CHEVAL DE FER ( poésie n 77 )

mirage au dessus des nuages sage n 1












CHEVAL DE FER

                                                      

Dans la clarté de l'enfer,
On façonna un cheval de fer,
Qui de surcroît bougeais,
A la vapeur de ses garerais.

Ce petit cheval d'acier, 
S’en allait promener,
Sur une route tracée,
 Par des traits métallisés.

Le projet devenait maléfique,
 On avança sans s'égarer,
Traversants des données,
Que des plants ont tracé.

 De villages en hameaux,
Par de nombreux pâturages,
Que les trais ont coupés,
On morceaux formé. 

Dans mon sillage, il sifflait,
En répercutant la venue de son passage, 
Par une musique répétée, 
Justifiant sa puissance vénérée.

Par un grincement stoïque,
Il marquait cet évènement,
Et fait comprendre aux passants,
Que c'est lui le plus grand.

Puissance de vapeur, 
S'en allant avaler,
Des tonnes de bois de terre,
 Qui partaient en fumée.

Un crachat endiablé,
 Polluait tout sur son passage,
Que se sois maison,
Ou jardin du voisinage. 

JJM

Auteur Jean jacques Mutz.
Ecrit le 26 01 2009, remis a jour le 25 01 2021.
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