Ma plume s'appelle Bic ( nouvelle n )






Mirage au dessus des nuages sage n 1



















Ma plume s'appelle Bic
Je commence le mois avec dans ma pochette une nouvelle
plume, qui s'appelle Bic. En forme hexagone il se place 
entre mes doigts  comme sur mesure . Je suis armée de 
future lignes a rédiger avec une pointe fine
1
C'est le premiers jour de la semaine de travail.
  Sa bille , a la pointe fine, est protégé par un capuchon 
bleu . Il n'y a pas d'encre qui fuit et nos habilles reste 
immaculé  Pour moi c'est une merveille et me rappelle les
classe primaire, où il fut interdit d'utiliser cette nouveauté.
    Souvent nous rentrons de l'école avec les doigts et les 
habilles souillé de taches d'encre de Chine malgré nos
tabliers suite a ce que l'on a rédigé et notre buvard pour
éponger. 
   Nos pages d'écriture n'étaient pas présentable avec des 
taches d'encre que nous avions tiré de l'encrier .
  Je roule sur les routes de France et fait attention a toutes
les obligations. Mon semis remorque de 36 tonnes m'oblige 
d'être attentif sur tous ce qui se passe sur la route autour 
de moi. Seul dans la cabine du semis j'ai dans ma pochette
un nouveau BIC et je suis prêt a utiliser pour écrire un 
roman. La bille est sèche et le contenue du BIC est plein,
je le frotte sur ma chaussure. Ca y est, les première traces
se marque. Je commence par le titre puis la date . Mais je
roule, il faut un arrêt pour commencer. Je suis impatient
2
et remarque qu'un panneaux travaux et un autre de 
circulation alternée a 1 km ralenti notre colonne. Nous
somme a l'arrêt, je rédige le titre et la date.
   Pour le titre, je l'ai trouvé en remarquant un mendient
couché  sur un banc dans un parc de la ville que je 
traverse.
Bien être sur un banc.
  Pour la date c'est ,
Le 01 .. .. 
  Pour prendre des notes, je minimise les lignes pour que
plus tard je les frapes sur des pages de papier avec les 
touches de ma machine a écrire. Je commence la première
ligne qui fera 60 frapes.
  1 Il fait bon. 
  A moi de combler la suite a la maison.
   Je fais des marques pour la seconde ligne.
   2 Les promeneurs évitent l'homme sur le banc .
    Je m'abstiendrai de dire la suite car il faut que j'avance mon
semis remorque la circulation reprend. 
  Mon roman de fiction trotte dans ma tête, c'est  comme un 
3
rêve que je veux rédiger avec mon BIC.
   Rouler au ralentie n'arrange pas mon programme pour 
mes livraisons ca me retarde plus que tout, il faut que je
reste calme et attentif.
  Enfin, le point de réparation de la chaussé est terminé 
nous reprenons notre allure habituelle, 80 km a l'heure,
je suis sortie de la ville. 
  Cela fait 2 heures que je roule, depuis le dernier arrêt, il
faut faire une pose . J'ai hâte de marquer un arrêt pour
écrire la suite en brouillon.
3 Un groupe de jeune s'approche du banc ou dort le vielle
    homme.
    Je laisse la description pour la maison et commence une 
 autre ligne.
4 Les jeunes deviennent arrogant dans leur démarches. Ils
     traitent le vieillard de vieux bic ? 
  Je garde la suite pour la machine a écrire et termine ma 
pose pipi . Il me reste 30 km pour pouvoir a livrer mon 
client. 
   Me voila devant le magasin et avec hâte je stationne mon
4
ensemble routier. Cette arrêt ne me permet pas d'écrire sur
la suite de mon récit mais réveille des anecdotes que je 
marque vite fait avec mon BIC. 
   Comme je suis obliger d'accompagner le personnel qui 
déchargent mon véhicule et de contrôler le chargement je
ne peux en aucun cas me désintéresser de ces mouvements.
Ce n'est pas grave ma future histoire me donne de 
l'ambition je suis prêt a lancé le défit de franchir tous les 
obstacles par habitude comme mon BIC qui ne marque le 
moindre agro .
  La route du retour reprend son train train , mais je n'ai
nulle possibilité de continuer mon récit par écrit. Vive le
prochain arrêt .
  Au bout de 30 minutes de route, j'aperçois le restaurant
et le parking fait pour que les routiers peuvent déjeuner 
ou prendre une douche. Ce qui est agréable quant il fait 
chaud et agréable quant il fait froid.
    Je gare mon ensemble routier sens difficulté, il y a 
suffisamment de places. J'entre dans le restaurant pour 
pouvoir me rassasier. Ma faim n'est pas alerté, je fait 
5
cet arrêt par habitude et selon les règles du code de la
route.  
   Mon retard a fait qu'il n'y a plus beaucoup de routiers 
dans le restaurant et l'étalage des différant repas  sont
minimisé. Je prend ce qu'il y a de rapide a consommer 
pour continuer mes écrits.
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le vieillard se réveille en sursaut et  équilibre sa tenu a
l'aide d'une canne en bois a la pointe aiguisé.
   J'ai la suite de l histoire, je suis remplie d'un objectif
autre que la routine du déplacement de mon ensemble 
routier. Je reprend ma route enchanté par mes écrits 
et tente de trouver une suite égalitaire . Je me demande
si le vétéran  risquerait d'être agresse ou se protègera  
t il de ses agresseurs ?  
     Etre agressé n'est pas bon pour ce vétéran fragile a 
tout vent et qui fait cette marche pour la paix dans le 
monde. Il pourrait monter sa canne en se défendant, 
mais, aura t'il le dessus  ? 
  Bien sur sa canne a la pointe aiguisé par les galets
du chemin de Saint Jacques de Compostelle ont affiné. 
6 
 Je ne peux en aucun cas faire de son geste une 
autodéfense  car il est armé d'une canne a la pointe 
aiguisé ce qui le place dans un cas de préméditation 
envers ce groupe de jeune personnes qui viennent 
l'importuner séculairement. 
6 je suis a cheval sur , se défendre, ou se faire agresser ?
  Je choisi une autre sortie et m'imagine qu'un autre 
  groupe de marcheurs arrivent a sa hauteur.
   Je reprend la route avec comme satisfaction la suite
de mon histoire qui m'accompagne jusqu'à la fin de
ma journée de travail.

JJM
Auteur Jean Jacques Mutz
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