POURQUOI ? ( nouvelle 28 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1
.









1
1 POURQUOI ?

Certaines fautes médicales me 
révoltent car elles entraînent 
Le déséquilibre du patient.Cette 
maladie prend une tournure 
inquiétante.

  Les médecins responsables 
s'abritent sur des prétextes 
qui les ont orienté. Des  
conclusions financières 
en sont l'enjeux. 
   Cette remarque possède la 
clé du facteur responsable de 
certaines disparition.
  Chaque époque possède un 
pourcentage de mortalités du 
à des maladies concrètes.
  Mon histoire témoigne d'un 
fait réelle qui m'eut blessé.

  C'est aujourd'hui que notre 
fête familial mérite l'attention. 
   Mon neveu fait sa communion,un 
rassemblement conviviale.Les 
invités sont nombreux, je remarque 
qu'il y a son parrain, sa 
3
marraine, ses tantes et oncles, 
ses cousines et ses cousins et de
nombreux d'amis. 
  Nous occupons la salle à manger 
devenu restreinte.l'on s'y tasse 
comme des sardines en boite. 
  Je dénonce que de différents 
sortes de chaises priment une 
référence provenant de divers 
mobiliers. les tables sont au 
nombre de trois, leur style et 
leurs hauteurs sont disparate. 
La plus part des invités sont 
du quartier, un grand nombre 
habitent ce bâtiment de douze 
étages.
  Je ne suis pas du quartier 
et j'y suis invité. Je rencontre 
dans cette communauté l'enjeux 
d'une cordiale coordination. 
4
  Le bonheur navigue dans le 
coeur de nous autres par ce 
partage équitable. Une façon de 
trouver une main bienfaisante.
  Il faut tenir compte que la 
pauvreté actuelle force les 
gens a vivre de larcins. Le 
faible pouvoir d'achat détient 
l'ondulation de malheurs qui 
marquent la basse classe sociale.
Notre pays s'y engouffre.
Ce malheur dure depuis notre 
jeune âge, un héritage.
  Muet, mon silence m'inhibe 
aucune indifférence, au contraire 
je me suis interlude pour 
récolter le parlé des autres 
dans une attention instructif. 
  Mon accoutumance se laisse 
bercer par cette parodie qui 
5
charme l'enclaves de la 
présentation de nos victuailles.
  Ce n'est pas du fois gras que 
l'on sert, pas même du champagne 
que l'on boit, mais, une façon 
de les mimer par des dérivés qui
nous plonge dans une richesse 
digne de satisfaction. 
  Je me permet de financer la 
dernière partie de notre repas, 
le dessert, que j'assume avec 
joie. Je me suis dis que par 
une friandise l'on peu encadrer 
copieusement la valeur de ce 
festin et belle fête.
  Les paroles n'attristent nul 
visage car les rires des personnes 
suivent le libre cour des blagues.
   leur comportement et la gaieté
émulsionne l'ensemble des

personnes. 
    A part que, là, en bout de 
table ma curiosité se heurte sur 
un jeune garçon sans réaction 
commune. Les traits de son visage 
expriment celui de la pauvreté. 
Cette trame signe un sentiment 
de tristesse ? 
  Il ne prend pas le train de 
cette fête, il renie le cumul 
fêtard ? Pourquoi son amertume 
l’excommunie de notre union ? 
  Le fait que rien n'émouvoir 
ce visage d'adolescent m'émeut 
profondément. Mes intentions 
sont de rendre les personnes 
de cette fête joyeuse ? 
Quelle peut être  la raison qui 
signe sa tristesse ?
  Je l'observe avec inquiétude 
7
et remarque que les muscles de 
son visage sont raidi, peut 
être que la convivialité de 
notre fête ne lui provoque un 
enthousiasme ?
  Mon attention s'en égare, pour 
observer la réaction d'autres 
personnes de la pièce. Suis je 
a la recherche d'autres anomalies ? 
  Ma sœur se rapproche de moi, 
et, me souffle dans l'oreille ,
  - Tu sais Jean, ce garçon qui 
    est très triste, il a le Sida. 
    Les médecins ne lui donnent 
    peu de chance, deux mois au 
    plus. C'est suite a un besoin 
    sanguin qu'il eut contacté 
    cette maudite maladie. 
  Ces paroles me frappent comme 
ci l'on annonce ma prochaine mort.
9
J'en suis épouvanté par ce 
dialogue prohibé. Je viens de 
m’approvisionne à une source 
impure, là où coule une profonde 
mélancolie. 
  Mes pensées se stagnent sur 
une parodies conformiste, qui 
ne convergent que des propos 
d’injustices. Une foule de 
questions accusateurs trottent 
dans mes doutes. Elles font 
entrechoquer des conclusions 
qui ne consignent que des 
épouvantails de malfaçons. 
  Dans le charme de cette 
jeunesse se cache l'ivresse d'une 
mortelle condamnation , pourquoi,
cela ne peut être vrais ? 
  Aucune parole dénonce mes 
connaissances, j'évite le moindre
10 
contacte de peur de dénoncer mon 
savoir. J'ai peur de provoquer 
un effet parasitisme sur ce jeune 
personnage cruellement verbalisé. 
Honte a moi et a notre impuissance 
humaine.
  Je m'obstine de réfléchir sur 
une question évoquant des propos 
choquant. Mes réactions cherchent 
a s'étourdir. Je tente de trouver 
un raisonnement d'excuses , rien 
ni fait. Des personnes me posent 
des questions, je ne répond plus 
qu'avec des signes de tête, je 
verbalise une certaine induction 
béotienne car, mes émotions 
ont creusé une racine dans mon 
coeur brisé. J'en éprouve une 
peine personnelle. 
   Je dois me ressaisir, ma 
11
lâcheté s’échappe et sur mes joues 
un sourire revit. 
   Dans cette fraction de seconde 
nos regards se croisent. Naît un 
échange bref, une réponse honnête 
signe un lien. Mon coeur se sent 
soulagé et ma pitié ne peut rester 
égoïste en réponse. Je lui 
attribue un timide sourire 
  Ma propre personne se soulage 
et une immense joie me surmonte. 
J'ai espoirs que cela lui porter 
force et courage. A cette instant 
précis j'aimerais pouvoir faire 
des miracles. A ce propos la je 
lance de lourde prières a Dieu 
pour qu'il le protège et le 
guéri. 
   Le visage de l'enfant émet un 
frêle sourire qui me signe 
12
profondément. Je capte cette 
jonction d'espoir comme un 
pronostique sur sa guérison. 
Je retrouve le visage pur d'un 
adolescent vierge de toute maladie. 
  Une sympathie naît, avec 
sincérité. La pureté de sa joie 
devient la gomme du pardon celle 
qui transmet dans un rayonnement 
de valeur une manne de bonheur.


   Les mois ont passé et dans 
mon coeur brille encore l'éclat 
de ce sourire d'enfant condamné. 
  Un matin je rend visite a ma 
sœur dans ce bâtiment aux douze 
étages. Je la questionne pour 
combler ma curiosité, sur les 
nouvelles de ce garçon que j'eus 
côtoyé du regard et qui reste
13 
gravé dans mes souvenirs. Dans 
l'ensemble de mon coeur trotte 
un souvenir riche de pardons. Ce 
jeune malade mérite mon attention. 
Je questionne ma sœur,
  - Que fait le copain de ton fils, 
    celui qui est très malade, 
    le Sida ?
 - Tu sais Jean, cela fait déjà 
   un mois qu'il nous a quitté.
   Elle me dit cela d'un air 
inassouvi comme ci c'est normal 
la mort de cet enfant. A cet 
instant précis je la méprise 
un peu. Mon regard tente de 
trouver un reperd dans cette 
pièce où eut lieu notre repas. 
Tous les meubles ont changé de 
place. 
  Le sourire de cette enfant n'a
14 
plus de lieu où mon souvenir 
puisse trouvés un reperd.


   Je viens d'écrire ces quelques 
lignes pour faire comprendre aux 
humains que lorsque l'on rencontre 
le sourire d'un enfant nous devons 
le comparer a la beauté d'une 
fleur qui vient d'éclore et qui 
séjourne dans un vase. 
   Cette coupe ne conservera que 
peu de temps sa beauté. Faisons en 
sorte que le bonheur d'un enfant 
trouve racine auprès de son 
entourage. 
  
  Nous suivons une époque où 
l'on nous oblige d'oublier les 
crimes des autres ?




JJM
 La nouvelle est en cour de 
construction des changements 
peuvent suivre.
Auteur Jean Jacques Mutz 
écrivain amateur.
écrit le 20 09 2010, remis a jour le 25 03 2020.
a ce jour, 25 03 2020, 120 281 lecteurs.































































Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

LA SOUPE SUR L’ÎLE DE PAG ( nouvelle 33 )