LA JEUNE VEUVE DES VOSGES ( nouvelle n 71 )
Mirage au dessus des nuages sage n 1
1
LA JEUNE VEUVE DES VOSGES
Les Vosges épouse une véritable
splendeur par le calme qui rime un charme , celui
d'y vivre avec harmonie.
Les forets abritent des cathédrales de sapins ,
depuis la clarté des temps. Leurs troncs s'évadent
vers la lumière du soleil en une parfaite droiture
malgré les flans escarpé. Cette richesse rectiligne
permet de multiple métiers sur le façonnage du
bois.
1
LA JEUNE VEUVE DES VOSGES
Les Vosges épouse une véritable
splendeur par le calme qui rime un charme , celui
d'y vivre avec harmonie.
Les forets abritent des cathédrales de sapins ,
depuis la clarté des temps. Leurs troncs s'évadent
vers la lumière du soleil en une parfaite droiture
malgré les flans escarpé. Cette richesse rectiligne
permet de multiple métiers sur le façonnage du
bois.
2
Je suis ébahi par cette parure verdoyante qui
émet une révérence digne d'une sagesse glorieuse.
- ha, homme de bonne résolution, tu récolteras
par ton attention, la charge d'une bonne ambition.
Cette foret mérite donc qu'intervienne son
exploitation . Dans cette intention laborieuse une
exploitation forestière récuse de nombreuses
coupes fêtent par des équipes de bûcherons. Un
suivi continuelle qui dure tout au long de l'année.
La valeur de ce travail assuré, exprime une
coopération exemplaire.
Pour s'équilibrer avec le modernisme, les
bûcherons s' équipent de machines a tronçonner.
Cet outillage, dangereux, demande une vive
attention. L'utilisation de ces tronçonneuses
performante, crachent dans sont entourage un
vacarme qui résonne a travers les vallées quant
a leurs fumées bleutée, elles se remarquent de loin.
Cela permet de les positionner.
Je suis ébahi par cette parure verdoyante qui
émet une révérence digne d'une sagesse glorieuse.
- ha, homme de bonne résolution, tu récolteras
par ton attention, la charge d'une bonne ambition.
Cette foret mérite donc qu'intervienne son
exploitation . Dans cette intention laborieuse une
exploitation forestière récuse de nombreuses
coupes fêtent par des équipes de bûcherons. Un
suivi continuelle qui dure tout au long de l'année.
La valeur de ce travail assuré, exprime une
coopération exemplaire.
Pour s'équilibrer avec le modernisme, les
bûcherons s' équipent de machines a tronçonner.
Cet outillage, dangereux, demande une vive
attention. L'utilisation de ces tronçonneuses
performante, crachent dans sont entourage un
vacarme qui résonne a travers les vallées quant
a leurs fumées bleutée, elles se remarquent de loin.
Cela permet de les positionner.
3
Cette puissance sans rivale, n'a de pardon pour
ces arbres centenaire qui tombent nez a terre, ils
seront utilisé par la suite en bois de charpente ou
en planches de menuiserie, certain en bardeaux.
J'observe mes compagnons depuis le versant
de la montagne voisine, debout sur un rocher de
granite qui surplombe la petite vallée.
Mon cœur est triste chaque fois que les bruits des
tronçonneuses se tue car, suit un grondement
déterminent le dernier agonie de l'arbre, ce
craquement imputant qui s'évade a travers les
branches des sapins vers les cimes des arbres pour
s'élancer dans le ciel. Puis, le bruit époustouflant
des moteurs ne perd son temps, il retrouve son
argument.
Dans le voisinage, la vie retrouve le rythme pour
les animaux sauvages, malgré que ce bruit
répercute brutalement sur les mots, en volant
lourdement pardessus les lacs endormi pour se
cogner avec ivresse sur les montagnes qui
Cette puissance sans rivale, n'a de pardon pour
ces arbres centenaire qui tombent nez a terre, ils
seront utilisé par la suite en bois de charpente ou
en planches de menuiserie, certain en bardeaux.
J'observe mes compagnons depuis le versant
de la montagne voisine, debout sur un rocher de
granite qui surplombe la petite vallée.
Mon cœur est triste chaque fois que les bruits des
tronçonneuses se tue car, suit un grondement
déterminent le dernier agonie de l'arbre, ce
craquement imputant qui s'évade a travers les
branches des sapins vers les cimes des arbres pour
s'élancer dans le ciel. Puis, le bruit époustouflant
des moteurs ne perd son temps, il retrouve son
argument.
Dans le voisinage, la vie retrouve le rythme pour
les animaux sauvages, malgré que ce bruit
répercute brutalement sur les mots, en volant
lourdement pardessus les lacs endormi pour se
cogner avec ivresse sur les montagnes qui
4
virevoltent leur paresse. Entre les chemins
virevoltent leur paresse. Entre les chemins
forestiers ce féroce rugissement motorisé se frai
sa route.
Ce vacarme n'a de limite car il fonce en aval
comme en amont.
Je reste stupéfier par l'évolution de la flore qui
garde, avec impudence, une liberté qui ne la
déstabilise point ; les animaux sauvage en font
autant avec une fine conjonction de convivialité.
Un feu de bois est continuellement entretenu
par l'équipe. Une franche fumée indique notre
position par son panache volumineux . Certains
de ces animaux sauvage ne sont point intrigué, ils
se rapproche de nous sans que naisse une crainte
quelconque. Leur présence ne fait que germer
une suite de convivialité parfaite entre l'animal
silencieux et les humains et leur tapage.
Une pause est ordonné dans l'équipe et les
montagnes retrouvent ce vide de bruit qui laisse
vibrer le silence de l’écho dans un repos pas sot.
Ce vacarme n'a de limite car il fonce en aval
comme en amont.
Je reste stupéfier par l'évolution de la flore qui
garde, avec impudence, une liberté qui ne la
déstabilise point ; les animaux sauvage en font
autant avec une fine conjonction de convivialité.
Un feu de bois est continuellement entretenu
par l'équipe. Une franche fumée indique notre
position par son panache volumineux . Certains
de ces animaux sauvage ne sont point intrigué, ils
se rapproche de nous sans que naisse une crainte
quelconque. Leur présence ne fait que germer
une suite de convivialité parfaite entre l'animal
silencieux et les humains et leur tapage.
Une pause est ordonné dans l'équipe et les
montagnes retrouvent ce vide de bruit qui laisse
vibrer le silence de l’écho dans un repos pas sot.
5
Le feu provoque des craquements qui restent
les seuls bruits a renouvellement. C'est avec une
fine baquette de bois que je transperce des
saucisses fumées, pour les placer sur les grosses
braises et les faire griller.
Notre équipe , composé de trois personnes, qui
verbalise un savoir faire digne d'une sagesse
parfaite, nous n'avons de rivalité.
Pour nous trois ce n'est qu'une référence de
plus qui fait flotter son panache avec une fierté
harde use. Aujourd'hui, nous nous activons sur
la préparation de stère de bois de chauffage et
cette action devient une ritournelle sans la
moindre complication.
Nos intentions sont de préparer les réserves de
bois pour la jeune veuve de notre défunt
compagnons. Sur la schlitte ( traîneau ) nous
avons charger deux stères, ce qui n'est pas léger .
Je dois descendre une pente presque raide mais
les marches de bois sont étudié pour freiner notre
Le feu provoque des craquements qui restent
les seuls bruits a renouvellement. C'est avec une
fine baquette de bois que je transperce des
saucisses fumées, pour les placer sur les grosses
braises et les faire griller.
Notre équipe , composé de trois personnes, qui
verbalise un savoir faire digne d'une sagesse
parfaite, nous n'avons de rivalité.
Pour nous trois ce n'est qu'une référence de
plus qui fait flotter son panache avec une fierté
harde use. Aujourd'hui, nous nous activons sur
la préparation de stère de bois de chauffage et
cette action devient une ritournelle sans la
moindre complication.
Nos intentions sont de préparer les réserves de
bois pour la jeune veuve de notre défunt
compagnons. Sur la schlitte ( traîneau ) nous
avons charger deux stères, ce qui n'est pas léger .
Je dois descendre une pente presque raide mais
les marches de bois sont étudié pour freiner notre
6
chargement. Mes talons prennent aisance dans
ces marches en rondins de bois fixé avec des
cales planté dans le sol caillouteux.
Arrivé sur le chemin nous chargeons sur la
remorque attelé au latile, ( tracteur forestier ) .
Le chargement terminé, nous entamons une
discutions qui devient maître de ce silence qui
nous encadre avec honneur.
L'on se laisse plonger dans des souvenirs qui
ne sont pas aussi lointain que cela et qui nous
réveillent des marques sages gonflé de nostalgies.
Paul secoue les braises et le feu reprend la parure
d'une clarté vive et réchauffante. Puis il dit d'un
air satisfaisant,
- Elle sera contente Jeanne, la veuve de Charles !
- Oui Paul, je pense que nous faisons une bonne
action de l'aider de la sorte pour effacer dans
son cœur ces traces de malheurs ?
- Je suis de ton avis Edmond, et je reste sous
l'influence de nos souvenirs que Charles nous
chargement. Mes talons prennent aisance dans
ces marches en rondins de bois fixé avec des
cales planté dans le sol caillouteux.
Arrivé sur le chemin nous chargeons sur la
remorque attelé au latile, ( tracteur forestier ) .
Le chargement terminé, nous entamons une
discutions qui devient maître de ce silence qui
nous encadre avec honneur.
L'on se laisse plonger dans des souvenirs qui
ne sont pas aussi lointain que cela et qui nous
réveillent des marques sages gonflé de nostalgies.
Paul secoue les braises et le feu reprend la parure
d'une clarté vive et réchauffante. Puis il dit d'un
air satisfaisant,
- Elle sera contente Jeanne, la veuve de Charles !
- Oui Paul, je pense que nous faisons une bonne
action de l'aider de la sorte pour effacer dans
son cœur ces traces de malheurs ?
- Je suis de ton avis Edmond, et je reste sous
l'influence de nos souvenirs que Charles nous
7
eu laissé , mon deuil reste marqué, je n'ai de
force pour pouvoir vous accompagnez et
retrouver cette brave Jeanne !
- Comme tu le veux Paul, je passerai le bonjour
de ta par a Jeanne.
- Je te remercie Serge.
C'est le samedi que nous travaillons pour
notre propre besoin , une demie journée. Cette
occasion nous permet de faire des réserves de
bois de chauffage. Nous eûmes placé dans la
remorque du latile un volume de 10 cordes de
bois . Sans tarder l'on se dirige vers la maison
forestière qui se trouve au abord du premier
lac de la vallée.
Sur notre route, la cascade Saint Nicolas
chantent le refrain d'une adorable chansonnette.
Elle prend en train notre chemin et notre
harmonie.
L'on arrive auprès de la maison de Jeanne.
De la route qui surplombe cette retenu d'eau,
eu laissé , mon deuil reste marqué, je n'ai de
force pour pouvoir vous accompagnez et
retrouver cette brave Jeanne !
- Comme tu le veux Paul, je passerai le bonjour
de ta par a Jeanne.
- Je te remercie Serge.
C'est le samedi que nous travaillons pour
notre propre besoin , une demie journée. Cette
occasion nous permet de faire des réserves de
bois de chauffage. Nous eûmes placé dans la
remorque du latile un volume de 10 cordes de
bois . Sans tarder l'on se dirige vers la maison
forestière qui se trouve au abord du premier
lac de la vallée.
Sur notre route, la cascade Saint Nicolas
chantent le refrain d'une adorable chansonnette.
Elle prend en train notre chemin et notre
harmonie.
L'on arrive auprès de la maison de Jeanne.
De la route qui surplombe cette retenu d'eau,
8
notre regard suit le volume d'un paysage riche
en verdure et en onde montagneuses.
Le chien se met a aboyer avec une vigueur
dominatrice ; il fait résonner son incertitude
par des menaces volantes, sa chaîne se heurte
a plusieurs reprise a ça niche.
Jeanne ne tarde pas et, ses pas mécanisent
une vitesse supérieure a la normal pour venir
nous intercepter avec honneur. Elle ordonne
au chien de se taire et de rentrer dans sa niche
puis, avec un sourire radieux elle nous accueille.
Jeanne porte une robe bleuté, comme le bleu
clair du ciel, et un tablier a la couleur verte de la
prairie. Un tricot de laine rouge vif recouvre son
buste et de hautes bottes en caoutchouc, lui
emmitoufle ses petits pieds. Ses cheveux sont
en couveuse d'un châle de soie violet.
- Bonjour les bûcherons, vous venez me rendre
visite ?
- Oui Jeanne nous t'apportons des réserves de
notre regard suit le volume d'un paysage riche
en verdure et en onde montagneuses.
Le chien se met a aboyer avec une vigueur
dominatrice ; il fait résonner son incertitude
par des menaces volantes, sa chaîne se heurte
a plusieurs reprise a ça niche.
Jeanne ne tarde pas et, ses pas mécanisent
une vitesse supérieure a la normal pour venir
nous intercepter avec honneur. Elle ordonne
au chien de se taire et de rentrer dans sa niche
puis, avec un sourire radieux elle nous accueille.
Jeanne porte une robe bleuté, comme le bleu
clair du ciel, et un tablier a la couleur verte de la
prairie. Un tricot de laine rouge vif recouvre son
buste et de hautes bottes en caoutchouc, lui
emmitoufle ses petits pieds. Ses cheveux sont
en couveuse d'un châle de soie violet.
- Bonjour les bûcherons, vous venez me rendre
visite ?
- Oui Jeanne nous t'apportons des réserves de
9
bois pour passer l'hiver !
- Ceci est gentille de votre part, mes sentiments
retrouvent une bouffé de chaleur réconfortante.
Je me sens très honoré et vous invite a venir
manger ce midi. J'insiste sur mon offre car
cela me fait un grand plaisir de vous retrouver.
- Nous ne pouvons accepter mais, comme tu
insistes, nous allons nous occuper de décharger
le bois et de le ranger rapidement.
- C'est très gentille de votre part et je vous quitte
pour préparer le repas.
Notre dévouement verbalise une virtuelle
adjonction de savoir faire et sans que rien arrête
nos intentions, nous venons terminons de ranger
toutes les 10 cordes de bois dans la grange prévu
pour cet occasion.
Jeanne nous appel avec une gentillesse
bouleversante de sensualité. Sur le moment notre
réaction reste normal, mais, quant elle nous dit
avec un charme de jeune femme,
bois pour passer l'hiver !
- Ceci est gentille de votre part, mes sentiments
retrouvent une bouffé de chaleur réconfortante.
Je me sens très honoré et vous invite a venir
manger ce midi. J'insiste sur mon offre car
cela me fait un grand plaisir de vous retrouver.
- Nous ne pouvons accepter mais, comme tu
insistes, nous allons nous occuper de décharger
le bois et de le ranger rapidement.
- C'est très gentille de votre part et je vous quitte
pour préparer le repas.
Notre dévouement verbalise une virtuelle
adjonction de savoir faire et sans que rien arrête
nos intentions, nous venons terminons de ranger
toutes les 10 cordes de bois dans la grange prévu
pour cet occasion.
Jeanne nous appel avec une gentillesse
bouleversante de sensualité. Sur le moment notre
réaction reste normal, mais, quant elle nous dit
avec un charme de jeune femme,
10
- Vous sentez la foret et l'odeur de la fraîche
coupe de bois de sapins, de la fumée des
tronçonneuses et celle du feu de bois. Je vous
invite de prendre un bain dans la bassine d'eau
chaude que je viens de remplir et de vous
préparer dans ma cuisine !
Le comportement de notre regard fractionne
une attention verbalisant cette action d'une
révérence pas coutume. L'on se regarde avec
hésitation puis, nous hochons nos épaules a
plusieurs reprises. Nous l’accompagnons dans
la maison forestière ou une vapeur d'eau
chaude se marie avec l'odeur de la cuisine .
Notre hésitation, pour plonger en premier son
corps dans cette baignoire, fait retarder la suite
de cette histoire. Jeanne remarque notre parodie
et dit d'un air un peu surprise,
- Allons messieurs, vous avez honte devant moi
de vous déshabillez pour prendre un bain ?
J'implicite sur sa proposition puis exhibe avec
- Vous sentez la foret et l'odeur de la fraîche
coupe de bois de sapins, de la fumée des
tronçonneuses et celle du feu de bois. Je vous
invite de prendre un bain dans la bassine d'eau
chaude que je viens de remplir et de vous
préparer dans ma cuisine !
Le comportement de notre regard fractionne
une attention verbalisant cette action d'une
révérence pas coutume. L'on se regarde avec
hésitation puis, nous hochons nos épaules a
plusieurs reprises. Nous l’accompagnons dans
la maison forestière ou une vapeur d'eau
chaude se marie avec l'odeur de la cuisine .
Notre hésitation, pour plonger en premier son
corps dans cette baignoire, fait retarder la suite
de cette histoire. Jeanne remarque notre parodie
et dit d'un air un peu surprise,
- Allons messieurs, vous avez honte devant moi
de vous déshabillez pour prendre un bain ?
J'implicite sur sa proposition puis exhibe avec
11
rapidité mon habitude de me déshabiller. Je ne
tarde a rentrer dans cette eau très chaude qui
laisse échapper une vapeur embaumé d'un fin
parfin de fleurs de montagne. Serge reste a
l'égard en réflexivité sur une action qu'il
n'arrive par juxtaposer dans la réalité. Je
plonge mon corps dans l'eau et cela jusqu'à la
hauteur de mon cou. Une main douce et
innocente me frotte mon dos !
Par cette actions, je verbalise du plaisirs. Je
quitte cette baignoire faite en bois et cerclé de
fer pour céder ma place a Serge qui se trouve
encore sous l’influence de l'hésitation. Il doit
avoir dans ses réflexions de se sentir complexé
vis a vis des services que nous rend cette jeune
femme.
Le repas nous est servi avec une sagesse
digne d'une reconnaissance que l'on garde
dans le fond de notre cœur ainsi que cette
gentiane qui nous a fait tourné le cœur.
rapidité mon habitude de me déshabiller. Je ne
tarde a rentrer dans cette eau très chaude qui
laisse échapper une vapeur embaumé d'un fin
parfin de fleurs de montagne. Serge reste a
l'égard en réflexivité sur une action qu'il
n'arrive par juxtaposer dans la réalité. Je
plonge mon corps dans l'eau et cela jusqu'à la
hauteur de mon cou. Une main douce et
innocente me frotte mon dos !
Par cette actions, je verbalise du plaisirs. Je
quitte cette baignoire faite en bois et cerclé de
fer pour céder ma place a Serge qui se trouve
encore sous l’influence de l'hésitation. Il doit
avoir dans ses réflexions de se sentir complexé
vis a vis des services que nous rend cette jeune
femme.
Le repas nous est servi avec une sagesse
digne d'une reconnaissance que l'on garde
dans le fond de notre cœur ainsi que cette
gentiane qui nous a fait tourné le cœur.
12
Durant les semaines qui suivent nous
discutons de cette attention qui comme étant
une révélation digne de sentiments pure et
fertile en sensations sympathiques.
Je garde au font de moi ce souvenir
charitable et suis prêt pour retrouver
cette âme charitable.
Restons fidèle a nos amour avec en
souvenir les moments les plus charmeur.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Durant les semaines qui suivent nous
discutons de cette attention qui comme étant
une révélation digne de sentiments pure et
fertile en sensations sympathiques.
Je garde au font de moi ce souvenir
charitable et suis prêt pour retrouver
cette âme charitable.
Restons fidèle a nos amour avec en
souvenir les moments les plus charmeur.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
La nouvelle est en cour de construction des
changements peuvent suivre.
Ecrit le 06 03 2011.
A ce jour, 06 03 2011, 1 514 lecteurs.
A ce jour, 28, 10, 2018, 105 920 lecteurs .
A ce jour, 06 03 2011, 1 514 lecteurs.
A ce jour, 28, 10, 2018, 105 920 lecteurs .
A ce jour, 12 06 2020, 123 333 lecteurs.
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