SATISFACTION ( nouvelle 49 )

Mirage au dessus des nuages sage n 1










1


SATISFACTION


      Je suis en émoi,devant cette porte qui 
s'ouvre vers la gloire d'une retraite espéré. 
A partir de maintenant, de longue vacances 
s'égarent a ma vue ; elles présent, dans le 
fond de mon coeur, une joie ou germe un 
immense bonheur. Je dispose d'un temps, ou 
nul argument ne soit contradictoire dans mes 
déplacements. Cette richesse provoque une 
ritournelle de satisfactions. 

2

Ce préhensile trouble mon passé par l'oublie 
de mes anecdotes que j'eus navigué . Le fait 
de parapher la moindre trace révélatoire, m'eut 
vidé du moindre indice. Je me dénonce comme 
responsable de l'engrenage de cet oublie.
    Mes premiers pas perdus, pour ce repos 
continu, je l'égare dans les allées d'un parc au 
centre de la ville de Mulhouse. On y rencontre 
des sans labeur, des retraités, et des enfants 
que gardent leurs mamans. 
    Ces jeunes bambins y jouent avec ardeur. 
Leurs cries de joies se mélangent avec celui du 
chant des oiseaux qui sifflent nos futures 
refrains populaire. Parfois, s'égare la fraîcheur 
d'une liaison sentimentale, que couvent de 
jeunes adolescents. Ces flirts de coton sont 
interrompu par des arrêts non programmé.
Leurs actions fébriles me rappellent des 
alvéoles chargées de souvenirs positifs. Cette 
part de ressemblance m’incite a les observer.

3

Durant ce moment, mon objectif ne suit 
une autre intention. Puis, mes pensées se
laissent entraîner par le jeux des petits 
enfants.  
   Je me tourne vers ces exclamations  
sincère de bonheur, laquelle  égalise avec 
celui des jeunes mamans qui surveillent leur 
chérubins avec conscience. 
   Le présent envoûte certains de mes 
souvenirs envoûte de vieilles conclusions. 
Je retrouve une partie de ma jeunesse laquelle
me charme avec l'allégresse. Une satisfaction 
personnelle réveille ma tendresse. Je jalouse 
ces bambins sur l'inconscience de leur savoir.
Avec ces jeux ils  s’apprêtent a gérer l'avenir 
de leur destin.
   Je reviens sur ma personne et me rend 
compte que ma vie s'éclipse a une vitesse folle.  
la vitesse qu'engendré les belles saisons 
devient indomptable.
  Un petit vide puis, mes pensées se nichent 
avec le sifflement des oiseaux, qu'emporte le 
vent de la raison vers un avenir sans 
conclusion. Je devient un téméraire, timide 
plus aucun souffle de contacte ne charme ma 
personne ; mon ambition se replie comme un 
diptyque que l'on égare avec amertume. 
   Au fils des jours ces rencontres sont mes 
aventures, ils deviennent des habitudes. 
Pourtant elles écornent mes souvenirs.
   Un matin de lassitude, je rencontre un jeune 
homme qui m'émeut par la révérence de son 
langage.
  - Monsieur Jean, vous souvenez vous de moi ?
  - Je ne vois pas jeune homme où j'eus bien 
    pu vous rencontrer ?
 - Mais, monsieur Jean, c'est bien vous qui 
   donnez des cours de natation dans le bassin 
   de la piscine municipal ?
- Oui bien entendu mon garçon, mais, cela fait 
  belle lurette ! 
   Je me sens fière de ce bavardage qui me met 
sur une bonne page. Mon passé reprend sa 
valeur en réveillant mon savoir faire. Mais, 
quelles paroles équitables pourrait éblouir ce 
jeune personnage de passage ? Je lui dois une 
révérence du fait que son attention me permet 
de briser ma lassitude. Il vient de me 
questionne avec politesse dans un langage ne 
marquant la moindre flagellation pour mon 
grand âge. Mais, a quel moment j'eus pu lui 
donner des cours de natation ? J'en ai distribué
a la pelle, des brevets de natations et des 
entraînements ; mais, des souvenirs a son 
sujet je ne trouve de trace de la moindre 
conception. Bref, je me laisse séduire par son 
attention et reconnais ne savoir a quel date
je lui ai donné des cours.Pour ne pas le 
contrarier et lui donner un signe d'oublie je
dis,
 - Mais bien sur, votre savoir faire ma laissé 
   en émoi car, vous étiez le seul a qui mes 
   explications sont passé sans que je suis 
   obliger de répéter les mouvements !  
   Il faut être claire dans mon objectif de 
flatteur, il n'y eut la moindre préférence , pour 
moi tous les enfants furent de jeune futur 
apôtre de la natation. Celui la, possède de la 
mémoire, cette référence m'incombe d'un
questionnaire. 
- Vous vous appelez comment, monsieur le 
   nageur, je me souvient plus de votre prénom. 
   La vieillesse vident certaines valeurs sans le 
   vouloir.
- Moi c'est Pierre
- Mais oui, Pierre, le flache de mes souvenirs 
  trace ce moment la, il me revient avec joie, 
  merci, je rajeuni.
- Une de vos phrases qui m'avait tant flattée, 
  fut celle que vous prononcer pour apprendre 
  la brasse ; une nage de grenouille nous faisiez 
  nous savoir. Pour cette discipline nous devions 
  respecter quatre temps de mouvement ; 
  Un, les mains suivent ton corps  pour aller vers 
  l'avant et se rejoindre en une pointe droite en 
  même temps que les pieds s'allongent 
  droitement. 
  Deux, le mouvement des bras et des pieds se 
  replient simultanément comme le ferait une 
  grenouille. 
  Trois, les bras ainsi que les pieds , s'écartent 
  a l'horizontal de ton corps. 
  Quatre, les gestes retrouvent le point de départ 
  en faisant glisser les bras le long de ton ventre. 
  Après plusieurs explications le refrain prend le 
  rythme suivant, un, deux, trois, quatre et cela 
  durant tout le temps de notre présence allongé 
  au sec sur le ventre a même le carrelage blanc 
  qui entoure le bassin. Au bout de deux séances, 
  nous passions dans l'eau et la, la position sur 
  une planche de liège ne fut pas commode , 
  surtout avec autour de notre ventre la ceinture 
  entouré de gros morceaux de liège faisant 
  office de flotteur.
   C'est enivrant de retrouver un passage de
mon passé et donner libre cour a mes souvenirs. 
Je me sent rajeunir par cette émotion qui 
marque un sourire sur mon visage effleuré par 
des rides profonds.
 - Oui, oui, oui, je me rappelle de ce temps la
   où mon chef me fit des remarques sur 
   l'attention continuelle que je dois porter pour 
   la surveillance du bassin. Pour ce reproche, il 
   n'allait pas de bon chemin car, souvent, il me 
   disait, avec sa voix forte et autoritaire, que je 
   devais surveiller sans relâche le bassin avec 
   des rondes accompagné de ma longue perche 
   en bois. Cette attention devais se faire 
   machinalement même quant il n'y avait 
   personne dans le bassin, La vigilance va de 
   paire avec ta conscience. Il y va de même 
   pour l’apprentissage de la brasse, un, deux, 
   trois, quatre, comme le fait une grenouille. Et 
   puis cette planche en bois ainsi que les 
   ceintures de liège enroulé autour de vos corps. 
   Et la première mise a l'eau de l’élève avec 
   cette corde raide, qui traverse le bassin, pour 
   vous rassurer qu'au retour je relâchais au fur 
   et a mesure de l'évolution du jeune nageur. 
   Et le clou de l'histoire lorsqu'on laisse libre 
   cour au nageur et que l'on remarque qu'il fait 
   naïvement ses premiers mètres de nage libre. 
   Non de Dieu quelle satisfaction cette époque la 
   avait son charme  et son insouciance. 
   Vivre cet instant m’entraîne dans la plénitude 
d'un sentiment qui me signe un renouveau. Je 
me trouve dans un état second et libre de tout 
soupçon. Je ne m’arrête pas de si bon pied et 
donne le pas a l'expression sur mes souvenirs. 
Cette valse de sentiments devient pour moi le 
charme d'un soulagement. Il m'écoute sans 
compter le temps, lui aussi se plonge dans 
l'agrément que comble notre joie. Je ne m’arrête 
pas la et continu par épiloguer des flaches de 
souvenirs surenchérissant mon passé.
 - Il faut que vous sachez qu'avant que nous 
   entreprenions notre surveillance, nous devions 
   nettoyer les alentours de bassin et nous 
   commencions , très tôt le matin, a six heures. 
   Vers les sept heure trente ce fut le moment 
   de pause casse croûte, que nous 
   accompagnons d'une bonne bouteille de vin 
   rouge, du Saint Emilion de préférence. Elle 
   était belle cette époque la , j'en suis encore 
   tout amidonné. 
   Je ne m’arrête point la et fait une  marche 
arrière pour retrouver mes souvenirs . Ma 
liberté entame mes souvenirs avec un regain 
comblé de plaisirs.
 - Je vais vous révéler une petite anecdote, 
    jeune homme, sur celle qui m'a accordé son 
    parrainage lorsque je fus appelé a faire mon 
    service militaires comme parachutiste dans 
    l'armée française. Notre correspondance ne 
    fut coupé par aucune contradiction et cette 
    référence nous eut permis de lier notre 
    estime pour une promesse fertile en 
    confiance. A la fin de ma campagne, je l'eus 
    demandé en mariage, elle n'a pas refusé et 
    m'accorde a ce jour une fidélité sans discorde. 
    Quant je raconte a mes enfants et mes petits 
    enfants que j'eus épousé ma marraine, ils se 
    mettent a rire . 
  Ce passage la me comble d'une paradoxe que 
je vénère avec grâce et soulagement, une 
fierté enivre ma personne d'une sagesse 
sans pareille. Le jeune homme m'écoute avec 
philosophie et ne coupe rien de mon histoire 
puis, il rajoute,
- Vous savez monsieur Jean que grâce a 
  vous, j'eus pris plaisir pour faire de la 
  natation. Je me suis entraîne vers des 
  objectifs de compétition.  Je me suis hissé 
  jusqu’à l'équipe de France puis la suite ma 
  permit de représenter la France au jeux 
  olympique d'où quelques médailles d'or et 
  d'argent mon gratifier. 
   Cette révélation fait vibrer dans mes pensées 
une victoire digne d'une révérence sans pareille. 
Dire que c'est moi qui eus donné le premier 
pas d'envol pour ce jeune homme devenu un 
grand champion ! Je garde de ce jour une 
inoubliable révérence et donne libre cour pour 
tous ceux qui veulent m'instruire du passé 
de toutes ces vieilles personnes qui parfois 
sont la, sur un banc, sans pouvoir dénoncer 
leurs passé glorieux.


           Avec toute mon amitié.
JJM
auteur Jean Jacques Mutz.
écrit le 30 12 2010, remis a jour le 12 11 2019.
a ce jour, 12 11 2019, 117 174 lecteurs.
A ce jour, 13 01 2022, 165 580 lecteurs.




















JJM


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Commentaires

histoire vrais et maintenant c'est ma petite fille qui remportent les médailles.

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