. 
  Le chien se met a aboyer avec une vigueur 
dominatrice ; il   fait résonner son incertitude 
par des menaces volantes, sa chaîne se heurte 
a plusieurs reprise a ça niche. 
   Jeanne ne tarde pas et, ses pas mécanisent 
une vitesse supérieure a la normal pour venir 
nous intercepter avec honneur. Elle ordonne 
au chien de se taire et de rentrer dans sa niche 
puis, avec un sourire radieux elle nous accueille. 
   Jeanne  porte une robe bleuté, comme le bleu 
clair du ciel, et un tablier a la couleur verte de la 
prairie. Un tricot de laine rouge vif recouvre son 
buste et de hautes bottes en caoutchouc, lui 
emmitoufle ses petits pieds. Ses  cheveux sont 
en couveuse d'un châle de soie violet.
- Bonjour les bûcherons, vous venez me rendre 
   visite ?
-  Oui Jeanne nous t'apportons des réserves de

    bois pour passer l'hiver !
 -  Ceci est gentille de votre part, mes sentiments 
     retrouvent une bouffé de chaleur réconfortante. 
    Je me sens très honoré et vous invite a venir 
    manger ce midi. J'insiste sur mon offre car 
    cela me fait un grand plaisir de vous retrouver.
  - Nous ne pouvons accepter mais, comme tu 
    insistes, nous allons nous occuper de décharger 
    le bois et de le ranger rapidement.
 - C'est très gentille de votre part et je vous quitte 
    pour préparer le repas. 
    Notre dévouement verbalise une virtuelle 
adjonction de savoir faire et sans que rien arrête 
nos intentions, nous venons terminons de ranger 
toutes les  10 cordes de bois dans la grange prévu 
pour cet occasion. 
    Jeanne nous appel avec une gentillesse 
bouleversante de sensualité. Sur le moment notre 
réaction reste normal, mais, quant elle nous dit 
avec un charme de jeune femme,
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 - Vous sentez la foret et l'odeur de la fraîche 
    coupe de bois de sapins, de la fumée des
    tronçonneuses et celle du feu de bois. Je vous 
    invite de prendre un bain dans la bassine d'eau 
    chaude que je viens de remplir et de vous 
     préparer dans ma cuisine ! 
    Le comportement de notre regard fractionne 
une attention verbalisant cette action d'une 
révérence pas coutume. L'on se regarde avec 
hésitation puis, nous hochons nos épaules a 
plusieurs reprises. Nous l’accompagnons dans 
la maison forestière ou une vapeur d'eau 
chaude se marie avec l'odeur de la cuisine . 
Notre hésitation, pour plonger en premier son 
corps dans cette baignoire, fait retarder la suite 
de cette histoire. Jeanne remarque notre parodie 
et dit d'un air un peu surprise,
 - Allons messieurs, vous avez honte devant moi 
    de vous déshabillez pour prendre un bain ?  
    J'implicite sur sa proposition puis exhibe avec 
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rapidité mon habitude de me déshabiller. Je ne 
tarde a rentrer dans cette eau très chaude qui 
laisse échapper une vapeur embaumé d'un fin 
parfin de fleurs de montagne. Serge reste a 
l'égard en réflexivité sur une action qu'il 
n'arrive par juxtaposer dans la réalité. Je 
plonge mon corps dans l'eau  et cela jusqu'à la 
hauteur de mon cou. Une main douce et 
innocente me frotte mon dos ! 
   Par cette actions, je verbalise du plaisirs. Je 
quitte cette baignoire faite en bois et cerclé de 
fer pour céder ma place a Serge qui se trouve 
encore sous l’influence de l'hésitation. Il doit 
avoir dans ses réflexions de se sentir complexé 
vis a vis des services que nous rend cette jeune 
femme.
      Le repas nous est servi avec une sagesse 
digne d'une reconnaissance que l'on garde
dans le fond de notre cœur ainsi que cette 
gentiane qui nous a fait tourné le cœur.
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      Durant les semaines qui suivent nous 
discutons de cette attention qui comme étant 
une révélation digne de sentiments pure et 
fertile en sensations sympathiques. 
   Je garde au font de moi ce souvenir 
charitable et suis prêt pour retrouver 
cette âme charitable.


      Restons fidèle a nos amour avec en 
souvenir les moments les plus charmeur.


                                  
 JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La nouvelle est en cour de construction des 
changements peuvent suivre.
Ecrit le 06 03 2011.
A ce jour, 06 03 2011, 1 514 lecteurs.
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